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  • La Semaine de MAGISTRO, une tribune d'information civique et politique

    1584417371_2.jpgDépassons les appareils et les discours dits de droite, dits de gauche ou d'ailleurs  ...  partageons les fondamentaux !

    MAGISTRO vous invite à lire : 

    • Christohe GEFFROY   Président fondateur de La Nef  "Tu ne tueras pas" ?
    • Françoise THIBAUT   Professeur des universités  Retraite… mon beau souci…
    • Christine SOURGINS  Historienne de l'art   Petits trafics culturels entre amis...
    • Maxime TANDONNET   Haut fonctionnaire, ancien conseiller à l'Elysée sur l'immigration  Maryvonne, victime d’une vraie saloperie française
    •  Eric ZEMMOUR Journaliste politique, écrivain    Le petit président de la Vème République  
    • Eric DENECE   Directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R)   Les victimes françaises du terrorisme depuis 2001
    • François JOURDIER   Officier, amiral (2S)  Arrêtons l’invasion
    • Gérard-François DUMONT  Géographe, Professeur d'université à la Sorbonne   Faut-il se résoudre à l’impuissance européenne face à la pression migratoire ? 
    • Paul RIGNAC     Essayiste, historien     Impressions de voyage en pays d’immigration 

                                                                                                    
    Transmettez, faites suivre ... 

  • Retour de l’Intelligence ? par Louis-Joseph Delanglade

     

    Belle unanimité contre le projet de réforme du Collège avec la mobilisation de très nombreux représentants de « lIntelligence » française : MM. Luc Ferry, Régis Debray, Laurent Joffrin, Pascal Bruckner, etc. Cela fait beaucoup de monde et surtout beaucoup de gens aux arguments pertinents et tous daccord pour dénoncer « un désastre ». Les principales critiques concernent la mort programmée du latin-grec (mais aussi de lallemand), une vision a-chronologique et culpabilisante de lHistoire, et  surtout lusage dun galimatias fortement suspecté de masquer la vacuité de prétendus « enseignements ». 

    Cette réaction est certes salutaire. Cest oublier quand même un peu vite que les réformes, réelles ou avortées, se sont succédé depuis mai 68 et que la présente nest quune énième mouture. Mais aussi, et ce nest pas un paradoxe, quelles ont été concoctées sous des ministères de droite et de gauche : les ministres Haby (1975), Jospin, (1989), Bayrou (1993), Allegre (1998), Fillon (2005) et Darcos (2008) ont tous cherché, sans toujours y parvenir, à laisser leur empreinte. Une succession de projets et parfois de réformes plus ou moins démagogiques et idéologiques, allant toujours dans le même sens pour lessentiel, la philosophie de base restant denseigner et dexiger de moins en moins, danimer et de faciliter de plus en plus. 

    Même si Mme Belkacem doit lui donner son nom, le projet présenté aujourdhui prend sa source en 2013 (ministère Peillon) : il exprime avec une rare violence la pensée des idéologues fous de la pseudo-pédagogie « moderne » réunis dans le Conseil supérieur des programmes. Les enfants de France sont les premières victimes du mythe de « lEcole de la République » - refondée ou pas. On se fourvoie, ou plutôt on les fourvoie, dès lors quon fixe comme finalité à « l’éducation nationale » la promotion dun citoyen idéal à travers des objectifs comme le  suspect « vivre ensemble » ou lutopique « réussite pour tous ». La dénomination même d’ « éducation nationale » constitue une impropriété dangereuse. Sans revenir à la formulation « instruction publique », mieux vaudrait adopter le terme convenable d’ « enseignement », un enseignement fondé dabord sur une relation inégalitaire assumée maître-élève et sur des programmes justement qualifiés de « fondamentaux ». 

    Mme Polony fait remarquer, dans Le Figaro, que M. Joffrin, directeur de la rédaction du journal Libération, fait partie de ceux qui, selon le mot de Bossuet « maudissent les conséquences des causes quils chérissent ». Mais beaucoup dautres, parmi les contempteurs de Mme Belkacem, sont dans le même cas, dans la mesure où ils prétendent conjuguer, de façon contradictoire, certaines des « valeurs » de Mai 68 et les exigences dun enseignement digne de ce nom. On peut pourtant penser que le tollé provoqué par le nouveau projet est sans doute un signe, un de plus, donc la confirmation, dune prise de conscience de nombreux intellectuels : cette réaction des intelligences préfigure même peut-être le grand retour de lIntelligence.  

  • C'est une semaine remplie d'activités qui s'ouvre ...

     

    Demain mardi, ce sera, animé par Antoine de Crémiers, le Café Actualités d'Aix en Provence « L'islam, qu'en savez-vous ? » et, événement du jour, Eric Zemmour à Bordeaux.

    Samedi 9 mai se tiendra à Paris le colloque « Dessine-moi un Roi » dont le programme est particulièrement attractif. Les lecteurs de Lafautearousseau, les participants à nos cafés politiques, aux rassemblements royalistes de Provence (Montmajour, Les Baux) ou aux activités d'Action française des dernières décennies, retrouveront avec plaisir parmi les intervenants à ce colloque, des personnalités qu'ils connaissent bien (Hilaire de Crémiers, Pierre de Meuse, Gérard Leclerc, Jean-Philippe Chauvin, François Marcilhac ...) et d'autres qu'ils découvriront. A Gand, où bat le coeur de la Flandre, une rencontre historique originale est organisée le même jour : « Gand, capitale du royaume de France, mars-juillet 1815 ». Il ne sera malheureusement pas possible d'assister aux deux colloques ...

    Enfin, dimanche 10 mai, jour de fête nationale, le Cortège traditionnel ira de l'Opéra à la place des Pyramides fleurir la statue de Jeanne d'Arc.

    Rencontres, échanges, réflexion et présence d'une volonté politique qui vise à cette réaction des intelligences et même au grand retour de l’Intelligence française qu'évoque la note précédente (Retour de l’Intelligence ? par Louis-Joseph Delanglade).  

     

    Détails : voir plus loin.

     

  • UN EVENEMENT A BORDEAUX : CONFERENCE D'ERIC ZEMMOUR, DEMAIN, MARDI

     

    Cette conférence-débat aura lieu le mardi 5 Mai 2015, à l'Athénée municipal, à 20 heures.


    Renseignements : zemmourbordeaux@gmail.com

  • Loisirs • Culture • Traditions ...

  • LIVRES • Sur les traces latines du Paris historique ... Paris en latin ! (Lu dans le Rouge et le Noir)

    Laurence Gauthier et Jacqueline Zorlu, Paris en latin. Legenda est Lutetia : Grands et petits secrets des inscriptions latines dans la capitale, Paris, Parigramme, 2014, 176 p. (11.90 euros)....

    Paris et Rome sont jumelles. La silhouette de la louve capitoline, coincée entre Cluny et la Sorbonne, en atteste. Sous le bronze de la lupa nourricière, la pierre parle aux passants. On y a gravé cette formule :

    paris-en-latin-couve-5310a4305b518-ba437.jpgAD FIDEI ET AMORIS VINCVLA FIRMANDA QVIBUS TRAQVE CIVITAS ALTERIS FAVSTE CONIVGITVR ROMA FABVLOSVM HOC SVAE ORIGINIS INSIGNE GEMINAE SORORI LVTETIAE PARISIORVM Etc.

    Ce qui, dans la langue de Molière, se traduit comme suit :
    « Pour consolider les liens de confiance et d’amitié qui unissent heureusement les deux villes, Rome apporte en présent amical ce symbole légendaire de son origine à sa sœur jumelle Lutèce des Parisiens, » etc.

    La statue et la formule datent de 1962. Depuis la fin des années cinquante, Paris n’est jumelée qu’à Rome. En retour, la Ville éternelle ne se juge digne que de la Ville Lumière.
    La gémellité entre les deux cités ne s’arrête pas là. On sait combien les anciens Romains tenaient en haute estime la langue latine. A deux millénaires d’intervalle, la capitale française est encore couverte de ses formules. Des porches des églises au fronton des monuments civils, des canons des Invalides aux cadrans solaires : certaines sont aisées à débusquer ; d’autres, plus pudiques, demandent un œil attentif et une curiosité aiguisée.

    ultimaratio-6d46a.jpgRetrouver le fil des centaines d’inscriptions latines parsemant la capitale, c’est la tâche que se sont assignée les auteurs de ce guide savoureux et admirablement conçu.
    Au fil des pages, le lecteur parcourra des formules tantôt lapidaires – Cave Canem, au 227 rue Saint-Jacques – tantôt longues et pompeuses, à l’image de l’épitaphe du dernier roi catholique d’outre-Manche, au Collège des Ecossais. La promenade latinophile se mène quartier par quartier : sans surprises, le lecteur débutera ses pérégrinations sur l’île de la Cité, lieu de pouvoir et de droit depuis les origines. Puis, de Saint-Michel au Panthéon, les époques se mêlent et se répondent pour donner à la Montagne Ste Geneviève ses lettres latines. La Concorde, les Grands Boulevards, le Marais : l’heureuse chasse au latin n’épargne pas un quartier. Loin de se limiter à un recensement sommaire des formules, l’ouvrage nous fait nous plonger dans l’histoire du lieu et le sens des lettres. C’est tout le roman national qui s’éclaire à nouveau.

    Car, bien postérieures à l’ère gallo-romaine de Lutèce, ces inscriptions illustrent le destin français et le regard que porte la France sur elle-même. Notre nation est profondément marquée du sceau de la latinité. Baptisée par un évêque gallo-romain dans la religion catholique romaine, alors qu’était ondoyé un chef franc romanisé ; élevée à la gloire par trois races de rois dont l’une – la carolingienne – rêva d’une rénovation de l’Empire ; soucieuse d’une indépendance nationale que les monarques allaient garantir en se drapant dans les prérogatives des empereurs romains ; fille aînée de l’Eglise romaine ; débitrice du génie latin qui conféra ses nobles accents à la langue de Ronsard ; éternelle nostalgique de la grandeur antique, du Roi-Soleil à l’Empereur corse : telle fut la course de la France.

    L’ombre de la Louve plane toujours sur sa capitale. « Je suis Romain parce que si je ne l’étais pas je n’aurais à peu près plus rien de français », proclamait Maurras. Ce livre fascinant vous propose d’en faire l’expérience. 

    12-559296-recadre-ba659.jpg

     

    Source : Le Rouge & le Noir

     

  • CULTURE • Hommage à Jean-François Mattéi - Table Ronde du 20 Mars 2015

    Table Ronde du 20 Mars 2015, à la Villa Méditerranée à Marseille, à l'occasion de la parution de l'Homme Dévasté.

    Retrouvez la retransmision complète de cette rencontre. 

     

     

    L'intégralité des débats est disponible, sur plus de deux heures, avec notamment:

    • 0'50'': Mot de Bernard Maurel, vive-président du conseil Régional
    • 8'50'': Introduction d'Hervé Pasqua
    • 21'00'': Intervention de Chantal Delsol
    • 35'10'': Intervention de Pierre-Henri Tavoillot
    • 44'07'': Intervention de Raphaël Enthoven
    • 1h 05"48'': Débat et questions
    • 2h 11'21": Clôture par Jacques Di Costanzo

    Voir aussi le site : Les Amis de Jean-François Mattei.

     

  • Loisirs • Culture • Traditions ...

  • SOCIETE • Voilà qui est répondu à l'inverse de la doxa : « La majorité pacifique des musulmans n'a pas d'importance »

     

    Il faut reconnaître aux Américains, après qu'ils ont commis toutes les erreurs et véhiculé toutes les naïvetés possibles, la capacité de parler soudain un langage clair et réaliste. Clair et réaliste, mais tardif. Comme le dit Michel Onfray, « quand la voiture est dans le fossé », ne restent plus que des moyens extrêmes et, au sens le plus large, horriblement coûteux ... 

    Brigitte Gabriel, présidente de Act for America, explique ici de façon magistrale pourquoi la majorité pacifique et modérée des musulmans n'a qu'une importance relative, et pourquoi il est grand temps de jeter le politiquement correct aux orties.

    En tout cas, les paramètres et les chiffres dont il est question dans l'échange qui suit sont à retenir.

     

       Cliquer sur l'icône rectangle pour agrandir (Bas d'écran, à droite)

     

  • CULTURE • Institut Iliade, de l’histoire à l’identité, par Louis Anders*

    Nous mettrons en ligne, demain dimanche, deux heures d'interventions et de débats en hommage à Jean-François Mattei, à l'occasion de la parution de son ouvrage posthume, L'Homme dévasté. En publiant la note qui suit sur les activités et réflexions de l'Institut Iliade, nous n'oublions pas que Jean-François Mattei avait aussi écrit un précédent livre intitulé « Le regard vide, essai sur l'épuisement de la culture européenne » (Flammarion, 2007) Le dit épuisement était, en effet, l'un de ses soucis majeurs. Nos lecteurs que cette note sur le denier colloque de l'Institut Iliade aura intéressés pourront suivre, demain, la vidéo de la table ronde d'hommage à Jean-François Mattei, que nous venons d'évoquer. L'une et l'autre sont dans un même ordre de préoccupations. LFAR     

     

    « A Brocéliande, on ne se balade pas (…) ; c’est la forêt qui entre en vous »… Ce pourrait être un vers de poète, mais c’est une conférence de Marie Monvoisin, spécialiste des traditions bretonnes, qui explique l’univers esthétique au temps des tribus celtes. En fond, sur un grand écran, défilent des photos supportant le propos. Sur les côtés de l’estrade, deux grandes tapisseries de six mètres encadrent les participants.

    Pour son deuxième colloque, l’institut Iliade a fait les choses en grand et loué la Maison de la Chimie le temps d’un après-midi pour décrire « l’univers esthétique des européens ».


    Européenne, la réunion l’est, avec les interventions de l’écrivain belge Christopher Gérard, du penseur espagnol Javier Portella, de l’éditeur serbe Slobodan Despot ou d’un universitaire allemand. S’y ajoute des philosophes féconds comme Alain de Benoist (qui parlera de l’art européen comme celui de la représentation) ou Jean-François Gautier (qui fera un cours sur la polyphonie).

    Nouveau venu dans les milieux dits de droite, l’institut Iliade représente un courant historique et identitaire, celui de feu Dominique Venner. Crée il y a neuf mois, il compte développer une activité historique et culturelle, en proposant notamment des colloques annuels et en dispensant une formation de dix-huit mois à ceux qui le souhaitent.

    La demande est là : samedi 25 avril, plus de 600 personnes se pressaient au colloque, dont un nombre conséquent de jeunes. Les livres proposés sur les ateliers sont partis comme des petits pains. A l’heure où le ministère de l’Éducation nationale raye de la carte l’histoire des peuples de France, à l’heure où l’ancien directeur de l’Institut national de la recherche archéologique préventive – nommé par le gouvernement – conteste les lointaines origines indo-européennes (cf http://www.seuil.com/livre-9782020296915.htm), les Français se pressent pour reconnaître leurs racines. « Connais-toi toi-même », était-il écrit à l’entrée du temple de Delphes dans la Grèce ancienne. Dont acte. 

    *   - Politique magazine

     

  • Vue d'ensemble ...

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  • A propos des publications de Lafautearousseau : pour mettre nos pendules à l'heure

    Quelques informations vont suivre dans les prochaines notes, sur le fonctionnement et les publications de  la nébuleuse lafautearousseau.

    Auparavant, rappelons ceci :

    ♦ Vimeo vous offre une sélection exceptionnelle de 128 vidéos : Documents d'archives, conférences anciennes et récentes, débats, cafés politiques, évènements et activités, etc.  (Icône en page d'accueil, colonne de droite).  

    ♦ Les habitués des réseaux sociaux, ne manqueront pas de participer à la vie de notre page Facebook (à ce jour plus de 4.000 amis) et de notre compte Twitter (1 237 abonnés). L'un et l'autre sont vraiment très actifs et en plein progrès. Progrès qualitatif notamment, car dans le nombre - déjà significatif, en soi - d'amis ou d'abonnés que nous venons de noter, il y a tout un ensemble de personnalités - parfois fort connues - qui comptent particulièrement : hommes politiques, maires, députés, économistes, universitaires, militaires, entrepreneurs, écrivains, scientifiques, hommes ou femmes de télévision; etc. La réactivité est, aussi, sur notre page Facebook comme sur notre compte Twitter, un facteur qualitatif à relever : nombre de clics J'aime; nombre et intérêt des liens partagés. Nous y reviendrons plus en détail.    

    ♦ Pour nous adresser un courriel, vous pouvez cliquer directement sur notre adresse de messagerie (page d'accueil, colonne de droite, partie haute) : lafautearousseau@outlook.fr

    Que les esprits pessimistes ou chagrins y trouvent du réconfort : nous ne faisons pas rien ! Nous travaillons tous les jours, sans esprit de chapelle, dans la nébuleuse lafautearousseau !

    Bonne lecture à vous tous  ♦

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