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Rechercher : Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi la Monarchie ?

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : à portée de la main, la sécurité sociale au service de la prévention.

    La campagne présidentielle, ses promesses et ses illusions, ne doivent pas nous écarter de la question essentielle : Quelles sont les institutions politiques les plus capables de préserver notre aujourd'hui et de préparer notre lendemain, et de protéger, de façon pérenne et efficace, ce que nous sommes, en tant que Français, dans notre diversité et en maintenant l'unité française nécessaire à l'harmonie sociale ?

    La réponse que nous donne l'histoire, cet immense laboratoire des expériences politiques et sociales, est claire, si l'on suit Jacques Bainville, Georges Bernanos et tant d'autres : la Monarchie royale, fédérative et sociale !!
     
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Bretagne : « On attaque notre langue »… Les défenseurs du breton vont donner de la v

    Depuis plus de deux siècles, la République défait la France en s'en prenant aux identités et aux langues de nos provinces : cela suffit !
    Pour mieux défendre nos langues, nos parlers, nos patrimoines, en Bretagne comme au Pays basque, en Corse comme en Alsace, c'est la Monarchie française fédérative des peuples et provinces de France qu'il faut à notre nation !
    Tout notre soutien royaliste aux défenseurs de la langue bretonne mais aussi du gallo !
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : déconnexion entre le pays légal et le pays réel.

    Il y a aujourd'hui une déconnexion visible entre la classe politique (ce que l'on pourrait nommer le "pays légal" des politiciens) et les populations françaises, particulièrement les commerçants, les restaurateurs, les ouvriers (que l'on pourrait regrouper sous le terme de "pays réel") ..., touchés de plein fouet par une crise sanitaire mal gérée par les instances gouvernementales de la République.

    Si une Monarchie royale n'éliminerait pas la Covid 19 d'un coup de "sceptre magique", elle aurait au moins l'avantage de pouvoir mener une politique de long terme et de faire preuve d'empathie avec ceux qui travaillent (et veulent travailler) et souhaitent vivre de leur travail ! Car la Monarchie ne raisonne pas en "technocrate" ou en "experte en tout", mais en termes de famille, la "Famille française, et les Français y sont considérés, non comme des enfants indisciplinés ou dissipés, mais comme "ses" enfants, tous différents et dignes d'amour et d'intérêt. Car, ce qui manque aussi à la République, c'est la capacité d'amour que la Monarchie, par nature même, déploie à l'égard de tous les enfants de la Famille française !
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la corruption de la classe politique de la IIIe République.

    Au début du XXe siècle, la corruption de la classe politique de la IIIe République était régulièrement dénoncée par la presse d’opposition au régime, qu’elle fut royaliste ou anarchiste.

    Si elle est moins présente et moins visible aujourd’hui, il est néanmoins marquant de constater que le « pays légal » défend toujours ses intérêts en négligeant le bien commun et en appauvrissant, concrètement, le « pays réel », et quand les dettes publiques augmentent, ce ne sont pas les politiciens qui les creusent qui auront à les payer…
    Les Royalistes sociaux se refusent à toute démagogie facile : non, ce n’est pas d’un coup de baguette, ou de sceptre, magique que les appétits des puissants disparaîtront. Mais les Royalistes sociaux en appellent à la décence sociale et au sens de l’intérêt national, et ils savent qu’une Monarchie royale préférera toujours les Colbert aux Fouquet et successeurs…
    Illustration : caricature du début du XXe siècle dénonçant la République et ses hommes profitant de « l’assiette au beurre » et spéculant sur les dettes pour s’enrichir.
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : célébrons Jeanne d'Arc.

    Dans quelques jours, nous célébrerons Jeanne d'Arc, la sainte de la patrie : non par nostalgie mais pour nous souvenir de son exemple et pour nous en inspirer !
    Lorsque tout semble perdu, il reste l'espérance et le combat nécessaire pour la faire advenir. Nous, Royalistes, espérons et militons pour la France, les libertés et ce qui permet la pérennité de l'une comme des autres : la Monarchie royale !

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Oui, la République française a voulu assassiner...

    (Dessin tiré de la revue Front Populaire.)
    Oui, la République française a voulu assassiner les langues et cultures provinciales au nom de son idéologie jacobine et liberticide, résumée par la formule "République Une et Indivisible" !
    La Monarchie royale, elle, reconnaît la pluralité française et les peuples de France, ce qui ne l'empêche pas d'incarner l'unité française !

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : le malheur de tous fait le profit de quelques uns...

    Le scandale des prix de vaccins et des mirifiques profits tirés par quelques laboratoires pharmaceutiques (profits qui se chiffrent désormais en dizaines de milliards d'euros ou, plutôt, de dollars...) n'en est sans doute qu'à ses débuts.

    Quant à la dissimulation pratiquée par les instances dirigeantes de l'Union européenne, elle n'est pas rassurante même si elle s'avère très révélatrice. Il serait temps que le Politique reprenne la main face à ces féodalités financières et pharmaceutiques, et leur impose raison et respect, par égard pour la dignité et la santé de nos concitoyens. Mais la République peut-elle mener cette politique de salut et de santé publics ? C'est peu probable. Raison de plus pour penser un nouveau régime qui concilie autorité, sécurité et libertés (au pluriel) : la Monarchie royale, sociale et éminemment politique.

    https://www.lefigaro.fr/societes/pfizer-et-moderna-augmentent-le-prix-des-vaccins-en-europe-selon-le-financial-times-20210801?fbclid=IwAR1oM2AckHXomLyRE8tblsxYxoDhHQsggH2-1qbKGaQvzK2lfW_MylVm3yE

    Sources : https://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : ”Le capitalisme est-il réformable ?”.

    Il y a quelques semaines, la revue Etudes publiait un débat sur le thème : "Le capitalisme est-il réformable ?", sous-entendu "Peut-il être social et ne pas être le règne des seuls égoïsmes et de la cupidité des actionnaires ?" Les derniers jours nous apportent une réponse...

    L'éviction du président de Danone envoie un signal fort et négatif à tous ceux qui croyaient encore que le capitalisme libéral est réformable ou qu'il peut être "social" : l'éditorial du quotidien La Croix est, pour une fois, juste et bon, et il nous renvoie à l'intuition de René de La Tour du Pin, ce théoricien du royalisme social et de la Monarchie corporative qui pensait qu'il fallait parfois (souvent...) "tordre le bras" des capitalistes pour faire avancer la justice sociale.
    Dans l'affaire Danone, il est fort probable que les prochaines victimes soient les salariés quand les actionnaires "activistes", eux, ne pensent que compétitivité, rentabilité, profitabilité...
    Oui, décidément, le capitalisme libéral et cynique, celui qui privilégie les "affaires" avant les hommes, doit être dompté, dépassé et limité : pour lutter contre le féodalisme capitaliste, seule peut être efficace une Monarchie sociale et corporative qui place le bien commun et la justice sociale avant les jeux d'argent et les séductions financières ou consuméristes !
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : plutôt que changer le climat, changer le monde ?

    Sans doute faut-il, d'abord, le faire en France, par une politique appropriée et éminemment soucieuse de l'écologie, non de sa caricature politicienne, mais d'une écologie que l'on pourrait qualifier d'intégrale, c'est-à-dire ne négligeant aucun aspect de ce qui fait l'harmonie d'une société (rapports sociaux ; 

    préservation de l'environnement ; valorisation des relations raisonnées entre sociétés humaines et paysages, biodiversité ; etc) et sa pérennité.
    Une Monarchie royale a l'immense avantage de garantir la continuité et de s'inscrire dans une logique de préservation des populations comme des patrimoines, qu'ils soient "naturels", environnementaux comme "créations humaines". En Monarchie, le temps n'est pas limité par des enjeux électoraux : il devient alors un allié de l’État et permet des stratégies de long terme, ce dont toute politique environnementale conséquente a besoin pour se déployer et fonctionner efficacement !
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : cette République divise, et c’est la France qui en pâtit !

    La République est déjà entrée en campagne présidentielle, mais en est-elle vraiment jamais sortie ? Avec le quinquennat et la « présidentialisation » du régime depuis fort longtemps, il ne peut qu’en être ainsi, et cela nuit à une saine activité politique mais aussi gouvernementale ;

    cela divise aussi profondément le pays sans possibilité de recours, sauf dans les périodes funèbres des actes de terreur ou de décès de personnalités populaires, alors qu’il serait nécessaire, non d’uniformiser, mais d’unir toutes les forces du pays pour relever les défis économiques, sociaux, géopolitiques contemporains.
    La République divise et elle vit des divisions qu’elle suscite ; la Monarchie, elle, a le souci d’unir, de fédérer sans nier les différences et, parfois, les clivages qui peuvent exister dans toute société constituée. Cela ne signifie pas que la Monarchie y arrive toujours, mais qu’elle en a le souci, car son essence même est l’accord des peuples, des communautés, des personnes, sous sa magistrature d’arbitrage suprême…
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : un Roi vaut mieux que deux Républiques.

    Un autocollant du Groupe d'Action Royaliste déjà un peu ancien, mais qui garde toute son actualité, non ? Au-delà de la boutade, il s'agit de rappeler que les Républiques, quels qu'en soient le numéro, restent insatisfaisantes et que c'est une Monarchie royale et enracinée qui peut inscrire l'action politique de l’État dans la durée et en pensant à l'intérêt général de toutes les générations.

    Sources : https://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : la leçon politique du roi Henri IV.

    Devant la statue équestre du roi Henri IV, ce n'est jamais une simple commémoration que nous devons faire, c'est un rappel de l'histoire et un appel politique.

    Henri IV, qui deviendra le « bon roi Henri » avant même sa mort et sa postérité populaire, a renoué les fils de l'unité française et a permis la réunion des Français alors divisés par tant de guerres civiles, religieuses et politiques tout à la fois.

    Ce n'était pas une mince affaire, mais il a pu mener cette œuvre parce qu'il a assumé la charge de roi, de ce roi qui n'était pas un suzerain, ni le premier des nobles ni le premier des catholiques, mais bien plutôt, fondamentalement, par son statut de roi de France peu à peu reconnu après son sacre de Chartres, le souverain, le roi de tous les Français, y compris de ses adversaires d'hier et de ceux du moment...
    Cette position de hauteur institutionnelle n'est pas la plus facile et elle aurait pu lui donner le vertige. Mais l'on ne choisit pas de devenir roi : c'est le destin ordonné, c'est l'ordre d'une succession dynastique, un ordre forgé jadis et source de légitimité malgré les contestations et les jalousies.
    Roi, Henri IV a su réunir autour de lui ceux qui l'aimaient et ceux qui ne l'aimaient pas : miracle de la Monarchie, comme le disait Thierry Maulnier !
    Roi, il était la France et on le suivait pour cela, on l'écoutait pour cela : sa parole, ferme, était celle d'un souverain, père et arbitre, et elle portait et, surtout, tranchait, garde du dernier mot...
    Roi, il n'était pas un Créon de passage, il était une Antigone qui, du sommet de l’État, sait l'importance de la justice et de l'honneur, ces vertus qui motivent les hommes et les ordonnent au Bien commun.
    Roi, il n'était pas le candidat ou l'homme d'un parti : il n'était pas de l'un ou de l'autre, il était au-dessus et, même, au-delà des partis. « La Monarchie n'est pas un parti », répétait à l'envi le comte de Paris du XXe siècle...
    C'est bien cette situation de hauteur et de service qui manque tant aujourd'hui, République oblige : car la République, qu'on le veuille ou non, c'est la querelle des féodaux, plus vive encore en période de présidentielle. Quand les arguments des candidats s'affrontent, quand les promesses s'accumulent, quand les postures s'affichent, ce n'est pas la France qui peut en sortir grandie ou réconfortée.
    Un président élu, souvent par la peur et par défaut ces dernières décennies, n'est pas un roi : il peut en imiter les gestes, il peut mimer, même, la Monarchie mais tout cela reste la République ; à l'heureux élu président, il manquera toujours le temps, car cinq ans, c'est bien court, comme le remarquait il n'y a pas si longtemps le philosophe Michel Serres. De plus et contrairement au roi, le président sera toujours l'élu d'une partie des Français contre les autres, et on le lui reprochera souvent, malgré tous ses efforts qui peuvent être, reconnaissons-le, méritoires et louables, mais épuisants et souvent inutiles.
    Quoique le président élu fasse, la République, par principe, sera toujours la division politique jusqu'au sommet de l’État : la République, c'est la « soustraction permanente », les gagnants moins les perdants...
    Henri IV, lui, nous a montré que si la Monarchie n'est pas toujours facile, elle est, d'abord, l'addition des uns et des autres, quelles que soient leurs opinions, leurs positions et leurs antagonismes. Elle est l'unité par le haut qui permet la diversité à tous les étages.
    Elle n'a pas vocation à tout régler, ni à créer un « homme nouveau », mais la Monarchie est ce régime capable d'oublier les fautes des uns ou des autres pour ne valoriser que leurs qualités et leurs énergies, comme l'a prouvé Henri IV et tant de nos rois, avant et après lui.
    En ces temps de longue et dure querelle présidentielle, Henri IV nous rappelle que l'union des Français autour de l’État et du pays est toujours possible, au-delà des divergences d'opinion ou de sensibilités. Et c'est la Monarchie qui est le meilleur moyen de cette union nécessaire pour affronter la rudesse des temps qui sont et de ceux qui viennent.
    Pour que vive la France, dans la paix, la concorde et le libre débat, oui, encore une fois et quatre siècles après le règne d'Henri, reprenons le vieux cri du pays : Vive le Roi !
     
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : pourquoi la royauté est-elle une solution politique intéressante à explorer pour la

    La monarchie « à la française » (car c'est de celle-là dont il s'agit, et non de l'imitation d'un modèle étranger, aussi intéressant soit-il), par la transmission héréditaire (du père au fils, pour la plus simple) de l'autorité politique, de l'Auctoritas, redonne à la magistrature suprême de l’État une indépendance d'action et de parole, mais surtout lui permet d'assumer et d'assurer un statut d'arbitre entre toutes les composantes politiques, économiques et sociales du pays, et d'incarner, aux yeux des Français comme à ceux des pays étrangers, l'unité française, au-delà des différences et des adversités internes.

    Bien sûr, elle n'a pas de « sceptre magique » pour régler tous les problèmes de notre société, mais elle est le moyen politique, institutionnel, de préserver les capacités du politique face aux nouvelles féodalités financières et économiques, et de protéger (sans les couver...) les Français, dans leurs familles comme dans leurs professions, des conséquences parfois néfastes d'une mondialisation sans limites ou sans freins. Il s’agit ici bien sûr d’une monarchie active, qui ne se contente pas d’un simple rôle commémoratif (aussi honorable et utile soit-il, d’ailleurs), mais qui a les moyens constitutionnels d’agir, ce qui ne signifie pas forcément gouverner à la façon d’une République intrusive et centralisatrice, mais promouvoir et garantir par sa durée intrinsèque les « grandes politiques d’Etat », qu’elles soient diplomatiques, sociales ou environnementales, tout en permettant une fédéralisation concrète du pays, non vers l’éclatement mais, au contraire, pour l’unité de la France, cette « nation plurielle » comme le soulignait Pierre Chaunu, dans la lignée d’un La Rouërie ou d’un Maurras…

    Sources : http://www.actionroyaliste.fr/

    https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : chez Knorr, une fermeture d’usine qui passe mal.

    Une délocalisation de plus, dans le grand silence de la République française et des médias plus intéressés par l'arrivée du joueur Messi dans l'équipe de balle-au-pied de Paris... Un scandale social de plus, et des travailleurs méprisés par la multinationale Unilever...

    Que fait donc la République ? Elle détourne les yeux, ou fait les gros yeux, à défaut d'agir pour le Travail en France ! Vivement une Monarchie sociale !
    Extraits : " « Quand une entreprise soutient ses marques, ça peut fonctionner », soutient-il. « Unilever a créé la surcapacité en privilégiant la production dans ses usines de Poznan (Pologne) et Ploiesti (Roumanie) », estime-t-il, dénonçant une « délocalisation », « même si la direction conteste ce mot pour ne pas fâcher l’État ou se faire mal voir des consommateurs ».
     
     
    1. Sources : http://www.actionroyaliste.fr/
    2. https://www.facebook.com/GroupeDActionRoyaliste/
  • Sur la page FB de nos amis du GAR : les Rois ont fait la France (3) : Philippe le Bel.

    Dans la construction de la nation française, Philippe le Bel n’est ni le plus connu ni le plus populaire, mais son œuvre n’est pas négligeable, comme le rappelle d’ailleurs Jacques Bainville dans son « Histoire de France » :
    « Il appliquait déjà sa maxime : « Nous qui voulons toujours raison garder. »

    Il n’était pas raisonnable de courir des aventures lointaines lorsque la France n’était pas achevée. (…) La monarchie avait créé des finances, organisé l’administration. Ce qui se faisait autrefois au hasard, les dépenses qu’on couvrait par des moyens de fortune, par des dons plus ou moins volontaires, tout cela devenait régulier. La machine de l’État commençait à marcher, à distribuer de la sécurité, de l’ordre, mais elle coûtait cher. Faire la France coûtait cher aussi. Ces difficultés, que nous connaissons de nouveau aujourd’hui, dureront des siècles. »
    La France ne s’est pas faite en un jour ni en un règne, mais ce sont les Rois, dans leur longue suite multiséculaire, qui, patiemment, l’ont faite !