UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Sur le site de l'URBVM : Bilan de la crise Covid-19, par Julien Rémy.

En ces temps de déconfinement, il nous parait nécessaire  de tirer un bilan objectif  de cette crise sanitaire. Car elle a révélé la catharsis systémique et l’empirisme nous impose d’en tirer les leçons.

Force est de constater qu’au nom de la crise sanitaire  et de la sécurité, la république a  imposé des  mesures de surveillance généralisée et de restriction des libertés, des mesures sociales et économiques.

De plus, le choix du confinement a comme conséquence la crise  économique qui tout comme la 1ère ne semble que très peu anticipée. Nos politiciens, qui n’ont comme unique vision politique que leurs réélections et  de rentrer dans les contraintes budgétaires de l’Europe, ne pourront proposer comme solutions que des sparadraps sur une jambe de bois.

La république semblait en apparence avoir fait le choix de renoncer à sa souveraineté politique, mais la crise sanitaire révèle au grand public ses conséquences : la perte de notre souveraineté industrielle et sanitaire.

En effet la pandémie est révélatrice d’une faillite structurelle et institutionnelle : le retard dans l’approvisionnement indispensable en matériels médicaux montre l’absurdité d’avoir renoncé à défendre notre tissu industriel.

Le choix du libre-échange généralisé, avec en  parallèle, l’adoption d’une monnaie unique nocive pour notre compétitivité, a accentué le déclin de notre industrie, dans un monde toujours plus concurrentiel.

L’URBVM avec la restauration nationale n’ont eu de cesse de critiquer les dérives d’une construction européenne dont la vision libérale à imposer aux états membre de renoncer à toute préférence nationale; ainsi que la budgétisation de la politique  républicaine coincé entre son quinquennat et l’Europe qui oblige une vision gestionnaire et comptable tristement court-termiste.

L’injonction à réduire la dépense publique, avec le contrôle communautaire des budgets nationaux, a conduit la république  à des politiques d’austérité des dépenses de santé. Considéré comme l’un des meilleurs au monde il y a encore vingt ans, rappelons que 17.500 lits d’hospitalisation ont été fermés entre 2013 et 2018 dans l’hôpital public. On conduit également à l’abandon du stock stratégique de masques, qui se paie aujourd’hui par des dizaines de milliers de morts et des milliards d’euros de perte d’activité économique.

Cette crise, si besoin était, a révélé toute la pertinence  de la défense des intérêts nationaux, et toute leur primauté.

La crise actuelle est révélatrice des sujets tabous de notre société tels que la préférence nationale, la fermeture des frontières ou l’incurie de l’union européenne : ceux qui osent le dénoncer sont  marginalisés, quand ils ne sont  pas purement et simplement ramenés au fascisme.

La politique républicaine à la remorque de l’Europe s’est bornée à une construction politico-juridique dépourvue de vision de long terme pour laquelle les responsables se cachent volontiers derrière le droit communautaire ou encore la Convention européenne des droits de l’homme.

Le fiasco de la politique migratoire européenne s’est de nouveau reproduit à l’occasion de cette crise sanitaire, à l’exemple des vols de masques entre États membres aux pathétiques “sommets de la dernière chance”. Les pays du Nord se sont montrés réticents à concéder des sacrifices par solidarité avec le Sud, qui auraient notamment consisté en une mutualisation partielle des dettes publiques, considérant que ces pays ne méritaient pas un soutien de cette ampleur. L’accord obtenu, s’il représente bien un effort, demeure très éloigné de ce qui aurait été nécessaire, d’autant qu’il est d’ores et déjà acté qu’une nouvelle cure d’austérité succédera au plan de relance, engendrant toujours davantage de morts et de casse sociale, répétant les erreurs déjà commises après la crise de 2008.

Le moment est donc venu d’acter l’échec de la république qui a abandonné sa souveraineté  pour des instances supranationale et de construire une politique adaptée à la réalité se concrétisant sur  un plan d’action industriel visant à notre indépendance industrielle et sanitaire. La mise en place de ce plan nécessite le long terme et de se soustraire aux promesses électorales dans le seul intérêt du bien commun.

Ceci implique un fédérateur indépendant incarnant notre souveraineté  permettant une politique sur le long terme, qui mieux qu’un roi saurait incarner cet espoir !

Plus que jamais l’Action Française s’accroît dans l’Ouest avec l’extension des sections actuelles et la création d’une nouvelle en cours sur Brest.
Depuis deux ans, nos équipes se sont étoffés du fait de la fusion de la RN et de l’AF  permettant ainsi la réunification de plusieurs générations.
Les groupes locaux déjà existants travaillent avec nous pour former leurs militants. Petit à petit se forme un maillage d’initiatives au service du bien commun.

Cap sur le Camps Maxime Réal del Sarte  2020 !
Le rôle de l’Action Française est de former des cadres nécessaires au redressement de la France, selon le quadrilatère  Maurrassien.
L’université d’été 2020 est en cours de préparation, nous sommes actuellement en train de contacter nos intervenants et de recruter des bénévoles pour nous aider.
https://www.actionfrancaise.net/2020/03/22/cmrds-2020/

Comment nous aider ?
Faites connaître notre université d’été autour de vous, inscrivez-vous, inscrivez vos enfants. Proposez-votre aide en cuisine, pour la logistique, la communication, ou les gardes d’enfants.
Faites un don (déductible d’impôts) pour nous aider à financer la participation des étudiants à notre université d’été et pour investir dans de meilleurs outils de communication (matériel, achat d’espace publicitaire, impression de tracts, location de locaux pour des évènements).
Nous vous remercions pour votre soutien.

Commentaires

  • Avant de le mettre en ligne, il aurait été bien de relire cet article pour en corriger les quelques "coquilles" grammaticales (disons-le ainsi) qui s'y trouvent et qui, de ce fait, le dévaluent. Ce qui est bien dommage.

  • Bonjour à vous.
    Cela a été fait.
    Avec nos excuses.

Écrire un commentaire

NB : Les commentaires de ce blog sont modérés.

Optionnel