Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

Nouveau "coup bas" de nos ennemis allemands du Quatrième Reich, emmenés par Herr Scholz.
C'est dans Front Populaire :
Herr Scholz, le nouveau Chancelier, successeur de Bismarck, Guillaume II et Hitler, mène la même politique qu'eux : expansionnisme pan-germanique et volonté de puissance, brisant tout sur son passage.
À une différence près, tout de même, et de taille : il sait bien que, pour l'instant et depuis 45, l'Allemagne est "bridée", militairement, alors que la France est une puissance nucléaire. Alors, par haine "essentielle" de la France, le Quatrième Reich nous écrase économiquement - nous et le reste de l'Europe - puisqu'il ne peut plus, ne peut pas (ou pas encore...) nous écraser militairement; sa politique du "grand Reich allemand malgré tout" étant favorisée par l'imbécilité et la trahison de la politique (?) du Pays légal français, comme d'habitude...
Ainsi, par exemple, plutôt que de "jouer le jeu" d'une Europe indépendante des États-Unis, mais où l'hégémon serait la France, lui et ses prédécésseurs ont préféré et préfèrent encore se faire le 51ème État des États-Unis : tout, plutôt que d'être dans un ensemble où la France serait, de fait, la première (ce qui était, rappelons-le au passage, la vision gaullienne de "l'Europe des Six"...) !...
Et beaucoup d'autres pays européens "suivent", poussés et guidés par le seul "économique" : la plupart achètent "états-uniens" ou allemand, et pas français, dans le domaine de l'armement : est-ce un hasard ?
Les rois avaient émietté les Allemagnes, avec les grandioses Traités de Westphalie, qui faisaient que, paradoxalement, les Allemands nous admiraient et devenaient nos amis. Formés en "bloc unifié" par la Révolution et les deux Empires, ils sont redevenus ce qu'ils étaient depuis les Cimbres et les Teutons, en 100 avant Jésus-Christ... ennemis un jour, ennemis toujours !
Pour l'instant, tant que prévalent encore les conséquences de la défaite hitlérienne, l'Allemagne se contente de l'économique pour mener sa politique anti-française. Pendant ce temps, en face, la France continue de descendre la pente du déclin, diminuée par son Régime anti-national qui l'affaiblit et la tue à petit feu...
Mais, comme le dirait Bainville : demain ?
DELENDA EST GERMANIA !...