UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • À partir de samedi, sur lafautearousseau....

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpg... vous pourrez reprendre la lecture des Grandes "Unes" de L'Action française, comme nous l'annoncions après la publication de celles qui racontèrent la Croisière du Campana, la semaine tragique - qui vit la mort de Jacques Bainville et la machination ourdie par Blum le jour de ses obsèques, pour obtenir la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi - et les douze premiers jours de la Guerre d'Espagne...

    Il s'agira de relire cette page glorieuse, pour notre mouvement, pendant laquelle les tous nouveaux Camelots et le tout nouveau journal se dépensèrent généreusement et admirablement pour venir en aide aux sinistrés parisiens, lors de la cataclysmique inondation de 1910 : c'est volontairement que, après les trois premières séries précédemment citées, nous avons attendu le 20 janvier, puisque ce sera le jour anniversaire du premier numéro du quotidien consacré en bonne part à ce désastre, puis à l'action généreuse de nos anciens et "premiers de cordée"...

    L'évocation de cette page glorieuse nous emmènera jusqu'à la moitié du mois de février : nous publierons alors notre cinquantième Grand Texte, puis nous entrerons dans la période de notre dix-septième anniversaire : nous le célèbrerons, cette année, en lançant notre deuxième feuilleton sur nos Maîtres : après le Feuilleton Maurras,  celui-ci sera consacré à Léon Daudet (1), et nous garderons le troisième Feuilleton (Bainville) pour notre prochain anniversaire ! 

    Ensuite, nous donnerons l'intégralité des comptes rendus des Rassemblements Royaliste en Provence, dans notre Catégorie "Documents pour servir à une Histoire de l'URP...", entre 1918 et 1939...

    Et, ensuite... nous verrons ! De nombreux sujets sont en préparation, nous en reparlerons, évidemment...

    (1) ndlr : ce sujet a été réalisé à partir d'extraits tirés des dix livres de souvenirs suivants de Léon Daudet : Paris vécu (rive droite), Paris vécu (rive gauche), Député de Paris, Fantômes et vivants, Devant la douleur, Au temps de Judas, l'Entre-deux guerres, Salons et Journaux, La pluie de sang, Vers le Roi... 

    1AZZ.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    "Macron/mots creux" : nous retiendrons les deux commentaires de Guillaume Bigot :
    "On connaissait le « parler pour ne rien dire. » #Macron invente le « parler pour ne rien faire."
     
    et de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1 :
     
     "Derrière le président, on a reconnu le comédien... Qui était au pupitre pour ce discours libéral-conservateur ? Le chef de l’Etat ou Zelig, ce personnage de Woody Allen capable de tenir tous les rôles ? Quand Emmanuel Macron a fait l’éloge du théâtre, on a compris : derrière le président, il y avait le comédien..." 
     
    (extrait vidéo 3'52)
     
     
     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • La dernière folie d’Ursula, par Antoine de Lacoste

    L'Ukraine dans l'UE : un avis rendu « la semaine prochaine » promet Ursula von  der Leyen depuis Kiev

    Plus les affaires militaires de l’OTAN vont mal en Ukraine, plus l’Europe se lance dans une ahurissante fuite en avant pour intégrer à marche forcée un pays en guerre.

    C’est bien sûr la Commission de Bruxelles qui est à la manœuvre, représentée par sa sémillante présidente, Ursula von der Layen. Elle n’est élue par personne, mais agit comme un véritable président d’une Europe qui n’en possède pas. Ne nous en étonnons pas, c’est le fonctionnement normal du « machin » où les élus du Parlement européen ne semblent pas servir à grand-chose et avalisent, quand on leur demande leur avis, les décisions concoctées par la toute puissante Commission. Les élections à venir changeront peut-être certains fonctionnements mais la Commission poursuivra son œuvre.

    Lire la suite

  • Éphéméride du 17 janvier

    La montagne Sainte-Victoire 

     

     

     

     

    Célébration de Saint Antoine, Patron de la Légion...

    https://www.legion-etrangere.com/mdl/page.php?id=758&titre=Saint-Antoine-Saint-Patron-de-la-Legion-etrangere

    17 janvier,caïus marius,rome,provence,cimbres,teutons,légion romaine,cesar,marthe,massalia,marseille,fos,aix

     

    17 janvier,caïus marius,rome,provence,cimbres,teutons,légion romaine,cesar,marthe,massalia,marseille,fos,aix

     

    Lire la suite

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgEn plus de tout le reste, elle met en exergue ce raccourci saisissant, en un même "jour anniversaire" :

    1701 : Le Grand électeur de Brandebourg se proclame Roi de Prusse/1871 : Proclamation de l'Empire allemand dans la Galerie des Glaces de Versailles...

    Vis-à-vis des "choses d'Allemagne", la politique des rois de France, celle des Traités de Westphalie, était la bonne : en émiettant les Allemagnes, elle nous mettait à l'abri des invasions, nous permettait d'agrandir le territoire et d'exercer la prépondérance en Europe...

    La Révolution, les deux premières républiques et les deux Empires ont mené exactement la politique inverse de celle des rois de France : par prussophilie démentielle et aveugle, les révolutionnaires ont détruit l'oeuvre protectrice de la royauté et créé de toutes pièces la puissance allemande : au lieu du Grand siècle, on eut alors 1870, 1914, 1939, avec leur "Reich" successifs, qui nous ont fait tant de mal...

    Cela s'appelle "intelligence avec l'ennemi"...

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Dans Boulevard Voltaire :

    "Séjourné au Quai d’Orsay : pourquoi cette nomination est consternante. Gabrielle Cluzel a justement épinglé l'un des péchés originels de ce remaniement : l'évacuation du critère de compétence..."

    https://www.bvoltaire.fr/sejourne-au-quai-dorsay-pourquoi-cette-nomination-est-consternante/?feed_id=34951&_unique_id=65a2aa2402cfe

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Éphéméride du 16 janvier

    Lérins, aujourd'hui

     

     

    430 : Mort d'Honorat d'Arles 

     

    Également appelé Saint Honorat, ou Honorat de Lérins, il est le fondateur de l'Abbaye de Lérins (vers 400-410). 

    16 janvier,saint simon,vauban,louis xiv,versailles,le régent,louvois,memoires de saint simon

    Juste en face de Cannes (ci-dessous) les îles de Lérins abritent un monastère florissant, autrefois protégé par une forteresse aujourd'hui en partie ruinée (ci-dessus).

    16 janvier,saint simon,vauban,louis xiv,versailles,le régent,louvois,memoires de saint simon

    • http://www.abbayedelerins.com/ 

     

    • http://www.orthodoxa.org/FR/orthodoxie/synaxaire/stHonorat.htm  

     

    16 janvier,saint simon,vauban,louis xiv,versailles,le régent,louvois,memoires de saint simon

     

    Lire la suite

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg

    86 avant Jésus-Christ : mort du Consul Caius Marius...

    Chaque 17 janvier, nous faisons mémoire du grandiose événement que fut, dans la Provincia de l'époque (notre actuelle Provence) l'écrasement complet et définitif des Cimbres et des Teutons par le Consul Marius qui, ce jour-là, sauva Rome, Massalia et la civilisation : cette destruction formidable des Barbares, alors que tout semblait indiquer qu'ils allaient l'emporter, renferme bien des leçons pour le temps présent et nos angoisses d'aujourd'hui concernant la survie et la continuation de notre Civilisation, de notre Culture, de notre Être profond.

    Oui, nous pouvons trouver une splendide leçon de courage et d'espérance chez ce grand et noble romain qui, avec ses légions, est venu "chez nous", dans le pays qui est le nôtre aujourd'hui, "pro salute, non pro gloria, certari" (combattre non pour la gloire mais pour sa propre survie, nous dit Salluste) écrivant ainsi l'une des pages les plus extraordinaires non seulement de notre propre histoire mais de toute l'Histoire universelle... 

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Michel Onfray a mille fois raison : le "spectacle" (?) offert par la classe politique de ce Système est "pitoyable et minable... L'époque sent terriblement mauvais..." 

    En ces jours où l'on fait mémoire de l'assassinat du Roi Louis XVI, nous nous contenterons - en plus d'approuver ces propos - de les dédier à ce pauvre Saint Just et à ses camarades terroristes révolutionnaires, eux qui prétendaient "régénérer" la France : tu as bien prononcé cette phrase horrible, Saint Just, en parlant de Louis XVI, lors de son pseudo-procès :

    "Je ne juge pas, je tue; une nation ne se régénère que sur un monceau de cadavres..."

    Eh, bien ! regarde, Saint Just ! Et regardez, vous ses complices ! Vous avez fait tout ce que tu avez fait, la destruction de notre Famille Royale, la mise à bas de notre édifice politique millénaire, le Génocide vendéen, une déclaration de guerre insensée à l'Europe qui nous a conduit, après une saignée de vingt-cinq ans, à Waterloo, épuisés et ayant perdu notre prépondérance européenne et mondiale... et tout cela, soi-disant, pour "régénérer" la France ?

    Mais, regardez dans quel état misérable elle se trouve, cent cinquante ans après qu'on lui ait appliqué vos principes mortifères...

    Regardez ces "régénérés" d'aujourd'hui : ce sont vos enfants...

    Regardez cette société d'aujourd'hui, dont vous êtes à l'origine : elle est "pitoyable et minable", elle "sent terriblement mauvais", et ce n'est pas un royaliste qui vous le dit...

    ALORS ?

    (extrait vidéo 0'50)

    https://x.com/FrontPopOff/status/1746138819542278222?s=20

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : "la démence révolutionnaire" (le mot est de Balzac)...

    1912 : La Revue de Paris achève la publication, en feuilleton, de "Les Dieux ont soif"...

     

    15 janvier,empire allemand,galerie des glaces,versailles,provence,aix en provence,saint rémy,reims,croisade des albigeois,université de paris,clovis,philippe augustePrétendre "régénérer" les autres - par la force, évidemment, s'ils ne sont pas d'accord... - et prétendre faire leur bonheur éventuellement malgré eux, sans eux et contre eux, c'est, à coup sûr, dégénérer très vite soi-même, sombrer dans la paranoïa et la démence personnelle, et, collectivement, aboutir immanquablement au Totalitarisme et au Génocide.

    "Régénérer", c'était le mot fétiche d'un Saint Just ("...une Nation ne se régénère que sur des monceaux de cadavres..."), d'un Barère ("le vaisseau de la révolution ne peut arriver au port que sur une mer rougie de flots de sang...") d'un Carrier ("Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon..." ) ou de toute leur clique d'assassins...

    Leurs descendants - surtout en Asie... - emploieront volontiers le terme de ré-éduquer, dans des camps de ré-éducation dont on sait combien peu sortirent, et dans quel état : mais que l'on dise "régénérer" ou "ré-éduquer", l'idée centrale, et le crime, sont les mêmes...

    C'est ce délire mortifère et ce naufrage mental et moral qu'Anatole France, à l'âge de soixante-sept ans, décide de comprendre, d'expliquer, de montrer : on pourrait dire, de disséquer : ce sera Les Dieux ont soif...

     

    15 janvier,empire allemand,galerie des glaces,versailles,provence,aix en provence,saint rémy,reims,croisade des albigeois,université de paris,clovis,philippe auguste

    "Les Dieux ont soif" est un roman d'Anatole France, publié en feuilleton dans la Revue de Paris du 15 octobre 1911 au 15 janvier 1912, puis en volume chez Calmann-Lévy à la mi juin 1912.

    "La société devient enfer dès qu'on veut en faire un paradis." Cette pensée si juste de Gustave Thibon accompagne le lecteur tout au long de cette impeccable dissection de la démence révolutionnaire, qui renvoie à cette autre phrase, monstrueuse celle-là, prononcée par Staline, et qui "légitime" (!) tous les Génocides : "Le problème, c'est les hommes; pas d'hommes, pas de problème !..."

    De même que le personnage central du roman, le peintre raté Évariste Gamelin, fait irrésistiblement penser à la morale de la Fable d'Anouilh, "Le loup et la vipère" :

    "Petits garçons heureux, Hitler ou Robespierre,

    Combien de pauvres hères Qui seraient morts chez eux ?"...

    Avec justesse, Balzac qualifia cette bien triste époque de "sanglante démence" (Rois de France, Éditions Afrique Orient, 2017, page 71)...

     

    15 janvier,empire allemand,galerie des glaces,versailles,provence,aix en provence,saint rémy,reims,croisade des albigeois,université de paris,clovis,philippe augusteLe fait est surprenant, car, en 1911 - lorsque débute la publication en feuilleton de "Les Dieux ont soif" - Anatole France provoque la fureur de ses "amis" politiques - qui crient à la trahison (il a tout de même collaboré dès sa création à L'Humanité, en publiant Sur la pierre blanche dans les premiers numéros, et dans laquelle il écrivit un Salut aux Soviets, en novembre 1922 !...), et la profonde satisfaction des milieux réactionnaires (il faut se souvenir que, en 1911, la République est toute jeune encore, elle n'a été établie, par les multiples inconsciences et inconséquences des royalistes et du roi lui-même - Henri V - qu'en 1875, c'est-à-dire qu'elle a, à peine, 36 ans, qu'elle est encore mal assurée et qu'elle manque de légitimité, tout le monde sachant bien qu'elle a été voulue, pour les Français, par Bismarck...). Le sinistre Aragon - lui-même grand Épurateur devant l'Éternel, en 45... - alla jusqu'à écrire: "Il ne faut plus que, mort, cet homme fasse de la poussière !"

    Cela importe peu à Anatole France, qui, d'un point de vue littéraire n'a plus rien à prouver et peut, en quelque sorte, tout se permettre : lui, qui n'a plus que treize ans à vivre, connaît la gloire, et recevra d'ailleurs, en 1921, le Prix Nobel de littérature...

    REIMS 1914 6.jpgIl aggravera même, en quelque sorte, son cas, durant la Première Guerre mondiale, lui qui côtoyait tant de pacifistes - tous germanophiles "de fait" - lorsqu'il n'hésita pas à écrire des phrases terribles sur le peuple allemand à propos de la destruction volontaire et méthodique, par les troupes du Kaiser, de la cathédrale de Reims (dans La Guerre Sociale, du 22 septembre 1914) : "Les barbares ont incendié, en invoquant le dieu des chrétiens, un des plus magnifiques monuments de la chrétienté.
    Ils se sont ainsi couverts d’une infamie immortelle, et le nom allemand est devenu exécrable à tout l’univers pensant.
    Qui donc, sous le ciel, peut douter maintenant qu’ils sont les barbares et que nous combattons pour l’humanité ?..."

     

    LA REVUE DE PARIS.jpgLe 15 octobre 1911, La Revue de Paris entreprend donc la publication, en feuilleton, de "Les Dieux ont soif", publication qui s'achèvera le 15 janvier 1912, l'ouvrage entier paraissant, à la mi-juin de la même année, chez Calmann-Lévy.

    Le titre de l'ouvrage est emprunté à Camille Desmoulins, qui s'écria, la veille de son exécution - lui qui avait fait assassiner tant d'innocents... -  "Les Dieux ont soif de sang..."

    L'intrigue, en elle-même, n'a quasiment aucun intérêt, l'essentiel étant de montrer comment des êtres humains - humains au départ, et "normaux"... - deviennent cruels et féroces quand ils sont persuadés de détenir la Vérité, et de "voir Dieu", au risque d’être "dévorés par l’Histoire", comme l’est Évariste Gamelin, le triste héros de l'oeuvre, peintre raté, qui finira guillotiné comme son idole, Robespierre, après avoir envoyé lui aussi tant d'innocents à la mort, lui qui n'était qu'un être "ordinaire qui se croit extraordinaire".

    TERREUR.jpgLes Dieux ont soif racontent des événements qui se passent de mai 1793 à la fin juillet 1794 (11 thermidor, an II), à travers l’histoire d’Évariste Gamelin, ce peintre raté, qui devient juré au Tribunal révolutionnaire. Faisant "taire ses sentiments dans l’intérêt supérieur de l’humanité", persuadé d’être un pur, cet austère met en pratique jusqu’au fanatisme la devise des révolutionnaires inscrite au-dessus de la porte de l’église des Barnabites devenue siège de l’assemblée générale de la section : "Liberté, Egalité, Fraternité ou la Mort." Et l’on pourrait dire de lui ce qui fut dit de Robespierre l’Incorruptible : "Il est vertueux : il sera terrible."


       
    1. En voici quelques morceaux choisis, quelques "bonnes feuilles", tirées de notre note :

    Les Dieux ont soif : comme une analyse clinique de la démence révolutionnaire...

    2. Et en voici le commentaire donné par Jacques Bainville dans L'Action française du Dimanche 23 Juin 1912 :

    Grandes "Une" de L'Action française : Jacques Bainville présente et commente "Les Dieux ont soif", d'Anatole France...

     

    1AZZ.jpg

  • Éphéméride du 15 janvier

    Le choeur de la Basilique Saint Remi de Reims

     

     

    533 : Fête de Saint Remi 

     

    Mort le 13 janvier, il est fêté le 15, jour de sa mise au tombeau (et, à Reims, le 1er Octobre, conformément à une tradition locale remontant à la fin du IVème siècle).

    Ci-dessous, son tombeau dans la très belle basilique de Saint Rémi, à Reims. 

    800px-Tombeau_St_Remi.jpg 

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Lire la suite

  • Dans notre Éphéméride de ce jour... : les représentants actuels de notre Famille de France...

    1867 : Mort de Jean-Auguste-Dominique Ingres
     
    • Le Musée Ingres de Montauban, sa ville natale, mérite le détour :

    http://www.musees-midi-pyrenees.fr/musees/musee-ingres/ 

     
             
    Le 31 janvier 2006, grâce au mécénat d'AXA, son très beau Portrait du duc d'Orléans est entré au Louvre : il s'agit du prince Ferdinand, l'un des cinq fils de Louis-Philippe, mort prématurément et accidentellement en 1842, dont descendent tous les représentants actuels de la Famille de France jusqu'à nos jours.
     

    ingres-duc-d-orleans.jpg

                

    Ferdinand avait deux fils : Louis-Philippe et Robert, duc de Chartres.

    Louis-Philippe Albert deviendra Philippe VII à la mort du Comte de Chambord, lorsque la fusion sera réalisée entre les légitimistes et les orléanistes ("...Les Orléans sont mes fils...").  Il fut le père de Louis-Philippe Robert, devenu Philippe VIII, mort sans héritier.

    À la mort de Philippe VIII, son cousin Jean, duc de Guise devint Jean III : Jean III était le fils de Robert, duc de Chartres, le deuxième fils de Ferdinand.

    C'est donc du seul Ferdinand, et non de l'un ou l'autre des quatre autres fils de Louis-Philippe, que descendent les représentants actuels de la Famille de France.

    Jean III est le père d'Henri VI, lui-même père d'Henri VII, à son tour père du prince Jean, actuel Comte de Paris (Jean IV), et de son frère Eudes, duc d'Angoulême. Le prince Jean a six enfants (trois garçons et trois filles), dont le premier, Gaston, est Dauphin de France...

     

     
    Pour une vision d'ensemble et plus détaillée des origines de l'actuelle Famille de France, voir l'Éphéméride du 21 septembre
     
     14 janvier,jean-baptiste van loo,louis xv,albert schweitzer,de grasse,washington,rochambeau,ingres,axa,louvre
    Feu le Comte de Paris et son fils, le Prince Jean, devenu comte de Paris, Chef de la Maison de France au décès de son père le 21 janvier 2019. Ici lors de la naissance du prince Gaston, aujourd’hui Dauphin de France. Des générations, et, depuis mille ans, une même Famille qui a fait la France et reste à sa disposition, pour la servir.
  • Au cinéma : Une Affaire d’honneur, par Guilhem de Tarlé

    Une affaire d'honneur - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Une Affaire d’honneur, un film français de Vincent Perez, avec Vincent Perez (le colonel Louis Berchère), Roschdy Zem (le Maître d’armes Clément Lacaze) et Doria Tillier (Marie-Rose Astié de Valsayre).

    Une Affaire d’honneur… Le titre n’est pas anodin puisque depuis bientôt deux siècles, selon le dictionnaire de l’Académie française, l’expression « signifie quelquefois Duel ». C’est en effet, de la salle d’arme au pré, à partir de faits réels, l’histoire, le fonctionnement et la chorégraphie de l’institution du duel que nous présente Vincent Perez.
    Interdit par des édits depuis le XVIème siècle, passible de la peine de mort depuis Richelieu, le duel perdura jusqu’après la deuxième guerre mondiale, avec des « temps forts » notamment à la fin des années 1880, allant jusqu’à devenir une revendication féministe…
    Cette Affaire d’honneur se révèle un docufiction où l’on apprend que, si tous les coups sont permis, le duel doit répondre à la défense de son honneur et jamais à un esprit de vengeance.

    « Une femme ne peut-elle pas défendre son honneur ? » interroge Marie-Rose Astié de Valsayre – qui ne figure ni dans mon dictionnaire historique Mourre, ni dans mon Larousse en 10 volumes de 1960, mais sur Wikipédia -.

    Je retiens pour ma part qu’un homme ne se bat pas contre une femme, et j’avais précisément été choqué de voir en duel d’Artagnan et Milady.
    J’en reste donc à la seule idée qu’une femme s’honore, et c’est l’homme qui se déshonore à déshonorer une femme.

     

    guilhem de tarlé.jpg

  • Éphéméride du 14 janvier

    2015 : Inauguration de la Philarmonie de Paris

     

     

     

    1684 : Naissance de Jean-Baptiste van Loo 

     

    Il est l'auteur de portraits fameux : ci dessous, Louis XV (dont il recevra deux commandes successives de portraits, ce qui est assez rare) :

    LOUIS XV.JPG
     

    14 janvier,jean-baptiste van loo,louis xv,albert schweitzer,de grasse,washington,rochambeau,ingres,axa,louvre

     

    Lire la suite