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  • Réforme du collège, Eric Zemmour : « Pauvre Droite, traitée de conservatrice, alors qu'elle n'ose pas être réactionnaire »

     

    Eric Zemmour a bien raison de rappeler que « la Droite est complice de ce qu'elle dénonce » et que « depuis quarante ans les ministres de Droite ont complaisamment laissé la rue de Grenelle aux mains des pédagogistes adeptes de Bourdieu et d'une extrême gauche libertaire, féministe, écologiste, muticulturaliste, qui a imposé ses thèmes pour endoctriner les nouvelles générations, entre repentance et développement durable ...  » 

      


  • Une fête pour les 50 ans de Monseigneur le duc de Vendôme ... Tous nos souhaits au prince Jean !

     

    L'héritier de la Maison royale de France, Monseigneur le prince Jean de France, duc de Vendôme, fêtera mardi son cinquantième anniversaire. Né le 19 mai 1965, le prince célébrera son cinquantième anniversaire lors d’une réception offerte par son épouse Madame la duchesse de Vendôme au Domaine Royal de Dreux.

    Après une messe célébrée en l’église Saint-Pierre de Dreux, le dimanche 24 mai 2015, un déjeuner sera servi au Domaine Royal. Les nombreux invités de Madame la duchesse de Vendôme seront ensuite conviés à la visite du beffroi et de la ville de Dreux avant de rejoindre le Domaine royal pour une collation.

    Afin de marquer dignement l'anniversaire de l'héritier de la Maison royale de France, le blog de La couronne publiera, dès aujourd'hui et jusqu'à mardi sur sa page officielle, plusieurs séries de photos consacrées au Prince et à sa famille. Les lecteurs de Lafautearousseau ne manqueront pas de s'y reporter. 

    la-couronne

  • Brexit or not Brexit ? Par Jacques Burnel*

     

    Les résultats inattendus des élections législatives en Grande-Bretagne dessinent des inconnues dans les horizons anglais et européens.

    Et le « Brexit » est devenu une perspective envisageable… En faisant mentir tous les sondages qui promettaient des résultats serrés, la réélection triomphale du Premier ministre David Cameron a bouleversé la donne au Royaume-Uni. Exit Ed Miliband, dirigeant d’un parti travailliste qui connait sa plus sévère défaite depuis 1987. Avec 331 sièges à la Chambre des communes, les conservateurs obtiennent la majorité absolue. Confirmé dans ses fonctions par la reine, comme c’est l’usage dans cette monarchie parlementaire, David Cameron aura les mains libres pour former un gouvernement 100% Tories même s’il a affirmé vouloir « rassembler le pays ». Il a ainsi rendu hommage à son ex vice-premier ministre libéral-démocrate Nick Clegg, l’un des grands perdants de ce jeu électoral aux résultats inattendus. Avec Ed Miliband et Nigel Farage (dont le parti anti européen UKIP n’a obtenu, en raison du mode de scrutin majoritaire, qu’un seul siège malgré son arrivée en troisième position), il fait partie de ces dirigeants de parti pour lesquels ces élections auront été fatales.

    Quelles sont les raisons d’une victoire que même les plus optimistes des conservateurs n’espéraient pas ? La première tient à l’enjeu européen revêtu par cette élection britannique. Poussé par l’aile eurosceptique de son parti (1/3 des députés Tories) et la montée en puissance de l’UKIP, qui milite pour une sortie de l’UE, David Cameron avait promis, en cas de victoire, de tenir d’ici fin 2017 (mais il pourrait finalement avoir lieu dès 2016) un référendum sur le maintien ou non du Royaume-Uni dans l’Union européenne. Une promesse qui a visiblement été entendu par une opinion britannique travaillée par cette question.

    La deuxième tient à la déroute des travaillistes en Ecosse, un bastion historique du New Labour. Le pays au chardon a offert 56 sièges sur 59 au SNP (Scottish National Party, indépendantiste et classé à gauche de l’échiquier politique), privant le Parti travailliste d’autant de voix à Westminster. Les électeurs écossais de gauche ont-ils voulu faire payer au Parti travailliste son alliance avec le Parti conservateur sur la question de l’indépendance, rejetée par référendum en 2014 ? Ou se sont-ils souvenus que, lors de la magistrature précédente, Miliband s’était interdit de s’allier avec eux au Parlement de Londres ? Toujours est-il que les indépendantistes écossais deviennent le troisième parti représenté à la Chambre des communes et que, si ce succès inédit enfonce les travaillistes, il pourrait jouer des tours à la majorité conservatrice dont les marges de manœuvre seront étroites. Car les représentants du SNP ne manqueront pas de faire valoir le manque de légitimité du gouvernement de Londres pour les représenter.

    D’autant plus que le SNP, pro européen, voit d’un très mauvais œil le référendum sur l’adhésion à l’UE. En cas de « Brexit » et d’indépendance de l’Ecosse, Glasgow devrait en effet renégocier une laborieuse et hypothétique adhésion à l’UE. C’est ce qui avait freiné un certain nombre d’écossais en 2014, tentés par l’indépendance. « Emancipez-vous de la Grande-Bretagne et vous sortez de l’Europe ! », leur avait dit Bruxelles, oubliant tous ses principes fédéralistes dans la crainte d’un fâcheux précédent…

    Reste à David Cameron à naviguer entre ces différents écueils pour réussir à éviter un « Brexit » qu’il ne souhaite pas. Avant les législatives, il a prévenu qu’il avait l’intention de faire campagne pour le maintien dans l’Europe. Mais seulement si Bruxelles répond à ses exigences comme celle de rapatrier certaines de ses compétences vers les Etats membres, notamment en ce qui concerne la politique agricole commune, la politique énergétique et l’immigration. Un sujet de plus en plus sensible en Angleterre. L’UE pourrait céder sur un certain nombre de points. Mais quelle sera la réaction des autres partenaires européens ? C’est l’inconnue de l’après élection en Grande-Bretagne. En attendant celle, majuscule, du résultat du référendum de 2016 ou 2017. 

    *   - Politique magazine

  • Jack Lang, de nouveau ... Et si le diable se faisait ermite ? Faut-il le croire ? Question ouverte ...

     

    Substantiellement et sans préjuger de ce qu'on en fera, cette « Fête de la fierté française » n'est pas une mauvaise idée. D'ailleurs, curieusement (!) les médias n'ont pas beaucoup repris le thème... 

    Source : commentaire de Pierre Builly - Lafautearousseau - Lundi 18 mai 2015 11h07

  • La Semaine de MAGISTRO, une tribune d'information civique et politique

    1584417371_2.jpgDépassons les appareils et les discours dits de droite, dits de gauche ou d'ailleurs  ...  partageons les fondamentaux !

    MAGISTRO vous invite à lire :

    • Maxime TANDONNET   Haut fonctionnaire, ancien conseiller à l'Elysée sur l'immigration  Liberté chérie et menacée
     • Jean SALVAN   Officier, général de corps d'armée (2S) Du bon choix des dictateurs
    • Chantal DELSOL  Professeur de philosophie politique, Membre de l'Institut  Compter les groupes : un crime ?
    • Sophie de MENTHON   Présidente d'ETHIC, Membre du CESE   On simplifie... les femmes !
    • Philippe BILGER  Magistrat honoraire, Président de l'Institut de la parole  L’amateurisme souriant et buté de Mme Vallaud-Belkacem
    • François-Xavier BELLAMY  Professeur de philosophie   Réforme du collège : les raisons de la rébellion
    • Maxime TANDONNET   Haut fonctionnaire, ancien conseiller à l'Elysée sur l'immigration   Immigration : politique de quotas, le symbole d'une Europe impuissante
    •  Annie LAURENT   Journaliste, essayiste, conférencière  La négation du génocide

     Basile de KOCH   Journaliste   L'opération Némésis - Crime et châtiment                                                                                         

    Transmettez, faites suivre ...

     

  • Selon que vous aurez nom et couleur de peau… par Louis-Joseph Delanglade

     

    Lundi 11, M. Sarkozy dénonce « la médiocrité » de Mmes Taubira et Belkacem. Réaction immédiate sur les ondes de R.T.L. et B.F.M. de M. Cambadélis, Premier secrétaire du P.S., qui juge cela « légèrement xénophobe » et de M. Sapin, ministre, qui parle de « bas instincts ». Pour eux, M. Sarkozy « a mis dans une même phrase une ministre qui a une couleur de peau et une ministre qui a un nom ». M. Sarkozy serait donc xénophobe. Or, puisquelles sont réputées françaises, ce sont MM. Cambadélis et Sapin qui ramènent ces deux dames à leurs « origines ». On est en droit de soupçonner que, pour eux, certaines personnes, du fait de leur « nom » ou de leur « couleur de peau », sont intouchables - ce qui, pour le coup, ressemblerait furieusement à une approche « ethnique ». En fait, cela porte un nom, cela sappelle la discrimination positive.

     

    Le piquant de laffaire, c'est quen faisant de Mmes Taubira et Belkacem des ministres de premier plan, M. Hollande na fait quavancer dans la voie de son prédécesseur, lequel avait déjà promu des dames issues de « la diversité » (Mmes Amara, Dati, Yade) et en raison même de cette origine, pour bien montrer son esprit douverture et de modernitéQuaujourdhui M. Sarkozy cible principalement Mmes Taubira et Belkacem nest donc peut-être pas tout à fait neutre mais sinscrit à coup sûr parfaitement dans son jeu politicien. Il sait quelles sont dabord là pour ce quelles sont, pour le symbole quelles représentent, malgré leur échec patent et l’échec annoncé des mesures dont elles nous menacent. Il sait aussi que cest pour ce symbole que M. Valls défend bec et ongles ce que M. Bilger appelle « l'idéologie péremptoire de Mme Taubira et l'amateurisme souriant et buté de Mme Vallaud-Belkacem »: le Premier ministre ne rate ainsi jamais une occasion dintervenir, allant jusqu’à répondre à leur place, lors des questions qui leur sont posées dans lhémicycle.

     

    En fait, et quon le veuille ou non, la fameuse « diversité » pose un problème, et dabord à ceux qui sont directement concernés, ceux et celles qui, pour reprendre les mots de MM. Sapin et Cambadélis, ont « un nom » et « une couleur de peau » : témoin, Mme Rokhaya Diallo, militante associative, qui, à lentendre, veut tout à la fois être reconnue pour ce quelle est mais sans être remarquéeQuon nait pas à sen prendre aux gens pour ce quils sont relève du bon sens et, surtout, du savoir vivre le plus élémentaire. Peu importent les « origines » de Mmes Taubira et Belkacem. Ce qui compte, sur le plan politique, cest le fiasco de leurs ministères respectifs. Le vrai scandale est que cet échec ne puisse être dénoncé sans que certains poussent des cris dorfraie en raison dune « origine » qui, à leurs yeux, devrait leur valoir une sorte dimmunité.

     

    Si on va au bout de la logique de MM. Cambadélis et Sapin, il conviendrait sans doute de judiciariser cette immunité, ce qui équivaudrait ni plus ni moins à la reconnaissance dun véritable privilège que rien ne saurait légitimer. 

     

  • « Tout doit être fait pour empêcher l'État islamique de massacrer Palmyre » - D'accord avec Jack Lang ... Une fois n'est pas coutume

     

    Vous pouvez n'écouter que la première minute de la vidéo qui suit. Jack Lang s'y exprime avec clarté, force, voire avec une certaine violence, sur les menaces de destruction qui pèsent sur Palmyre ... C'est sur cette minute-là que nous sommes d'accord avec Jack Lang. Sa réaction est aussi la nôtre, car, pour toutes sortes de raisons fort évidentes, la destruction de Palmyre serait, en effet, un drame, peut-être pour l'humanité mais surtout pour nous, Français, de civilisation largement gréco-romaine et méditerranéenne ...  

    Lang n'y va pas par quatre chemins : « Je le dis, oui, c'est un drame pour l'humanité. Il faut avoir eu le privilège d'aller à Palmyre, cette cité sublime, magique qui est l'expression d'une immense civilisation. On a le souffle coupé quand on est à Palmyre. Je ne peux pas imaginer une seconde qu'on puisse détruire Palmyre. C'est pourquoi - je ne suis pas un stratège militaire mais ... - tout doit être fait, pas seulement en paroles, par nos gouvernements, par les pays, pour massacrer ces types de Daech qui sont à quelques pas de Palmyre, pour les empêcher de massacrer Palmyre. Il faut sauver, sauver, sauver Palmyre ». Ce que, soit dit en passant, s'emploie à faire - elle seule le peut - l'armée de Bachar El Assad ...

    Le reste de la vidéo se poursuit sur d'autres sujets, où Lang multiplie considérations réalistes de bon sens et utopies ou verbiage ... L'écoute qui voudra. Ce n'est plus, ici notre objet.   

     

     

    RTL

     

  • Et nous serons en Amérique ...

  • Loisirs • Culture • Traditions ...

     

    A mon avis, le nerf de la guerre c’est de reconquérir culturellement la société (...). La réaction politique (...) ne pourra aboutir qu’après.

    Eric ZEMMOUR

    Politique magazine - Entretien - Avril 2015

  • SOCIETE • Après Hollande à Cuba, Raúl Castro chez le pape François ... Drôle de marxiste, ce Castro ! Lisez donc ...

     

    Nous avons peut-être tort, sinon d'être antimodernes, du moins d'être trop critiques envers notre époque. Elle a au moins une qualité : c'est que tout y devient possible ! Elle fait voler en éclats les vieux clivages, les blocs, les catégories toutes faites. On en voit, on en apprend de belles tous les jours ! Ainsi de ces déclarations - que nous rapporte le Figaro magazine - de Raúl Castro, militant révolutionnaire, chef d'un Etat officiellement marxiste-léniniste, président de l'un des derniers pays communistes de la planète. Voilà de quoi ajouter au trouble de l'aimable Raphaël Glucksmann qui ne cesse de se lamenter de ce que la gauche est en train de perdre l'hégémonie idéologique et culturelle ... Faudra-t-il un jour ranger Raúl Castro parmi les néo-réacs ?  • 

     

    François Hollande demeurera le premier chef d'Etat français à avoir posé le pied à Cuba depuis 1898. Mais c'est le pape François qui, à la surprise générale, vient d'être « cordialement » remercié par le président Raúl Castro. Reçu dimanche dernier au Vatican, le frère de Fidel a exprimé toute sa gratitude au Souverain Pontife pour sa « médiation », qui a permis le rétablissement des relations entre Cuba et les Etats-Unis. Certes, le Vatican a bien précisé qu'il s'agissait d'un entretien privé et non d'une visite d'Etat, mais l'affaire ne passe pas inaperçue dans Ille communiste. D'autant plus que le dirigeant cubain s'est déclaré « très marqué » par sa rencontre avec le Saint-Père. assurant qu'il « (lisait) tous ses discours » et « (se rendrait) à toutes ses messes » quand ce dernier visitera Cuba en septembre. « J'ai eu une réunion très agréable avec le pape, qui est un jésuite comme vous le savez. Et moi, j'ai été dans des écoles de jésuites. Si le pape continue à parler ainsi, un jour je recommencerai à prier et je retournerai à l'Eglise catholique. Et je ne le dis pas pour plaisanter », a-t-il même ajouté. 

    CYRIL ROFSTEIN

    Figaro magazine du 15.05.2015

     

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  • LIVRES • Une BD politiquement incorrecte ! Par Anne Bernet*

     

    anne bernet.pngVoici certainement la bande dessinée la plus forte de ces dernières années. Et la moins politiquement correcte.

    Depuis qu’enfant, il a vu ses copains maltraiter un garçon « mongolien », Fabien vit dans la terreur panique du handicap mental. Les grossesses de son épouse le plongent dans l’angoisse. Et, lorsque, peu après la naissance de Julia, leur seconde fille, le pédiatre leur annonce qu’elle est trisomique, il a l’impression que le ciel lui est tombé sur la tête. Comment, pourquoi la maladie n’a-t-elle pas été détectée à temps, permettant de supprimer le bébé avant sa naissance ? Pourquoi Julia, cardiaque, s’accroche-t-elle à la vie alors que son père voudrait la voir morte ? Pourquoi cette catastrophe leur est-elle tombée dessus ?

    De la révolte au désespoir, Fabien refuse d’aimer cet enfant pas comme les autres. Jusqu’au jour où, malgré les regards apitoyés ou méprisants des autres, l’amour paternel jaillit et lui fait comprendre que Julia, loin d’être un malheur pour les siens, pourrait bien être une grâce.

    Toulmé se met à nu, sans pudeur, sans rien cacher de ses sentiments, fussent-ils inavouables et, loin de tous les discours convenus et moralisateurs, rappelle que l’amour l’emporte sur tout. « Ce n’est pas toi que j’attendais, mais je suis quand même content que tu sois venue ».  •

     

    Ce n’est pas toi que j’attendais, de Fabien Toulmé, Delcourt, 250 p., 18,95 euros.

      

  • Action française • Retour sur le colloque « Dessine moi un roi » et sur le Cortège Traditionnel de Jeanne d'Arc, dimanche dernier à Paris

    Les militants d'Action française, génération 2015

     

    Le blog Le Rouge & Le Noir a publié sur ce colloque - qui a été selon l'expression de Jean-Philippe Chauvin, « fort instructif et intellectuellement motivant » - les impressions que l'on va lire. Les membres présents de l'équipe de Lafautearousseau partagent, pour l'essentiel, ces impressions largement positives.

    Le colloque Dessine-moi un Roi de l’Action Française a réuni 280 personnes samedi dernier [9 mai] autour d’une thématique forte : imaginer les conditions d’une alternative royaliste pour la France, au XXIe siècle, en tenant compte des réalités économiques, sociales, écologiques, institutionnelles. Des rédacteurs du R&N s’y sont rendus et ont pu y apprécier des interventions de qualité donnant des réponses concrètes aux problématiques que pose la question d’un royalisme français contemporain, enraciné et transcendant.

    Onze intervenants (dont Frédéric Rouvillois, Philippe Pichot-Bravard, Guillaume Bernard, Pierre de Meuse, Hilaire de Crémiers, Bruno Castanier, Jean-Philippe Chauvin, ou encore Gérard Leclerc) se sont succédés, et avec eux les représentants des principaux mouvements royalistes, pour explorer des thèmes aussi nécessaires que la justice, le bon gouvernement, les domaines régaliens, le bien commun, mais toujours sans se contenter d’une trop facile critique du régime existant mais dont chaque Français percevrait la justesse.

    Le colloque, première étape d’une réflexion ouverte, se poursuivra par l’édition des actes et le lancement d’ateliers pluridisciplinaires. Il aura prouvé que l’idée monarchiste est une idée vivante, forte et intelligente, et que plus que jamais un Roi est nécessaire à la France. Dans un même élan, l’Action française recevra la jeunesse de France, cet été, au Camp Maxime Real del Sarte, pour une formation intellectuelle et militante exigeante. 

    R&N

     

    Cortège Traditionnel de Jeanne d'Arc, à Paris, dimanche 10 mai 2015

    Jeanne d’Arc sous le slogan : « Ni droite ni gauche… Monarchie populaire ! ». L'hommage de l'Action française.  

     

     Vidéo : Agence LDC News