UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 6

  • Au Cinéma : Nos soleils, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgArt et Essai : Nos Soleils, un film espagnol, de Carla Simon.

    Nos Soleils… Une fois encore, nous avions été attirés par la Bande Annonce, qui laissait entrevoir l’agression d’une exploitation agricole par un promoteur photovoltaïque… en fait, quelques scènes éparses dans un film de 2H, trop long pour être un bon film.


    Dommage, les photos sont belles d’une exploitation d’arbres fruitiers en Catalogne, dans la commune d’Alcarràs, mais à l’instar des pêchers et autres figuiers, ce long-métrage aurait dû être élagué de longueurs et sans doute raccourci d’une demi-heure. C’est d’abord un film d’ambiance avec l’insouciance des enfants, la bêtise adolescente, et le temps qui passe pour un grand-père qui concluait ses marchés en tapant dans la main…

    Peut-on faire perdurer cette exploitation familiale face à un propriétaire avide deguilhem de tarlé.jpg monnaies sonnantes et trébuchantes, des grandes surfaces qui rackettent les producteurs avec des prix d’achat moitié moindre du prix de revient, et enfin une « écologie » triomphante qui veut « sauver la planète » - et surtout se remplir les poches - en arrachant des hectares d’arbres pour recouvrir la nature de panneaux solaires…

    Dans mon village berrichon, de la même manière, un propriétaire trouve plus lucratif de substituer un champ de panneaux à une exploitation de noisetiers… et il se moque de l’enlaidissement du paysage puisqu’il habite loin de là, à la ville.

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Hier matin, à 7h34, France info a défendu la vérité historique et... Marie-Antoinette !

    Une pauvre députée LFI, bien ignorante, Élisa Martin, a cru faire son importante et "se la jouer" historienne en reprenant à son compte le mensonge mille fois démonté selon lequel la Reine aurait dit, parlant de gens affamés, que s'ils n'avaient pas de pain, ils n'avaient qu'à manger de la brioche...

    LFI, on le sait, c'est "la section des piques de 1793" revenue aujourd'hui, siéger à l'Assemblée, où elle donne le lamentable spectacle d'une pitoyable vulgarité, d'une odieuse outrance et apparaît comme une sorte de reflet de ce qu'ont du être les "tricoteuses" et autres sans-culottes de cette horrible Révolution terroriste, sanguinaire, Génocidaire : Quattenens qui bat sa femme, Obono qui dit "allez manger vos morts", Portes qui pose le pied sur un ballon portant la décalcomanie d'un ministre (certes, pas d'un très grand niveau, le ministre, mais, tout de même...), Saintoul qui traite le même ministre d'assassin (avant d'être contraint de s'excuser platement)... pour ne parler que de quelques uns des derniers en date !

    Mais les revenants de cette "section des piques" ne sont pas seulement vulgaires, brutaaux, outrancièrs : ils sont aussi ignorantissimes et, surtout, ils veulent qu'on le sache ! En l'occurrence, avec l'intervention minable de cette pauvre Élisa Martin, qui a perdu là une bonne occasion de se taire...

    Toutes les personnes un tant soit peu instruites savent que, déjà, Jean-Jacques Rousseau reprenait cette "anecdote" (?) dans ses Confessions, dès 1765, Marie-Antoinette n'étant arrivée en France qu'en...1770 ! 

    Il faut donc être bête au-delà de ce qui peut se concevoir pour oser proférer, à l'Assemblée, l'insanité que cette pauvre députée LFI a proférée, et que France info a, donc, corrigé hier matin.

    Nous critiquons assez les chaînes de "Sévice public" (pour reprendre l'expression de Goldnadel) pour ne pas saluer aujourd'hui la chronique de France info : pour une fois qu'une radio d'État rétablit la vérité et fait son travail avec honnêteté et sérieux, c'est la moindre des choses, et c'est plus agréable que d'avoir toujours à reprendre et démentir...

    Écoutez ces deux minutes de la rubrique "Le vrai du faux", sur France info (avec le scripte) :

    Le vrai du faux

    Vérité, Justice pour elle : vive Marie-Antoinette !

    1A.jpg

    Portrait de la Reine par le grand martégal Joseph Boze, concitoyen de Maurras, qui eut le courage, convoqué devant le Tribunal révolutionnaire des terroristes, de leur jeter à la figure son "Ma tête serait sur le billot que je ne témoignerai pas contre sa Majesté !". Ainsi fut sauvé - par beaucoup - l'honneur du nom Français, pendant cette période horrible où la France fut livrée à la démence révolutionnaire...

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • À la découverte du fonds lafautearousseau (35) : Simone Weil et Gustave Thibon...

    lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...

    Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...

    Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...

    Aujourd'hui : Simone et Gustave Thibon...

    (tiré de notre Éphéméride du 3 février)

    (retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :

    Á la découverte du "Fonds lafautearousseau")

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Au Cinéma : Saint Omer, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgA l’affiche : Saint Omer, un film français, le premier long-métrage d’Alice Diop, avec  Guslagie Malanda (Laurence Coly, alias Fabienne Kabou), Kayije Kagame (Rama, romancière), Valérie Dréville (la Présidente de la Cour d’assise) et Aurélia Petit (l’avocat de Laurence Coly).

    Contrairement à mon épouse, je n'ai aucun souvenir de cette "histoire vraie", le corps d’une petite Adelaïde, âgée de 15 mois, retrouvé en novembre 2013 sur la plage de Berk-sur-mer, et la condamnation de sa mère, Fabienne Kabou, pour infanticide en 2017.
    C'est le drame d'un déni de grossesse et peut-être d'un refus de maternité.

    Le spectateur a quitté la salle de cinéma pour la Cour d'assise de Saint Omer et se retrouver à l’audience, peut-être même, s’il n’est pas « récusé », parmi les jurés.
    Ce long-métrage est un docufiction, ou plutôt une fiction documentaire, fiction avec le personnage inventé de Rama, une romancière, sans doute la documentariste elle-même, Alice Diop, qui a effectivement assisté à ce procès.

    A vrai dire, cette intervenante déconcerte qui vole la vedette à l’accusée avec je ne sais quelle référence littéraire, beaucoup trop intellectuelle pour moi, qui va de Marguerite Duras à Médée, même si c’est celui de Pasolini. Dommage ! la réalisatrice aurait dû s’intéresser davantage à l’accusée, sénégalaise qui, malgré sa parfaite intégration apparente et son français impeccable, refuse d’assumer la responsabilité de son meurtre en évoquant ses relations avec sa mère restée au Sénégal, ses « voix » et ses « visions » et la nécessité de protéger son enfant de la « malveillance ». On a dit d’elle qu’elle était "une mère qui avait offert sa fille à la mer...".

    Quant à Son avocate, elle nous a passionné dans un autre registre, qui parle desguilhem de tarlé.jpg relations inextricables de la mère et de l’enfant durant la grossesse, et des « traces » évidentes de la mère dans l’enfant, mais aussi de celles de l’enfant dans la mère après la naissance…

    Réflexion à méditer qui donne à penser que tout n’est peut-être pas à jeter chez Alice Diop, réalisatrice connue par ailleurs pour ses documentaires et son militantisme contre les « violences policières » et pour la « diversité ».

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    On est sur Europe 1, avec le toujours excellent Dimitri Pavlenko, qui reçoit Viencent Hervouet. Et Ursula von der Leyen se fait "tailler un costume" par un Hervouet, très en forme, très en verve, plus "anti langue de bois" que jamais.

    Un grand moment de radio !...

    Çà décoiffe ! 

    (extrait vidéo 3'07)

    https://twitter.com/Krieger66362259/status/1625876392247283712?s=20

    1A.jpg

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Triste anniversaire, ce 16 février : premier acte de la capitulation en rase campagne de l'Eglise catholique face à la Nouvelle religion républicaine...

    1892 : Léon XIII prône le Ralliement dans son encyclique Inter innumeras sollicitudines...
     
     
    Le souhait de Léon XIII n'était évidemment pas de se rallier lui-même à "la République", ni de pousser les catholiques français à se rallier aux idéaux révolutionnaires en tant que tels. Il s'agissait simplement, dans l'esprit du pape, après l'échec de la restauration monarchique en France, et alors que la jeune république se montrait très agressive envers le catholicisme, de renoncer à une opposition systématique au régime en place, et même d'accepter la Constitution pour combattre "par tous les moyens honnêtes et légaux" les lois anti-chrétiennes, en permettant aux catholiques de peser de tout leur poids sur les nouvelles institutions...
     
    Le pape - ingénument - pensait que, les catholiques étant majoritaires en France, cela suffirait à leur faire gagner les élections, et donc à diriger ou - si l'on peut dire... - cornaquer le16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologies gouvernements :
     
    "Accepter la constitution, fait accompli, mais pas la législation, fait réformable, et pour cela, par les élections sous étiquette républicaine, s'insérer dans le régime républicain et y faire de bonnes lois." disait le pape...

    Trois mois après l'encyclique, le Pape s'adressait aux cardinaux français : "Acceptez la République, c'est-à-dire le pouvoir constitué... respectez-le, soyez-lui soumis, comme représentant le pouvoir venu de Dieu... Inutile de rappeler que tous les individus sont tenus d'accepter ces gouvernements et de ne rien tenter pour les renverser ou pour en changer la forme."

    S'adressant au Baron de Montagnac, qui refusait le Ralliement, Léon XIII s'exclama : "Faites-vous républicain d'une bonne république. Vous comprenez ? Je veux que tous les catholiques entrent, comme une cohue dans la République... Les traditions doivent céder pour un moment... vous les retrouverez après l'œuvre accomplie...  il faut abandonner les traditions pour le moment, un petit moment seulement."


    Le pape avait "simplement" oublié les paroles de Saint Cyprien, au IIIème siècle : "Il existe un mal pire et plus meurtrier que la persécution, c'est l'empoisonnement perfide de la mentalité."
     
    Sa vision, purement théorique, était une grave erreur au plan des principes, comme au plan de la tactique : descendre sur le terrain de l'adversaire en utilisant sa doctrine et ses pratiques, cela relevait d'un angélisme profond, qui, pour être sincère, n'en témoignait pas moins d'une incompré16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologiehension fondamentale de ce qu'était la république idéologique française, fondée sur les dogmes de la Révolution : cette république, cette Révolution, ces dogmes étaient - et restent - une nouvelle religion, dont le but premier et essentiel est de remplacer l'autre, la chrétienne, la traditionnelle, et de la détruire, par tous les moyens; en détruisant également toutes les racines historiques et culturelles d'un pays millénaire, l'expression "l'an 1 de la République" étant - à cet égard - parfaitement révélatrice de cette nouvelle France, de cette nouvelle société que la république idéologique - comme l'a si justement dit Jules Ferry - voulait bâtir "sans roi et sans dieu".
     
     
    Méconnaître cette haine destructrice et cette volonté farouche d'effacer tout ce qui a fait une Nation pendant mille ans - y compris et surtout ses racines chrétiennes - témoignait d'une incompréhension politique dramatique à ce niveau. La rupture avec un siècle d'opposition aux thèses révolutionnaires était brutale, et l'Eglise renonçait à combattre son ennemi mortel : le Ralliement fut à la fois un stupéfiant marché de dupes - comme les choses devaient très vite le montrer - et une non moins stupéfiante capitulation idéologique en rase campagne, pourrait-on dire...
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieLe cardinal français Pitra, qui s'opposait fermement à cette rupture dans la politique vaticane, se vit réprimander par Léon XIII lors d'une audience très pénible de trois quart d'heure, durant laquelle, debout et tête nue, il reçut les plus aigres reproches d'un Léon XIII en l'occurrence fort peu compréhensif. Le cardinal accepta, par obéissance, de ne plus s'opposer au pape, et se retira dans une abbaye, où il mourut en 1889, soit trois ans avant la publication de l'encyclique : il se contenta de déclarer "Hora est potestas tenebrarum", reprenant les paroles du Christ à ceux qui venaient l'arrêter (citées par Luc - 22) : "Haec est hora vestra et potestas tenebrarum" ("C'est ici votre heure et la puissance des ténèbres")...
     
    Le Ralliement fut peu suivi par les catholiques français, à de rares exceptions près, notamment celle de ce grand royaliste social que fut le comte Albert de Mun - qui ne tarda pas à le regretter amèrement. Mais, comme le note Michel Mourre", "se heurtant à la majorité des catholiques et du clergé français... c'est cependant dans la ligne du ralliement que put commencer à se développer, au début du XXème siècle, le mouvement de démocratie chrétienne."
     
    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologieEt, surtout, 34 ans après, les sanctions vaticanes contre l'Action française orientèrent définitivement la structure et la mentalité même de l'Eglise-institution, en la vassalisant au pouvoir républicain, qu'elle reconnaissait, de fait, comme la norme suprême, le cadre obligé dans lequel toute organisation - y compris elle-même, l'Eglise - devait agir; mais à la condition de reconnaître les lois et règles de la république idéologique comme la loi et la norme supérieure, s'imposant à tous. Et bien sûr, a fortiori, en s'interdisant de les combattre en tant que tels.
     
    C'est à ce marché de dupe, à cette capitulation en rase campagne qu'il faut sans cesse revenir; et à partir desquels on peut marquer, dater l'origine profonde et essentielle des destructions méthodiques et continues de tout ce qui faisait l'essence même de la société française...
     
     

    16 fevrier,lavoisier,révolution,republique,terreur,guillotine,pasteur,arago,le verrier,napoleon iii,meteorologie

     

    Quatre de nos Ephémérides traitent des rapports entre l'Eglise et la République idéologique française, en général, et des rapports entre l'Eglise et l'Action française en particulier :

     pour les rapports entre l'Eglise et la République idéologique française, en plus de celle-ci sur le "Ralliement", voir notre Ephéméride du 18 novembre - sur le "toast d'Alger", qui préparait les esprits à ce "ralliement";

     pour les rapports entre l'Eglise et l'Action française, voir notre Ephéméride du 29 décembre, sur les sanctions vaticanes contre l'Action française, et notre Ephéméride du 10 juillet, sur la levée de ces sanctions par Pie XII...
     
     
     
  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Dans le sillage du succès qu'est en train de devenir "Vaincre ou mourir", et pour "prendre sa vague"... : le remarquable article de Guillaume Perrault dans Le Figaro d'hier, en page 12 (malheureusement "réservé aux abonnés") : "Vendée : après la Guerre, les massacres "à froid". Ou : la destruction totale et la "purification" du pays par les Colonnes infernales de Turreau, ayant obtenu des ordres écrits de la Convention, lesquels sont conservés au Château de Vincennes...

    1A.jpg

    Pour ceux qui n'ont pu se procurer ce numéro, on peut toujours se référer à notre Album Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, Guerre de Géants... (133 photos), dont nous allons commencer très prochainement la publication en feuilleton, après celle que nous venons juste de terminer de l'Album Une visite chez Charles Maurras...

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Carte blanche à Antoine de Lacoste : La corruption en Ukraine, une histoire sans fin

     

    Peut-on continuer à dépenser des milliards aux frais des contribuables européens pour un pays notoirement corrompu ? Pour éviter que trop d’Européens ne se posent la question, le régime ukrainien s’est tout à coup lancé dans une spectaculaire opération « mains propres ».

    A la veille du sommet européen du 3 février à Kiev, des perquisitions ont eu lieu, surtout dans la capitale. A grands renforts de publicité, les équipes du SBU, le célèbre service de sécurité ukrainien, sont descendues aux domiciles de l’oligarque Ihor Kolomoïsky et de l’ex-ministre de l’intérieur Arsen Avakov. Ce dernier avait démissionné de ses fonctions le 13 juillet 2021 pour des raisons restées obscures. Quant à l’oligarque Kolomoïsky, qui fut un soutien décisif de Zelensky lors de l’élection présidentielle de 2019, les raisons de sa disgrâce sont également inconnues. Il était le Monsieur pétrole de l’Ukraine et est accusé d’un modeste détournement de 1 milliards de dollars. Détournées au détriment de qui ? L’histoire ne le dit pas encore.

    Lire la suite

  • Débat : enjeux en Ukraine pour la Russie, l’Amérique, l’Europe et la France ! par Marc Rousset

    Vidéo 1h56 :

    https://ripostelaique.com/debat-enjeux-en-ukraine-pour-la-russie-lamerique-leurope-et-la-france.html

    Lors de ce très long débat entre Marc Rousset (pro-Russie) et Jean Robin (pro-Amérique), les enjeux fondamentaux pour la Russie, l’Amérique, l’Europe et la France me paraissent être schématiquement les suivants :

     

    – L’enjeu de la guerre en Ukraine pour la Russie, c’est d’être ou non dépecée en trois, comme le souhaitait déjà Zbignew Brzezinski dans le Grand Échiquier en 1997, de ne pas avoir des missiles américains en Ukraine, de ne pas voir l’Ukraine entrer dans l’OTAN, de ne pas voir émerger une démocratie occidentale en Ukraine qui serait un poison mortel pour la Russie.
    La Russie a besoin d’un État fort pour survivre car ce pays est une Nation, mais aussi un Empire qui a gardé de nombreux territoires annexés au cours de son expansion territoriale au fil des siècles, contrairement aux nations de l’Europe occidentale car ces dernières ont colonisé sur d’autres continents par-delà les mers.

    – L’enjeu pour l’Amérique, c’est d’empêcher l’émergence d’un monde multipolaire, de détruire un ennemi stratégique, la Russie, et de mettre en place un protectorat américain encore plus complet (Finlande Suède) et marqué sur l’Europe, de type Orwell, comme on le voit avec les mensonges des médias actuels sur la guerre en Ukraine.

    – L’enjeu pour l’Europe, c’est de pouvoir devenir une Europe des nations, libre, européenne avec les valeurs traditionnelles patrie, famille, travail, de mettre fin à la décadence progressiste en cours, selon le modèle américain (invasion migratoire, LGBT, droit de l’hommisme, natalité catastrophique, réchauffement climatique par l’homme, etc.). L’enjeu est donc civilisationnel, mais aussi géopolitique car cette Europe des nations devrait quitter l’OTAN et se rapprocher de la Russie.

    – L’enjeu pour la France, c’est la fin de son indépendance militaire, politique et la survie de la langue française. Macron et von der Leyen viennent, sans faire de bruit, de procéder à un coup d’État en imposant l’anglo-américain comme unique langue de travail à la Commission de Bruxelles. L’avenir de la France, aujourd’hui, c’est une nouvelle Louisiane si l’Amérique gagne la guerre en Ukraine. La France deviendrait alors la province d’une UE fédéraliste et de culture anglo-saxonne !

  • Au Cinéma : La Famille Asada, par Guilhem de Tarlé

    1A.jpgA l’affiche : La Famille Asada, un film japonais (VOSTF), inspiré de faits réels, de Ryôta Nakano, avec Kazunari Ninomiya ( Masashi Asada, auteur d’un album de photos Asadake).

    La Famille Asada… Jamais 2 sans 3… C’est Anne Brassié (Perles de Culture, sur TV Libertés) qui m’a incité à voir, après Maternité éternelle et Mademoiselle Ogin,  cet autre film japonais dans lequel, précisait-elle,  « les Japonais n’y sont plus accroupis !!!!! ». il s’agit cette fois-ci de japonais avec un appareil de photos !

    J’ai lu aussi une bonne recension de cette production dans la revue La Nef qui mentionne une « émotion (…)bouleversante ».
    Désolé, mais ce trop long métrage (2h07) ne m’a ni ému, ni bouleversé, ni même amusé. Sans doute, suis-je allergique au cinéma japonais dont j’ai vu une petite douzaine de réalisations qui, pour la plupart, m’ont ennuyé ou presque…

    La Famille Asada, n’a pas réussi, elle non plus, à m’intéresser sur le sujet, pourtantguilhem de tarlé.jpg intéressant, de la photo qui reste quand les photographiés nous ont quitté, seul lien social avec les absents et partant seule trace de notre passé familial dans notre présent.
    Après avoir composé des photos de famille, le photographe Mashi Asada a acquis sa célébrité en restaurant les photos retrouvées dans les décombres du tsunami du 11 mars 2011(Fukushima), qui ont permis aux rescapés de renouer avec leurs disparus.

    Mon épouse a aimé… moi pas… mais je m’étonne du silence complet du réalisateur japonais quant à la catastrophe nucléaire consécutive au séisme…

  • Le nouveau numéro de « Royaliste » (numéro 1250, daté du 13 février) est paru...

    1A.jpg

     
    AU SOMMAIRE
     
    Page 1 - Vert-de-gris
    Page 2 – Retraites: « C’est l’combat qu’on mène! » – Sur le mur de Jean Chouan.
    Page 3 – Après les balcons, l'oubli ? – La politique au crible.
    Page 4 – L'Union européenne, cette grande nébuleuse. – La quinzaine sociale.
    Page 5 – Dans le bain communautaire.
    Page 6 – Pérou : un narco-État prospère. – Voix étrangères. – Les Faits marquants.
    Page 7 – Trois sommets à Ryad : De Zheng He à Alibaba.
    Pages 8-9 – L'eau, une ressource politiquement sensible (Entretien avec François Molle).
    Page 10 – Chine : vers l'effondrement de l'empire ?
    Page 11 – Adieu à Philippe Tesson.
    Page 12 – La littérature sous contrôle – La BD se porte bien, mais…
    Page 13 – Monsieur de Charette au cinéma.
    Page 13 – Interdit aux chiens et aux Italiens. – Séries TV : Glass Onion.
    Page 14 – Henri d'Astier de La Vigerie (deuxième partie).
    Page 15 – Brèves royales.
    Page 15 – Mercredis de la NAR – Journée de l'IFCCE.
    Page 16 – Éditorial : La colère des sacrifiés
     
    Pour acheter ce numéro ;
    Pour nous soutenir et “s'abonner” :
    Pour nous écrire :
  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    Fiasco du Stade de France : désaccord sémantique avec Philippe Bilger !

    • Philippe Bilger dit :

    "#Fiasco du Stade de France : un rapport accablant contre la hiérarchie policière et le ministre de l’Intérieur. Une honte nationale et internationale. Personne n’a été et ne sera sanctionné. C’est la #France!!!"

    • Nous lui répondons, évidemment très amicalement :

    Non, Philippe Bilger, ce n'est pas "la France" : c'est "le Régime", "le Système", "la République idéologique", qui sont comme une tunique de Nessos, qui tue à la longue ce beau pays qui était, jadis, le mieux géré d'Europe - aux dires des Ambassadeurs de Venise et d'ailleurs... - le pays à la pointe du progrès dans tous les domaines... et que notre République idéologique a transformé en un pays en voie de tiers-mondisation acccélérée :

    •  avec son Etat obèse et impuissant, qui croule sous ses archaïsmes, ses inefficacités et ses injustices...

    •  ses plus de 450.000 Lois, normes et règlements souvent contradictoires, et plus souvent encore paralysantes et décourageantes (pourquoi tant de jeunes Français quittent-ils la France ?)...

    • l'insécurité chronique qu'il a lui-même organisée et installée, aussi bien dans les villes que dans les campagnes, avec sa folle politique d'immigration/invasion, imposée à un Peuple qui n'a rien demandé et à qui le-dit Système se garde bien de demander son avis par référendum, qu'il sait perdu d'avance pour lui...

    • la Dette himalayenne de plus de 3.000 milliards d'euros qu'il a créee et qui hypothèque gravement notre avenir, notre sécurité et notre indépendance nationale...

    • bref son Etat idéologique incapable d'être, tout simplement, un État normal, véritable, au seul service du Pays et de ses intérêts supérieurs et vitaux, comme l'est par exemple, l'État Suisse...

    Ce n'est pas "la France" qu'il faut incriminer à chaque fois  : sur-administration, sur-imposition qui frôle le confiscatoire, Santé en péril, École démolie, Armées échantillonaire malgré la qualité indéniable de nos ingénieurs militaires, pauvreté qui augmente sans cesse, avec son cortège de précarités, mal-logés et mal nourris (ces files impressionnantes aux Restos du Coeur, Banques alimentaires et autres : mais où on est ?)...

    Non, ce n'est pas "la France" qui est fautive ou bien qui serait "née comme ça" ! C'est le Système qui nous tue parce qu'il est mauvais et que, comme un arbre malade, il produit des fruits mauvais...

    LA FRANCE MÉRITE MIEUX QUE CE SYSTÈME  FAILLI EN TOUT ET PARTOUT !

    IL FAUT LUI RENDRE SON RÉGIME TRADITIONNEL,

    CELUI QUI L'A FAITE,

    ET LUI ARRACHER CETTE TUNIQUE DE NESSOS QU'EST LE SYSTÈME ET QUI LA TUE !

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    "Ce séisme nous rappelle aussi que la géographie et l’histoire refont surface en décalcomanie..."

    Merci à Alexandre del Valle de nous avoir signalé ce très intéressant article de Tigrane Yégavian, après les deux terribles tremblements de terre en Turquie/Syrie : sous les décombres, failles, fractures et canyons crées par ces deux monstres, ré-apparaît un royaume oublié - et menacé aujourd'hui, dans ce qu'il en reste : l'Arménie...

    Alexandre del Valle
     "Le #séisme dramatique en #Turquie/ #Syrie nous rappelle que la géographie et l’histoire refont surface en décalcomanie. La zone de l’épicentre et ses alentours retracent la carte d’un royaume disparu. Par Tigrane Yégavian pour @LeDialogueFR"

     

    lfar espace.jpg

     

    Lire la suite

  • Guy Bertran de Balanda : trois ans déjà, toujours présent !

    1A.jpg

    Photo prise aux États-Unis, lors d'une visite chez l'un de ses fils, Axel, qui vit et travaille là-bas...

    À l'occasion de ce troisième anniversaire de l'entrée de Guy dans le vrai Royaume, nous lui dédions les deux derniers ajouts de notre Page d'accueil quotidienne du Blog, qui forment maintenant une sorte de "triptyque maurassien" et que nous venons de terminer tout récemment :

    • Vous ne connaissez pas Charles Maurras ? Ou, vous aimeriez mieux le connaître ? Ce Feuilleton/Album est fait pour vous...

    • Maurras est ostracisé, "interdit" par le Système, pour cause d'antisémitisme. Bon, mais tous ceux-ci, qui ont écrit des propos très durs sur les Juifs, ne le sont pas : pourquoi ?

     

    L'an passé et l'année précédente, la famille de Guy a organisé une Messe en la cathédrale d'Aix, suivie d'un repas familial. J'étais convié et, naturellement, j'étais présent. Il en sera de même cette année, ce rendez-vous s'installant ainsi comme une tradition familiale. Bénédicte (soeur aînée de Guy) vient de me confirmer la préparation par Hugues (frère cadet) de la prochaine Messe en la Cathédrale saint Sauveur d'Aix et du repas/réunion familiale qui s'ensuivra. Comme les deux années précédentes, je suis invité aux deux et, naturellement, j'y serai, avec notre Rédacteur en chef Jean-Baptiste Collomb, vous représentant tous, vous qui avez connu et apprécié Guy mais ne pourrez être sur place ce jour-là...

    François Davin, Blogmestre