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Illustration : Plaque du Service d'ordre des Camelots du Roi
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Illustration : Plaque du Service d'ordre des Camelots du Roi
SYSTÈME POURRI !
RÉGIME POURRI !
Statue équestre de Napoléon à Rouen.
© Giogo / CC by-sa
On célèbre cette année le bicentenaire de la mort de Napoléon à Sainte-Hélène. L’événement sera-t-il dignement rappelé ou fêté ? De grosse réticences se font sentir. Toute une coalition se dresse contre un personnage et une légende pour elle insupportable. Que penser de cette pureté inflexible ?
1. Mercie à Eugénie Bastié pour l'information :
"Vous êtes écœuré par le bouquet de tulipes de Jeff Koons, le vagin de la Reine à Versailles ou le plug anal de la place Vendôme ? Vous êtes exaspéré d’être traité de réactionnaire grincheux pour cette réaction de bon sens ? Ce livre est fait pour vous : dans "L’Autre art contemporain" (Grasset), Benjamin Olivennes démonte le mythe d’une histoire progressiste de l’art. Il nous invite à redécouvrir des vrais artistes qui perdurent aujourd’hui loin des projecteurs et des foires..." :
lafautearousseau est totalement d'accord avec la note d’actualité du CAP de l’@ISSEP_Lyon , écrite par Guillaume Travers :
https://cap.issep.fr/notes-dactualite/revenu-universel-une-dangereuse-revolution-anthropologique/
Moins les politiciens se montrent capables de résoudre les problèmes, plus ils se réfugient dans la mise en scène, confondant les deux sens du mot acteur et considérant les citoyens comme des spectateurs. Le service dit public de télévision s’est prêté docilement à cette évolution en offrant un duel entre la présidente du Rassemblement national et le ministre de l’Intérieur. Il s’est agi en fait d’un duo, où chacun pensait à son image plus qu’à la solution à apporter au problème central de l’émission : le séparatisme.
Des militants de Génération identitaire, déployant une banderole lors d'une manifestation des soutiens du Comité Adama Place de la République, en juin 2020.
Quentin De Groeve / Hans Lucas / Hans Lucas via AFP
Jean-Yves Camus, directeur de l'Observatoire des radicalités politiques, réagit à la décision du gouvernement de dissoudre le groupuscule d'extrême droite, qui s'est récemment fait remarquer pour ses patrouilles anti-migrants à la frontière franco-espagnole.
Les chiffres, c’est bien connu, on leur fait dire ce que l’on veut. Ou presque. Gérald Darmanin, lors du débat avec Marine Le Pen, l’a montré. Tout content de sa trouvaille, le ministre de l’Intérieur : « Quand je suis né, en 1982, il y avait 6,8 % d’étrangers en France. Aujourd’hui, il y en a 7,4 %, dont la moitié d’Européens. La théorie du Grand Remplacement de l’extrême droite n’est pas très sérieuse. Leur seul objectif est d’entretenir la peur », s’est-il empressé de tweeter après ce débat, reprenant ses propos devant la présidente du Rassemblement national.
© Ministère russe des Affaires étrangères
Sergueï Lavrov ce 15 février à Saint-Petersbourg.
Le ministre russe des Affaires étrangères a estimé que Bruxelles avait mis à mal les relations avec la Russie, mais a néanmoins souligné que son pays était prêt à rétablir des relations dignes de ce nom, si toutefois l'Union européenne le souhaitait.
L’adoption prévisible, mardi, en première lecture à l’Assemblée nationale, du projet de loi « confortant les principes de la République » — qui devait originellement viser à « lutter contre le séparatisme » — n’a évidemment rien d’étonnant, compte tenu de la confortable majorité dont continuent de disposer En marche et ses alliés.
Il y a quelques mois, sur RMC, un spécialiste des changements climatiques expliquait qu’un arbre, par sa simple existence, équivalait à l’efficacité de cinq climatiseurs : en période de fortes chaleurs, et nous n'y sommes pas encore en ce janvier confiné, l’argument peut être entendu plus facilement et largement, peut-être, qu’en temps normal.