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Mercredi 12 juin, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Fadi El Hage pour son livre “Le sabordage de la noblesse”. Historien, auteur d’une thèse sur les maréchaux de France de 1515 à 1793 qui a reçu le Prix d’histoire militaire en 2011, Fadi EL HAGE est chercheur associé au sein de l'Institut d'histoire moderne et contemporaine et collabore à la revue « Guerres et histoire ». Entre autres ouvrages, il a publié « La Guerre de succession d’Autriche » en 2017. Fadi El Hage a accepté de nous présenter le livre qu’il a tout récemment consacré à la noblesse française au XVIIIème siècle. Ce groupe social, très divers, appuyait son statut sur son héroïsme militaire. Or la puissance militaire de la France décline sous Louis XV, une partie de la noblesse se détourne du métier des armes et le prestige des nobles décroît dans l’opinion publique. Peut-on en conclure que le XVIIIème siècle fut celui du “Sabordage de la noblesse” selon le titre du livre de notre invité ? Fadi El Hage nous fera saisir les mythes et les réalités d’une décadence nobiliaire sanctionnée par la Révolution française et qui donne à réfléchir sur la manière dont les élites d’un pays font naufrage.
Sauver les banques à tout prix, même celui du (re)confinement, crise des dettes publiques et saccage social en vue. Olivier Pichon reçoit Pierre Jovanovic pour sa revue de presse. Sous l’épidémie, la schlague : les libertés menacées ! Les taux négatifs, un virus financier ravageur, l’Allemagne contre la BCE, l’Italexit en vue, l’euro en soin palliatifs, le déconfinement en France géré par Bain & Company de droit américain, l’effet de levier des banques françaises très au-delà du raisonnable, la Société Générale la plus menacée, Bercy s’intéresse à votre épargne à vos coffres, vers un coronatax ?
Nicole et Gérard Delépine répondent aux questions de Maxime Le Nagard sur l'organisation et l'état de notre système de santé face à la crise du coronavirus.
Nicole Delepine au micro d'André Bercoff sur Sud Radio.
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom: FRONT POPULAIRE. Les auteurs: d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Michel Piccoli vient de mourir. Le JT de 13 heures de TF1 lui a consacré un reportage/hommage sans goût ni grâce, et sans aucun intérêt. Par contre, le JT de France 2 en a proposé un panégyrique excessif et scandaleux, à notre goût.
Précisons bien, tout d'abord, deux choses :
1. Nous ne nous placerons pas, ici, du point de vue de la critique cinématographique; peut-être notre excellent ami Guilhem de Tarlé s'en chargera, lui qui tient avec le brio que vous lui connaissez cette rubrique "Cinéma" sur lafautearousseau...
Le rebond des marchés aux États-Unis est tellement surprenant qu’un nouveau krach pourrait se produire, plus long et plus violent qu’en mars 2020. Deux acronymes américains, FOMO (« Fear of missing out »), c’est-à-dire peur de rater l’occasion de la hausse, et la tarte à la crème TINA (« There is no alternative »), c’est-à-dire qu’il n’y a pas d’alternative aux actions, expliquent l’attitude des boursiers qui refusent de voir les réalités économiques en face.
Oh ! que cela doit être enthousiasmant de prononcer un :
« Appel du 18 Juin » !
Des paroles fortes qui marquent, font date et restent dans l’Histoire.
Pouvoir dire : « La France n’a pas perdu la guerre » et terrasser avant tous l’ennemi qui nous submerge. On peut laisser penser que le « Covid 19 » a la même puissance que les « Panzer » qui nous ont écrasé jadis. On peut dire que nous sommes en guerre, on peut prendre des allures martiales, être sur tous les fronts, distribuer des médailles et pourquoi pas créer un Ordre National de la Distanciation Sociale ?
Hier, toute la journée, sur les différentes chaînes, on a eu droit à Macron célébrant le de Gaulle de Montcornet. Evidemment, pour le semble-Président, il s'agit de chercher par tous les moyens à tenter de redorer un blason plus que très largement terni, en tentant de profiter de tout et de n'importe quoi...
Et le problème, pour nous, aujourd'hui, n'est pas là.
C'est la réflexion d'Anne-Claire Coudray, présentatrice du JT de 13 heures de TF1, qui nous a fait tiquer : "...à l'époque (de Montcornet, ndlr) le colonel de Gaulle était un parfait inconnu..."
Il suffira au lecteur de lire la dédicace de de Gaulle à Maurras que nous donnons ci-dessus, pour savoir ce qu'il convient de penser de cette incongruité/énormité...
C'est un peu comme quand Laurent Delahousse avait dit, à propos de Chaplin, qu'il avait été le premier, dès 1936, à dénoncer Hitler et le nazisme. L'exploit, disait cet ignorant de Delahousse. Sauf que Bainville, lui, l'avait déjà fait, dans son Journal et dans L'Action française, dès 1930... : lisez ou relisez donc la mise au point 1 et la mise au point 2 que nous avions publiée ici-même, avec pour titre "Laurent Delahousse se "plante" complètement..."
Comme Anne-Claire Coudray hier !
Ignorance, quand tu nous tiens !
NDLR : Si vous avez du mal à lire :
A Charles Maurras, Respectueux hommage, 24 mars 1924, C de Gaulle
Et la citation du Cardinal de Retz :
Les lois désarmées tombent dans le mépris; les armes insoumises aux lois tombent dans l'anarchie.
lafautearousseau
« La seule chose dont nous devons avoir peur est la peur elle-même, l’indéfinissable, la déraisonnable, l’injustifiable terreur qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la déroute en marche en avant. » Ces mots prononcés par F.D. Roosevelt le 14 Mars 1933 mériteraient d’être répétés aujourd’hui, car la peur n’est plus seulement la crainte d’une crise économique qui a tué la confiance, détruit les entreprises, volatilisé les valeurs monétaires et réduit des foules entières au chômage comme lors de la crise de 1929. Roosevelt est l’élu de la crise après trois présidents républicains « libéraux ».