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  • Au cinéma : Pas de vagues, par Guilhem de Tarlé

    Pas de vagues - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Pas de vagues, un film français de Teddy Lussi-Modeste, avec François Civil  (Julien), d’après l’histoire vécue par le réalisateur quand il était professeur en collège.

    « Donc, si vous me croyez, mignonne,

    Tandis que votre âge fleuronne

    En sa plus verte nouveauté,

    Cueillez, cueillez votre jeunesse ».

     

    Ne me faites pas dire ce que je n’écris pas, mais permettez-moi de poser d’abord la question de l’enseignement de Ronsard, et de bien des choses, à des classes où siègent côte à côte des enfants qui deviennent des toutes jeunes filles, et des garçons qui approchent de l’adolescence. C’est certainement la première difficulté à laquelle s’est heurté Julien, aggravée par une mixité de culture, de mœurs et de religions. L’amour courtois ne relève-t-il pas de l’identité de la France ?

    Dans un contexte politiquement très correct le réalisateur nous  raconte le calvaire d’un enseignant face à une classe très majoritairement d’origine africaine - qui ne sait pas qu’il a un amant - sous la pression de trois collégiennes « de souche » dont l’une d’elles l’accuse de harcèlement.

    Le titre Pas de vagues montre suffisamment le déni que le réalisateur dénonce… mais, après tout, ces enseignants n’ont-ils pas leur part de responsabilité dans la situation qu’ils subissent, eux qui affirmaient que l’immigration était « une chance pour la France », et faisaient cours en arborant un badge « touche pas à mon pote » ?

    Malgré les réserves dommageables que j’évoquais ci-dessus, je ne peux que recommander cette réalisation qui nous plonge dans l’enfer concocté par une classe politique qui, plutôt que de l’écouter, à voué aux gémonies un véritable lanceur d’alerte dont la fille n’est qu’un pâle reflet.

    Après l’ « hirsutisme » de Rosalie, j’ai eu, en outre, le plaisir d’enrichir à nouveau mon vocabulaire mais, n’en déplaise au réalisateur,  je constate que l’ « astéisme » ne figure pas au Dictionnaire de l’Académie française.

    Ajoutons pour conclure que ce docufiction devrait être présenté et commenté aux apprentis enseignants car il pointe du doigt les fautes à ne pas commettre…

    Le professeur n’est pas le « copain » des enfants qu’il doit instruire ; il n’appuie pas une démonstration sur telle caractéristique de telle ou tel élève qui n’osera pas répliquer ; il ne privilégiera pas un groupe  – fussent-ils les meilleurs – dans une invitation privative qui n’émulera pas les autres mais au contraire créera une scission dans sa classe.

    Seule la notation des devoirs doit sélectionner les élèves. Je sais la ringardise de ces « notes » et de cette « sélection », mais j’assume.
    Mai 68 a démoli l’autorité des professeurs et, dans son élan, Edgar Faure, ministre de l’Éducation nationale a supprimé les estrades. Julien en est une victime.

    il est grand temps de remettre profs et élèves chacun à leur place, contrairement à ce que nous chantions à la veille des grandes vacances :

    « les cahiers au feu

    Et le professeur au milieu ».

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

     

    L'ignorance crasse de monsieur Haziza, qui "ne sait pas" mais qui "parle quand même". Pour proférer soit une erreur, soit un mensonge : au choix...

    À propos de "l'affaire Glucksmann" (chassé de la manif du premier mai par les terroristes de l'extrême-gauche), Haziza s'en prend à Maurras, et se retrouve - on vient de le dire - soit dans l'erreur soit dans le mensonge (ndlr : entre parenthèse, il y a deux "r" à Maurras, monsieur Haziza, mais ce n'est, évidemment, pas le plus important !...).

    Voici ce qu'il déclare (sur RadioJ), et qu'il résume (sur tweeter) :

    • (extrait vidéo 2'39) 

    https://x.com/frhaz/status/1787037944039067690

    • sur tweeter :

    "L’agression de @rglucks1 le 1er mai, c’est un moment grave. C’est un moment qui me rappelle l’agression de Léon Blum dans les années 30. C’est pas Mauras, c’est l’extrême gauche. Mais c’est la même chose. En tant qu’homme de gauche, je suis scandalisé ce cette violence de Ligue, de cagoulards qui n’a rien à faire dans un parti de gauche. Dans la mesure où #Glucksmann reçoit des insultes antijuives depuis des mois, dans la mesure où il a appelé depuis le début à l’arrêt de l’opération israélienne, on ne peut pas être plus pro-palestinien que Glucksmann, donc ce qu’on lui reproche c’est d’avoir un nom juif. Je ne vois pas autre chose. Je trouve ahurissant tous les @FranceInsoumise au garde-à-vous qui disent, ce n'est pas nous alors que tous les gens qui ont agressé Glucksmann avaient des autocollants #LFI. Au moins Charles Mauras, il assumait. Au moins, Charles Mauras, quand il a envoyé lyncher Blum, il a ensuite continué à appeler envoyer lyncher Blum et il a fait de la prison".

    Ouf !

    Tant d'erreurs (ou de mensonges) en si peu de lignes, cela fait beaucoup !

    Nous allons demander pardon au lecteur de répondre d'une façon aussi "mastoque" à ces erreurs ou à ces mensonges, mais nous lançons un défi à monsieur Haziza, et à tout le monde : si on vous la propose, lirez-vous la vérité sur cette "affaire", qui n'est pas du tout que "Mauras" (sic !) ait "envoyé lincher Blum" ? Aurez-vous ce courage, cette honnêteté intellectuelle ?...

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    Allons-y ! En réalité, que s'est-il donc passé ? Ceci : nous sommes en févier 1936. Jacques Bainville, membre du "trio de tête" de l'Action française, et le plus grand historien de tous les temps, vient de mourir, le samedi 9. On l'enterre le jeudi 13. Ce jour-là, Blum organise une misérable machination/provocation : il ne peut ignorer qu'une foule impressionnante se trouve dans la zone du Boulevard Saint-Germain : il y fait passer volontairement sa voiture, et veut "couper" le cortège : tout le monde n'a pas le respect des morts ! Et cet acte insensé s'apparent à un sacrilège... Blum se fait injurier par la foule, et des gens - mais pas de l'Action française - se mettent à s'agiter. Et, monsieur Haziza, ce sont justement les Camelots du Roi, emmenés entre autres par Pierre Juhel, qui vont libérer et sauver Blum, peut-être pas d'un lynchage en règle mais sûrement d'un mauvais pas, dans lequel sa misérable machination/provocation l'a conduit : il voulait, en fait, avoir un prétexte pour dissoudre la Ligue d'Action française, et ce prétexte, maintenant, il l'a, avec sa sordide et lamentable provocation...

    Voilà la simple et misérable vérité, monsieur Haziza.

    Maintenant, voici notre défi, lancé à vous-même et à tout le monde : nous racontons cette "semaine tragique" - qui a vu la mort de Bainville et la dissolution de la Ligue d'Action française - dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française"; il y a huit "grandes Une" en tout, pour comprendre la totalité de "l'histoire" (ce qui fait neuf livraisons au total, puisque l'une est en deux parties : celle qui raconte justement l'incident des obsèques). Aurez-vous le courage, la patience et - surtout - l'honnêteté intellectuelle de les lire ? Fût-ce en prenant votre temps, et en lisant, par exemple, l'ensemble en plusieurs fois ?

    Le défi est lancé : à vous - à tous - d'y répondre, ou pas...

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    • La semaine tragique : mort  de Bainville...

    • numéro du Lundi 10 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (1/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Mardi 11 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (2/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du mercredi 12 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (3/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Jeudi 13 Février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (4/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Vendredi 14 février 1936 (1/2) :

    Grandes "Une" de L'Action française (5/8 - 1/2) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Vendredi 14 février 1936 (2/2) :

    Grandes "Une" de L'Action française (5/8 - 2/2) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Samedi 15 février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (6/8) : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Dimanche 16 février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française : Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique (7/8) : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

    • numéro du Lundi 17 février 1936 :

    Grandes "Une" de L'Action française (8/8): Du 10 au 17 février 36, la semaine tragique : mort de Bainville, misérable machination de Blum, dissolution de la Ligue d'Action française...

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Guillaume Bigot a raison (chez Christine Kelly, dans Face à l'info) :
     
    " À Sciences-Po, la palestinisation des esprits cache l’américanisation des islamo-wokistes..."
     
    (extrait vidéo 2'00)
     
     
    SCIENCES PO, SOROS et WOKISME

     

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  • Au cinéma, pour un film tout à fait d'actualité : Amal, un esprit libre, par Guilhem de Tarlé...

    Amal - Un esprit libre - Film 2023 - AlloCiné

     

    Prix du Public au Festival du film politique de Carcassonne : Amal – un esprit libre, un film belge de Jawad Rhalib, avec Lubna Azabal (dans le rôle titre), Fabrizio Ronglone (Nabil, le professeur d’Islam) et Catherine Salée (la Directrice du lycée).

    « Va, et ne pèche plus ».

    C’est la sentence de Jésus à la femme adultère. Le christianisme distingue le pécheur et le péché, il pardonne au premier et condamne le second, tandis que la religion musulmane condamnerait le pécheur avec le péché, et le réalisateur impute à l’Islamisme – qu’il oppose sur ce point à l’Islam - l’obligation pour le « fidèle » de punir lui-même le « mécréant ». Etant, moi-même, un « infidèle », je n’ai aucun titre pour émettre un avis sur cette opposition Islam-Islamisme, et je veux bien admettre que le musulman Jawad Rhalib sait de quoi il parle.

    Le film peut donc ainsi commencer sur l’image d’une jeune fille tuméfiée, « punie » pour son homosexualité.
    En revanche je conteste, moi aussi, le droit que s’arroge Amal de prétendre inculquer le « vivre ensemble » en enseignant à ses élèves un poème dont on comprend qu’il promeut l’homosexualité. Certes la lutte est légitime, et même vitale, contre la violence totalitaire de ceux qui veulent nous imposer la charia, elle ne doit donc pas laisser entrer dans nos écoles la police des mœurs islamiste, mais elle ne doit pas non plus laisser s’y infiltrer les milices LGBT.
    Amal est peut-être un esprit libre… mais la liberté, comme on l’a dit, et particulièrement celle d’un professeur, consiste à enseigner que 2+2 font 4, et non pas  la transgression de la loi naturelle.

    Sous cette réserve, ce long-métrage a raison de s’insurger contre le grand-remplacement de nos mœurs, de notre culture et de notre identité, sans oublier qu’elles sont judéo-chrétiennes, avec ce que cela comporte. Je m’interroge néanmoins sur la bonne foi du cinéaste qui ne cesse, sur YouTube, de craindre la « récupération par l’extrême droite »… N’est-ce pas, pourtant, cette même « extrême droite » qui la première, il y a quarante ans déjà, a voulu s’élever contre la politique d’immigration dont l’emprise islamiste qu’il dénonce est le fruit amer ?

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Aymeric Caron, député du groupe des "revenants de la section des piques de 1793" estime que c'est une honte que d'être Français.

    Avec - comme disait Coluche... -  la mine "pas tibulaire, mais presque" qui est, si souvent, la sienne, il a en effet éructé que les soi-disant étudiants/en réalité vrais terroristes, qui faisaient les marioles à Sciences Po étaient l'honneur de la France (sic !!!!); et même, a-t-il rajouté (comme si ce n'était pas assez) : "on peut être fier d'être Espagnol ou Irlandais mais c'est une honte d'être Français..."

    Rien que ça !

    Pour nous, ce qui est une véritable honte c'est qu'un énergumène pareil soit député ! Amaury Brelet, Rédacteur en chef de Valeurs actuelles lui a bien répondu :

    https://video-streaming.orange.fr/actu-politique/amaury-brelet-contrairement-a-ce-que-dit-aymeric-caron-ces-etudiants-sont-la-honte-de-la-france-CNT000002dLGh4.html

     

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  • Au cinéma : Rosalie, par Guilhem de Tarlé

    Rosalie - Film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Rosalie, un film franco-belge de Stéphanie Di Giusto, avec Benoît Magimel et Nadia Tereszkiewicz (Abel et son épouse Rosalie), et Benjamin Biolay (Barcelin).

    « Ah quel plaisir d'avoir une belle barbouse et d's'en servir »

                                                   (Ouverture du Barbier de Séville)

    Rosalie… ce film aura au moins eu un atout, celui de me faire découvrir que les femmes à barbe , ça existe, et que cette pathologie s’appelle l’hirsutisme.

    Mes frères et sœurs se souviennent d’une amie qui disait souvent « faudra qu’j’enlève tout ça… ».  Avait-elle du poil au menton ?

    La réalisation est inspirée de l’histoire vraie d’une certaine Clémentine Delait qui, dans les années 1900, tenait un débit de boissons dans les Vosges. Si on rêve de voir de jolies filles et des pin-up au cinéma, mieux vaut fuir cette production dont le petit porno n’a rien d’érotique.

    Le réalisateur et les acteurs prétendent qu’il s’agit d’une histoire d’amour…
    Pour moi il s’agit plutôt de l’histoire d’un mari trompé… trompé sur la marchandise.

    Les trois premiers quarts se laissent voir avec intérêt mais, une fois encore, la dernière demi-heure est de trop pour faire un bon film.

    J’ai parfaitement admis que Rosalie s’affiche barbue dans son bar, mais une fois l’effet de surprise atteint et la clientèle acquise, j’ai trouvé son attitude malsaine de ne pas se raser. Abel a manqué de virilité de ne pas lui dire : c’est ou ta barbe, ou moi !

    Mon épouse est moins sévère que moi, et c’est peut-être une réaction purement masculine de trouver que cette œuvre manque de féminité.
    Bref, à la fin je me suis barbé

    Rosalie se passera de ma déclaration d’amour, en ce mois d’avril où d’autres – barbus ? – réclament nos déclarations.

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  • À Quimper, le 5 Mai...

     Nous invitons tous les amis de #FeizeBreizh

    à se joindre aux fidèles du @diocese29 

    de Quimper et Léon

    qui se réuniront le dimanche 5 mai à 15h00,

    place de la Tour d’Auvergne.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le scandale de l'électricité continue de plus belle : le gouvernement défigure nos paysages à coups d'éoliennes qui saccagent tout (paysages, sols, oiseaux, vie des riverains...) et transforme des zones entières en monstrueux "paysages photovoltaïques" alors que ce double saccage, qui nous coûte énormément d'argent est absolument inutile, puisque nous avons le nucléaire.

    La preuve (ou, plutôt, une preuve supplémentaire) ? À cause du trop-plein d’électricité, "on" a décrété 100 jours d’arrêt forcé à la centrale de Cattenom !

    Eh, oui ! la France produit trop d’électricité ce printemps ! EDF a donc demandé à la centrale nucléaire de Cattenom de stopper son réacteur n° 1 pour une durée de 100 jours. La déconnexion est attendue pour la fin de semaine du 4 mai : de l’inédit sur le parc français.
    Ainsi donc, notre Système de folie et en folie saccage notre pays, à coup de soi-disant "éolien" et "solaire", et surtout à coup de milliards, qui seraient bien mieux employés ailleurs, puisque tous les secteurs manquent d'argent, partout, en France, à l'heure actuelle : de la Santé à l'Armée, en passant par l'ensemble des infrastructures du pays...
    Le prochain rechargement de combustible de l’unité 1 est désormais calé en mars 2025. D’ici là, il faut économiser le carburant du réacteur.  Photo Philippe Neu

     

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  • Il y a quinze ans...

    Il y a 15 ans, Monseigneur le comte de Paris et Madame la comtesse de Paris se mariaient en la cathédrale de Senlis.
    En ce jour anniversaire, ils souhaitent remercier tous ceux qui les ont toujours soutenus dans leurs engagements et leur vie de famille.
     
    Peut être une image de 2 personnes et personnes souriantes

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

     En 2022, Le Caire a fait connaître à Paris et à NavalGroup son intention d'acquérir 4 à 6 sous-marins Barracuda à propulsion conventionnelle. Pour l'heure, l'Égypte n'aurait pas les moyens de s'offrir de tels bateaux mais peut-être en 2026...

    Le groupe naval français participe actuellement à 13 campagnes actives à l'exportation dans le domaine des sous-marins. Et il a déjà été sélectionné par l'Inde, l'Indonésie et les Pays-Bas.

    Pologne, Roumanie, Maroc, Égypte, Philippines, Brésil, Argentine, Pérou, Colombie, Chili : ce sont donc bien 13 campagnes à l'exportation pour Naval Group dans le domaine des sous-marins. Treize campagnes qui sont bien sûr à des stades de maturité très différents et où la concurrence sera très rude dans certains pays, comme la Pologne.

    Et on se souvient du coup tordu de nos excellents ennemis anglo-saxons dans "l'affaire des sous marins australiens"...

    Mais ce nombre de piste sérieuses est complètement inédit dans l'histoire du groupe naval français, qui a d'ailleurs décidé d'investir dans de nouvelles capacités industrielles dédiées à ces marchés export. Il va construire à Cherbourg deux nouvelles nefs, qui sont des halls consacrés à l'assemblage final de ces sous-marins à propulsion conventionnelle...

    Disposer d'une flotte de sous-marins crée pour l'ennemi potentiel une incertitude sur le positionnement de ce système d'armes invisible et capable de protéger de vastes zones.

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Les déboires de la "liste Macron" aux européennes, dans l'édito politique et cynique - au sens premier du terme - de Vincent Trémolet de Villers :

    "Emmanuel Macron qui était le moteur du bloc central est en train d'en devenir le boulet...

    ..."Le vote Macron est moins fondé sur les convictions ou l’affect que sur l'envie d'un vote gagnant, valorisant socialement. Si les courbes se croisent avec @rglucks1, si la baisse de la majorité se poursuit, la France qui gagne s’éloignera de plus en plus de la liste de la loose..."

    (extrait vidéo 4'17)

    https://x.com/vtremolet/status/1785571818662723943

     

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  • Au cinéma : La Promesse verte, par Guilhem de Tarlé

    La Promesse verte - Film 2024 - AlloCiné

     

    A l’affiche : La Promesse verte, un film français d’Edouard Bergeon, avec Alexandra Lamy et Félix Moati (Carole Landreau et son fils Martin).

    La Promesse verte… C’est quoi ?

    Celle de Saint-Etienne… « Allez les Verts » ?

    Celle de l’Islam ?
    Celle des Ecolos ?

    Ou encore la vertu théologale de l’Espérance ?

    En tout cas, la Promesse d’un bon film malgré un début…  « un mois avant »… un peu laborieux

     

    Nous avions beaucoup aimé en 2019 un précédent long-métrage de ce réalisateur, Au nom de la terre, qui raconte le drame de l’industrialisation de l’agriculture et rend hommage à son fermier de père qui s’est suicidé. De même on dit que cette Promesse verte est un hommage rendu à sa mère. Alexandra Lamy raconte que Martin Landreau « veut sauver la planète, tandis que Carole veut sauver son fils ».

    Cette réalisation dénonce la déforestation dont sont coupables les lobbies industriels avec la complicité et la corruption des gouvernements, des politiques et des élites, et le massacre des autochtones qui défendent leurs terres. En l’occurrence il s’agit de la fabrication et de l’importation d’huile de palme et de la concurrence déloyale faite aux agriculteurs français.

    Ces « artivistes », comme ils se désignent nous demandent de participer à ce combat légitime en étant des « consoma’cteurs ». Ils ont, sur ce point, évidemment raison, mais ils me font sourire –jaune- quand je pense que ce sont les mêmes qui nous injuriaient quand nous défendions la « Préférence nationale ». Le Pen – le père – ne disait-il pas « consommons français produit par des Français » ?

    Cette Promesse est aussi une charge contre le gouvernement indonésien, dont je ne sais rien mais que j’approuve, à l’image de la dame derrière son bar, quand il pratique contre la drogue, ses trafiquants et ses revendeurs, une lutte sans merci. Sans doute ceci explique cela.

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  • Du muguet pour tous, et Vive Charles IX !

    En ce jour du premier Mai, lafautearousseau offre à tous ses lecteurs, amis, sympathisants... quelques brins de cette jolie fleur, en se souvenant que cette tradition remonte à 1561 et au roi Charles IX, qui en fut l'inventeur !

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    Galant homme, dans ces temps troublés et souvent sinistres, Le roi Charles IX offre un brin de muguet à toutes les dames de la Cour, et souhaite qu'il en soit dorénavant ainsi à chaque premier mai.....

    Charles IX, qui n'est pas le roi le plus connu du grand public - ni celui qui a eu le règne le plus facile !...- se trouve être, ainsi, à l'origine de trois des habitudes sociales les plus répandues aujourd'hui dans la société, cinq siècles après son règne :

    • le début de l'année au Premier janvier (décision notifiée par l'Édit de Roussillon)...

    Charles IX, le roi qui a fait du 1er janvier le Jour de l'An partout en  France - Le Parisien

    • ... et donc les plaisanteries du premier avril (période vers laquelle commençait l'année, avant l'uniformisation de l'Édit de Roussillon : voir notre Éphéméride du 9 août...
    • ainsi que "le muguet du premier mai"...

     

    Bouquet Muguet – Fleurs-Nicolas

     

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     
    RÉPUGNANT  ! 
     
    La mère afghane reconnaît "avoir porté des coups" à Matisse en train de mourir, et le Juge (?) la laisse rentrer chez elle ! Mais, attention : elle n'a pas le droit de quitter l'Indre !
     
    (extrait vidéo 1'17)
     
     
    D'accord avec Goldnadel : "On croit avoir touché le fond. On s’enfonce encore dans les tréfonds des bas fonds..."  
     
    QUI JUGERA CES JUGES POURRIS ?
     

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    (Source : BFM/TV)

    L'une des multiples conséquences de la désastreuse politique d'invasion menée depuis les scélérats "décrets Chirac" de 75/76 ("regroupement familial", qu'il disait !...) : ces villes que plus aucune Assurance ne veut... assurer !

    Là, on parle de Denain, qui n'est plus assurée depuis ce premier Janvier 2024, mais on sait que les Maires de Nanterre, Montargis, Angoulême, Maubeuge et bien d'autres villes encore connaissent des difficultés à maintenir - ou retrouver - des Assureurs... :

    VILLES LÂCHÉES PAR LES ASSUREURS

     

    Le Sénat a établi le bilan des émeutes de juin 2023 : un milliard d’euros de dommages, 793 millions d’euros de sinistres, un millier de blessés, 2.508 bâtiments dont 273 bâtiments des forces de l’ordre, 105 mairies et 273 écoles incendiés ou dégradés...

     

    PAR QUI ?

     

     

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