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Le prétendant au trône de France, le prince Jean d'Orléans, continue d'assurer sa mission de sauvegarde du patrimoine français. Le château de Vendôme a annoncé aujourd'hui que le comte de Paris avait accepté de prendre la présidence d'honneur de l'association qui gère ce qui reste de ce château médiéval.
La vie ayant été suspendue pendant deux mois aux pérégrinations d’un virus, il est inéluctable que les batailles médicales deviennent des guerres politiques, voire géopolitiques.
La bataille autour de la figure du Pr Raoult devient foire d’empoigne. Selon la logique de la guerre analysée par Clausewitz, nous assistons à la montée aux extrêmes. Les études scientifiques répondent aux études scientifiques ; les anathèmes aux anathèmes ; les insultes aux insultes ; les menaces aux menaces.
Après s’être trouvés plusieurs points d’accord sur la question du souverainisme, Michel Onfray a laissé entendre, dans une pointe d’humour, qu’il ne serait pas contre l’idée qu’Éric Zemmour prenne la plume dans pour sa revue “Front populaire”.
Marcel Gauchet intervient sur REACnROLL et répond aux questions d’Elisabeth Lévy sur le phénomène assez fascinant du très médiatique Didier Raoult. Ce médecin serait devenu la figure de proue du populisme dans les « territoires ». Applaudi par la France périphérique avec son traitement peu onéreux contre le Covid-19, ses méthodes remettent en question la légitimité des autorités politiques et scientifiques.
La crise sanitaire n’est certes pas une peccadille, mais la façon terriblement bureaucratique dont se comporte la Présidence et le Gouvernement me parait aussi grave. Avec une différence : nous avons les plus grandes chances de venir à bout de la pandémie, tandis que nous ne savons pas comment résoudre le problème posé par l’amateurisme de nos dirigeants et leur goût pour les procédures les plus bureaucratiques.
Après la mort de George Floyd, manifestations et émeutes aux États-Unis. Ces manifestations s’importent aussi en France. Que cela révèle-t-il de notre société ? Réponse de Gilles-William Goldnadel au micro de Boulevard Voltaire.
1. Donald Trump dénonce l'extrême gauche dans l'exploitation violente de la légitime colère née de la mort de George Floyd....
2. Eric Zemmour lui donne raison en notant avec justesse qu'ici, en France, les soit-disant antiracistes, indigénistes et compagnie rêvent d'importer la même guerre ethnique qu'à Minnéapolis...
3. Tout ceci nous ramène à une réflexion déjà ancienne mais fort juste d'Alain Finkielkraut : "L'antiracisme sera, le communisme du 21ème siècle..."
Un mélange de deux chroniques aujourd'hui (Rire et sourire un peu et En Français s'il-vous-plaît), pour faire d'une pierre deux coups !
On profitera d'un sourire pour souligner une fois de plus le ridicule de certaines dénominations imposée - on se demande bien pourquoi - par les différentes chaînes de radio/télévision : C News, qui s'appelle, justement, C News ! Certes, le titre La chaîne info, abrégé en LCI est déjà pris, mais il y a bien d'autres façons de nommer, en français correct, une chaîne dédiée à l'information...
Et que dire de la grotesque appellation Punchline donnée à l'heure de débat animée par Laurence Ferrari, juste avant le débat de Zemmour sur la même chaîne ? Plus ridicule que "ça", tu meurs !
On le sait, lafautearousseau estime de son devoir de relayer tous les jours tout ce qui se fait, dans toute la France, en vue du Bien commun; et se trouve ainsi, en permanence, aux côtés de tous les militants du pays, en donnant le maximum de résonance à leur action, dans la limite, évidemment, de ses moyens et possibilités, que nous travaillons à augmenter sans cesse, afin que l'audience de ces action relayées soit toujours de plus en plus grande...
En ces temps de déconfinement, il nous parait nécessaire de tirer un bilan objectif de cette crise sanitaire. Car elle a révélé la catharsis systémique et l’empirisme nous impose d’en tirer les leçons.
Force est de constater qu’au nom de la crise sanitaire et de la sécurité, la république a imposé des mesures de surveillance généralisée et de restriction des libertés, des mesures sociales et économiques.
De plus, le choix du confinement a comme conséquence la crise économique qui tout comme la 1ère ne semble que très peu anticipée. Nos politiciens, qui n’ont comme unique vision politique que leurs réélections et de rentrer dans les contraintes budgétaires de l’Europe, ne pourront proposer comme solutions que des sparadraps sur une jambe de bois.
Il y a bientôt 600 ans, une jeune fille pétrie d'humilité, prit à bras le corps sa destiné. De Domrémy à Chinon, de Reims à Rouen, son dévouement fut entier à la France.
L'an 1429, la nation s'est unie derrière une bannière : prophétesse pour les uns, envoyée de Dieu pour les autres. Tous se sont accordés, même ses ennemis confondus malgré eux dans leur orgueil, à donner la place qui revenait à cette jeune femme.
Mercredi 22 mai, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Jean-François Kesler sur le thème “Faut-il supprimer l'ENA ? ”. A l’issue du « Grand débat », Emmanuel Macron a annoncé la suppression de l’École nationale d’administration. Depuis les années soixante du siècle dernier, l’ENA fait l’objet de critiques virulentes : considérée comme le foyer de la technocratie, elle est dénoncée comme une fabrique de fonctionnaires coupés du réel dont les réseaux dominent l’État. Dès lors, “faut-il supprimer l’ENA ?”
Pour répondre à cette question qui va être débattue dans les prochains mois, nous avons demandé à Jean-François KESLER de nous donner un avis qui est très bien informé : ancien élève de l’ENA puis administrateur civil au ministère de la Santé, il est ensuite entré au CNRS pour mener des recherches sur l’administration. Nommé directeur-adjoint de l’ENA en 1983, il a notamment publié « L’ENA, la société, l’État » (Berger-Levrault, 1985), « Les Hauts Fonctionnaires, la politique et l’argent, Grandeur et décadence de l’État républicain » (Albin Michel, 2006), et « Le Pire des systèmes à l’exception de tous les autres, De l’énarchie, de la noblesse d’État et de la reproduction sociale » (Albin Michel, 2007).