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Mercredi 22 mai, aux “Mercredis de la NAR” nous recevions Jean-François Kesler sur le thème “Faut-il supprimer l'ENA ? ”. A l’issue du « Grand débat », Emmanuel Macron a annoncé la suppression de l’École nationale d’administration. Depuis les années soixante du siècle dernier, l’ENA fait l’objet de critiques virulentes : considérée comme le foyer de la technocratie, elle est dénoncée comme une fabrique de fonctionnaires coupés du réel dont les réseaux dominent l’État. Dès lors, “faut-il supprimer l’ENA ?”
Pour répondre à cette question qui va être débattue dans les prochains mois, nous avons demandé à Jean-François KESLER de nous donner un avis qui est très bien informé : ancien élève de l’ENA puis administrateur civil au ministère de la Santé, il est ensuite entré au CNRS pour mener des recherches sur l’administration. Nommé directeur-adjoint de l’ENA en 1983, il a notamment publié « L’ENA, la société, l’État » (Berger-Levrault, 1985), « Les Hauts Fonctionnaires, la politique et l’argent, Grandeur et décadence de l’État républicain » (Albin Michel, 2006), et « Le Pire des systèmes à l’exception de tous les autres, De l’énarchie, de la noblesse d’État et de la reproduction sociale » (Albin Michel, 2007).
Suite à la suppression de la première version de cette vidéo sous prétexte de droit d'auteur réclamé par l'INA, nous repostons donc la vidéo : Chronique d'une république destructrice !
Cette vidéo est la présentation d'un discours fait par Frédéric Winkler, président du Groupe d'Action Royaliste.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
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Ce samedi 30 mai, le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris s’est rendu en famille à la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans, pour honorer Sainte Jeanne d’Arc, à l’occasion du 100ème anniversaire de sa canonisation. Bien que les cérémonies initialement prévues à cette occasion aient été annulées en raison de l’épidémie du coronavirus, le Prince a tenu à faire symboliquement le déplacement.
Les 750 milliards du plan de relance (Le Monde) empruntés par l’Union européenne devront être remboursés un jour par les États au prorata de leur richesse respective ou par de nouveaux impôts européens. Si les États doivent rembourser, la France sera alors amenée à emprunter davantage.
C’est dans la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans, que le prince Jean d’Orléans, prétendant au trône de France, s’est rendu hier afin de rendre hommage à Sainte Jeanne d’Arc, figure marquante du panthéon de l’Histoire de France. Avant de revenir sur la polémique générée par son tweet concernant la statue de Louis XVI, endommagée lors des émeutes anti-policières déclenchées au lendemain de la mort de l'afro-américain George Floyd.
En conclusion du débat avec Éric Zemmour, Michel Onfray a révélé que les prochains numéros de sa revue Front populaire pourraient traiter de “l’Etat profond” et “des Europes”.
En ce centenaire de la canonisation de sainte Jeanne d’Arc, le diocèse de Rouen a ressorti la croix processionnelle présentée à Jeanne devant son bûcher.
Selon l’inventaire dressé par le ministère de la Culture, propriétaire de l’objet, la croix de procession est une pièce d’orfèvrerie en bois recouverte de cuivre et de verre, datant probablement du XVe siècle. Une transcription apparaît sur lequel on peut lire : « IHS MA / Donnes par moy Simon Langlois, prêtre demt à Paris, 1600. » Après avoir été conservée dans l’abbaye de Fontaine-Guérard de Pont-Saint-Pierre à quelques kilomètres de Rouen, elle repose jusqu’à aujourd’hui dans la paroisse de Pont-Saint-Pierre, dans l’Eure.