Vu sur la page FB de notre ami Stéphane Blanchonnet : rire ou sourire un peu...

UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
"Français, parlons avec courage..."
Le Fils d'un roi est un film qui déconcerte. En fait, quoiqu'on en attende, le film de Cheyenne Carron répondra à certaines de nos attentes et pas à d'autres. On est évidemment en droit de trouver ça décevant. Pourtant, pour ma part, je dois dire que j’ai trouvé cela brillant. La surprise est un des points fondamentaux de la découverte de tout film qui se repecte, et on songerait difficilement à le reprocher à un film comme celui-ci.
Au moment ou l’Action française du XXI° siècle se porte en pointe du combat écologique, il est urgent de relire Pierre Debray. Lui qui fut l’un des quatre maîtres de l’école maurrassienne, fut aussi celui qui analysa la société industrielle au crible de l’empirisme organisateur. Le lire aujourd’hui permettra d’éviter au jeune royaliste de 2020, soucieux d’une véritable politique écologique, de tomber dans les dérives de ceux qui après 1968 utilisèrent l’écologie comme porte de sortie du marxisme. Lire Pierre Debray aujourd’hui, c’est s’assurer de bien comprendre Ellul, Illitch et Mumford et de s’armer pour l’aggiornamento maurrassien. Notons aussi que cette dernière étude monarchiste constitue le complément indispensable du suberbe n° 56 de la Nouvelle Revue Universelle. C’est dans Politique Magazine qu’Olivier Lérins, l’un des jeunes talents du mensuel Le Bien Commun a rendu compte du livre de Debray dont il nous fait un résumé d’une grande clarté !
La loi Avia est-elle un risque pour la liberté d'expression ?
La proposition de loi faite par Madame Laëtitia Avia, député LaRem entend combattre les contenus haineux sur Internet. Plusieurs spécialistes s'interrogent sur sa mise en application.
Ainsi, rappelons ce qui suit :
En contact avec les mouvements Jeunesse si tu savais et Poussières d'étoiles; voici les liens de leur page FB, de leurs sites officiels et de leur chaîne youtube :
JEUNESSE SI TU SAVAIS
https://www.facebook.com/jeunessesitusavais/
https://www.jeunesse-si-tu-savais.fr/
POUSSIERES D'ETOILES
https://www.poussieresdetoiles.fm/
https://www.youtube.com/channel/UCvYtt4Ws_Uc4Cj0LeLCoEJQ/videos
Et voici le quatrième article (aussi en vidéo/audio) qu'ils nous ont adressé, en attendant la suite...
« Le racisme répugne à l'esprit Français » disait J.P.Maxence. Une ouverture plus vaste dans un partenariat avec les pays du Tiers-Monde serait bénéfique, pays qui verraient avec plaisir moins de jeunes s'en aller et l'ouverture vers un développement durable de leurs structures... Ecoutons Albert Thielen, président d' « Action Sahel » : « L'immigration est toujours un drame, quoi qu'en pensent les idéologues des beaux quartiers. En outre, il faut aider les Africains à se développer eux-mêmes plutôt que de saupoudrer d'aides le continent noir tout en lui aspirant ses forces vives... Notre travail doit permettre à ces gens de mieux vivre dans leur environnement et de se sédentariser, surtout chez les jeunes... Les Africains veulent garder leur jeunesse et la former sur place, ils en ont besoin ! Tant pis pour les personnalités de gauche qui, en France, se donnent bonne conscience ou basant leur fond de commerce sur la misère de ces gens ».
"Lanceurs d'alerte" : si la chose est vieille comme le monde, la formulation fait fureur en ce moment. Va donc pour "lancer l'alerte" à propos de la maison de Maurras à Martigues, et pour demander publiquement : que se passe-t-il, au Chemin de Paradis ? Ou : que s'est-il passé ? S'est-il passé quelque chose de grave pour que la Mairie interdise la visite de la maison et même le simple accès au jardin ? Y a-t-il eu vol(s) ou dégradation(s) que la Mairie voudrait ou devrait cacher ? Mais un vol arrive partout : on a même volé la Joconde au Louvre au début du siècle dernier...
Chantal Delsol, philosophe et auteure de l'essai "Le Crépuscule de l'universel" est l'invitée d'André Bercoff.
Irrésistiblement les sociétés modernes se transforment. Emiettement du corps social, épuisement des institutions, effondrement des idéologies, transmutation des valeurs: derrière la société de masse, qui a longtemps défini l'une des formes de la modernité, se profilent désormais les nouvelles figures d'une socialité exubérante et polymorphe dont Michel Maffesoli livre ici les premiers contours. Le Temps des tribus est ainsi le diagnostic raisonné des sociétés d'aujourd'hui, une exploration méthodique de leurs métamorphoses. Quand le sentiment et l'émotion se substituent aux idéaux de la Raison, et qu'à la logique de l'identité succède la logique de l'affect. Nous sommes entrés dans l'ère des « tribus », des réseaux, des petits groupes, et vivons à l'heure des rassemblements éphémères et effervescents... Un livre qui trace les voies d'une authentique pensée du présent.
Si vous ne voulez pas manquer le N° 58 en cours de finalisation avec des interventions de très grande qualité qui vous permettront de mieux percevoir l'effort d'aggiornamento entamé depuis quelques années par le "vieille maison" mais aussi de mesurer le nouveau phénomène du "maurras hors les murs" ! alors :
ABONNEZ VOUS.
Le fondateur du Puy du Fou, Philippe de Villiers, réagit à la publication cette semaine par Valeurs actuelles d’une enquête révélant la mainmise du réseau d’ONG de Georges Soros sur la Cour européenne des droits de l’homme :