Pierre Debray : Maurras et le Fascisme (6/10)
Cette suite sera publiée du lundi 19 au vendredi 30 octobre (sauf le samedi 24 et le dimanche 25), et s'étalera donc sur deux semaines.
Aujourd'hui :
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Ça y est, l’enquête est bouclée, on a trouvé les coupables : les réseaux sociaux ! Gabriel Attal l’a dit sur BFM TV : « Les réseaux sociaux ont une responsabilité, on doit arriver à mieux les encadrer. »
Laetitia Avia, dont la loi a été retoquée par le Conseil constitutionnel, saute sur l’occasion, pour le marteler d’un ton revanchard (Le Parisien) : « Cette tragédie prouve que réguler les réseaux sociaux est nécessaire. »
Nous n’allons pas prendre plaisir dans la descente aux abimes de l’Islam moderne. Le voyage du « parler vrai » pour penser clair, n’est pas de tout repos. Pourtant il n’est pas d’autre chemin pour commencer d’interrompre le processus de la conquête musulmane. Reprenons donc le fil du récit islamique en France.
Patrick Jardin est le père de Nathalie, sauvagement assassinée au Bataclan, le 13 novembre 2015, lors de l'attaque islamiste. Dans son ouvrage "Pas devant les caméras", il pousse un cri de colère contre les barbares islamistes mais aussi contre la lâcheté des politiciens qui n'ont rien fait pour s’opposer à l'islamisation de la France. Les bien-pensants s'indigneront peut-être mais comment juger un homme qui a subi une si lourde perte et qui veut empêcher de nouvelles tragédies où disparaîtraient d'innocentes victimes comme sa fille ou, plus récemment Samuel Paty ? Patrick Jardin n'a plus rien à perdre...
Cette semaine une revue d'actualité entièrement consacrée à l'attentat de Conflans-Sainte-honorine.
Romain Bessonnet décrypte l'affaire Navalny.
Marion Maréchal. ALEX WONG/AFP
Le droit et la laïcité sont insuffisants pour lutter contre l’islamisme radical, estime l’ancienne députée (RN) du Vaucluse.
Voici donc la 267e victime de l’islamisme depuis 2012. Après les enfants, les militaires, les policiers égorgés devant leur petit garçon, les journalistes, les adolescentes à Marseille, le chef d’entreprise décapité, le curé dans son église, les innombrables victimes du Bataclan ou de Nice, c’est au tour du professeur.
Le général Lee, héros ambigu, va bientôt descendre de son piédestal. Est-on bien certain que les valeurs qu'on y hissera apporteront la paix ?
Il est la figure la plus symbolique de la Guerre de sécession. Lorsque débute le conflit opposant le Sud esclavagiste au Nord abolitionniste, le général Robert Edward Lee va rapidement prendre le commandement des armées confédérées, quinze états regroupés sous la Stainless Banner (« Bannière sans taches »). Une guerre civile de quatre ans qui se termine par la reddition du Sud à Appomatox, en avril 1865.
Sorti en librairie le 8 octobre dernier de cette nouvelle biographie « Le Régent. Philippe d’Orléans, l’héritier du Roi Soleil » par Alexandre Dupilet.
Alors que de nombreux pays européens prennent des mesures pour freiner la diffusion de la Covid-19, la France semble atteinte depuis quelques années par un autre virus : celui de la victimisation. Sournois, il se propage dans toutes les couches de la société sous l’action de super contaminateurs.