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  • Grandes "Une" de L'Action française : Janvier/Février 1910, dans Paris inondé, les Camelots du Roi au secours des sinistrés... (1)

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    Il est à la fois intéressant et très émouvant de s'intéresser à cet épisode tragique pour la France et pour Paris, et de bien remarquer l'attitude qu'adopta la toute jeune Action française en ces circonstances dramatiques...

    • d'abord parce que, en 1910, tout est "jeune" à l'Action française : le quotidien, fondé le jour du printemps 1908 (le samedi 21 mars), n'a même pas deux ans (à un jour près, il a un an et dix mois) ! Les Camelots du Roi, fondés par Maxime Réal del Sarte le 16 novembre 1908, ont à peine un an et deux mois ! On est donc en plein dans cette toute nouvelle et toute jeune "première Action française", et dans la période d'effervescence intellectuelle et militante dans laquelle Jacques Paugam plaçait "l'âge d'or du maurrassisme"...

    • ensuite, parce que tous ces jeunes Camelots dont on va parler n'ont plus que quatre années à vivre "normalement", pour une très grande part d'entre eux : dans la fleur de leur jeunesse, de leur enthousiasme, de leur ardeur et générosité, en 1910, ils seront "appelés" - dans quatre ans et demi - à partir sur le front, et la moitié d'entre eux ne reviendra pas...

    Ce sont nos aînés, nos prédécesseurs et, pour toujours, "les premiers de cordée" de notre mouvement, et leur magnifique exemple nous inspire encore aujourd'hui, modèle qu'ils ont su être de cet engagement et de ce don de soi que, précisément, nous essayons de perpétuer, aujourd'hui, à notre tour...

     C'est à partir du Jeudi 20 Janvier et pendant sept numéros - jusqu'au Mercredi 26 inclus - que L'Action française - journal d'opinion et non d'informations générales - évoqua ces pluies incessantes et cette montée de la Seine, qui n'en finissait pas... Et ce fut à partir du numéro du Jeudi 27 que le journal relata les interventions multiples, généreuses et courageuses des tous jeunes "Camelots du Roi", venant au secours des sinistrés...

    Voici la "Une" du Jeudi 20 Janvier 1910, premier numéro dans lequel L'Action française parle de l'inondation  :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k756787v

    Il s'agit simplement, dans la "Une", d'un court communiqué, et encore, pour évoquer "le mauvais temps à l'étranger" ! :

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    Il faut aller en page trois pour avoir des nouvelles du "mauvais temps", en France, et c'est en bas de la cinquième colonne et sur un peu plus de la moitié de la sixième et dernière :

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  • Dans Paris Match, à propos du Comte de Paris et de la Fondation Saint Louis...

    https://www.parismatch.com/.../entre-le-comte-de-paris-et...

    Peut être une image de 1 personne et château

  • À partir de samedi, sur lafautearousseau...

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...

    Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...

    L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras,  celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire ! 

    Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...

    Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...

    (1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi... 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Soutien total à "Stanislas", et d'accord avec Thibault de Montbrial :
    "#Paris suspend le financement d’un lycée d’excellence. Mais les associations type @SOSMedFrance et les voyages de @Anne_Hidalgo
    restent financés par des impôts locaux qui explosent sans freiner la tiers-mondialisation accélérée de notre capitale. De quoi réjouir les communistes..."
     
    En effet, l'inévitable Ian Brossat qui, à part lui-même, représente si peu de choses et de gens, a immédiatement posté ce message hautement stupide sur tweeter :
     
    "Paris suspend son financement à l'établissement privé Stanislas. Fier de ma ville. Fier de nos valeurs."
     
    Ses "valeurs" (?) : comme l'appui total à Anne Hidalgo, excellente - hélas !... - dans le SACCAGE PARIS ?
     
    Entre ces deux "excellences", nous choisissons, sans la moindre hésitation, l'excellence de "Stanislas" !

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Goldnadel a très bien réagi à l'hénaurmité de ce lamentable Bruno Le Maire, qui a "sorti" un propos aussi minable que misérable, en réponse (?) à un Député RN du Var :

    1. Le propos débile de ce pauvre ministre (?), sur ce coup, très "bas de plafond" :

    "Nous n'aurions pas eu de problème de flambée des prix de l'électricité et du gaz si votre ami Vladimir Poutine n'avait pas attaqué l'Ukraine"

    2. La réponse toute simple, toute pleine du plus élémentaire bon sens, de Goldnadel :

    "Euh, si on n’avait pas fermé des centrales nucléaires, on aurait pu peut-être avoir une électricité moins chère…"
     
    Macron peut pérorer pendant des heures (il adore s'écouter !), avec une équipe de bras cassés comme Le Maire, on n'est pas sortis de l'auberge !!!!!
     
     

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  • À partir de samedi, sur lafautearousseau....

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...

    Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...

    L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras,  celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire ! 

    Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...

    Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...

    (1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi... 

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    "Macron/mots creux" : nous retiendrons les deux commentaires de Guillaume Bigot :
    "On connaissait le « parler pour ne rien dire. » #Macron invente le « parler pour ne rien faire."
     
    et de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
     
     "Derrière le président, on a reconnu le comédien... Qui était au pupitre pour ce discours libéral-conservateur ? Le chef de l’Etat ou Zelig, ce personnage de Woody Allen capable de tenir tous les rôles ? Quand Emmanuel Macron a fait l’éloge du théâtre, on a compris : derrière le président, il y avait le comédien..." 
     
    (extrait vidéo 3'52)
     
     
     

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  • La dernière folie d’Ursula, par Antoine de Lacoste

    L'Ukraine dans l'UE : un avis rendu « la semaine prochaine » promet Ursula von  der Leyen depuis Kiev

    Plus les affaires militaires de l’OTAN vont mal en Ukraine, plus l’Europe se lance dans une ahurissante fuite en avant pour intégrer à marche forcée un pays en guerre.

    C’est bien sûr la Commission de Bruxelles qui est à la manœuvre, représentée par sa sémillante présidente, Ursula von der Layen. Elle n’est élue par personne, mais agit comme un véritable président d’une Europe qui n’en possède pas. Ne nous en étonnons pas, c’est le fonctionnement normal du « machin » où les élus du Parlement européen ne semblent pas servir à grand-chose et avalisent, quand on leur demande leur avis, les décisions concoctées par la toute puissante Commission. Les élections à venir changeront peut-être certains fonctionnements mais la Commission poursuivra son œuvre.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Dans Boulevard Voltaire :

    "Séjourné au Quai d’Orsay : pourquoi cette nomination est consternante. Gabrielle Cluzel a justement épinglé l'un des péchés originels de ce remaniement : l'évacuation du critère de compétence..."

    https://www.bvoltaire.fr/sejourne-au-quai-dorsay-pourquoi-cette-nomination-est-consternante/?feed_id=34951&_unique_id=65a2aa2402cfe

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Michel Onfray a mille fois raison : le "spectacle" (?) offert par la classe politique de ce Système est "pitoyable et minable... L'époque sent terriblement mauvais..." 

    En ces jours où l'on fait mémoire de l'assassinat du Roi Louis XVI, nous nous contenterons - en plus d'approuver ces propos - de les dédier à ce pauvre Saint Just et à ses camarades terroristes révolutionnaires, eux qui prétendaient "régénérer" la France : tu as bien prononcé cette phrase horrible, Saint Just, en parlant de Louis XVI, lors de son pseudo-procès :

    "Je ne juge pas, je tue; une nation ne se régénère que sur un monceau de cadavres..."

    Eh, bien ! regarde, Saint Just ! Et regardez, vous ses complices ! Vous avez fait tout ce que tu avez fait, la destruction de notre Famille Royale, la mise à bas de notre édifice politique millénaire, le Génocide vendéen, une déclaration de guerre insensée à l'Europe qui nous a conduit, après une saignée de vingt-cinq ans, à Waterloo, épuisés et ayant perdu notre prépondérance européenne et mondiale... et tout cela, soi-disant, pour "régénérer" la France ?

    Mais, regardez dans quel état misérable elle se trouve, cent cinquante ans après qu'on lui ait appliqué vos principes mortifères...

    Regardez ces "régénérés" d'aujourd'hui : ce sont vos enfants...

    Regardez cette société d'aujourd'hui, dont vous êtes à l'origine : elle est "pitoyable et minable", elle "sent terriblement mauvais", et ce n'est pas un royaliste qui vous le dit...

    ALORS ?

    (extrait vidéo 0'50)

    https://x.com/FrontPopOff/status/1746138819542278222?s=20

     

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  • Au cinéma : Une Affaire d’honneur, par Guilhem de Tarlé

    Une affaire d'honneur - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Une Affaire d’honneur, un film français de Vincent Perez, avec Vincent Perez (le colonel Louis Berchère), Roschdy Zem (le Maître d’armes Clément Lacaze) et Doria Tillier (Marie-Rose Astié de Valsayre).

    Une Affaire d’honneur… Le titre n’est pas anodin puisque depuis bientôt deux siècles, selon le dictionnaire de l’Académie française, l’expression « signifie quelquefois Duel ». C’est en effet, de la salle d’arme au pré, à partir de faits réels, l’histoire, le fonctionnement et la chorégraphie de l’institution du duel que nous présente Vincent Perez.
    Interdit par des édits depuis le XVIème siècle, passible de la peine de mort depuis Richelieu, le duel perdura jusqu’après la deuxième guerre mondiale, avec des « temps forts » notamment à la fin des années 1880, allant jusqu’à devenir une revendication féministe…
    Cette Affaire d’honneur se révèle un docufiction où l’on apprend que, si tous les coups sont permis, le duel doit répondre à la défense de son honneur et jamais à un esprit de vengeance.

    « Une femme ne peut-elle pas défendre son honneur ? » interroge Marie-Rose Astié de Valsayre – qui ne figure ni dans mon dictionnaire historique Mourre, ni dans mon Larousse en 10 volumes de 1960, mais sur Wikipédia -.

    Je retiens pour ma part qu’un homme ne se bat pas contre une femme, et j’avais précisément été choqué de voir en duel d’Artagnan et Milady.
    J’en reste donc à la seule idée qu’une femme s’honore, et c’est l’homme qui se déshonore à déshonorer une femme.

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Dans Front populaire, l'article d'Antoine Gainot :

    Remaniement : Gabriel, le choix fatal

    CONTRIBUTION / OPINION. Jeune, dynamique, clairvoyant… Au centre droit comme au centre gauche (bref, au centre), on ne tarit pas d’éloges pour le nouveau Premier ministre. Mais la majorité des Français ne sont pas dupes.

    Sonnez l’Attali. Enfin, Gaby va pouvoir nous chanter la mer et nous montrer son amour sans Borne pour la France. Être né à Clamart, petit, c’est déjà une suspicion d’anti-gaullisme primaire.

    Ah ben il y a des points positifs : dommage qu’ils ne soient que purement spectaculaires. Logique pour un garçon qui se destinait à la comédie. Tartuffe en herbe, l’épopée napoléonienne lui aurait été comptée. Gageons qu’il ne doit pas en rester grand-chose, à moins qu’il ne vît en Waterloo une étape sur la route de Bruxelles…

    Les huiles de la machine à couronner des laquais d’outre-Lescaut ne tarderont pas à faire de lui le Mozart de l’école publique. Nul n’est prophète en son pays, la solution ne pouvait venir que d’un pur produit de la méritocratie de l’école privée. Flûte enchantée, sciences popogeno.

    Si l’on peut imaginer qu’il connaît l’Alsace par son école, connaît-il la France périphérique ? Nous en doutons. De la Touraine, il ne connaît que le cabinet… Azay, rideau ! Alors le reste.

    Une question reste néanmoins en suspens : refuserons-nous de mourir d’amour enchaîné ? Ô Gabriel, archange francophobe, tu annonces, à ton corps défendant, la fin de l’oppression du peuple.

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Natalité/Immigration-invasion...

    Du toujours excellent Dimitri Pavlenko, dans Face à l'info :

     "...Si vous combinez cette mutation de la natalité française à une poursuite de l'immigration massive, vous avez un scénario de mise en minorité du peuple historique français sur son sol à un horizon 2070..." 

    (extrait vidéo 1'49)

    https://x.com/Livrenoirmedia/status/1745354252954845492?s=20

    Voilà donc les prévisions, des prévisions, pour dans trente cinq ans, c'est-à-dire demain.

    Mais le pire n'est jamais sûr et nous préférons l'espoir jusqu'au bout que le fatalisme destructeur. Ces prévisions sont justes... "À MOINS QUE..." comme le disait Maurras, en conclusion de son magistral "L'Avenir de l'Intelligence" (cet "immense petit livre", disait Boutang) :

    Si vous voulez - et pouvez - prendre quelques instants, et si le sujet vous intéresse, nous avons préparé cette "Page - résumé" à votre intention...

    Elle vous semblera, au début, éloigner du sujet alors que, au fond, elle y ramène en allant à l'essentiel : comment en est-on arrivé là, à cette catastrophe qui nous menace, et, surtout, comment pourrait-on en sortir...

    Charles Maurras : L'Avenir de l'Intelligence...

     

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