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Activités, Presse, Mouvement - Page 198

  • Pour en finir avec les dérapages de « La Provence »

    18 avril 2016

    La_Provence_(logo).jpg

    « La Provence » a publié cette information dans son édition d'hier lundi au matin.

    Cette fois-ci, plus de photos, plus d'idéologie, plus de phrases. Des faits.

    Après avoir relayé pendant des mois la propagande de l'ultragauche,  dite antifasciste, repris à son compte les formules, les accusations, et les insultes de cette dernière envers l'Action Française et les royalistes en vue de les interdire de parole et d'existence, au besoin par la violence, Laurent d'Ancona cosigne, pour La Provence un article où les casseurs, les violents, les auteurs d'une intrusion et de vandalisme chez autrui, encapuchonnés et gantés selon les riverains, au nombre d'une trentaine, actuellement recherchés par la Sûreté pour de tels délits, ce ne sont pas les militants d'Action Française mais ceux de l'extrême-gauche !

    Pour clore cette affaire, nous nous bornerons à dire qu'au bout du compte ni M. D'Ancona ni La Provence n'ont l'air bien malins !  LFAR

     

  • Marseille • Violences d'extrême-gauche : ça suffit !

    D'importantes forces de police déployées face à la gravité des menaces d'extrême gauche

    communiqué af.jpg

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE


    Dans la nuit du 16 au 17 avril, le local marseillais de l'Action française a de nouveau été pris pour cible et saccagé. Les portes ont été défoncées et l'intérieur largement dégradé. L'Action française Provence dénonce la lâcheté de ces actes, ainsi que la complicité de certains méedias, qui ironisaient il y a peu sur « les intimidations » dont nous nous serions crus les victimes.

    Une première tentative en milieu de journée, la teneur des graffitis qui recouvrent les murs (« Facho au goulag» ou encore « fachos au four »), et un tract pour la manifestation du 28 avril contre la Loi Travail laissé dans le local ne laissent aucun doute sur l'identité des assaillants et leur appartenance politique.

    Ce déchaînement de violence, ainsi que la référence aux plus sanglants totalitarismes, sont une preuve supplémentaire du sectarisme de l'extrême-gauche, de son intolérance et de son refus viscéral de l'altérité. Il y a tout lieu de penser que ces idiots utiles du capitalisme, qui n'ont rien à envier aux terroristes de Palmyre ou à ceux de 1793 sous le patronage desquels ils se placent (leurs slogans sont explicites : « Guillotine ! Guillotine ! ou Reviens, Robespierre, y a du boulot à faire ! »), ne s'arrêteront que lorsqu'ils auront obtenu notre mort sociale ou physique, comme permettent également de l'assurer la grenade quadrillée et les balles de pistolet et kalachnikov retrouvées devant ce même local en septembre dentier.

    En dépit des intimidations et des violences de ceux qui nous considèrent non pas comme des adversaires politiques mais des « ennemis » à éliminer, l'Action française Provence voit sa détermination renforcée. Pour que vive la France, vive le Roi !

    Le service presse

    A Marseille, le 17 avril 2016

    Contact : actionfrancaise.nresse@email.com

  • Marseille : Le rôle de « La Provence » dans le cadre des violences d'extrême-gauche

     

    D'un abonné de La Provence à son journal...

    par François DAVIN 

    Depuis quelques temps, il se passe des choses, à Marseille et dans ses environs, et La Provence en rend compte d'une façon qui me paraît pour le moins surprenante. Je veux parler de ce qui touche au mouvement des jeunes d'Action française Provence, dont les actes ont, jusqu'à aujourd'hui, été rapportés d'une façon systématiquement défavorable, notamment hier, dimanche 17 avril, en page 4, par Laurent d'Ancona.

    Il y a déjà eu deux ou trois articles sur le sujet; une question me vient à l'esprit : Laurent d'Ancona, et ceux ou celles qui ont écrit avant lui, sont, je pense, des journalistes. Pourquoi personne, à La Provence, n'a-t-il pris contact avec l'un ou l'autre de ces jeunes, pour avoir leur point de vue ? Déontologiquement - et même si c'est par la suite pour critiquer ou condamner ledit point de vue, il me semble que c'est là le b.a.-ba du journalisme, sérieux et honnête : donner la parole à chacun. Ensuite, le journaliste est libre de commenter, le lecteur de juger, mais au moins, on a entendu la partie dont on parle.

    Je propose donc à Laurent d'Ancona de me rencontrer, pour avoir certaines informations dont manifestement, me semble-t-il, il ne dispose pas. Pourquoi moi ? Parce que ce samedi 16 avril, je me trouvais au local d'Action française, où il m'avait été demandé de prononcer une conférence sur Marseille, « Ville sans nom », au temps de la période révolutionnaire. J'ai d'ailleurs décliné mon identité complète (nom, adresse, profession...) à celle - Commissaire de police - que Laurent d'Ancona appelle « une gradée », et qui a bien vu qui j'étais, et que j'étais vêtu tout à fait normalement, sans « casque » ni « brassard jaune » (qui ont frappé Laurent d'Ancona), que je me trouvais bien là où j'avais été annoncé, et que tout dans mon comportement relevait du pacifique et du calme.

    Pourquoi cette conférence, un samedi matin à 11h30 ? Parce qu'une provocation avait été montée par un groupuscule autoproclamé « Collectif antifasciste Marseille » : il s'agissait de venir pique-niquer devant le local, les débordements de la Nuit Debout à Paris permettant aisément d'imaginer les suites qu'une telle inconscience - de plus, en régime d'état d'urgence - permettait de prévoir. Le Préfet n'ayant pas jugé bon d'interdire cette provocation (et l'état d'urgence ?), les jeunes d'Action française ont donc simplement voulu défendre leur bien, et montrer que - pour l'instant du moins - les casseurs ne faisaient pas la loi à Marseille. Des casseurs qui - et d'ailleurs, cela, Laurent d'Ancona le dit d'un cœur léger - clament haut et fort leur filiation terroriste puisqu'ils scandaient "Guillotine ! guillotine !" ou un savoureux (!) "Reviens Robespierre, y'a du boulot à faire !" Au moins, les choses sont claires : on sait qui était en face de qui...

    Je peux témoigner que, de 10h30 à 14h15 (mon heure d'arrivée et de départ, comme celle des jeunes royalistes), je n'ai entendu de leur part aucun cri ou slogan condamnable; ils se sont contentés d'être là, pour éviter que leur local ne soit vandalisé (comme il devait l'être la nuit suivante, vers 3 - 4 heures du matin, la porte étant détruite et un nombre important de tags et d'insultes grossières (mais les terroristes, on le sait, ont l'habitude...) venant souiller nombre de murs des environs immédiats...

    Voilà où nous en sommes. Alors qu'en 2016 la France s'effondre sur elle-même avec ses six millions de chômeurs; ses huit millions et demi de pauvres et mal-logés (chiffre Fondation Abbé Pierre); ses plus de 1.500 « zones de non-droit » (!); son identité historique qui s'efface un peu plus chaque jour; un terrorisme islamiste qui frappe fort, où et quand il veut; le mépris quasi-généralisé des citoyens pour une classe politique quasi-généralement rejetée; ses 420.000 lois, décrets et règlements (se contredisant d'ailleurs parfois... ) qui découragent d'entreprendre; une expatriation inquiétante de ses jeunes et de ses seniors etc... etc... une bande de hurleurs haineux en appelle à Robespierre et prétend faire taire des jeunes qui n'ont pas la même conception de la vie qu'eux.

    Voilà deux ou trois choses - mais il y en a bien plus, en fait... - que j'aimerais dire à Laurent d'Ancona, s'il ne négligeait pas de dialoguer avec un abonné de son journal, présent rue Navarin au moment des faits qu'il relate, et qui pense qu'il y a mieux, et plus urgent à faire - au moment où la France va si mal - que de laisser la rue aux amoureux du terrorisme, nostalgiques de la guillotine; que de perdre son temps à ressasser des vieilleries (Pétain, à qui la Chambre du Front populaire a confié les pleins pouvoirs en 40 !); ou que n'avoir que l'accusation de « racisme » à la bouche, alors que Jules Ferry, encore Chef du gouvernement de la République quatre mois auparavant, déclara devant l'Assemblée le 28 juillet 1885 (propos transcris au Journal Officiel) :

    « Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures ... parce qu'il y a un devoir pour elles. Elles ont un devoir de civiliser les races inférieures... »

    Cordialement dédié, avec mon non moins cordial salut, aux antifas de samedi dernier ! 

    Voir aussi : 

    La Fédération Royaliste Provençale et les dérapages de « La Provence » [15.04.2016]

     

  • La Fédération Royaliste Provençale et les dérapages de « La Provence » ...

     

    Communiqué 

    Armoiries_Provvence-2_Anjou.jpg

    La Fédération Royaliste Provençale a publié le communiqué suivant :

     

    La_Provence_(logo).jpgDepuis décembre 2015, le quotidien régional La Provence poursuit une campagne de propagande de gauche et ultragauche où, à travers plusieurs articles, l'Action Française est l'objet d'accusations diffamatoires, d'amalgames déplacés, et de mises en cause infondées.  

    Il s’agit en fait d’articles de propagande socialiste et d'extrême gauche consécutifs à différentes interventions du jeune mouvement Action Française Provence lors de réunions publiques du PS et des Républicains. 

    La Provence se garde bien de faire état des raisons de ces interventions :  

    - Dans le cas du PS, il s’agissait de protester contre l'utilisation des locaux de Science Po Aix par ce parti politique et de lui rappeler le soupçon de corruption qui pèse sur nombre de ses élus en région PACA. Soupçon dont il convient de rappeler qu'il est très majoritairement partagé par la population et qu'il est une des causes de la fonte massive des effectifs du PS en région PACA aussi bien que de ses récents échecs électoraux, lesquels seront sans doute plus lourds encore lors des prochaines législatives. 

    - Dans le cas des Républicains, Action Française Provence a exposé avoir voulu relayer le mécontentement des Marseillais sur ce que la municipalité de droite fait de leur ville et qui leur paraît très négatif en différents domaines. 

    Plutôt que d'exposer ces motivations, les rédacteurs de La Provence, plus militants que journalistes, ont préféré diffamer l'Action Française en général et se livrer à son endroit à des amalgames de pure propagande. 

    Ainsi rappellerons-nous que l'AF n'a - et n'a jamais eu - aucune sympathie pour le nazisme – mais au contraire une radicale hostilité dès son apparition - ni d'accointance avec les groupuscules qui aujourd'hui encore pourraient s'en réclamer. De même, désigner l’Action française comme fasciste n’a aucun sens, ni historique, ni théorique.  

    L'AF n'est pas et n'a jamais été raciste. Elle a toujours combattu les théories racistes. 

    Sur un plan historique, l'AF n'a pas pris part à la politique dite de collaboration. Elle a été au contraire une cible privilégiée des partis collaborationnistes d'alors dont il faut rappeler que les chefs emblématiques venaient de la gauche ou extrême-gauche : Jacques Doriot (PCF), Marcel Déat (SFIO) etc. Faut-il encore rappeler à La Provence que d’août 1939 à juin 1941, le pacte germano-soviétique est en vigueur et que le PCF s’y conforme parfaitement ? Il y avait, en revanche, à cette époque, de nombreux membres de l’Action française autour du général De Gaulle et dans la Résistance. 

    Par ailleurs, l’Action française a combattu longtemps ce qu’elle estimait être une influence excessive de la communauté juive sur la vie politique, diplomatique et intellectuelle française. Elle ne l’a jamais fait d’un point de vue racial, même si, à l’instar de beaucoup d’autres, à droite ou à gauche, elle en a traité avec le style polémique, les mots et la véhémence du temps. Après-guerre, le général De Gaulle et François Mitterrand ont eu aussi à s’opposer en certains domaines, intérieurs ou extérieurs, à l’influence excessive de la communauté juive en France. Ils ont aussi été accusés d’antisémitisme … L’Action française d’aujourd’hui salue en deux intellectuels juifs une pensée qui leur est proche : Eric Zemmour et Alain Finkielkraut, l’un et l’autre âprement combattus par la gauche française et une partie de la droite … 

    12987004_865277930248967_4631017957674138250_n.jpgPour terminer, signalons que La Provence vient tout dernièrement de donner une certaine publicité, voire de justifier, une manifestation qu’organise l’ultragauche ce samedi 16 avril contre Action Française Provence, à Marseille, rue Navarin, petite rue de la ville où ce groupe a sa permanence. Il ne s’agit pas d’une grande artère marseillaise où d’ordinaire se déroulent les manifestations. L’intention provocatoire des organisateurs d’extrême gauche est donc évidente.  

    L’Action française – école de pensée active – n’est pas intéressée par ce type de confrontation avec des groupuscules d’extrême gauche aujourd’hui sans réelle importance politique dans le pays. Ses ambitions, ses interlocuteurs pour débattre de l’avenir français sont ailleurs.   

    Marseille, le 14 avril 2016 

  • Ce soir à Marseille : conférence d'Annie Laurent aux Réformés ... A ne pas manquer !

     

    1311268446.jpgLa paroisse Saint Vincent de Paul (les Réformés)

    vous propose dans leur église

    une conférence d'ANNIE LAURENT

    jeudi 14 AVRIL à 20 heures

    « Christianisme et Islam :

    Quel Dieu pour quel homme ? »

  • La dernière livraison de La nouvelle REVUE UNIVERSELLE Hiver 2016 ...

     

    Prenez connaissance du sommaire  détaillé de cette nouvelle et excellente livraison de la Revue universelle (ci-dessus). A lire absolument, à ne pas manquer.

    Commentaire relevé dans le blog :

    « Dans ce rayonnement d’intelligence qu’est le Revue Universelle, où l’on peut picorer au hasard, une mention spéciale à la contribution d’Antoine de Crémiers qui rend limpide une matière aussi hermétique et aride, que le finance internationale, et surtout la composition du tonneau de poudre sur lequel le monde est assis. Avec la même inconscience des dirigeants de la planète, que lorsqu’une banque comme UBS dut rayer 34 milliards USD de ses actifs en une semaine, en 2008. La mère de famille ne peut pas se permettre une telle erreur dans son budget. Ici les administrateurs de la banque avaient inscrit au fil des ans des actifs qui n’existaient pas … Un détail quoi … »

    Jean Louis FAURE, mercredi, 15 octobre 2014 

     

    Abonnements : La nouvelle revue universelle, 1 rue de Courcelles, 75008 PARIS - 4 numéros par an - Tarif :  m Normal, 1 an, 70 €  m Soutien, 1 an 100 €  m Normal, 2 ans, 130 € m Réduit, 1 an (étudiants, chômeurs) 40 €. Étranger et DOM-TOM : 77 €

     

    SOMMAIRE 

    S'abonner !

     

  • Marseille : conférence du Cercle Algérianiste jeudi 7 avril ... C'est ce soir !

     

    Hubert Ripoll.pngHubert Ripoll est né à Philippeville et est arrivé à Toulon, en 1962, à l’âge de quinze ans. Psychologue et professeur d’université, il étudie la psychologie de personnes exceptionnelles : sportifs, artistes, inventeurs, créateurs… « Puis un jour cela m’a pris, contre toute attente, alors que, depuis toujours, mes recherches m’avaient emporté ailleurs. Il m’a fallu refaire le chemin et pour cela comprendre. Seul, face à moi-même, la route était trop ardue, semée d’embûches. Il m’a fallu passer par d’autres, exilés comme moi. Trois générations : Celle de mon père, la mienne et celle de mes enfants. » Mémoire de là-bas a permis à un grand nombre de lecteurs de retrouver leur trace et de mettre leurs pas dans ceux des anciens. Le livre a été Lauréat du Prix politique de l’année 2012 de la fondation Edgar Faure et Prix Jean Pomier 2015 du cercle algérianiste.

    Hubert RIPOLL présentera Mémoire de là-bas Il nous entrainera au cœur de la mémoire de trois générations de pieds-noirs afin de comprendre comment s’est transmise notre histoire. Une unique occasion d’établir un dialogue, rarement abordé, entre les anciens et leur descendance.

    Plus de cinquante ans après notre exode, « Mémoire de là-bas » donne enfin les clés qui permettent de comprendre l’exil d’un pays qui n’existe plus et la transmission de la mémoire entre les générations.

    Hubert Ripoll dédicacera son livre à la suite de la conférence. 

    Information : La journée festive du Cercle algérianiste de Marseille se déroulera le Jeudi 19 Mai à BERRE l’ETANG dans une grande propriété privée avec MECHOUI au repas. Prix : 22€/personne – Rendez-vous sur place avec possibilité de co-voiturage.

  • Paris, ce soir • Conférence de Jean-Marie Le Méné : « Le grand marché de l’eugénisme »

    Les mardis de Politique magazine

    Conférence mardi 5 avril 2016

    Le grand marché de l’eugénisme

    par Jean-Marie Le Méné
    président de la Fondation Jérôme-Lejeune, auteur de Les premières victimes du transhumanisme (Pierre-Guillaume de Roux)

    Rendez-vous à partir de 19h00 - Conférence à 19h30 précises
    Participation aux frais : 10 euros -  Etudiants et chômeurs : 5 euros

    Salle Messiaen
    3, rue de la Trinité  75009 Paris  Métro: La Trinité, Saint-Lazare

    Renseignements : Politique magazine, 1 rue de Courcelles 75008 Paris - Tél. 01 42 57 43 22

  • Aix-en-Provence, ce mardi 5 avril, un café actualités à ne pas manquer !

    Consommations à commander et régler au bar en arrivant. Merci !

    Agrégée de lettres classiques, Danièle Masson écrit son premier livre "Sisyphe ou l'illusion d'optique" en 1.974. Elle y dénonce la déroute de l'intelligence et une crise du langage "Comme dans le roman d'Orwell, les artisans du mensonge siègent au ministère de la vérité".

    Par la suite, elle consacre en 1.980 un ouvrage aux nouveaux philosophes intitulé "Les saturnales de l'esprit". Puis en 1.989, elle rédige une biographie intellectuelle de Jean Madiran. En 1.993, elle rédige et présente les mémoires de Gustave Thibon et en 1.998 elle écrit un nouveau livre "Dieu est-il mort en occident ?". En 2.003, elle dirige une enquête sur "les nouveaux réactionnaires" avec la participation de Bernard Dumont, Marcel Gauchet, Alain Soral, Alain de Benoist, Maurice G. Dantec et quelques autres.

    Enfin, en 2.008, avec Emile Poulat, l'un des grands sociologues du fait religieux, elle publie "France chrétienne, France laîque". 

  • Politique magazine, numéro d'avril : « L’état de siège »

     

    Découvrez le numéro d'avril ! 

    L’état de siège 

    Dossier

    Pour tenter d’endiguer une vague migratoire qui ne fait que grossir, l’Europe se couvre de barbelés et de camps de réfugiés. Comment intégrer de tels volumes dans des pays dont les capacités d’accueil et d’intégration sont déjà saturées ? Existe-t-il des solutions politiques ?

    Politique magazine s’est rendu au cœur de la « jungle de Calais » pour cerner les contours de ce nouvel état de siège.

    Et aussi dans ce numéro…  54 pages d’actualité et de culture !

    Sommaire

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    ou s’abonner à Politique magazine

  • Bordeaux 31 mars : Conférence de Jean-Marie Le Méné sur le transhumanisme... C'est ce soir !

    Invitation

    Jean-Marie Le Méné

    président de la fondation Jérôme Lejeune

    Enjeux et dangers du transhumanisme  

    jeudi 31 Mars 2016 à 20h30 précises

    BORDEAUX Athénée municipal

    Place saint-Christoly

    Entrée libre

    La chosification du corps humain par un État qui se prend pour Dieu s'aggrave de façon terrifiante. Les dérives de la bioéthique et du transhumanisme ne sont pas seulement un problème d'ordre privé. Nous sommes là en présence d'un problème politique. Certains observateurs s'en inquiètent, comme le philosophe Fabrice Hadjadj ou le président de la fondation Lejeune, Jean-Marie Le Méné. Celui-ci vient de publier : « Les premières victimes du transhumanisme » aux éditions Pierre-Guillaume de Roux. Il sera à Bordeaux le 31 Mars. Nous vous invitons à venir l'écouter et à diffuser cette information autour de vous. Merci. B. Pascaud (Rencontres d'Amitiés françaises)

  • Toulon : Causerie du Café Histoire, mercredi 30 mars ... C'est ce soir !

     

    Cette troisième causerie 2016, sera animée par Alain Vignal, agrégé et docteur en histoire.

    Les Confréries de Pénitents sont des associations de laïcs catholiques apparues au Moyen-Age dans l'Europe latine pour répondre à des exigences de charité. Ayant souvent leurs propres chapelles et leurs obligations, elles sont une des multiples expressions de l'exigence de service au prochain contenue dans la religion chrétienne et peuvent être considérées comme une forme précoce de catholicisme social. Si beaucoup ont disparu à la Révolution ou au XXe siècle, certaines perdurent ou se sont reconstituées en Provence, comme les Pénitents noirs de Toulon. En quoi peut-on dire que ces Confréries représentent un catholicisme social original, discret mais toujours actif dans le monde d'aujourd'hui ?

    Le nouveau cycle de causeries est dorénavant organisé dans le cadre des activités culturelles de la paroisse Saint François de Paule. Les Missionnaires de la Miséricorde ouvrent les portes de leur Pub associatif Le Grall aux causeries du Café Histoire de Toulon, le dernier mercredi de chaque mois, d’octobre à juin et de septembre à décembre.

    Le Café Histoire de Toulon est un lieu d’échange et de convivialité pour transmettre les racines chrétiennes à travers la connaissance historique de l'identité de la France. 

    La mission des causeurs du Café Histoire de Toulon, professeurs d'Histoire, de Lettres, de Philosophie, de droit, essayistes de revues, conférenciers des Académies du Var, d'Aix en Provence et Niçoise, porte sur la transmission de l'héritage d'Athènes, Rome et Jérusalem à travers la connaissance de la culture et du patrimoine religieux français et plus particulièrement provençal et méditerranéen.  

    Le Grall, Pub associatif des missionnaires de la Miséricorde (adhésion 1 €)
    377 avenue de la République , 83000 Toulon
    La soirée pourra se poursuivre autour d’une pizza (Participation aux frais)
    Contact : cafehistoiredetoulon@gmail.com

    Café Histoire deToulon Programme 2016 des causeries du Grall

  • Décès d'Alain Decaux : selon lui, il y avait 26 millions de royalistes en France en 1788

    Alain Decaux et son épouse au mariage du prince Jean à Senlis en 2009

     

    A l'annonce du décès d'Alain Decaux, qui fut un bon serviteur de l'Histoire, en guise d'hommage, sans-doute celui qu'il nous revient de lui rendre, voici le texte complet d'un excellent article qu'il fit paraître il y a quelques vingt-cinq ans sous le titre : «26 millions de Royalistes. » Il s'agit du premier article d'une série de neuf, écrits chacun par une personnalité différente, et regroupés sous le titre global « Journal de l'Histoire 1788 ». L'ensemble a été publié dans Le Figaro du 13 juillet 1988 au 25 août 1988. Et dans Lafautearousseau le 14 septembre 2007, d'où nous le reprenons. LFAR   

           

    Le 13 juillet 1788, on le sait, un cataclysme tel que nul en France n'en avait gardé la mémoire accabla l'Ouest de la France: la grêle s'abattit partout avec une telle violence qu'elle anéantit la moisson. Fallait-il être grand clerc pour en déduire que le pain, en 1789, serait rare et que donc il serait cher. On n'avait vraiment pas besoin de cela, alors que surgissaient déjà tant de raisons d'inquiétude et non moins de sujets de mécontentement. Quelques temps plus tôt, un voyageur anglais, Arthur Young, agronome de profession et observateur d'instinct, notait: "Une opinion prévalait, c'est qu'on était à l'aurore d'une grande révolution dans le gouvernement." Vers la même époque, un des derniers ministres de Louis XVI, Calonne, avait, dans un rapport adressé au Roi, formulé un diagnostic plus sombre encore: "La France est un royaume très imparfait, très rempli d'abus et, tel qu'il est, impossible à gouverner." Une révolution imminente, un pays impossible à gouverner: pourquoi ?

    L'étrange de l'affaire est que, dans son ensemble, la France ne s'est jamais aussi bien portée. Oubliées, les épouvantables famines qui avaient désolé le règne de Louis XIV, celle de 1709 ayant à elle seule causé deux millions de morts. Éloignées, les grandes épidémies qui, au XVIII° siècle encore, avaient répandu la terreur. Qui plus est -et c'est peut-être l'élément capital- de 1715 à 1792 le territoire national n'a connu aucune invasion étrangère. Que découvre l'étranger qui, en 1788, parcourt la France? Un pays de 26 millions d'habitants -le plus peuplé d'Europe- dont l'opulence le frappe. Une nation en pleine expansion économique. Une agriculture de plus en plus prospère. Un commerce florissant. Paris est, pour le monde entier, l'incarnation d'une civilisation portée à son plus haut degré. Toute l'Europe parle français.

    Le problème, le vrai problème, est que, si la France est riche, l'Etat est ruiné. Du Roi jusqu'au plus humbles des citoyens, les français cherchent éperdument la solution d'une crise dont on sent qu'elle menace jusqu'à l'existence de la nation. Pour le Roi et ses conseillers, cette solution doit rester financière. Pour le plus grand nombre de français, elle ne peut que devenir politique.

    L'évidence des réformes.

    Le colossal déficit accumulé d'année en année depuis si longtemps ne pouvait être réduit à néant que par le vote de nouveaux impôts. Cependant seuls les États Généraux, élus par l'ensemble de la nation, pouvaient voter des impositions supplémentaires. Ils n'avaient pas été convoqués depuis 1614. Fallait-il les réunir ? Le poids total de l'impôt reposait sur le Tiers État. Le clergé et la noblesse en étaient dispensés. L'occasion se présentait d'une plus grande équité fiscale. Fallait-il la saisir ? Le siècle tout entier aspirait, non pas à une révolution mais à des réformes. Le premier, Montesquieu avait souhaité un état libéral. Rousseau avait exposé les principes idéaux d'une démocratie égalitaire. Avec son extraordinaire alacrité, Voltaire avait donné la priorité à la liberté individuelle et à la tolérance. Jamais des théoriciens n'avaient rencontré si prodigieux écho. Toute la France cultivée les avait lus. Pour une raison évidente: ils s'adressaient à des esprits préparés.  

    Depuis plusieurs décennies, la bourgeoisie avait mobilisé une grande partie de la fortune de la France. Elle ne pouvait et ne voulait plus accepter les privilèges réservés à la noblesse, par exemple celui, exorbitant, qui, depuis 1781, accordait aux seuls nobles le droit de devenir officier. Non seulement elle les trouvait injustes mais humiliants. Qui dira la part des humiliations dans la naissance des révolutions ? Les paysans, dans leur majorité, étaient devenus propriétaires de leurs domaines. Mais ils devaient toujours au seigneur dont dépendait autrefois leur terre une incroyable quantité -jusqu'à 70% de leur revenu- de droits en nature ou en argent. Si la bourgeoisie enrageait, la paysannerie gémissait. Les cahiers de doléances qui devaient précéder la convocation des États Généraux allaient unanimement réclamer l'égalité devant l'impôt, l'égalité civile, l'accès aux emplois selon le mérite et non selon la naissance, l'accès de tous aux grades militaires. Tout ce qui pour nous est aujourd'hui la règle. Tout ce qui restait alors à conquérir.

    Demain les États Généraux.

    Comme tout est allé vite! L'année 1788 s'ouvre, le 4 janvier, par un réquisitoire du Parlement contre les lettres de cachet qui permettent, sans jugement et par simple décision royale, de faire arrêter les citoyens. Soutenus par l'opinion, les parlementaires vont plus loin: ils réclament la liberté individuelle comme un droit fondamental. Le 3 mai, le Parlement affirme que le vote des impôts appartient aux États Généraux. En mai et juin, le Parlement de Grenoble entre en rébellion contre l'autorité royale. Le 11 juin, des émeutes éclatent à Dijon et à Toulouse. Le 14 juin, Grenoble réclame la convocation des États Généraux. Le 19 juin, Pau s'enflamme. Le 21 juillet, à Vizille, cinquante ecclésiastiques, cent soixante cinq nobles, deux cent soixante seize membres du Tiers État réclament les Etats Généraux.

    Le 8 août, Louis XVI capitule : les États Généraux seront convoqués pour le 1° mai 1789. Le 16 août, l'État doit suspendre ses paiements. C'est la banqueroute. D'évidence, ceci explique cela. Le 26 août 1788, le Roi rappelle Necker. Le retour aux affaires de ce grand bourgeois, suisse, protestant et libéral, fait croire à un peuple enthousiaste que la France est sauvée. Au début de novembre, une société de pensée qui réunit La Fayette, Mirabeau, Sieyès, Condorcet, Talleyrand, réclame que le nombre des députés du Tiers État soit doublé par rapport à ceux de la noblesse et du clergé. Elle demande que les votes, aux États Généraux, soient comptés par tête et non par ordre. Elle revendique -voilà qui est nouveau- un gouvernement représentatif. Le 27 décembre, Necker accepte le doublement du Tiers.

    Ainsi s'achève l'année 1788. Une immense gratitude monte vers le Roi Louis XVI en qui l'on voit le restaurateur des libertés. Il n'y a pas un seul républicain en France. "Nous sommes nés pour chercher le bonheur", écrit Madame Roland. Il n'est, pour préoccuper les esprits pessimistes, que cette catastrophe climatique qui a anéanti la moisson. Les optimistes répondent que dans un an on n'en parlera plus.

    Dans un an, le 13 juillet 1789... A.D. 

  • Nantes, aujourd'hui lundi 28 mars : Commémoration de l'exécution de Charette, fusillé le mardi 29 mars 1796

     

    Le Souvenir Chouan de Bretagne rendra hommage au Chevalier François Athanase Charette de La Contrie, fusillé à Nantes le mardi de Pâques 29 mars 1796, le lundi de Pâques 28 mars, soit 220 ans après, à un jour près.

    10 H 30 Messe en l'église Saint Clément de Nantes,

    11 H 45 Dépôt d'une gerbe sur le lieu de l'exécution place Viarme, place des Agriculteurs à l'époque,

    12 H 30 (vers) Déjeuner à la Taverne du Château

    14 H 30 Place du Bouffay,

    Ensuite le lieu de l'inhumation près de la route de Rennes.

    Vous pouvez vous inscrire en répondant à ce Mél.

    Contact & inscriptions : ICI

    Souvenir Chouan de Bretagne

    http://souvenirchouandebretagne.over-blog.com/2016/03/et-pourquoi-pas.html

  • Action française • Présence de Gérard de Gubernatis, gentilhomme et patriote

     

    Les obsèques de Gérard de Gubernatis ont été célébrées le lundi 14 mars à Nice. Nous les avons évoquées le lendemain ici-même. [Les obsèques d'un gentilhomme et d'un patriote].

     

    109639185_o.jpgUne dizaine de jours se sont passés et nous voudrions rappeler aujourd'hui la mémoire de Gérard de Gubernatis de deux façons : en reprenant le message adressé, le jour de ses obsèques, à sa famille et à tous les nombreux présents, par le prince Jean de France. Message dont Jean Sévillia a donné lecture. Et en publiant à la suite le texte de l'intervention de Pierre de Meuse, en la cathédrale de Nice, lors de la cérémonie. 

     

    Message de S.A.R. le prince Jean de France

    De Gubernatis G (003).jpg

    Domaine Royal de Dreux, le 12 mars 2016 

     

    david-niviere5.jpgChers Amis,

    Je ne connaissais pas le Bâtonnier Gérard de Gubernatis aussi bien que beaucoup d’entre vous.

    Je l’avais croisé à plusieurs occasions et il m’avait reçu en famille, chez lui dans l’arrière pays, lors d’un de mes déplacements à Nice. Je garde de cette rencontre plus intime un beau souvenir.

    Mes pensées vont d’abord à l’ensemble de sa famille, dont je connais certains à qui j’ai pu exprimer de vive voix mes condoléances et qui se feront mes interprètes auprès de vous, à ses proches et amis et aux défenseurs de la cause royale, incarnée par la Maison de France, à laquelle il était si attaché.

    J’aurais souhaité être présent, mais ce n’était pas possible, je le regrette.

    Soyez assurés de mes pensées et de mes prières en ces moments particulièrement douloureux.

    Avec mes sentiments attristés.

    De Gubernatis G (003) v.jpg

    L'Intervention de Pierre de Meuse 

     

    109639187_o.jpgMa tâche est aujourd'hui de témoigner pour tous ceux qui, dans cette assistance, ont partagé les engagements de Gérard de Gubernatis durant sa longue vie. Royalistes, nationalistes, patriotes, venus de toutes parts, et au premier rang desquels je salue Mgr le Prince Sixte Henri de Bourbon-Parme. Je remercie également Mgr le Prince Jean, Duc de Vendôme, qui, ne pouvant se déplacer a envoyé un message amical et réconfortant. De même je salue le Président Le Pen, ami de toujours sur le plan personnel comme sur le plan politique de notre cher défunt.  

    Car si Gérard de Gubernatis fut un grand avocat et un père exemplaire, il n'a jamais renoncé, jusqu'à son dernier souffle, à défendre ses convictions avec tout son talent et toute sa liberté. Certes, il savait que ses combats n'étaient pas toujours à la mode. Il savait même que le succès pouvait n'être pas au rendez-vous, au moins à vue humaine. S'il a défendu avec fidélité la mémoire du Maréchal Pétain, il se doutait que des années seraient nécessaires pour que l'Histoire lui rendît justice. En ce qui concerne l'Algérie française, elle n'est plus qu'un souvenir. Quant au rétablissement de la monarchie traditionnelle, il n'est pas encore sur le point de se réaliser. Mais Gérard de Gubernatis, qui a formé des générations de militants, dont je suis, nous avait appris que l'échec devait rendre plus fort celui que le subissait et non le laisser à terre. Maxime de raison et maxime d'éthique. Nous continuerons donc à poursuivre l'oeuvre commune. Puisqu'il nous a quittés, qu'il me soit permis de lui adresser ce message: « Gérard, tu fus un brillant avocat et un grand orateur. Plaide notre cause auprès du Tribunal de Dieu. Demande que la Victoire - la Victoire Aptère, celle qui ne s'enfuit jamais - descende sur nous et y reste pour de bon ».