Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : La vie scolaire
Art et Essai : J’ai perdu mon corps, un film d’animation de Jérémy Clapin,
adapté du roman Happy Hand, de Guillaume Laurant.
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Art et Essai : J’ai perdu mon corps, un film d’animation de Jérémy Clapin,
adapté du roman Happy Hand, de Guillaume Laurant.
" Nous ne sommes pas dans le même camp"
Didier LALLEMENT, Préfet de police de Paris à une dame Gilet Jaune.
Le gouvernement et la caste bourgeoise sont donc en guerre contre le peuple.
C'est entendu.
Code de déontologie de la police nationale, article R. 434-29 – Devoir de réserve : "Le policier est tenu à l’obligation de neutralité".
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Hommage au Maréchal Juin.
Après le saccage de la stèle du héros de Monte-Cassino le 2 décembre, nous étions rassemblés hier soir Place d'Italie pour honorer la mémoire du Maréchal Juin.
Maître Jacques Trémolet de Villers, président de l'Association Marius Plateau, organisation des anciens combattants de l'Action Française et Étienne Lombard, président de la Fédération Royaliste d'Île-de-France sont intervenus pour saluer la mémoire du dernier maréchal élevé à ce titre de son vivant.
Une gerbe de fleurs a ensuite été déposée au pied de la statue du Maréchal Juin.
N'oublions jamais ceux qui ont lutté pour la France.
En signe de soutien, de salut et de solidarité, les militants marseillais de l'Union Royaliste Provençale sont fiers et heureux d'arborer, à côté de leurs camarades parisiens, le fier drapeau de l'Association Marius Plateau, Section de Marseille...
lafautearousseau
(Portrait de Charles Peguy, par Jean-Pierre Laurens, Musee des Beaux-Arts, Chartres)
Voici un court passage de Charles Péguy : "Pour la première fois dans l'histoire du monde l'argent est seul devant Dieu"
Un texte où Péguy, venu du radical-socialisme ("Ce Péguy...", disait Bainville) rencontre Maurras, le Maurras de L'Avenir de l'Intelligence, cet "immense petit livre" dont parle Boutang.
Péguy, au soir de sa vie, jeune encore (né en 1873, il est mort pour la France en 1914, il avait 41 ans...) a constaté ce que Maurras avait expliqué, et dont il avait, si l'on peut dire, démonté le mécanisme...
Les deux hommes ne se sont jamais rencontrés, physiquement. Ils n'ont jamais dialogué ensemble. On peut le regretter, l'histoire ne l'a pas voulu.
Mais, force est de constater qu'ils se sont bien rencontrés, intellectuellement s'entend, sur ce constat terrible et fondamental : l'Argent est devenu Roi, et nous sommes dans "l'âge de fer" qu'avait annoncé Maurras, qu'a constaté Péguy...
Sur CNews, hier soir, en dernière partie de son émission, Zemmour recevait Yves Michaud, et parlait avec lui, entre autres choses, de la violence. Face à l'angélisme de Michaud, Zemmour - comme d'habitude - part des faits, de ce qu'il voit et que nous voyons tous, et en tire la conclusion de bon sens qu'impose l'évidence : si nous assistons à une explosion exponentielle de la violence, c'est parce que "on" a construit follement une société libanisée, éclatée, composée - ou, plutôt, décomposée !... - de groupes différents sur l'essentiel, et donc forcément antagonistes, tôt ou tard.
Zemmour prend comme contre exemple de cette société violente le Japon et la Hongrie, où il n'y a quasiment pas d'immigrés. Et comme par hasard quasiment pas de violence(s)...
Que répond Michaud ? Cette énormité : face à la violence, il faut... "inventer la République" !
Comme disait Jacques Bainville : à ce stade-là d'aveuglement et de naïveté ( Pascal ne disait-il pas "qui veut faire l'ange fait la bête"...), il n'y a plus qu'à tirer l'échelle !
lafautearousseau
Art et Essai : Le Traître, un film italien (vostf) de Marco Bellocchio, avec Pierfrancesco Favino (Tommaso Buscetta), Fausto Russo Alesi (le juge Giovanni Falcone) et Nicola Cali (Toto Riina).
André Bercoff reçoit Dimitri Casali, historien spécialiste de Napoléon, auteur du « Grand procès de l’histoire de France » (aux éditions Robert Laffont).
François Boulo, avocat, porte-parole des Gilets Jaunes à Rouen, auteur du livre "La ligne jaune" aux éditions Indigènes est l'invité d'André Bercoff.
Nous poursuivons la publication de notre série, dont la lecture expliquera à ceux qui ne l'ont pas connu le rôle intellectuel important de Pierre Debray à l'Action Française dans les années 1950-2000.
Cette analyse politique, économique, sociologique et historique, menée méthodiquement, à la maurrassienne, comporte de multiples enseignements, utiles aujourd'hui à notre école de pensée. Comme un stimulant de notre réflexion sur la situation présente de la France et sur l'action que nous avons à y mener.
Même si le lecteur devra tenir compte des événements et des faits intervenus au cours des trois dernières décennies. LFAR
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Aujourd'hui : Illustrations du Mur des Fastes (II/XIX)...
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Le pape François a déjeuné avec 1.500 pauvres à l’intérieur de la salle Paul VI, donc à l'intérieur du Vatican, chez lui pourrait-on dire : il n'était pas en visite dans un pays musulman, donc contraint, ne serait-ce que par le protocole et la courtoisie, à accepter certaines choses spécifiques à l'Islam.
Pourquoi donc, dans le menu offert, l’absence de viande de porc fut-elle mise en avant ? Pourquoi fut-elle soulignée comme une décision précise souhaité par le pontife ?
Pourquoi ne pas avoir proposé un choix à ses convives, leur offrant diverses préparations ?
Depuis quand le refus du porc fait-il partie de l'enseignement et des pratiques de l'Eglise catholique ?
Le Pape François finira-t-il par oser reprocher à Dieu d'avoir créé le cochon ?
Ira-t-il jusqu'à publier une Lettre encyclique pour condamner cette création ?
lafautearousseau
Hier soir, Mme Agnès Thill était invitée par « Marchons Enfants » à Marcq-en-Baroeul. Soirée très instructive. Cette députée désormais non-inscrite a été exclue du parti LREM et du groupe à l’Assemblée en raison de son opposition à la PMA pour les femmes seules et les lesbiennes. C’est un premier sujet de réflexion : lorsque je me suis engagé en politique, au RPR, il était convenu que sur les questions qui engagent les valeurs morales ou spirituelles propres à chacun, il fallait admettre une grande liberté. A l’Assemblée, il était logiquement plus grave de voter différemment de son groupe sur le budget que d’avoir une opinion différente, sur le PACS, la peine capitale ou l’avortement. Dans le premier cas cela consistait à passer de la majorité à l’opposition, ou l’inverse, et donc de trahir. Dans le second, chacun estimait que la liberté de conscience devait prévaloir. Le fait qu’aujourd’hui, et j’en ai fait moi-même l’expérience, règne un totalitarisme de la pensée unique sur les sujets dits « sociétaux » est une régression liberticide dont on ne mesure pas les conséquences lorsqu’on prétend encore parler de démocratie.