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  • Michel Onfray: « L’islam est la religion la plus à craindre », par Aurore Van Opstal.

    Source : https://www.causeur.fr/

    Michel Onfray est considéré comme un des intellectuels contemporains les plus influents de France. Il prépare actuellement une nouvelle revue, objet des plus folles rumeurs. Athée farouche, il a souvent critiqué les religions monothéistes et appelé à la « raison » notamment dans son Traité d’athéologie : Physique de la métaphysique (Grasset, 2005) ou dans Penser l’islam (Grasset, 2016). Aujourd’hui pour Aurore Van Opstal, Michel Onfray se prête au jeu: Et si Dieu existait, après tout ?

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  • La mascarade du Déni !, par Christian Vanneste.

    Tactique de communication systématique ou tendance mentale qui relève de la pathologie ? Le président élu par les Français et par effraction ne reconnaît personnellement aucune de ses erreurs, ni aucune des fautes du régime. C’est la culture du déni en gros et dans les détails. Lors de la conférence de presse en duo à distance avec Mme Merkel, il avait au début mal contenu une certaine jubilation.

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  • COVID-19 : L’Europe sans masque, par François Schwerer.

    L’Union européenne, qui ne sert à rien pour juguler la pandémie et en a même, préventivement, aggravé les effets, veut se servir de cette crise pour renforcer son contrôle inutile…

    Alors que les Français entament leur quatrième semaine de confinement, nos hommes politiques semblent surtout préoccupés d’une chose : l’Union européenne. C’est le président Macron qui, le 26 mars, expliquait à l’occasion du sommet européen tenu par visioconférence : « Ce qui est en jeu, c’est la survie du projet européen. […] Le risque, c’est la mort de Schengen ». C’est Jean-Pierre Raffarin qui, deux jours plus tard, s’inquiétait : « La situation est dangereuse, le virus menace l’existence de l’Europe ». C’est Jacques Delors qui constatait avec amertume : « Le climat qui semble régner entre les chefs d’État et de gouvernement et le manque de solidarité européenne font courir un danger mortel à l’Union européenne »… Ce qui explique cette surenchère dans le pessimisme c’est que, depuis le début de la crise actuelle, l’Union européenne brille par son absence la plus totale[1]. Et cela, malgré les multiples incantations du président français de la République.

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  • Le coronavirus, une maladie de la mondialisation : bas les masques !, par Georges-Henri Soutou.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    La crise pandémique révèle surtout la faiblesse de la position stratégique de l’Union européenne, coincée entre les États-Unis et la Chine.

    Frank Ferrand nous a raconté récemment l’histoire de la peste à Marseille en 1720. Une sage et Très Chrétienne Monarchie avait tout prévu, et mis en place un système de quarantaine très efficace. À l’arrivée d’un bateau suspect mais chargé de soieries, les négociants de Marseille ne voulurent pas interrompre les « chaînes de valeur optimisées » et firent fi des règlements. Même chose à Hambourg en 1892 avec le choléra : là aussi les négociants ne tinrent aucun compte de l’avis des autorités médicales, afin de ne pas rompre les « chaînes de valeur optimisées ».

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  • Quatre extraits de "Rois de France", de Balzac...

    lfar flamme.jpgNotre Ephéméride du 20 mars évoque Balzac, à l'occasion de la naissance de l'écrivain.

    En 1837, une des plus glorieuses années de Balzac - où il publia Histoire de la grandeur et décadence de César Birotteau - il publia également un court ouvrage, Rois de France, consacré aux six Louis qui se succèderont, de Louis XIII à Louis XVIII.

    Devenu introuvable, ce petit ouvrage, fort intéressant, a été réédité en 2017 par notre ami Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, qui le fera suivre de pages fort intéressantes également sur Napoléon 1er, tirées d'un ouvrage précédent (1833) : Le médecin de campagne.

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  • Mes voisins plein de ressources, par Philippe Kaminski.

    En ce temps de confinement, le rapprochement avec nos voisins s’impose. Les voisins de notre chroniqueur sont certes d’un genre un peu particulier, mais ils ne sont pas moins riches d’enseignement… Voici, pour changer, une chronique de confiné.

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  • Trouvères et troubadours, par Frederic Poretti-Winkler.

    2737274333.76.jpgLa femme alors était sublimé dans les rapports comme dans les approches et parfois jusqu’à l’excès. C’est alors un véritable « culte » de celle-ci dans un respect profond. Thibaut IV de Champagne écrira des vers inoubliables déposés aux pieds de la reine Blanche de Castille : « Dame quand je fus devant vous. La première fois que je vous vis. Mon cœur allait si bondissant. Qu’il vous resta quand je m’en fus. Alors il fut mené sans rançon. Captif dans la douce prison. Dont les piliers sont de désir. Les portes de belle vision. Et les anneaux de bon espoir. » Plus tard Joinville, champenois, écrira en prose, accompagnant Louis IX (Saint Louis) en croisade en 1248. Vaucouleurs obtint sa charte de franchise lors de son passage, il était alors sénéchal de Champagne.

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  • Bernanos l'écologie face au modernisme, par Frédéric Poretti.

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    Nous n’assistons pas à la fin naturelle d’une grande civilisation humaine, mais à la naissance d’une civilisation inhumaine qui ne saurait s’établir que grâce d’une vaste, à une immense, à une universelle stérilisation valeurs de la vie. Car, on dépit de ce que j’écrivais tout à l’heure, il s’agit beaucoup moins de corruption que de pétrification. » (Georges Bernanos, La France contre les robots)

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  • Éditorial de Marc Obregon, de l’inquotidien.

    J’ai trouvé dans le n° 6 de « l’inquotidien », un supplément numérique de l’Incorrect, ce coup de gueule roboratif, de Marc Obregor. La presse élitaire nous offre sur les ondes un cas typique du penser obligatoire avec France Inter, vous savez ce média, héritier direct de Radio Paris, chargé du parler « rebel bon profil » de façon univoque avec des indignations très ciblées.
    Aujourd’hui la loghorrée incontinente contre le peuple, incarné avant la pandémie par les gilets jaunes, lesquels firent si peur aux bien-pensant, est dirigée, contre les gueux incultes qui font confiance au professeur Raoult. Je n’ai pas résisté à la furieuse envie de soumettre ce texte au public de l’Action Française.
    Olivier Perceval

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  • En vente à la Librairie de Flore.

     

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    "De l'amour ou de la haine que Dieu a pour les Anglais, je n'en sais rien, mais je sais bien qu'ils seront tous boutés hors de France, excepté ceux qui y périront."


    https://www.librairie-de-flore.fr/produ…/sainte-jeanne-darc/

  • Comparaison des courbes épidémiques selon villes et pays.

    Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
    Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection.

  • Aux Mercredis de la NAR : #51 - Monique Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”.

    Mercredi 5 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions une nouvelle fois Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot pour leur livre “Le président des ultra-riches”. Tous deux sociologues et anciens directeurs de recherche au CNRS, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié de très nombreux ouvrages qu’ils nous ont pour la plupart présentés. Spécialisés dans l’étude de la bourgeoisie et des dynasties financières, tous deux avaient vu en Nicolas Sarkozy le « président des riches » - qualificatif qui lui est resté. Après l’intermède François Hollande, lui-même si complaisant l’égard des milieux financiers, Emmanuel Macron s’est révélé comme “Le président des ultra-riches” selon le titre du livre que Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont publié aux éditions La Découverte. Pur produit de l’oligarchie, l’hôte de l’Élysée a comblé de cadeaux fiscaux ceux qui l’avaient porté au pouvoir et donné à la guerre de classe une intensité inédite, provoquant la révolte des Gilets jaunes qui ont significativement envahi les “Beaux quartiers…”