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  • Grandes "Une" de L'Action française : Janvier/Février 1910, dans Paris inondé, les Camelots du Roi au secours des sinistrés... (2)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

    Voici la "Une" du Vendredi 21 Janvier 1910 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7567887

    Comme la veille, pas grand chose sur la "Une", si ce n'est ces quelques lignes dans la rubrique "Dernière heure", elle-même en plein milieu des deux colonnes centrales : on ne parle plus, cette fois, du "mauvais temps" et "à l'étranger", mais bien des "inondations" et en France (Besançon, la Marne, Châlons...) :

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    Les nouvelle se poursuivent en page trois (bas de la quatrième colonne, intégralité de la cinquième et partie supérieur de la sixième), dans une sorte de répertoire des mauvaises nouvelles, et reprenant le titre de la veille :

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  • Au cinéma : L'innocence, par Guilhem de Tarlé

    L'Innocence - film 2023 - AlloCiné

     

    Cannes 2023 : L’Innocence, un film japonais de Hirokazu Kore-Eda

    L’Innocence… ce très long (2h06) et ennuyeux métrage a obtenu le « prix du scénario » au Festival de Cannes, et mon épouse ponctue : « le prix du scénario compliqué » !
    Nous n’y avons rien compris, et je ne peux donc pas en écrire plus avant, sauf à préciser que son titre original est Monstre, et qu’effectivement je m’y suis très vite monstrueusement ennuyé.
    il paraît qu’il porte sur le harcèlement scolaire… peut-être…
    Dieu me garde en tout cas de vous harceler en prolongeant ces quelques lignes.
    C’est, pour conclure, mon 8ème Kore-Eda, dont cinq que j’aurais pu, au mieux, ne pas voir.

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  • Éphéméride du 21 janvier

    21 janvier 1793, "l'acte le plus terriblement religieux de notre Histoire" (Prosper de Barante) 

     

     

     

     

    1338 : Naissance du futur Charles V, le Sage 

     

    Christine de Pisan, femme de lettres du XIVème siècle, nous a laissé cette description du roi :

    "De corsage estoit haut et bien formé, droit et large d'épaules, étroit par les flancs, le visage de beau tour, un peu longuet, grand front et large, les yeux de belle forme, bien assis, châtains de couleur, haut nez assez et bouche non trop petite, le poil ni blond ni noir, la charnure claire brune mais il eut la chair assez pâle et je crois que le fait qu'il était si maigre était venu par accident, non par tempérament.

    Sa physionomie était sage, raisonnable et rassise, à toute heure en tous états et en tous mouvements ; on ne le trouvait furieux et emporté en aucun cas, mais modéré dans ses actions, contenance et maintien.

    Eut belle allure, voix d'homme de beau ton, et, avec tout cela, certes, à sa belle parleuse était si bien ordonnée et si belle à entendre, sans aucune superfluité de discours, que je ne crois pas qu'aucun rhétoricien en langue française n'eût rien à en reprendre."  

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Comment ne pas être d'accord avec Alexandre del Valle ? :
    "70 #terroristes seront libérés en 2024 et 2025 (Le Figaro). Le risque de récidive est plus que sérieux, d’autant qu’il est impossible de surveiller parfaitement des prédateurs #radicalisés non déradicalisables... Laxisme judiciaire, manque de moyens humains de surveillance, inadaptation des prisons foyers de #radicalisation : en l’absence de peines de prison à vie ou de bannissement définitif dans des îles lointaines (la peine de mort ayant été abolie), la sécurité des citoyens n’est pas possible dans notre État -Providence…"
     
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  • Grandes "Une" de L'Action française : Janvier/Février 1910, dans Paris inondé, les Camelots du Roi au secours des sinistrés... (1)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    Il est à la fois intéressant et très émouvant de s'intéresser à cet épisode tragique pour la France et pour Paris, et de bien remarquer l'attitude qu'adopta la toute jeune Action française en ces circonstances dramatiques...

    • d'abord parce que, en 1910, tout est "jeune" à l'Action française : le quotidien, fondé le jour du printemps 1908 (le samedi 21 mars), n'a même pas deux ans (à un jour près, il a un an et dix mois) ! Les Camelots du Roi, fondés par Maxime Réal del Sarte le 16 novembre 1908, ont à peine un an et deux mois ! On est donc en plein dans cette toute nouvelle et toute jeune "première Action française", et dans la période d'effervescence intellectuelle et militante dans laquelle Jacques Paugam plaçait "l'âge d'or du maurrassisme"...

    • ensuite, parce que tous ces jeunes Camelots dont on va parler n'ont plus que quatre années à vivre "normalement", pour une très grande part d'entre eux : dans la fleur de leur jeunesse, de leur enthousiasme, de leur ardeur et générosité, en 1910, ils seront "appelés" - dans quatre ans et demi - à partir sur le front, et la moitié d'entre eux ne reviendra pas...

    Ce sont nos aînés, nos prédécesseurs et, pour toujours, "les premiers de cordée" de notre mouvement, et leur magnifique exemple nous inspire encore aujourd'hui, modèle qu'ils ont su être de cet engagement et de ce don de soi que, précisément, nous essayons de perpétuer, aujourd'hui, à notre tour...

     C'est à partir du Jeudi 20 Janvier et pendant sept numéros - jusqu'au Mercredi 26 inclus - que L'Action française - journal d'opinion et non d'informations générales - évoqua ces pluies incessantes et cette montée de la Seine, qui n'en finissait pas... Et ce fut à partir du numéro du Jeudi 27 que le journal relata les interventions multiples, généreuses et courageuses des tous jeunes "Camelots du Roi", venant au secours des sinistrés...

    Voici la "Une" du Jeudi 20 Janvier 1910, premier numéro dans lequel L'Action française parle de l'inondation  :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k756787v

    Il s'agit simplement, dans la "Une", d'un court communiqué, et encore, pour évoquer "le mauvais temps à l'étranger" ! :

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    Il faut aller en page trois pour avoir des nouvelles du "mauvais temps", en France, et c'est en bas de la cinquième colonne et sur un peu plus de la moitié de la sixième et dernière :

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  • Éphéméride du 20 janvier

    1601 : Henri IV ratifie le Traité de Lyon 

     

    Signé le 17 janvier par les plénipotentiaires de France et de Savoie, ce traité met fin à la guerre entre les deux pays.

    La France s'agrandit du Bugey, de la Bresse, du Valromey et du Pays de Gex (dont elle perdra une partie lors du désastreux Traité de 1815, consécutif aux folies révolutionnaires et napoléoniennes (voir l'Éphéméride du 20 novembre)...

     

    FRANCE HENRI IV TRAITE DE LYON 1601.gif

    http://ch.revues.org/index227.html 

     

     

    Et, dans notre album L'aventure France racontée par les cartesvoir la photo "Traité de Lyon (17 janvier 1601)"

     

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  • Dans Paris Match, à propos du Comte de Paris et de la Fondation Saint Louis...

    https://www.parismatch.com/.../entre-le-comte-de-paris-et...

    Peut être une image de 1 personne et château

  • À partir de samedi, sur lafautearousseau...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...

    Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...

    L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras,  celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire ! 

    Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...

    Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...

    (1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi... 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Soutien total à "Stanislas", et d'accord avec Thibault de Montbrial :
    "#Paris suspend le financement d’un lycée d’excellence. Mais les associations type @SOSMedFrance et les voyages de @Anne_Hidalgo
    restent financés par des impôts locaux qui explosent sans freiner la tiers-mondialisation accélérée de notre capitale. De quoi réjouir les communistes..."
     
    En effet, l'inévitable Ian Brossat qui, à part lui-même, représente si peu de choses et de gens, a immédiatement posté ce message hautement stupide sur tweeter :
     
    "Paris suspend son financement à l'établissement privé Stanislas. Fier de ma ville. Fier de nos valeurs."
     
    Ses "valeurs" (?) : comme l'appui total à Anne Hidalgo, excellente - hélas !... - dans le SACCAGE PARIS ?
     
    Entre ces deux "excellences", nous choisissons, sans la moindre hésitation, l'excellence de "Stanislas" !

     

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : permanence de Gustave Thibon...

    1903 : Naissance de Gustave Thibon

     

    De Charles Maurras (L’Action française, 10 juin 1942, page 2)  :

    "Gustave Thibon est sans conteste le plus brillant, le plus neuf, le plus inattendu, le plus désiré et le plus cordialement salué de nos jeunes soleils."

    (tiré de notre Catégorie Grandes "Une" de L'Action française)

    Grandes "Une" de L'Action française : c'est un Maurras enthousiaste qui "présente" Thibon aux lecteurs du journal...

     

    • Retrouvez deux des Discours de Gustave Thibon aux Rassemblement Royaliste des Baux, qui constituent deux de nos Grands Textes :

    GRANDS TEXTES (IV) : Le suprême risque et la suprême chance.

    GRANDS TEXTES (X) : La paille des mots remplace le grain des choses.

     

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    Au Rassemblement Royaliste des Baux, dont il fut sans conteste l'un des piliers, par la régularité et la qualité de sa participation...

     

    À nous, qui sommes les héritiers de Charles Maurras, et qui voulons continuer son combat, Gustave Thibon a laissé ce sage conseil, cette ligne de conduite à tenir, toujours :

    "Vous êtes, vous et vos amis, les héritiers spirituels de Charles Maurras. Mais vous savez bien qu'un héritage n'est pas un talisman ni une baguette magique : c'est un outil. Et un outil qu'il faut savoir manier et adapter en fonction du mouvement de la vie qui ramène toujours le semblable, jamais l'identique. Épouser la pensée d'un maître, cela veut dire s'unir à elle pour lui faire des enfants et non pas la stériliser sous prétexte de lui conserver je ne sais quelle intégrité virginale. Il n'y a pire trahison qu'une certaine fidélité matérielle et littérale qui, en durcissant les principes en système, n'aboutit qu'à congeler ce qui était le jaillissement d'une source vive. Les exercices de patinage qu'on peut faire sur cette glace ne m'intéressent pas. La vraie fidélité est celle qui prolonge, qui corrige et qui dépasse. Et le meilleur héritier n'est pas celui qui fait de son héritage un musée ou une exposition rétrospective. "Le bien gagné reste à défendre" : le capital de la sagesse que Maurras vous a légué, vous ne le conserverez qu'en le fécondant, en le récréant sans cesse".

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     • 193 courtes citations, "Au fil de mes lectures"... : http://www.gilles-jobin.org/citations/?au=290

     

     • Radioscopie du 9 avril 1974, Jacques Chancel reçoit Gustave Thibon :

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  • Éphéméride du 19 janvier

    2001 : Mort de Gustave Thibon (ici au Rassemblement royaliste des Baux de Provence, où il est venu pendant plus de vingt ans)

     

     

     

     

    1771 : Renvoi des Parlements 

     

    "Y a-t-il un seul souverain ? Ou la France est-elle soumise à douze aristocraties ?" (Maupeou).

    Dans la nuit du 19 au 20 janvier 1771, Louis XV et Maupeou (ci dessous) cassent les Parlements, et leurs membres sont exilés. Chaque parlementaire reçoit par huissier copie de l'arrêté du Conseil du roi confisquant les charges et interdisant aux magistrats de rendre des arrêts, sous peine de faux.

    Maupeou forme un nouveau Parlement avec les magistrats qui approuvent sa politique, supprime la vénalité des offices et introduit l'égalité de tous les sujets devant la justice...

    Les parlementaires avaient contre eux une bonne partie des "philosophes", Voltaire en tête, qui écrivait à d'Alembert : "Quoi les boeufs-tigres pleurent ? On ne rend plus la justice ? Les plaideurs sont réduits à s'accommoder sans frais..."

    La "destruction" des Parlements, qui bloquaient toute réforme, par égoïsme corporatiste et en fonction de la préservation de leurs seuls intérêts et privilèges, était le début, et la condition sine qua non,  de la Révolution royale ; celle qui aurait apporté au pays les réformes nécessaires, et donc empêché la funeste Révolution idéologique.

    Celle-ci se produira malheureusement moins de vingt ans plus tard : le jeune Louis XVI (20 ans) commettra l'erreur - et la folie... - , à son avènement, en mai 1774, de restaurer les magistrats dans l'intégralité de leurs charges !...

    Fatale décision : "On peut sans exagération dire que la Révolution date de 1774", écrit l'historien Jean Tulard... 

     

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    Amer, et surtout lucide, Maupeou déclara :
    "...le roi ne peut avoir d'autre reproche à me faire que mon trop de zèle pour le maintien de son autorité. Je lui avais fait gagner un procès qui durait depuis trois cents ans. Il veut le reprendre; il en est le maître..."
     
    Certains contemporains affirment l'avoir entendu dire, en aparté, "...il est perdu..." (sur ce désastreux "rappel des Parlements", voir l'Éphéméride du 12 novembre)

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Goldnadel a très bien réagi à l'hénaurmité de ce lamentable Bruno Le Maire, qui a "sorti" un propos aussi minable que misérable, en réponse (?) à un Député RN du Var :

    1. Le propos débile de ce pauvre ministre (?), sur ce coup, très "bas de plafond" :

    "Nous n'aurions pas eu de problème de flambée des prix de l'électricité et du gaz si votre ami Vladimir Poutine n'avait pas attaqué l'Ukraine"

    2. La réponse toute simple, toute pleine du plus élémentaire bon sens, de Goldnadel :

    "Euh, si on n’avait pas fermé des centrales nucléaires, on aurait pu peut-être avoir une électricité moins chère…"
     
    Macron peut pérorer pendant des heures (il adore s'écouter !), avec une équipe de bras cassés comme Le Maire, on n'est pas sortis de l'auberge !!!!!
     
     

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  • Éphéméride du 18 janvier

     Les Hospices de Beaune, aujourd'hui

     

     

    1462 : Mort du Chancelier Nicolas Rolin 

     

    Grande figure politique de la Bourgogne et de la France du XVème siècle, il fut chancelier de Philippe le Bon, duc de Bourgogne, durant 40 ans.

    Fondateur du célèbre Hospice de Beaune, il fut un homme politique clairvoyant et intelligent : il sut gagner la confiance du duc de Bourgogne, Jean sans Peur, qui lui décerna le titre de conseiller et fit de lui son avocat au parlement de Paris. Après l'assassinat de Jean sans Peur, par des Armagnacs, en 1419, il se mit au service de Philippe le Bon, qui le nomma Chancelier de Bourgogne en 1422.

    Après l'épopée de Jeanne d'Arc, Rolin jugea la cause anglaise perdue et incita Philippe le Bon à quitter la famille des Lancastre pour celle des Valois et à obtenir les faveurs de Charles VII, ce que fit Philippe le Bon lors du congrès d'Arras (1435), où le chancelier Rolin était le porte-parole du duc et de la duchesse de Bourgogne.

    C'est lui qui commanda la célébrissime Vierge du Chancelier Rolin, aujourd'hui unique oeuvre de Jan Van Eyck que possède la Louvre : 

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    Sur la fondation des Hospices de Beaune, le 4 août 1443, voir notre Éphéméride du 4 août ; et l'Éphéméride du 1er janvier, jour où ces Hospices ont reçu leur premier patient.

    Et, sur les causes profondes de la guerre entre la France et la Maison de Bourgogne, voir l'Éphéméride du 24 juin et l'Éphéméride du 3 octobre

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgProud'hon vu par Maurras et Bainville...

    le renvoi des Parlements par Louis XV et Maupeou, mesure qui sauvait la Monarchie et nous évitait la Révolution...

    Mais aussi, l'hommage à Gustave Thibon, à l'occasion du jour anniversaire de sa mort...

    Rappelons que lafautearousseau vous propose deux de ses discours des Baux sous forme de Grands Textes :

    GRANDS TEXTES (IV) : Le suprême risque et la suprême chance.

     GRANDS TEXTES (X) : La paille des mots remplace le grain des choses.

    Et, encore, la présentation enthousiaste qu'a faite Maurras aux lecteurs de L'Action française (tiré de notre Catégorie Grandes "Une" de L'Action française) :

    Grandes "Une" de L'Action française : c'est un Maurras enthousiaste qui "présente" Thibon aux lecteurs du journal...

    lafautearousseau