Après l’effroi, la France craint que Samuel Paty soit mort pour rien, par Ingrid Riocreux.
Paris, 21 octobre 2020, hommage national à l'enseignant d'histoire décapité, Samuel Paty © Francois Mori/AP/SIPA Numéro de reportage: AP22504966_000016
Je croyais qu’on avait décidé de nommer les choses...
Un texte d’Ingrid Riocreux, spécialiste du langage médiatique
L’hommage national, c’est bien. Mais la plus belle manière d’honorer la mémoire de notre courageux collègue n’est-elle pas de faire en sorte qu’il ne soit pas mort pour rien? De tirer les leçons de son assassinat pour qu’il soit le seul et non le premier?