UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi la Monarchie ?

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : La Monarchie face à la mondialisation. Partie 2 : Quand la France doit être une pui

    Dans ce processus de mondialisation, ou face à lui, que peut la France, et que pourrait la Monarchie ? S'interroger sur cela ne signifie pas nier ce qui est, mais plutôt chercher à le comprendre, pour s'en défendre ou pour y répondre, c'est-à-dire rester maître de sa propre lecture du monde et de son action intellectuelle ou diplomatique sur ce dernier : « Le monde a besoin de la France », s'exclamait Georges Bernanos.

    Il ne s'agit pas d'un repli sur soi, d'un isolement qui, pour splendide que certains le verraient, serait, en définitive, mortel pour ce qu'il s'agit de préserver et de transmettre, mais d'une affirmation de soi, de l'exercice de la « liberté d'être » qui est d'abord un pouvoir, la possibilité d'être soi-même et de tracer son propre chemin dans l'histoire, ce qui donne une « raison de vivre » à notre pays, au-delà même de ses conditions économiques d'existence.
    Pour cela, la France a de nombreux atouts, qu'ils soient économiques, culturels, diplomatiques, politiques, géopolitiques, mais elle semble parfois incapable de les valoriser, y compris aux yeux et aux cœurs de ses natifs ou de ceux qui l'ont rejointe en ces dernières décennies. Et pourtant ! La France est une puissance moyenne, mais une puissance quand même, une puissance qui, par sa taille même, peut jouer un rôle de médiation entre les puissances impériales et les nations de moindre envergure, voire les petits pays ou les communautés sans État. Tenir son rang, c'est ne pas céder à la tentation impériale qui fut celle de Napoléon et de la Troisième République (sous des formes différentes selon le cas évoqué), ni au tropisme de l'empire des autres : de Gaulle, dans la lignée des Capétiens, a rappelé ce que pouvait être une politique française d'indépendance, en écoutant les uns et les autres sans forcément leur céder. Si Kennedy en conçut quelque dépit, son concurrent Nixon (malgré tous ses défauts) comprit alors ce qu'était la France « historiquement libre », et il la respecta beaucoup plus que nombre de ses successeurs...
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Georges Bernanos.

    Georges Bernanos était un catholique fervent et un royaliste intransigeant, et il est un "capitaine" des royalistes d'aujourd'hui.
    Toute sa vie, il est resté ce militant de l'idée royale fidèle à la Monarchie française, sans se contenter de rabâcher un discours ou une doctrine, mais en vivant le royalisme comme une passion personnelle et une action permanente.
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi être royalistes aujourd'hui ?

    La réponse du Groupe d’Action Royaliste (partie 2 : L’échec de la Cinquième République, une monarchie inachevée ?)

     
    Par l’œuvre de ses fondateurs et en particulier du général de Gaulle, son véritable inspirateur et directeur, la Ve République pensait avoir résolu le problème des institutions en “monarchisant” la République (hommage du vice à la vertu, diraient certains...) mais c’était une monarchie incomplète qui, en fait, semble plutôt avoir été, du temps du général De Gaulle, une forme française de “monocratie” (le pouvoir d’un homme seul quand la Monarchie est celui d’un homme « fils et père » inscrit dans une longue suite dynastique), avec des aspects capétiens indéniables comme l’indépendance affirmée du Chef de l’Etat et la relégation du Parlement à un rôle secondaire, mais aussi la réaffirmation de l’indépendance nationale et une diplomatie de grandeur. Cette « monarchie inachevée » est aujourd’hui largement remise en cause par les diverses réformes constitutionnelles de ces dernières années, mais aussi par les diverses cohabitations qui se sont succédé depuis 1986 (trois en quinze ans, peut-être une quatrième en 2022 ?).
    De plus, chaque élection présidentielle est l’occasion de féroces bagarres pour la conquête du « trône élyséen », et cela abîme la fonction de magistrature suprême de l’Etat ainsi que sa légitimité, toujours contestée par le camp des perdants. De la posture monarchique des débuts ne subsiste que le souvenir de l’autorité légitime qui, aujourd’hui, se mue trop souvent en autoritarisme… Cette République n’est pas la Monarchie !
    Aussi, quand nous évoquons la “Monarchie nécessaire” nous la définissons d’abord comme un pouvoir “héréditaire” ou, plus justement, successible, résumé par la formule traditionnelle « Le roi est mort, vive le Roi » qui marque l’accession d’un nouveau souverain sur le trône laissé, quelques minutes à peine, inoccupé mais jamais abandonné ni livré aux querelles d’ego ou de candidatures politiciennes, voire financières (au regard des financements des candidats présidentiels en France).
    Comme le souligne l’historien Daniel de Montplaisir dans un ouvrage des années 2000 intitulé La Monarchie : « au regard de l’institution royale, l’hérédité constitue le mode normal d’accession au trône mais non au sens d’héritage patrimonial. Certains légistes considéraient que la Couronne n’était pas vraiment héréditaire mais plutôt statutaire. Car l’héritier la recueille selon la loi et ne peut en disposer à sa guise ». Il la recueille sans avoir à flatter les puissants ni s’abaisser à la démagogie, simplement par le statut même de la Couronne qui, bien des années avant le décès du roi en place, annonce le roi à venir… La continuité ainsi est garantie, sans le risque du vide ou du « trop-plein » que, de son temps, le général de Gaulle avait annoncé à propos des appétits pour le Pouvoir des candidats à sa succession…
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Thierry Maulnier.

    Thierry Maulnier a été une des jeunes plumes du royalisme d'Action Française dans les années 1930, et nombre de ses textes de l'époque méritent d'être relus et diffusés, comme celui dont un extrait est ici cité :

    "Il faut que l'exercice de la puissance publique soit soustrait aux ingérences de l'individu, ce qui suppose un Etat indépendant du suffrage, et exclut l'hypothèse démocratique. Il faut que l'exercice des activités individuelles soit soustrait à l'ingérence de l'Etat, ce qui exclut la notion autoritaire, totalitaire et dictatoriale.
    Des deux côtés, nous nous trouvons donc ramenés à la seule solution possible : la monarchie.
    La monarchie n'est pas seulement pour nous la dernière chance de la collectivité française menacée, la derrière chance d'autorité : elle est aussi, et surtout la dernière chance de la liberté."
    Thierry Maulnier, "Dernière chance de liberté”, La Revue du XXème Siècle, no 35, mars/avril 1935.
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : pour une réindustrialisation intelligente.

    L'usine Whirlpool d'Amiens, sacrifiée il y a quatre ans déjà sur l'autel de la spéculation et de l'actionnariat, de cette "fortune anonyme et vagabonde" qui vide notre pays de ses usines et de ses emplois...
    Et après Whirlpool, il y a eu Nokia, Bridgestone, Michelin, Sanofi, Renault, et tant d'autres : une liste désespérante et jamais terminée !!

    Doit-on se contenter de se lamenter ? Non, il faut militer pour une réindustrialisation intelligente, entre innovation et valorisation des savoirs-faire, entre qualité du travail et responsabilisation des travailleurs comme des cadres et dirigeants. Une Monarchie politique et sociale peut aider à cette stratégie, non par l'étatisme mais par le soutien aux initiatives et par le rappel constant de la nécessaire justice sociale. Participation et intéressement des salariés, motivation locale et corporative, soutien fort de l'Etat sans se substituer aux forces et cadres du Travail...
    La Monarchie sociale n'est pas un sceptre magique mais un moyen politique pour soutenir l'économique tout en protégeant et motivant ceux qui inventent, travaillent et vendent.
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi être royalistes aujourd'hui ?

    La réponse du Groupe d’Action Royaliste (partie 7 : l’hérédité, chance de la démocratie ?)
    Par la transmission héréditaire de la magistrature suprême de l’Etat d’un souverain-père à son fils-souverain, la Monarchie royale inscrit son œuvre dans la durée par la continuité et permet une politique à long terme, au-delà des secousses électorales ou des calendriers ministériels.

     
    Elle accompagne le temps sans le dépasser, elle en fait un allié quand la République use les gouvernements et les présidences en quelques années, ce qui peut expliquer que les deux précédents présidents, MM. Sarkozy et Hollande, n’aient pas réussi à être réélus, l’alternance se faisant désormais d’un quinquennat à l’autre depuis 2007...
    Cette maîtrise politique du temps par la Monarchie « à la française » assure ainsi la possibilité du renouvellement du personnel dirigeant et ministériel, sans rupture brutale, comme on peut le constater aujourd’hui dans les monarchies marocaine ou jordanienne, mais aussi hollandaise, belge ou danoise, par exemple : le monarque n’a pas forcément les mêmes idées et inspirations que son prédécesseur mais il assure la pérennité de la magistrature suprême de l’Etat et sa « figure » au monde, même en changeant le visage de celle-ci lorsqu’un roi-père décède et ouvre ainsi le règne du roi-fils. Cela autorise tous les changements possibles dans les échelons « de base » (assemblée nationale, conseils régionaux et départementaux, municipalités, etc.) selon les humeurs démocratiques du moment, puisque le symbole de l’unité nationale reste en place quelles que soient les aspirations des citoyens pour tel ou tel parti politique.
    D’autre part, la succession, le plus souvent prévisible par la simple connaissance des règles de succession du royaume, permet la préparation du futur souverain au “métier de roi”, de protecteur des libertés publiques et de l’exercice des jeux (sérieux) démocratiques et électoraux ? Quand en République, les politiciens s’épuisent à conquérir le pouvoir suprême, la « première place », en Monarchie royale, est déjà « prise » et cela pour l’éternité De plus, le futur roi s’occupe à apprendre son métier, l’esprit libre et sans nécessité de manœuvre... N’est-ce pas une véritable chance pour la démocratie qui peut ainsi s’exprimer dans tous les étages de la nation, le toit protecteur survivant à toutes les aventures et, parfois, déceptions politiciennes, qu’elles soient ministérielles ou parlementaires ?
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Présidentielle ? Plutôt le Roi !

    L’État ne doit pas tout faire, son rôle premier étant de protéger le pays et ses habitants, autant sur le plan militaire et géopolitique, qu'économique et social ; de préserver les libertés publiques comme privées, etc.
    Dans ce rôle de Protecteur, la République a failli : ce n'est ni la première, ni malheureusement la dernière fois, et l'histoire est pleine de ses promesses non tenues.
    Pour un État qui protège sans infantiliser ni asservir : la Monarchie royale, politique et sociale !

    Sources : https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

    http://www.actionroyaliste.fr/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi être royalistes aujourd'hui ?

    La réponse du Groupe d’Action Royaliste (partie 9 : Travaillons à préparer le recours royal !)
    Après quelques mots dans les parties précédentes sur ce que peut être et faire la Monarchie royale, il reste à “faire la Monarchie”, tâche rude mais devant laquelle toute personne soucieuse de l’unité française et des libertés publiques ne peut s’abstenir. Conquérir peu à peu le “champ des possibles” commence par un travail humble de réflexion et d’action, par le service des autres et la diffusion des idées royalistes.

    Le Groupe d’Action Royaliste depuis une bonne douzaine d’années s’y emploie, avec de faibles moyens mais une volonté sans faille : considérez cette page, mais aussi son site officiel sur la toile et toutes les ressources en textes, argumentaires, vidéos que la GAR a mis en ligne et à votre disposition, et ce n’est pas terminé, loin de là !
    Car la Monarchie royale est une nécessité pour que perdure la France et son unité respectueuse des particularités régionales, contre tout jacobinisme étatique ; pour que la justice sociale soit réaffirmée en ces temps de mondialisation néo-féodaliste ; pour que l’écologie intégrale devienne une réalité concrète pour préparer le monde de demain soucieux de préserver le surlendemain ; etc.
    Et ne perdons pas de vue les Princes qui incarnent, non pas nos seules espérances, mais celles des générations françaises à venir...
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : objections et réponses royalistes (1).

    Dans le cadre d’une nouvelle enquête sur la Monarchie en préparation pour 2022, il s'agit aussi de répondre aux nombreuses objections faites à la Monarchie et, ainsi, de préciser les arguments pour celle-ci et son établissement en France. Nous reprenons des objections, des propos ou des remarques qui abondent dans la presse, parfois à l'école ou au comptoir des cafés (« le parlement du peuple » selon l'heureuse formule de Balzac), ou encore sur la toile, nouveau forum permanent.

    Objection 1 : « Imposer la Monarchie à un pays ancré depuis si longtemps en République, cela n'est pas possible ! »
    N'insultons pas l'avenir, dit l'historien comme le politologue : l'Histoire est pleine de surprises et d'imprévus, et elle ne suit pas un sens unique et obligatoire, au contraire de ce que pensaient les marxistes et de ce que pensent aujourd'hui les libéraux ou les européistes. Il faut être plein d'humilité face à elle et à ses circonvolutions, parfois heureuses, parfois terribles, souvent complexes, mais il ne faut pas renoncer à « la faire » ou, du moins, à en infléchir le cours, autant que faire se peut : il n'y a pas de fatalité « définitive » et se résoudre à celle-ci serait s'abandonner à tout Pouvoir sans limites (qu'il soit politique ou économique à travers les féodalités partisanes ou financières, par exemple), au risque d'y perdre toute liberté...
    Certes, la possibilité d'une instauration monarchique en France paraît fort lointaine et, surtout, difficile, compliquée. Mais rien n'est impossible, et, d'ailleurs, « impossible n'est pas français », dit-on : l'exemple espagnol, maintenant un peu ancien mais proche de nous par la géographie, est la preuve que ce qui paraît hautement improbable en certains cas est toujours possible ! Le roi restauré par la volonté d'un dictateur n'a pas été son jouet, et Juan Carlos, que l'on croyait timide et emprunté, s'est avéré être un véritable Chef de l’État capable de mener la transition démocratique sans faillir ni défaillir (1), et, malgré les difficultés actuelles, la Monarchie perdure à travers son fils et successeur, Philippe VI (Felipe, en espagnol).
    Pour la France, il y a, apparemment, le fort attachement des Français à 1789 et à ses suites institutionnelles républicaines. En fait, c'est beaucoup moins vrai ces dernières années, la recherche historique et la réflexion philosophique comme politique aidant... D'autre part, hormis le fait que la part « positive » de la Révolution selon l'opinion (qui n'a pas forcément raison au demeurant, selon le point de vue historique que l'on adopte) est antérieure à l'établissement même de la République en 1792, la Monarchie nouvelle n'aurait pas à entrer en conflit avec l'Histoire, fût-elle désagréable pour les rois et les royalistes, mais à l'assumer (ce qui ne signifie pas pour autant s'y « rallier »...) et à la dépasser. Car le regret n'est pas (et ne peut fonder) une politique et la Monarchie nouvelle, qui sera évidemment attendue sur ce point, devra veiller à ne pas être une nostalgie romantique ou revancharde : le roi, souverain de tous les Français, est celui qui relie toutes les traditions et toutes les histoires, en les assumant toutes, en tant que « trait d'union » institutionnel...
    (1) : il ne s'agit pas ici de juger de la pertinence de la politique du roi d'Espagne Juan Carlos mais de considérer son succès stratégique alors qu'il paraissait condamné à être balayé par le vent de l'Histoire et de la révolution...
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi être royalistes aujourd'hui ?

    La réponse du Groupe d’Action Royaliste (partie 4 : La notion de service.)
    L’historien et journaliste belge Paul Vaute, à la suite du philosophe ardéchois Gustave Thibon, avance des arguments plus psychologiques que purement politiques : « Le Roi est, en quelque sorte, consubstantiel à l’État […].

    La monarchie gardienne des réalités humaines, repose sur la plus humaine des réalités : “Cette réalité que chacun peut constater, suggère Philippe du Puy de Clinchamps, est qu’il est du propre de l’homme, à de très rares exceptions près, de désirer transmettre à ses fils un héritage non seulement conservé, mais encore enrichi et mieux adapté aux nouvelles conditions posées par le temps qui a coulé. [...] De cette évidence très charnelle découlent toutes les lois non écrites du royalisme” ».

    Il apparaît donc que la notion de “service” est au cœur même de la Monarchie royale, par le principe même de la succession héréditaire. Jean Jaurès évoquait, en une formule abrupte, mais en définitive réaliste et tout compte fait avantageuse, « l’égoïsme » royal qui forçait le roi à agir dans le sens de l’intérêt public et national. Servir, et non « se servir » comme le font trop souvent les politiciens avides de pouvoirs et d’honneurs. Servir, c’est-à-dire travailler, envers et contre tout, pour le pays, ses habitants et ses communautés, son unité et ses diversités ; servir, non en prévision d’une réélection mais en fonction des nécessités du moment et des défis de l’avenir…
    Bien sûr, cela doit s’accompagner d’une lecture la plus complète possible des situations et des enjeux, et d’une stratégie qui garantit le présent pour préparer le lendemain. Humilité devant les faits, non pour s’y soumettre mais pour en tirer le meilleur possible ou en corriger les aspects négatifs ; humanité devant les classes sociales et pour les plus faibles, ceux qui nécessitent plus d’attention et de bienveillance, non par démagogie mais par démophilie, c’est-à-dire l’amour du peuple…
    Pour la Monarchie royale, le service n’est pas une option, c’est une fonction première.
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Ecologiste ? Donc royaliste !

    1A.jpg

    Quels sont les leviers d'une action écologique d'ensemble efficace ? Bien sûr, les associations environnementalistes, les personnalités et les individus, les communautés de base (familles, quartiers, communes, professions, etc.) peuvent (et doivent) jouer un rôle dans la sensibilisation de nos concitoyens et dans l'opposition aux projets mettant en péril la biodiversité ou les paysages, et l'exemple fameux de la contestation à Plogoff, confirmé, bien des années après, par celui de Notre-Dame-des-Landes, montre que le pire n'est pas toujours certain, et c'est tant mieux !
     
    Mais, de ces victoires écologiques (plus encore qu'écologistes, en fait) très médiatiques, il est aussi une leçon majeure à retenir : c'est le politique qui a toujours le dernier mot, parfois pour le meilleur mais souvent aussi pour le pire, particulièrement quand l’État et les pouvoirs publics sont inféodés aux puissances financières ou économiques, par intérêt ou par fatalisme. En cela, la République, par essence, ne peut être aussi libre qu'une Monarchie royale dans laquelle la magistrature suprême de l’État est libre du joug de l'élection qui est d'abord, aujourd'hui, celui de l'Argent. Il est un autre avantage de la Monarchie, c'est son enracinement dans une histoire longue que le général de Gaulle résumait par la formule « L'avenir dure longtemps », et qui oblige le Roi (ou la Reine) à maintenir aussi complet que possible et, autant que faire se peut, enrichi, un patrimoine destiné aux générations suivantes : « Mes arrière-neveux me devront cet ombrage », pourrait dire le souverain du moment conscient et appliqué à remplir ses devoirs d’État, par un « égoïsme familial » bien compris qui rejoint le Bien commun de tous.
    « Si vous avez résolu d'être écologiste, la raison vous impose d'être royaliste », pourrait-on conclure simplement. S'il y a une urgence écologique, c'est par la Monarchie royale qu'elle peut trouver le moyen institutionnel de s'incarner, par cette « écologie intégrale » qui porte couronne, sceptre et main de justice, et qui peut ordonner, au sens fort du terme, une politique et une pratique écologiques de long terme, sur la durée qui reste la meilleure alliée d'une stratégie environnementale et climatique, y compris sur la scène internationale.
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : les vrais résultats des élections régionales.

    Un graphique qui en dit plus que de longs discours. Mais, ce matin, l'abstention est déjà oubliée et les jeux politiciens ont repris de plus belle...

    Il est temps de repenser la politique et de refonder des institutions dans lesquelles l'expression des citoyens retrouve sens et portée, et cela à tous les étages et dans tous les cadres possibles et souhaitables, communaux, régionaux et socio-professionnels, entre autres. Pour cela, vivement une Monarchie royale et fédérative des énergies et des cadres de vie et d'action civique : c'est elle, et elle seule, qui peut redonner de la vigueur à une vie politique plurielle et permettre l'expression des citoyens, en instaurant une véritable subsidiarité française.
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Présidentielle 2022 ? Plutôt le Roi !!

    Les aventures d'Astérix le Gaulois, si populaires en France depuis les années 1960, traitaient parfois plus des problèmes de la France contemporaine que de la Gaule occupée :

    ainsi, ce dessin d'Uderzo qui nous rappelle ce que nous vivons en ce moment (au-delà de la crise sanitaire), c'est-à-dire la campagne présidentielle qui divise encore plus les Français qu'ils ne le sont d'ordinaire...
    Pour en finir avec cette éternelle querelle présidentielle, il est temps de penser à la Monarchie royale qui préserve la magistrature suprême des appétits des ambitieux et des factieux !
    Présidentielle 2022 ? Plutôt le Roi !!
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi être royalistes aujourd'hui ?

    La réponse du Groupe d’Action Royaliste (partie 5 : La Monarchie royale, un régime indépendant à visage humain)
    Que le Roi ne doive rien aux féodalités électorales ou financières pour arriver à la magistrature suprême veut-il signifier que le monarque est toujours à la hauteur de sa charge ?

    Cela serait présomptueux de l’affirmer sans prudence, et le royalisme n’est pas un charlatanisme électoral ou une “idéologie de la perfection” de l’homme nouveau et parfait, “total”... La Monarchie royale est au contraire la reconnaissance, la prise en compte et parfois la pratique même des insuffisances humaines. L’homme est faillible, et le roi du moment, comme tout homme, l’est, et il sait que les autres le sont : “il fait avec”, comme dit la formule. Il ne cherche pas à forger comme les totalitarismes ou les utopismes, un homme idéal ou, même, un monde idéal, il agit dans le sens de l’intérêt général, au-delà des particularismes et des individualismes et il ne peut que conserver l’humilité devant la nature et les faiblesses des personnes.
    Un autre avantage de la succession héréditaire de la Couronne, c’est son caractère d’”anti-compétition”, comme le souligne l’historien belge Paul Vaute : « Une personne, mais aussi un couple, des enfants, une dynastie dont le pouvoir n’est pas le fruit d’une lutte politique, qui n’a pas été fabriquée par l’état-major d’un parti, qui n’a pas percé à grands coups de marketing, qui ne peut être identifiée à un groupe social, un milieu culturel ou une région, qui défend en tout et toujours le bien commun : tel est le Roi. Il n’est pas nécessairement parfait (nul ne l’est) mais il n’est pas un parvenu. Il offre un visage humain bien nécessaire, indispensable même, à ces monstres froids que sont devenus les États dans le monde contemporain ».
    Détaché, de par son principe même, des contingences électorales, l’État royal préserve sa liberté d’action au sommet des institutions et, donc, peut au mieux assumer son rôle arbitral et s’imposer, pacifiquement, à tous comme garant suprême de la loi et des libertés publiques. Souvenons-nous de ce jour de février 1981 où le roi d’Espagne Juan Carlos, seul face à la caméra, et son fils, le prince héritier devenu roi Philippe (Felipe, en espagnol) non loin de lui, en un discours d’une petite minute, a su désamorcer le coup d’État fomenté par des activistes militaires. S’il avait été l’élu d’un camp contre un autre, sa parole aurait-elle eu le même poids et le même impact ? On peut sérieusement en douter ! D’autres exemples, plus récents, au Maroc ou en Jordanie, confirment ce caractère d’”arbitrage suprême” de la monarchie, fût-elle elle-même “constitutionnelle” ou parlementaire, ce qui peut correspondre à des histoires qui ne sont pas forcément celles de la France qui a son propre modèle capétien...
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la continuité républicaine... dans le pire, malheureusement !

    Mais il n'y a pas de fatalité, juste des décisions prises suivant une idéologie qui, trop souvent, privilégie les comptes au détriment des sociétés quand il faudrait parvenir à concilier les uns et les autres. 

    Il faudra, un jour, faire l'histoire du "désarmement sanitaire" de la France qui a mené au désastre du printemps 2020, et en tirer des conséquences, non pour condamner tel ou tel, mais pour mettre en place une stratégie sanitaire sur le long terme, une stratégie qui ne néglige pas les "risques du lendemain", et permette d'affronter les crises possibles des années suivantes.
    Sur cette question-là comme beaucoup d'autres, l'avantage d'une Monarchie royale et active, c'est de voir loin, non pour défaire mais pour faire, prévenir plutôt que guérir, et s'engager pour le Bien commun, sans tout ramener à des questions d'économies de bouts de chandelle.