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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Villes et Villages, au coeur de la décentralisation : à la ”Une” du n° de mars de Politique magazine

    MARS 2014.jpg

    Au Sommaire de ce numéro de mars (127) : Sommaire.pdf 

    Voici l'Editorial de Jean-Baptiste d'Albaret, Rédacteur en chef : Rassemblement français...

    Rassemblement français

     

    On sait que la gauche a délaissé les questions sociales et économiques pour investir le champ dit « sociétal » que l’actuel gouvernement laboure avec une frénésie certaine depuis dix-huit mois. Mariage pour tous, IVG anonyme pour les mineures, loi Taubira remettant en cause la filiation biologique, autorisation de la recherche sur les embryons, intention de modifier la loi Leonetti sur la fin de vie, pourtant adoptée à l’unanimité en 2005…

     

    Mais, tout à sa volonté de rééducation des masses, le pouvoir socialiste avance sur ce terrain-là comme un éléphant dans un jeu de quilles. Au risque de perdre des parties importantes d’électorats qu’il cible pourtant comme une priorité. Ainsi, alors que les musulmans s’étaient peu manifestés au moment des débats sur le « mariage pour tous », nombre d’entre eux se sont inquiétés à propos de la « théorie du genre » et de la possibilité d’amendements de la part du groupe socialiste à l’Assemblée nationale sur la procréation médicalement assistée (PMA) et la gestation pour autrui (GPA). Au-delà de la nouvelle démonstration de force de la Manif pour tous, certains y ont vu une des explications au soudain retrait de la loi sur « la Famille », ou plutôt sur « les familles », selon l’expression de madame Bertinotti, reportée sine die. La gauche craindrait de perdre le vote des musulmans qui lui est habituellement acquis. En mai 2012, près de 90% d’entre eux, selon les différents instituts de sondage, se sont tournés vers le candidat socialiste. Un véritable vote confessionnel, consacrant la stratégie prônée par Terra nova, le think tank le plus influent au sein de la gauche française : recentrer l’offre électorale du PS, des ouvriers vers les minorités. Et, notamment, vers les populations immigrées.

     

    C’est cette stratégie qui est aujourd’hui remise en cause. Les banlieues bougent. De nombreux musulmans ont participé à la manifestation « Jour de colère ». Et la gauche découvre, effarée, que les populations d’origine immigrée n’entendent plus rester sagement dans la case qui leur a été assignée. Voilà le PS réduit à ses bobos !

     

    La Manif pour tous a largement favorisé cette prise de conscience. Des personnalités ont émergé, tels Camel Bechikh, de Fils de France ou Dalila Safouane, membre du collectif des Mères Veilleuses, agressée par un homme armé d’un couteau à Lille. Telle aussi Farida Belghoul. Cette ancienne figure de proue de la marche des beurs de 1984 n’a pas de mots assez durs pour critiquer l’idéologie « antiraciste » qui a enfermé toute une partie de la population musulmane dans une position de victime. Elle a lancé la campagne baptisée « journée de retrait de l’école » (JRE) qui a déjà perturbé une centaine d’établissements. Une fois par mois, les parents sont invités à retirer leurs enfants de l’école pour protester contre l’enseignement de la « théorie du genre », notamment au travers des « ABCD de l’égalité » qui seront expérimentés dans 10 académies, à la rentrée 2014. Et ce, malgré les dénégations mensongères du ministre de l’éducation nationale et de la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem.

     

    Qui l’eut cru ? Se dessine ainsi une alliance inédite entre des Français de confession musulmane et « la France des familles », à l’inspiration majoritairement chrétienne, si massivement mobilisée contre la loi Taubira.

     

    Le 19 février dernier, le mouvement de Farida Belghoul tenait une conférence de presse réunissant autour de la table, entre autres, Christine Boutin, Béatrice Bourges (du Printemps français), Alain Escada (président de Civitas), Jean-Pierre Dickès (président de l’Association catholique des infirmières et des médecins), Albert Ali (du Rassemblement des musulmans souverainistes), Ahmed Miktar (président du Conseil des imams de France). Ont été dénoncés les mensonges du pouvoir socialiste. Cela ne résoudra pas le problème d’un islamisme conquérant et destructeur dans nos banlieues dont seul l’état incapable et, d’une certaine manière, complice, est responsable, mais cette entente nationale et morale pourrait contribuer à instaurer un véritable dialogue entre communautés qui s’épanouirait sur des valeurs sociales communes. Une piste à explorer pour l’avenir. Il conviendrait alors de sortir, une fois pour toutes, d’un système qui ne favorise que la division et la haine.

  • La carte et le territoire par Louis-Joseph Delanglade

    4016346818 copie.jpgLa nouvelle carte des régions provoque des critiques justifiées : M. Lenglet explique, sur France 2, que les économies seront réelles, certes, mais en fait très mesurées et, de toute façon, pas immédiates ; l’opposition dénonce d’évidentes arrière-pensées politiciennes (le Nord-Pas-de-Calais , baronnie de Mme Aubry, ne fusionne pas avec la Picardie, où perce le F.N. ; satisfaction est donnée aux « copains » de la promotion Voltaire, etc.) ; d’autres s’étonnent que la logique (fusion des « deux » Normandie) côtoie le discutable (création d’une « Alsace-Lorraine ») voire l’aberrant (Poitou-Charentes+Limousin+Centre). Etc.

    Quelles sont les motivations de M. Hollande ? S’agit-il de « créer » des länder à la française ? Entreprise vouée à l’échec, la France n’étant pas l’Allemagne. S’agit-il d’une énième démarche typiquement parisienne, consistant à « repenser » la France ? Entreprise idéologique elle aussi vouée à l’échec, la France ne se décrétant pas. En fait, mis en rapport avec d’autres tendances ou projets dans l’air du temps (promotion des métropoles, création d’intercommunalités, disparition des départements), le projet de M. Hollande fait un peu désordre – nous dirons même qu’il a quelque chose d’ubuesque. A moins que…

    A moins qu’il ne s’inscrive dans la pernicieuse stratégie euro-mondialiste, où se rejoignent finance internationale et idéologues de la bien-pensance, forcément négatrice de nos réalités géo-historiques. Cette réforme, qui reconnaît aux nouvelles régions de nouvelles compétences, constitue un pas vers une décentralisation débridée qui fera courir de grands risques à l’existence même d’un Etat français – lequel reste le seul garant, en dernier recours, de notre identité et de notre indépendance. Ainsi instrumentalisées, des régions quasi « autonomes » (compétentes pour négocier directement avec les autres « régions » d’Europe et/ou avec Bruxelles) risquent fort de devenir des féodalités centrifuges. Notre faiblesse économique ne peut que favoriser l’attractivité de l’étranger (exemple évident de l’« Alsace-Lorraine » et des länder allemands). De même, nos « régions » périphériques peuvent être influencées par les velléités indépendantistes qui agitent l’Europe (Catalogne, Pays Basque, Flandre, Ecosse, Vénétie…).

    Historiquement, la France de l’Ancien Régime est un subtil équilibre entre le pouvoir central capétien et des « provinces » aux mille visages. Force est de reconnaître que le découpage en départements, sous l’influence girondine (1790), confirme plus qu’il n’infirme la notion géographique de province : les départements sont, de fait, le plus souvent, un découpage, souvent intelligent, des anciennes provinces et il suffira d’ailleurs de les ré-additionner, à la fin du XXe siècle, pour obtenir la plupart des « régions »-provinces (Corse, Provence, Bretagne, Alsace, etc.). On aurait donc mieux compris que la réforme de M. Hollande s’attachât à gommer les quelques erreurs et inepties existantes plutôt qu’à en créer d’autres et à ouvrir une boîte de Pandore.

     

  • En hommage à Jeanne d'Arc, en ce jour qui est le sien, l' ”Avant dire” et l' ”Avant partir” de ”La grande clarté du Moye

    cohen.jpgGustave Cohen est un historien français, médiéviste, né à Saint-Josse-ten-Noode le 24 décembre 1879 et mort à Paris le 10 juin 1958

     En octobre 1912, il est nommé professeur au tout nouveau département de français de l'Université d'Amsterdam, mais en 1914, il quitte ses étudiants pour faire la guerre.

    À partir de la fin de la guerre, Cohen occupe des postes à l'Université de Strasbourg et à la Sorbonne. Il crée le groupe théâtral Les Théophiliens (nommé ainsi après la représentation du Miracle de Théophile de Rutebeuf en mai 1933, salle Louis Liard à la Sorbonne) dont René Clermont a été metteur en scène. C'est également en 1933 qu'il fonde, à Amsterdam, la Maison Descartes. À l'Institut français se trouve un buste pour honorer son fondateur.

    En exil aux États-Unis pendant la seconde Guerre Mondiale, époque durant laquelle il rédige et publie La grande clarté du Moyen-Âge, Cohen y fonde, avec l'historien de l'art Henri Focillon l'École libre des hautes études (New York) et il anime les entretiens de Pontigny à Mount Holyoke College.

    D'origine juive, il se convertit au catholicisme à 64 ans.

    Avant-dire

    Ce jour d'hui, premier juillet 1940, dasn l'affreux malheur de la patrie écrasée et déchirée, foulée aux pieds par l'envahisseur barbare, je voiudrais commencer ce livre à l'honneur de la France qui ne peut pas mourir. L'affliction du présent nous invite à chercher un refuge dans un passé lointain dint les deuils, les ruines, les misères et les tristesses se sont effacées dans la nuit des temps et dont ne survivent que les gloires, non point le sgloires militaires, car rien n'est plus fragile, mais gloires littéraires, artistiques et philosophiques, qui seules sont éternelles. C'est dans une guerre de croisade pour le droit, la foi, la liberté queCROISADES.JPG le pays vient de succomber. Il en conut d'autres, jadis, où il succomba avec honneur dans l'essai de reprendre, d'une façon durable, à l'Infidèle, le Saint-Sépulcre, mais dont lui reste le titre impérissable d'avoir tenté l'oeuvre vaine, haute et désespérée et d'y avoir donné les meilleurs et les plus braves de ses fils. En allant vers le Moyen-Âge nous sommes sûrs de retrouver l'âme même de la France, en son état pur, au moment de sa Genèse, sortant, vierge, blanche et nue, du chaos du destin. Non pas née de rien, mais issue de l'âme gréco-romaine entée sur l'âme celtique dans le plus beau terroir sous le ciel, là où les formes sont naturellement harmonieuses, les nuages pommelés et nuancés, le sol fertile, porteur de vigne et donneur de vin, paré de la blondeur des blés ou du vert des prairies et des forêts, ni trop sec ni trop pluvieux, ni trop brûlé de chaleur ou glacé de frimas, tout en douceur, en raison et en équilibre, pour la perfection et le classicisme. Terre élue de la fécondation sans pullulation, de la réflexion sans âpreté, de la foi sans fanatisme, et surtout de l'amour.

    VIERGE IVOIRE LOUVRE.jpgMais pour que ce mirace se produisît : la naissance de l'amour courtois (au XIIème siècle) et du culte de la femme, il fallait qu'à l'âme celtique, pénétrée par l'âme gréco-romaine s'alliât encore l'âme chrétienne, venue d'un plus lointain Orient, où la spiritualité autoritaire du judaïsme, et son monothéisme absolu se trempaient de la suavité de Jésus, fils de la Vierge.

    Ce n'est qu'ici que pouvait naître, se développer et s'épanouir le culte de Notre-Dame, où la religion et le dogme s'attendrissent de féminité et où l'amour humain se sublime dans l'amour divin avec lequel il arrive à se confondre. 

          

    Avant partir

    JEANNE 2014.jpgCe livre a été commencé sous le signe du désespoir, mais pour témoigner des permanences françaises, je le termine ici deux ans après sur des paroles d'espérance et de certitude. La leçon du Moyen-Âge, de ses malheurs, de sa constance dans l'épreuve, de sa foi d'airain est une leçon de réconfort. Profitons-en. En le quittant évoquons une dernière fois Jeanne "la bonne Lorraine", qui sauva le royaume de France, la cathédrale qui dressa cette foi vers le ciel comme une offrande et une imploration, le mystère qui la fit résonner sur la place publique, la littérature courtoise par qui naquirent l'amour absolu et le culte de la femme. Les ténèbres du Moyen-Âge ne sont que celles de notre ignorance. Une clarté d'aurore baigne les âges lointains de notre genèse pour qui sait y porter le flambeau de la connaissance, de l'amour et de la confiance dans les destinées de la patrie.

    New-York, 18 juin 1942 

  • Chronique de la France qui souffre...

    immigration dehors.jpgQuand les Français en auront marre, ils feront la seule chose qu'il y a à faire : exiger le changement de nos lois, dans le sens d'un durcissement extrême, permettant la déchéance de nationalité et l'expulsion de tous ces délinquants qui n'ont rien d'autre à faire, chez nous, que de quitter les lieux.

    Delenda est Cartago, disait à tout bout de champ le vieux Caton l'ancien; maintenant, c'est DELENDA EST IMMIGRATIO, qu'il faut dire et répéter sans cesse, tous les jours et plusieurs fois par jour, à temps et à contre-temps, jusqu'a ce que l'on ait dé-poubellisé la France... 

    Les 5 exemples les plus révoltants de ces dernières semaines...

    1. Jérémie à Marseille : le jeune homme de 22 ans a été agressé un vendredi soir en plein centre de Marseille, à seulement 50 mètres du grand commissariat de La Canebière, alors qu’il allait chercher une amie à la gare. Craignant peut-être que celle-ci ne soit importunée en traversant toute seule le quartier… Les journaux rapportent que Jérémie a été « poignardé à la gorge ». Pour ne pas dire qu’il a été « égorgé » (halal ?), le terme étant peut-être à leurs yeux trop connoté historiquement ? Il est décédé après deux jours dans le coma..

    Le « principal suspect » ou « auteur présumé », selon les déclarations, s’appelle Ali H. C’est un SDF. Il a été immédiatement présenté comme un « déséquilibré ». Oui, mais, gros problème ! : le téléphone de Jérémie Labrousse a été géolocalisé par la police dans les quartiers Nord de Marseille, avant de réapparaître un peu plus tard... dans l'Hôpital Nord !

    Vous avez dit "bizarre" ? Pourquoi dites-vous "bizarre" ?...

    La vérité est qu'il y a gros à parier que ce n'est pas un pauvre déséquilibré qui a "fait le coup", mais un ou plusieurs voyous, et qu'on veut nous "rassurer" en nous faisant croire que l'auteur de l'assassinat est sous les verrous. La "caillera" a fait mieux qu'Apple, Samsung, Nokia et autres réunis : elle a inventé le "téléphone baladeur"... 

    2. Jacques Blondel, à Marignane froidement assassiné par Marwan Rezgui, 18 ans, écroué et mis en examen pour «vol avec arme» et «meurtre ayant pour objet l'impunité de son auteur», et un complice courageusement en fuite.

    Cet assassin était déjà connu pour une douzaine de délits, principalement des vols, vols avec dégradation ou effractions. Au moment du drame, il exécutait une peine de quatre mois avec mise à l'épreuve. Il était suivi par la protection judiciaire de la jeunesse. Il avait répondu à la plupart des convocations mais, selon le juge des enfants, sa personnalité se révélait «de plus en plus fuyante et hermétique à tout accompagnement social et éducatif». «Une révocation de sa mise à l'épreuve aurait très vraisemblablement été envisagée à l'automne», a indiqué le parquet.

    Il est sugnificatif que dans les 38 demi-lignes de son très court article du dimanche 25 août consacré à ce crime, le journaliste de La Provence, Romain Luongo, parle 4 fois de l'assassin, sans jamais le nommer; il l'appelle : 1 : "Le supect"; 2 : "le jeune homme"; 3 : "le garçon"; 4 : à nouveau, "le garçon". Pourquoi ne pas dire Marwan ? De toutes façons, la France entière a vu sa famille au JT, et son frère, et sa mère, habillée "comme là-bas, dis...".

    Ah, s'il s'était agi de Jacques Dupond, ou Thomas Durand...

    3. Sofiane, à Colombe, en semi-liberté, après avoir été emprisonné, puis libéré, en 2009 et 2011 pour notamment des agressions sexuelles, a, une nouvelle fois, récidivé le 7 août à Colombes, en violant et massacrant deux jeunes femmes (dont l’une est dans le coma). Les juges qui lui ont permis de sortir et de "recommencer" vont-ils payer pour leur faute professionnelle ? "Il y a quelque chose de pouri au royaume de Danemark", dit Marcellus dans Hamlet. Il y a aussi quelque chose de pourri dans la magistrature française (que nous n'attaquons cependant pas dans son ensemble, sachant qu'il ne faut jamais généraliser, et que bien des juges et magistrats font du mieux qu'ils peuvent pour s'acquitter de leur difficile tâche : mais une minorité de juges "rouges idéologiques" a pris fait et cause pour les voyous, c'est clair...

    4. En plein prétoire, Abdeljalil Belbraïk, 20 ans, "défendant" (!) son frère Ahmerd, condamné à un an de prison, s'adresse ainsi au Président Fabrice Castaldi : "Va niquer tes morts ! Sale fils de pute !" Quel style, quelle classe, quelle élégance et quelle distinction ! En voilà un qui est bien parti pour l'Académie !... : EMEUTE AU TRIBUNAL.jpg

    5. A Marseille, les deux mineurs qui ont voulu noyer le CRS surveillant de plage aux Catalans placés... dans un foyer !... : merci Taubira, vive la justice bisounours !   catalans.pdf

     

  • Veut-il faire porter l'étoile jaune aux Français qui votent Front national ? On a bien entendu, à la télé, le sonore ”Ta

    harlem-desir-imposture.JPG

     On connaissait les "désirs d'avenir" de Ségolène; Harlem aurait-il des "désirs" lui aussi ? Des "désirs d'étoiles" ? Jaunes ?...

    En fait, Désir est indigné : "le pauvre homme !", comme dit Molière, dans Le Tartuffe, ou l'Imposteur...

    On a envie de lui dire, en l'absence de Georges Marchais qui n'est plus là pour "meubler" les écrans : "dés-indignez-vous, mon pauvre, et cessez donc de donner des leçons de morale, vous qui êtes condamné !"

    Mais, au fait, pourquoi Désir-le-condamné, secrétaire d'un Parti qui compte tant de condamnés, est-il indigné ?

    Parce qu'il a peur. Et, peur de quoi ? Tout simplement de perdre les élections, les unes après les autres, et, donc, de perdre le pouvoir.

    L'exclusion de fait d'une partie des Français, fruit d'une entente entre une gauche cynique et la droite la plus bête du monde, a peu à peu permis, jusqu'ici au PS, minoritaire, de tout diriger, un "échelon" après l'autre, et ce depuis des décennies. L'un des meilleurs (!) exemples étant Michel Vauzelles, président socialiste de la Région Provence Alpes Côte d'Azur, Région qui a presque partout voté à droite à plus des deux tiers, mais se retrouve dirigée par un ultra minoritaire, dont l'un des propos grandioses restera qu'il est fier de diriger une grande région musulmane ! (sic)... C'est beau, la démocratie façon Harlem !...

    Mais voilà, ce "système" craque de toutes parts, et il semble bien prêt de voler en éclat. Et, si c'est le cas, comme tout semble l'indiquer, "adieu veau, vache, cochon, couvée..." pour le PS et sa nomenklatura de privilégiés, qui profite bien douillettement dudit Système, du bon "fromage"...

    En témoigne, par exemple, la position "inacceptable" et "indigne" - dit-il - de Jean-François Copé et François Fillon ! Ceux-ci, à ses yeux, "préparent les esprits à des alliances locales avec l'extrême droite", ce qui est "une dérive grave pour le pays" !

    Harlem, donc, prend peur, et il n'est pas le seul. Alors, il fait ce qu'il sait le mieux faire : stigmatiser, discriminer, eh oui !... Il espère que la vieille menace marchera encore, qu'il pourra encore tétaniser ceux qui veulent bien se laisser tétaniser, et il crie, le malhonnête, "Au loup!". Le loup étant, en l'occurrence, devenue louve, puisqu'il s'agit maintenant de la fille du père... 

    Le tort d'Harlem-le-condamné, est d'abord, évidemment, de dire n'importe quoi; il est, ensuite, de ne pas être franc : s'il pense qu'il y a des "sous-français" (ceux qui votent FN); s'il est "discriminant" et "stigmatisant" pour une partie de la population française qui paie ses impôts et jouit de ses droits civiques, mais, qu'il le dise carrément ! S'il est "politiquement raciste" et qu'il exclut de la communauté nationale 30%, 40%, 50% de la population, voire plus, selon les endroits, mais, qu'il assume ses convictions, qu'il le dise franchement, qu'il le proclame bien haut et bien fort : je veux l'étoile jaune pour les français qui votent "Front national" !...

    On ne peut exclure 25% des Français de l'effort national sous prétexte qu'ils votent communiste, disait - en son temps - le précédent comte de Paris. Il avait raison. Comme ont raison ceux qui disent, aujourd'hui, qu'on ne peut exclure 20%, 30%, 40% de Français, et parfois plus, selon les régions, sous prétexte qu'ils votent Front national.

    Mais n'allez pas dire cela à Harlem/Jean-Philippe : il risquerait de nous faire un infarctus !

  • Un commentaire de Jean Louis Faure : les États Unis revoient sans faiblesse leurs intérêts au Moyen-Orient

    Revue des commentaires - grain photo.jpgLes commentaires, on le sait, sont nombreux et foisonnants sur notre blog. Ils en prolongent les notes. Et, parfois, ils ajoutent ou signalent l'essentiel. C'est pourquoi nous créons cette rubrique  (sans doute hebdomadaire) qui doit donner davantage d'audience aux commentaires les plus importants.

    De tous les commentaires parus récemment, l'un des plus importants - que nous mettons ici en ligne - est celui posté par Jean Louis Faure, le 26 septembre dernier. Il signale et analyse le "renversement" qu'opère, ces temps derniers, la politique américaine au Moyen-Orient. Evolution dont, un des premiers, Hervé Juvin avait annoncé l'importance et analysé les causes. Nous y avions fait écho, ici.  Si la France avait une politique étrangère et une diplomatie, elle aurait devancé les Américains - notamment vis à vis de l'Iran - par des initiatives appropriées qui nous auraient été profitables. Il est vrai que, ces derniers temps, le Chef de l'Etat s'est occupé de l'affaire Léonarda... C'est tout dire.      

    __________________________________ 

    C’est à dessein que je place un commentaire sur un billet d’Antiquus d’octobre 2009. Car les évènements qui se déroulent depuis l’élection d’Hassan Rohani le 15 Juin dernier, sont d’une importance à notre avis considérable, et dans le prolongement de ce qu’il avait écrit. C’est à nouveau un truisme de dire que l’on n’en perçoit pas les mécanismes avec la lecture de la presse française. Une réaction imbécile du Monde fut évidemment d’attribuer le changement à la réussite des sanctions économiques.

    L’évolution en cours est d’une autre nature. La presse américaine a rapporté le discours d’Obama à l’ONU sur un mode beaucoup plus compréhensible que l’éternel manichéisme puéril des media français.

    Selon Ardavan Amir-Aslani c’est une partie beaucoup plus vaste  qui vient de démarrer, où les pions sont autant à Washington que dans la population iranienne qui souffre beaucoup des sanctions économiques.

    Pour résumer, les États Unis revoient sans faiblesse leurs intérêts au Moyen-Orient, avec l’idée de réduire leur poids. Révision certainement liée au bouleversement de l’économie du pétrole et des sources d’énergie. Amir-Aslani envisage une stratégie où les USA redonneraient à Téhéran, le rôle de gendarme du Golfe et de la région. Le dossier nucléaire est beaucoup plus marginal que ne laisse penser les hurlements des ultra sionistes, comme si l’utilisation d’une arme nucléaire « en premier » était un scenario crédible. …

    Il sera intéressant de suivre comment va être traité le centenaire de la déclaration Balfour en 2017. La seule crainte de l’État factice en Palestine, est évidemment que Washington ne se montre plus intéressé par la région. Pour preuve les propos qui se voulaient cinglants, mais qui en réalité reflétaient une profonde inquiétude, d’un représentant d’un sionisme pur et dur, l’avocat français Goldnadel, dans un débat chez France 24. Mais selon une coutume bien établie l’administration des bords du Potomac regardera d’abord l’intérêt de son pays, et la communauté juive américaine n’est pas obnubilée par le devenir d’Israel.

    Le contexte est en train de très profondément évoluer.

  • Droit du sol, droit du sang ? par Louis-Joseph Delanglade

     droit du sol.JPG

    Il a peut-être la fibre littéraire mais historique pas du tout : ce samedi 26, dans sa revue de presse de 8h30 sur France Inter, M. Levaï oppose au droit du sang « notre bon vieux droit du sol révolutionnaire et républicain ». Faux, bien entendu. Qu’on le date de 1515 (arrêt du Parlement de Paris) ou même de 1315 (édit de Louis X le Hutin), le jus soli existe en droit français, sous l’Ancien Régime – même si la notion de nationalité est postérieure. Le Code civil l’abolit au profit du jus sanguinis en 1804 et il faudra attendre 1889 pour que se manifeste la prétendue « générosité » d’une République surtout soucieuse de se pourvoir en soldats. Cela dit, le droit du sol est effectivement aujourd’hui un des grands marqueurs de la gauche idéologique, qui y voit le meilleur moyen de subvertir à terme la nation française. 

    Ne pas confondre droit du sol et naturalisation. M. Ory, historien et universitaire, choisit de proposer à notre admiration et à notre reconnaissance, dans son « Dictionnaire des étrangers qui ont fait la France », 1112 figures, toutes remarquables. Il précise « que nous sommes depuis deux siècles une vieille terre d’immigration et que toute cette immigration a réellement enrichi la France ». On peut contester la première proposition : la France, au sens que donne M. Ory à ce mot, est une terre d’immigration depuis toujours et nombre d’étrangers de qualité sont venus l’enrichir au cours des siècles précédant la Révolution. Quant à la seconde proposition, on peut se demander si ces étrangers, devenus français par choix, n’ont pas au fond restitué à leur nouvelle « patrie », en devenant ce qu’ils sont devenus, ce qu’ils avaient d’abord reçu d’elle. 

    On comprend bien que les 1112 de M. Ory n’ont rien à voir avec ces centaines de milliers, ces millions de « nouveaux » Français ou en attente de l’être. Quand l’immigration devient invasion, le problème est d’abord quantitatif : à (faire) croire coûte que coûte qu’un pays de cinquante millions d’habitants peut digérer un apport de quinze millions de personnes en trente ans, c’est le pays lui-même que l’on met en danger de mort. D’autant que ces « étrangers » sont, dans leur majorité, inintégrables et inassimilables, en raison de leur appartenance à une (des) communautés ethno-culturelle(s) bien trop éloignées de nous, appartenance que trop peu remettent en cause, les moyens modernes de communication leur permettant de conserver le contact avec leurs pays d’origine, lesquels, du coup, restent leurs vrais pays et celui de leurs enfants nés en France et bénéficiant du droit du sol. Immigration, naturalisation, droit du sol : la boucle est bouclée. 

    Sans doute est-il encore possible de contrer le « grand remplacement » dénoncé par M. Camus. S’impose évidemment le réaménagement des modalités d’application du droit du sol (pour tous, pas seulement pour les enfants de clandestins, comme le réclame le très politicien M. Copé). Mais cela ne suffirait pas. Il faudra aussi viser le tarissement, à titre conservatoire, de toute immigration de masse, régulière ou clandestine. Il faudra, enfin, procéder à un examen critique des apports démographiques « extérieurs » de la période post-coloniale.

  • Quelques uns des ”liens partagés” ces derniers jours sur notre Page Facebook...

     ...Lafautearousseau Royaliste 

     

    1. Par Prospectives Royalistes de l'Ouest :
    Les observateurs ne s’y trompent pas, qu’ils s’en réjouissent ou en déplorent l’issue, la séance du 22 octobre au Parlement européen fut historique. Il s’agit bel et bien d’une victoire pour les défenseurs de la vie et pour ceux qui en avaient assez de voir le Parlement européen enregistrer en chaîn... : Europe : l’embryon n’est plus sans voix - Décryptage - Actualité - Liberté Politique

     

    2. Par Denis Blanc :

     

    Le Recours France, mais aussi l'UMP et le FN ont condamné vivement les propos de l'ancienne candidate des Verts à l'élection présidentielle, l'accusant de faire un amalgame inacceptable entre Roms et Pieds-noirs : Eva Joly enflamme la communauté pied-noir. 

    3. Par Hélène Richard-Favre :

     
    Après Philippe Esnol -qui a succédé à Michel Rocard et à Jean-Paul Huchon à la tête de Conflans-Sainte-Honorine dans les Yvelines- au tour... : Hécatombe au sein du PS français ?
    Et : 
     
    Cela se susurre et se murmure sinon se dit, Harlem Désir ne serait plus qu'un premier secrétaire en sursis. Sa prise de position dans... : Harlem Désir, bientôt débarqué du pédalo ?
     
    4. Par Christian Vanneste :
    L'Assemblée vient de voter une augmentation des prélèvements sociaux sur l'épargne des ménages : PEA, PEL et assurance-vie. Afin de financer la sécurité-sociale, de façon doublement rétroactive, le... : L'ETAT PILLARD !
     
    5. Par Dona Rodrigue :
    S’ils arrivent, on sort les fusils, lance Philippe. La possible organisation d’un camp d’entraînement de djihadistes dans la forêt ardennaise suscite des craintes. La police prend l’affaire au sérieux. Sudpresse s’est rendu sur les... : Un camp de djihadistes dans nos Ardennes

    Et : 

    Vidéo du parc et du château de Versailles vu du ciel : cette vidéo de 4mn30, réalisée avant et après la visite du public sur le site, permet de découvrir, depuis le ciel, le château de Versailles et sa chapelle, les broderies des jardins à la française ; le drone téléguidé nous permet aussi de survoler l’Orangerie, le Parterre et le bassin de Latone actuellement en cour de restauration : le parc et le château de Versailles vus du ciel

     
    6. Par albina demontpellier : 
    (après l'appel d'intellectuels (Hubert Reeves, Luc Ferry) pour reconnaître l'animal comme "être vivant et sensible") Pour punir ceux qui maltraitent les animaux : http://www.avaaz.org/fr/petition/De_vraies_sanctions_pour_les_tortionnaires_danimaux/?dNsfrdb
     


    capture d'ecran blog.jpg= Notre Page Facebook Lafauterousseau Royaliste se porte bien : d'abord parce qu'elle ne cesse de gagner des "amis" lecteurs, mais aussi et surtout parce que, pour une Page Facebook, le plus important ce n'est pas le nombre d' "amis" mais les échanges, les discussions, les points de vue qui s'y expriment, les "partages de liens" qui s'y font : or, en grandissant, notre Page génère de plus en plus de ces "partages", et ceux-ci sont très souvent extrêmement intéressants. Il ne s'agit, dans cette Rubrique, que d'en faire ressortir un simple échantillon, une toute petite partie, mais révélatrice du bouillonnement d'idées que permet notre Page : et c'est tant mieux !...

  • Le premier Résistant de France...

    Contrairement à ce que pensent certains, la révolution française ne fut pas seulement, et peut être d'ailleurs pas essentiellement, anti royale: elle fut également, et au moins autant, anti-chrétienne, anti-catholique: Louis XVI avait accepté, et était prêt à accepter, beaucoup de réformes; et les partisans de ces réformes (Mirabeau par exemple...) n'imaginaient pas un instant les horreurs qui allaient suivre; une Royauté constitutionnelle, avec un Roi (Louis XVI en l'occurence) ayant de grands pouvoirs, mais présidant une Assemblée Nationale qui aurait, elle aussi son rôle -nouveau- à jouer: tel était le destin tout tracé, semblait-il, du "grand mouvement de 1789". Mais ce qui, au fond, intéressait le plus les idéologues, ces durs petits esprits, tout enivrés de leurs soi disant Lumières, c'était la mise à bas d'un ordre qui, dans ses fondements même, reposait sur la Transcendance, puisqu'il admettait et acceptait l'existence de Dieu, le Dieu du Décalogue, donnant des Lois aux hommes et intervenant donc dans la vie concrète des gens; et représenté sur terre par son "Lieu-Tenant", le Roi.

    Bien avant de penser à la mort du Roi, les révolutionnaires cherchèrent à proclamer et à organiser "la mort de Dieu": on eut très vite la preuve de cela, lorsque -après que Louis XVI eut accepté maints changements de taille- les révolutionnaires s'assignèrent comme tâche ce qui n'était en fait rien d'autre que le viol des consciences: sous prétexte de réorganiser les "affaires religieuses", on en arriva à imposer la Constitution Civile du Clergé, finalement condamnée par le Pape, et que Talleyrand lui même -qui, pourtant siégeait à l'Assemblée Constituante- devait appeler "la plus grande faute politique de l'Assemblée": elle divisait irrémédiablement, en effet, l'Église de France; elle était rejetée par une très large part de l'opinion publique; enfin, elle ouvrait la voie à une coupure définitive entre Louis XVI et l'Assemblée: l'obligation de "prêter serment", véritable machine de guerre , véritable bombe destinée à "casser" l'Eglise fut ce par quoi le nouveau venu, Danton, piégea Louis XVI, en cherchant à l'obliger à prendre parti pour la Constitution Civile, donc pour les Jureurs contre les Réfractaires; et c'est par là, en effet, que Louis XVI perdit vraiment et définitivement son trône, puis sa vie et celles des siens, car dès lors il cessa d'accepter: il eut conscience que, à partir de ce moment là, et dans ce domaine là, il n'y avait plus de concessions, mais des compromissions: alors il résista...

    Il résista puisqu'il n'était plus libre de ses opinions; il résista à cette Assemblée qui cherchait à lui dicter ses opinions, alors qu'elle proclamait la "Liberté"; il résista à ces idéologues durs et froids, qui voulaient régenter les consciences, comme le firent plus tard leurs "dignes" successeurs, Hitler et Staline, chacun dans son style, chacun dans ses camps, mais tous deux deux cherchant soit à ré-éduquer soit à anéantir celles et ceux qui osaient refuser le paradis sur terre que l'état nazi ou communiste avaient imaginé pour eux ("le Reich pour mille ans" ou "la société sans classe, si belle que nul ne peut l'imaginer"). Oui, l'assassinat de Louis XVI fut bien l'acte fondateur des Totalitarismes modernes, dont la France, le Monde et la Civilisation ont payé le prix fort; mais cet acte fondateur fut précédé par l'acte courageux et lucide de celui qui le premier osa se lever contre la barbarie, en sachant qu'il perdrait tout dans ce combat: mais, comme les martyrs des Camps nazis ou des camps du Goulag, c'est dans cette apparente défaite  humaine que se trouve la victoire de l'Esprit contre le Mal...

  • Disons-le clairement...

              Des élèves assez jeunes, peu au fait de la politique, ont lu la note: "Une Halde au service de la dilution nationale". Ils ont la franchise réjouissante de cet âge là, dont il faut les remercier car elle nous oblige à revenir sans cesse à l'essentiel et à être toujours plus clairs et plus précis; et ils me demandent carrément: "Ca veut dire quoi  ?" à propos de l'expression "français légaux à défaut d'être des français légitimes".

              Voici: depuis 1975, Chirac -appuyé et suivi ensuite par la gauche- à fait le choix d'implanter et de greffer en France un grand nombre d'étrangers, par le biais du "regroupement familial"; cette décision est "légale" mais non "légitime" pour nous, car ni Chirac ni ses successeurs n'ont demandé son avis au peuple souverain, et cette politique a été menée en quelque sorte en cachette, en catimini: la meilleure preuve en est l'interdiction formelle de communiquer quelque chiffre que ce soit à ce sujet. Nous sommes donc dans le paradoxe suivant: sur un sujet fondamental: "Qui constitue le Peuple ?", la République ne demande pas son avis au peuple souverain et ne le tient même pas informé de la réalité des chiffres; comment une démocratie pourrait-elle fonctionner de la sorte puisque, si c'est le peuple qui décide, encore faut-il qu'il ait les éléments pour juger...

              On voit donc bien qu'il y a une escroquerie, et plus encore une forfaiture: Chirac a comme donné la France à une masse d'étrangers, que l'on peut évaluer à 10 millions voire plus. Ces personne, du moins pour les naturalisés, sont bien des français "légalement", c'est à dire qu'ils ont une Carte d'Identité en poche et qu'ils disposent des mêmes droits que nous, et peuvent donc orienter la politique du pays par leurs choix aux élections; mais comme nous n'avons jamais été consultés sur la présence de ces personnes, ni sur l'octroi de la nationalité à un aussi grand nombre de gens  en aussi peu de temps, nous estimons qu'il s'agit là d'un fait non "légitime" car un Président n'est pas un tyran ou un dictateur, il n'a pas tous les pouvoirs, il ne peut pas faire tout ce qui  lui passe par la tête; il doit avoir l'accord de l'opinion pour tout ce qui engage fondamentalement la vie ou la survie de la Nation: or l'Immigration récente, dans les proportions qui sont les siennes, déséquilibre gravement la société française et peut représenter un vrai danger (comme on l'a vu dans l'explosion des banlieues en automne 2005).

              Aucun pays au monde n'a subi un tel choc en si peu de temps; il ne s'agit plus de "regroupement familial" mais d'un processus de désappropriation: les français de souche sont dépossédés de leur pays par 10 millions de nouveaux venus qui disent carrément -parce qu'on le leur a fait croire et qu'ils ont bien voulu le croire- que la France est à eux autant qu'à nous; alors que c'est faux, car nous avons des droits historiques sur notre Terre, liés aux services rendus par les générations précédentes, qui l'ont fertilisée et défendue; les nouveaux venus n'auront ces mêmes droits historiques que dans plusieurs générations, quand ils auront à leur tour travaillé et donné leur vie pour ce pays; aujourd'hui, et pour l'instant, ils n'ont que le petit rectangle de plastique que la république leur a -très imprudemment- donné; et nous, nous remettons en cause la politique menée en ce domaine depuis 1975, car elle est "illégitime".....

  • A propos des Journées du Patrimoine... (1)

              Pour ne pas répéter ce qui a déjà été dit ailleurs, nous nous en tiendrons à deux réflexions, tirées des commentaires de la presse écrite et parlée:

              La première est à la lecture de l'éditorial d'Emmanuel Fessy, "La fête du Patrimoine et son revers." (1): "Cette France des châteaux et des cathédrales a bien des avantages. D'abord, elle est une vitrine attractive qui nous aide fortement à rester la première destination touristique au monde avec 79 millions de visiteurs par an....Ensuite, le patrimoine s'est tellement étendu qu'il est devenu une réalité économique: 500.000 emplois en dépendent, directement ou indirectement, et cette édition est, à juste titre, placée sous le signe des métiers....." Nous sera-t-il permis, en toute amitié, de rappeler à Emmanuel Fessy (et à ses lecteurs...) que la Révolution a démoli ou dilapidé entre le quart et le tiers de notre patrimoine artistique (meubles et objets, tableaux, monuments etc...)? Sans aller jusqu'à prétendre que cela équivaudrait aujourd'hui, "mécaniquement", à 150.00 emplois, on ne peut que regretter amèrement ce saccage inutile.

              Pour ne prendre que trois exemples, on peut se demander, ainsi, quels extraordinaires avantages pour leur rayonnement intellectuel, culturel et matériel tireraient trois villes comme Cluny (avec sa plus grande abbaye du monde médiéval), Marly le Roi (avec le "deuxième" château de Louis XIV) ou Richelieu (avec l'extraordinaire château du ministre de Louis XIII). Regardez le petit reportage de LCI sur le château de Richelieu (2): c'est édifiant, et consternant! On a reconstitué le château en "3D", et on voit que c'était une splendeur, tout simplement. Tout fut démoli, pierre par pierre; il n'en reste rien! merci la Révolution! On "admirera" d'ailleurs, au passage, comment la chercheuse, qui présente son beau travail de modélisation, parle pudiquement d'une destruction "au début du dix neuvième siècle"!: cette présentation des faits est en soi un scandale, car il s'agit purement et simplement d'un mensonge, et du travestissement de la vérité historique. Le magnifique et grandiose château du Cardinal, patrimoine de la Culture française et du Peuple français, a été détruit par la Révolution, un point c'est tout! Devant un tel saccage et un tel désastre, irrémédiables, on ne peut que songer mélancoliquement au mot de Sacha Guitry, que nous avons déjà cité en une autre occasion:

    "On nous dit que nos Rois dépensaient sans compter,

    "Qu'ils prenaient notre argent sans prendre nos conseils;

    "Mais quand ils construisaient de semblables merveilles

    "Ne nous mettaient-ils pas notre argent de côté?"

              D'une part on a mille ans de Royauté, et l'accumulation patiente d'un immense et gigantesque patrimoine matériel et culturel; de l'autre on a une révolution destructrice et "saccageuse", pendant laquelle quelques individus se sont accaparés, pour leur intérêt personnel, du bien de la collectivité, qu'ils ont détruit afin d'en tirer un bénéfice immédiat et égoïste: c'est un crime contre notre économie puisque, comme le fait remarquer Emmanuel Fessy dans son éditorial à la base de notre réflexion, le patrimoine -comme le temps- "c'est de l'argent"; mais, pire encore, plus grave et impardonnable, c'est un crime contre la Culture et la Civilisation, un crime contre la France -puisque ces monuments étaient chez nous- et contre l'Humanité -puisque l'Art est universel et que la Beauté, d'une certaine façon, appartient à tous: et ces crimes là sont imprescriptibles...... (à suivre.....)

    (1) "Le Figaro" samedi 15/dimanche 16 septembre 2007.

    (2) reportage sur LCI du 3 août 2007; nous mettrons bientôt ce reportage à votre disposition, dans la Catégorie "Audio/Vidéo".

  • Drôles de dames, drôles de drames au PS, où ”l'entrisme” royaliste, d'origine immigrée, se poursuit

            En soi l'affaire ne mériterait ni qu'on la rélève ni - et encore moins - qu'on la commente : Ségolène Royal, qui peine à se remettre après ses "KO debout" à répétition, n'a rien trouvé de mieux, durant ces derneirs mois, que de dresser - dans Le Point - un portrait peu flatteur de celle qui qui fut, pourtant, l'une de ses porte-paroles en 2007 : Najat Vallaud-Belkacem (1).

            Après moult propos peu amènes, l'ex madone des sondages lance sa perfidie (in cauda venenum) : "...Elle s'appellerait Claudine Dupont, elle en serait peut-être pas là... Elle doit assumer son identité et en être fière. Elle doit accepter d'être là pour ça...". Ambiance...

            En somme, pour Ségolène, comme l'a fait remarquer Lionel Luca, "s'appeler Claudine Dupont est devenu un handicap" : les Martin, Dubois, Durand et autres... Dupond apprécieront... 

            Par contre, ce qui n'est pas vraiment arrivé aux oreilles du grand public, c'est que "Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement de Jean-Marc Ayrault, était jusqu’au début de la campagne présidentielle, membre du Conseil de la communauté marocaine de l’étranger, directement nommée par le Roi du Maroc, Mohamed VI. Une appartenance aux institutions d’un régime qui ne colle pas vraiment avec les leçons de morale socialistes sur la démocratie, le droit des femmes, la laïcité et la tolérance".

            Qu'on ne vienne pas nous dire que nous éxagérons et que nous voyons le mal partout, ou que nous avons la critique facile : les phrases qui précèdent ne sont pas de nous, mais la consultation du lien suivant sera certainement instructive, pour beaucoup :

            http://24heuresactu.com/2012/05/30/najat-belkacem-sa-majeste-le-roi-du-maroc-et-la-repression/

            On avait déjà Djamel Debbouze, grand baiseur de main de sa majesté le roi du Maroc, ultra royaliste là-bas, ultra "bobo/gaucho/socialo" ici. On a maintenant son pendant au féminin, avec Najat Vallaud-Belkacem : elle aussi, ultra royaliste là-bas - et pas de n'importe quelle monarchie, une monarchie particulièrement "musclée", s'il vous plaît... - et socialo ici.

             Remarquez bien que, nous, le royalisme des gens ne nous gêne pas, bien au contraire. On aimerait juste que le PS, grand moralisateur devant l'Eternel, et éternel donneur de leçon, nous explique comment il a acquis cette conscience souple, et cette morale élastique, qui lui permettent d'accueillir en son sein les féaux du fils d'Hassan II : n'y a-t-il pas eu, naguère, un brulôt intitulé Notre ami le Roi, dans lequel gauche et extrême-gauche française se déchaînaient contre Hassan II, dont les admirateurs du fils sont aujourd'hui, pour l'une porte-parole du gouvernement, et, pour l'autre, "bouffon" officiel de Ségolène et Compagnie...

            Ah, ces consciences souples, ces morales élastiques... : cela mène à tout, finalement ! Mais, au fait, cela ne s'appelerait-il pas, aussi, quelque chose comme, voyons..., oui, c'est ça : hypocrisie ?

  • Chronique de la France qui souffre... : déchoir, expulser, la seule solution...

    immigration dehors.jpgIl ne s'agit bien sûr pas, pour nous, d 'accuser "tous" les étrangers de tous les maux de la terre : viols, meurtres, crimes, horreurs diverses et variées ont toujours existées, en France et en Europe.
    Nous disons simplement que nous sommes contre les délocalisations, qu'elles soient économiques ou qu'il s'agisse de délocaliser la misère : car, déplacer un problème, cela n'a jamais été le résoudre, mais ajouter, pour tous ces déplacés, un problème supplémentaire : celui, précisément de leur arrachement de leur terre d'origine...

    Déchoir expulser et donc remettre en cause la nature du Système qui est le nôtre.pdf

    Et nous dénonçons sans cesse, à temps et à contretemps, les deux causes principales de cet afflux f'étrangers imposés au peuple français : le désir bassement matériel de "faire plus de fric" pour les uns, en se payant une main d'oeuvre taillable et corvéable à merci: et, pour les autres, le désir idéologique de noyer une vielle Nation historique qui résiste encore et toujours à leurs élucubrations, d'en finir avec elle en la diluant dans une masse étrangère.

    Alors, quand, en plus, ces étrangers, sont de véritables délinquants, nous demandons un changement et un durcissement de nos lois, permettant de les déchoir de la nationalité farnçaise et de les expulser...

    1. Congolais violeur d'enfants : LA PROVENCE CONGOLAIS VIOLEUR.JPG

    2. La fusillade d'Orly-Ville (vendredi 23 novembre, 1 mort, 4 blessés) liée à "l'affaire Khider" : ancien candidat de la Ferme Célébrités en Afrique sur TF1, Liesse Khider a eu un différend (!!!); le 5 octobre 2012, au cours d'un véritable guet-apens, ses "interlocuteurs" (dixit la presse ! si, si...) ont sorti des armes à feu et ont tiré sur lui et son frère : il en est mort...

    3. Allez "jihader" et "bomber" ailleurs ! : Une mère qui a prénommé son fils Jihad est renvoyée devant le tribunal correctionnel d’Avignon, le 19 décembre. Elle est poursuivie pour « apologie de crime » à la suite d’une enquête diligentée par le procureur de la République d’Avignon saisi lui-même par le maire de la ville. Les faits se sont déroulés le 25 septembre et ont fait réagir le personnel enseignant et les parents d’élèves d’une petite école maternelle de Sorgues, près d’Avignon (Vaucluse).  

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/l-odieuse-provocation-de-la-maman-du-petit-jihad-01-12-2012-2371413.php

    4. Fatou a poussé Jessica... :  La jeune fille de 15 ans poussée sous le RER D et qui a eu les jambes sectionnées est "une petite blonde énergique" et se prénomme Jessica. La bête sauvage qui l'a balancée se prénomme, elle, Fatou même si Le Parisien l'a renommée "Marine" : une jeune africaine enragée de 17 ans a poussé une jeune française sous un train; imaginons l'émoi médiatique si cela avait été l'inverse. Il n'est pas sûr que les prénoms aient été modifiés...  

    5. L'avocate marseillaise de la rue Saint-Fé n'a pas echappé aux égorgeurs : elle n'avait aucune chance, seule contre trois, le père, Azziez, et ses deux enfants : Hadou et Samir. A une époque, le "parti immigrationniste" a eu ce mot impayable : "ils" sont venus ici "pour payer nos retraites"... Pour une retraite, ce n'est pas le terme  de "liquider" qui est employé ? Eh, bien, pour l'avocate, c'est fait, elle est "liquidée"...

  • Le sport français va bien, et même très bien, sauf pour le ballon rond : pour que ce sport retrouve son lustre, il faut

            Au moment où Didier Deschamps remplace Laurent Blanc, on ne peut que faire une simple constatation : dans de très nombreuses disciplines (Voile, automobile, ski, natation, athlétisme...) les athlètes français obtiennent des résultats plus qu'honorables. Il n'y a que notre pseudo "équipe de France" de football qui se couvre de ridicule, et qui nous couvre de honte à chaque fois...

           Pourquoi ? La raison en est fort simple : le foot étant le sport le plus "populaire", dans le sens où c'est celui qui draine les plus grande foules, il a été sequestré depuis des lustres par les différents gouvernements immigrationnistes, qui pensaient naïvement "faire passer", par le foot, leur idéologie pernicieuse du "black, blanc, beur".

           Il fallait à tout prix convaincre les Français que le peuple français n'existait pas, qu'il n'était que le fruit de vagues d'immigrations massives successives, constantes, incessantes - ce qui est archi-faux - et lui renvoyer cette image "métissée" à travers l'équipe de son sport "préféré".

           Qu'on se souvienne des ahurissants propos d'Eric Besson : "Il n'y a pas de peuple français, il n'y a qu'un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble..."...

     

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            Il fut donc décidé en haut lieu que 'l'équipe de France" serait "colorée", qu'elle ferait la part belle à une certaine couleur de peau, à une certaine origine géographique, à une certaine religion...

            D'une façon fort éphémère, on donc eu une équipe "black, blanc, beur", et qui a gagné. Mais cela n'a pas duré. Le "black, blanc, beur" - à la fortune fugace... - est très vite devenu "black, black, beur", avant de sombrer définitivement dans le "black, black, beurk", nullité de jeu et nullité personnelle étant la règle quasi générale...

            L'erreur de Laurent Blanc, lorsqu'il a pris en main "l'équipe de France" (?) après le fiasco aussi consternant que scandaleux de l'Afrique du sud a été de ne pas virer tout le monde, en repartant à zéro. Avec "des petits jeunes qui ont faim", comme dit Bernard Tapie, à qui l'on peut faire beaucoup de reproches, dans beaucoup de domaines, mais qui s'y connaît en football (en aussi en tant que comédien...)...

            Au lieu de cela, Laurent Blanc a rappelé des "vieux", friqués et gavés au-delà de toute décence, et d'autres dont certains sont de véritables voyous, dont la vulgarité est inversement proportionnelle à la qualité de jeu (!) : bref des nuls, et qui plus est au jeu et au comportement consternant (pour rester polis...).

            Et l'on aurait voulu que cela réussisse ?...

            Il suffit de regarder les photos des équipes; l'Allemande, l'Espagnole, la Croate, l'Anglaise, l'Hollandaise, la Portugaise etc... et de les comparer à la photo de celle que l'on appelle (on se demande bien pourquoi...) "française" : il y a quelque chose qui saute aux yeux, on comprend tout !

           Tant que l'idéologie immigrationniste pervertira, dénaturera et pourrira le ballon rond, en donnant la préférence non pas aux bons joueurs, aux joueurs jeunes qui "en veulent", mais à des joueurs en fonction de la couleur de leur peau, de leur origine géographique ou de leur religion, à des fins idéologiques aussi évidentes que scandaleuses, le ballon rond "français" (?) ira de désastre en ridicule.

            Alors que le reste du sport français, lui, continuera à bien se porter.

            La balle est maintenant dans le camp de Didier Deschamps...

  • La Dizaine de MAGISTRO...

         * MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique, en ligne depuis 2008 : Présentation de Magistro par François Georges Dreyfus.pdf

    * Liens : - http://www.democratiedirecte.fr/  (Yvan Blot)   

                 - http://www.henrihude.fr/ (le Blog de Henri Hude)   

     

    * Chantal DELSOL, de l'Institut : Comment aider les mal-logés ?
    * Sophie de MENTHON, Chef d'entreprise, Présidente du Mouvement ETHIC : Exil de patrons : arrêtons le massacre !
    * Maxime TANDONNET, Haut fonctionnaire : Deux poids, deux mesures
    * Denis TILLINAC, Ecrivain : En attendant Sarkozy 

    * François JOURDIER, Officier, contre amiral (2S) : Nous ne pouvons intervenir en Syrie
    * Ivan RIOUFOL, Journaliste politique : La paix sociale au prix fort 

    * François JOURDIER, Officier, contre amiral : Un curieux procès d’intention

    Texte (complet) du Jourdier, Nous ne pouvons intervenir en Syrie (auquel nous réagirons incessamment sous peu, en proposant un Budget militaire à... 4% !"):

            Un récent article du général Fleury, ancien chef d’Etat-major de l’armée de l’air (Le Monde du 24 août 2012), affirme que nous n’avons pas les moyens d’intervenir en Syrie, il est donc inutile de jouer les Matamore.
            "Pour la Syrie, la chanson n'est pas la même. Son armée de l'air totalise environ 500 avions de combat, soit deux fois plus que la nôtre ; bien qu'une partie d'entre eux seulement soit moderne, leur nombre et la qualité d'un entraînement conduit en vue d'une guerre éventuelle avec Israël en font un adversaire sérieux. Nous ne sommes pas de taille à l'affronter."
            Voilà où nous ont conduit les réductions continues des crédits militaires : Il nous a fallu l’aide des Américains et des Anglais pour venir à bout de la Libye, pour la Syrie nous sommes impuissants.
    "Pour venir à bout aujourd'hui de l'aviation de Bachar Al-Assad, il faudrait employer toute la machine de guerre américaine et utiliser les aéroports de Grèce et de Chypre, voire du Moyen-Orient."
            En particulier la défense aérienne Syrienne s’est montrée très efficace en abattant un chasseur turc venu la tester.
            En 1991 au cours de la première guerre du golfe l’armée de l’air française alignait 450 avions de combat, le livre blanc en vigueur prévoit maintenant 230 Mirage 2000 ou Rafale. Les budgets militaires sont passés de 3% du PIB à 1,5%.
            Et voilà la conclusion du général Fleury :
            "Mais il est impossible aujourd'hui aux pouvoirs publics de proclamer cette faiblesse : la conclusion serait immédiate, le budget de la défense deviendrait prioritaire ce qui serait contradictoire avec les engagements du président de la République. Alors, finalement, le "niet" de Vladimir Poutine est bien pratique : il évite de poser les vraies questions."