Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

Ce montage d'Olivier nous a plu (sur tweeter) :
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Ce montage d'Olivier nous a plu (sur tweeter) :
Hier matin, à 7h34, France info a défendu la vérité historique et... Marie-Antoinette !
Une pauvre députée LFI, bien ignorante, Élisa Martin, a cru faire son importante et "se la jouer" historienne en reprenant à son compte le mensonge mille fois démonté selon lequel la Reine aurait dit, parlant de gens affamés, que s'ils n'avaient pas de pain, ils n'avaient qu'à manger de la brioche...
LFI, on le sait, c'est "la section des piques de 1793" revenue aujourd'hui, siéger à l'Assemblée, où elle donne le lamentable spectacle d'une pitoyable vulgarité, d'une odieuse outrance et apparaît comme une sorte de reflet de ce qu'ont du être les "tricoteuses" et autres sans-culottes de cette horrible Révolution terroriste, sanguinaire, Génocidaire : Quattenens qui bat sa femme, Obono qui dit "allez manger vos morts", Portes qui pose le pied sur un ballon portant la décalcomanie d'un ministre (certes, pas d'un très grand niveau, le ministre, mais, tout de même...), Saintoul qui traite le même ministre d'assassin (avant d'être contraint de s'excuser platement)... pour ne parler que de quelques uns des derniers en date !
Mais les revenants de cette "section des piques" ne sont pas seulement vulgaires, brutaaux, outrancièrs : ils sont aussi ignorantissimes et, surtout, ils veulent qu'on le sache ! En l'occurrence, avec l'intervention minable de cette pauvre Élisa Martin, qui a perdu là une bonne occasion de se taire...
Toutes les personnes un tant soit peu instruites savent que, déjà, Jean-Jacques Rousseau reprenait cette "anecdote" (?) dans ses Confessions, dès 1765, Marie-Antoinette n'étant arrivée en France qu'en...1770 !
Il faut donc être bête au-delà de ce qui peut se concevoir pour oser proférer, à l'Assemblée, l'insanité que cette pauvre députée LFI a proférée, et que France info a, donc, corrigé hier matin.
Nous critiquons assez les chaînes de "Sévice public" (pour reprendre l'expression de Goldnadel) pour ne pas saluer aujourd'hui la chronique de France info : pour une fois qu'une radio d'État rétablit la vérité et fait son travail avec honnêteté et sérieux, c'est la moindre des choses, et c'est plus agréable que d'avoir toujours à reprendre et démentir...
Écoutez ces deux minutes de la rubrique "Le vrai du faux", sur France info (avec le scripte) :
Vérité, Justice pour elle : vive Marie-Antoinette !
Portrait de la Reine par le grand martégal Joseph Boze, concitoyen de Maurras, qui eut le courage, convoqué devant le Tribunal révolutionnaire des terroristes, de leur jeter à la figure son "Ma tête serait sur le billot que je ne témoignerai pas contre sa Majesté !". Ainsi fut sauvé - par beaucoup - l'honneur du nom Français, pendant cette période horrible où la France fut livrée à la démence révolutionnaire...
On est sur Europe 1, avec le toujours excellent Dimitri Pavlenko, qui reçoit Viencent Hervouet. Et Ursula von der Leyen se fait "tailler un costume" par un Hervouet, très en forme, très en verve, plus "anti langue de bois" que jamais.
Un grand moment de radio !...
Çà décoiffe !
(extrait vidéo 3'07)
https://twitter.com/Krieger66362259/status/1625876392247283712?s=20
Dans le sillage du succès qu'est en train de devenir "Vaincre ou mourir", et pour "prendre sa vague"... : le remarquable article de Guillaume Perrault dans Le Figaro d'hier, en page 12 (malheureusement "réservé aux abonnés") : "Vendée : après la Guerre, les massacres "à froid". Ou : la destruction totale et la "purification" du pays par les Colonnes infernales de Turreau, ayant obtenu des ordres écrits de la Convention, lesquels sont conservés au Château de Vincennes...
Pour ceux qui n'ont pu se procurer ce numéro, on peut toujours se référer à notre Album Totalitarisme ou Résistance ? Vendée, Guerre de Géants... (133 photos), dont nous allons commencer très prochainement la publication en feuilleton, après celle que nous venons juste de terminer de l'Album Une visite chez Charles Maurras...
Fiasco du Stade de France : désaccord sémantique avec Philippe Bilger !
• Philippe Bilger dit :
"#Fiasco du Stade de France : un rapport accablant contre la hiérarchie policière et le ministre de l’Intérieur. Une honte nationale et internationale. Personne n’a été et ne sera sanctionné. C’est la #France!!!"
• Nous lui répondons, évidemment très amicalement :
Non, Philippe Bilger, ce n'est pas "la France" : c'est "le Régime", "le Système", "la République idéologique", qui sont comme une tunique de Nessos, qui tue à la longue ce beau pays qui était, jadis, le mieux géré d'Europe - aux dires des Ambassadeurs de Venise et d'ailleurs... - le pays à la pointe du progrès dans tous les domaines... et que notre République idéologique a transformé en un pays en voie de tiers-mondisation acccélérée :
• avec son Etat obèse et impuissant, qui croule sous ses archaïsmes, ses inefficacités et ses injustices...
• ses plus de 450.000 Lois, normes et règlements souvent contradictoires, et plus souvent encore paralysantes et décourageantes (pourquoi tant de jeunes Français quittent-ils la France ?)...
• l'insécurité chronique qu'il a lui-même organisée et installée, aussi bien dans les villes que dans les campagnes, avec sa folle politique d'immigration/invasion, imposée à un Peuple qui n'a rien demandé et à qui le-dit Système se garde bien de demander son avis par référendum, qu'il sait perdu d'avance pour lui...
• la Dette himalayenne de plus de 3.000 milliards d'euros qu'il a créee et qui hypothèque gravement notre avenir, notre sécurité et notre indépendance nationale...
• bref son Etat idéologique incapable d'être, tout simplement, un État normal, véritable, au seul service du Pays et de ses intérêts supérieurs et vitaux, comme l'est par exemple, l'État Suisse...
Ce n'est pas "la France" qu'il faut incriminer à chaque fois : sur-administration, sur-imposition qui frôle le confiscatoire, Santé en péril, École démolie, Armées échantillonaire malgré la qualité indéniable de nos ingénieurs militaires, pauvreté qui augmente sans cesse, avec son cortège de précarités, mal-logés et mal nourris (ces files impressionnantes aux Restos du Coeur, Banques alimentaires et autres : mais où on est ?)...
Non, ce n'est pas "la France" qui est fautive ou bien qui serait "née comme ça" ! C'est le Système qui nous tue parce qu'il est mauvais et que, comme un arbre malade, il produit des fruits mauvais...
LA FRANCE MÉRITE MIEUX QUE CE SYSTÈME FAILLI EN TOUT ET PARTOUT !
IL FAUT LUI RENDRE SON RÉGIME TRADITIONNEL,
CELUI QUI L'A FAITE,
ET LUI ARRACHER CETTE TUNIQUE DE NESSOS QU'EST LE SYSTÈME ET QUI LA TUE !
"Ce séisme nous rappelle aussi que la géographie et l’histoire refont surface en décalcomanie..."
Merci à Alexandre del Valle de nous avoir signalé ce très intéressant article de Tigrane Yégavian, après les deux terribles tremblements de terre en Turquie/Syrie : sous les décombres, failles, fractures et canyons crées par ces deux monstres, ré-apparaît un royaume oublié - et menacé aujourd'hui, dans ce qu'il en reste : l'Arménie...
"La Police tue !" a dit un jour ce pauvre Mélenchon, qui ferait bien mieux de "dégager" (pour employer le mot qu'il a lui-même mis à la mode) après tant d'années passées bien douilletement installé dans le confort matériel qu'offre le Pays légal : sa première élection remonte à... 1983 ! Autant dire que, si on remonte un peu plus haut, on arrive aux temps préhistoriques !
Mais bon...
Le piquant de l'affaire est ce que l'on vient d'apprendre : l'un des séides de Mélenchon, Louis Boyard, député LFI mais "sale gosse" de bas étage, ex-vendeur de drogue (vendeur, seulement ?...) va bénéficier d’une protection policière en bas de chez lui suite à des menaces. Il faut dire - et tout le monde le sait, l'a vu, entendu... - que ce Boyard là est coutumier des menaces, vociférations, propos orduriers et attitudes "tendant vers la délinquance".
Il est donc amusant de voir un tel acharné de la "section des piques de 1793" nous faire le coup de "Allô ! Maman, bobo" et appeler les gendarmes lorsque, à la suite d'une accumulation invraisemblable de propos et actes orduriers, son attitude constamment agressive lui vaut maintenant - comme un boomerang - les "menaces" pour lesquelles il vient pleurer, auprès de cette... "police qui tue" !
Ceci n'est-il pas aussi pitoyable que grotesque ?
Décidémment, l'outrance en tout, il n'y a que là qu'il est fort, Boyard !
Une ministre "mère fouettarde" ! La liberté de ton, de pensée, d'expression que s'octroient CNews et C8, elle en bave de haine, Rima Abdul Malak, cette pauvre ministresse qu'on nous impose (soi-disant de la Culture !!!!!). Comme au bon vieux temps (pour elle et les siens) de la Terreur, du Génocide vendéen, des noyades de Carrier et des canonnades de Fouché, de la Guillotine partout... elle voudrait les mener à l'échafaud, en ne renouvelant pas les licences de leur chaîne. Comportement typique de ces terroristes qui n'ont que le mot "Liberté" à la bouche, mais sont assis sans complexe sur le Génocide vendéen (le premier des Temps modernes), ont "cassé" l'Action française en 45 et cherchent encore et toujours à museler, par tous les moyens, ceux qui ne pensent pas comme eux; c'est-à-dire, depuis les origines et la Révolution, l'immense majorité du Peuple français, qui n'a jamais voulu tout ce qu' "ils" ont fait...
Sorte de Robespierre femelle, Rima Abdul Malak, affiliée de "la section des piques" de 93, toujours là aujourd'hui, toujours avec le désir de terroriser, de guillotiner, est bien de cette trempe-là...
Entièrement d'accord avec Philippe Bilger, Éric de Riedmatten, L'Indépendant (et tous les autres...) sur cette "tricoteuse" des temps modernes (hélas, pas la seule !...)
De Louis XVIII au renouveau du nucléaire, du progrès et du bien-être, de la puissance française qui vont avec !...
Beaucoup l'ignorent : c'est Louis XVIII qui a créé le Livret A, en mai 1818, au moment de la création de la Caisse d'épargne. Il s'agissait alors, pour le très grand roi qu'il fut, de remettre debout une France que la Révolution, la Terreur et les massacres partout, le Génocide vendéen puis les folles guerres napoléoniennes avaient complètement mis à bas; une France qui venait de perdre 600.000 hommes à cause de la Révolution (Génocide inclus) et 1.500.000 à cause de la guerre déclarée à l'Europe; une France occupée pendant trois ans (jusqu'en novembre 1818, par près de 1.250.000 hommes, répartis dans 58 départements); une France condamnée à payer une "amende" de 700 millions de francs; une France amputée de territoires lui faisant perdre 500.000 habitants...
Le très grand Louis XVIII sortit la France de cette misère et la releva partout et en tout s'acquitant à merveille du service dont la Nation avait alors le plus urgent besoin, elle qui, en plus de tout ce qui vient d'être signalé, était menacée d'être démembrée par nos plus féroces ennemis : les Prussiens, appuyés par les Autrichiens : encore et toujours la masse germanique contre nous !... Ce furent les Russes et les Anglais, qui - intelligents et voyant loin... - ne voulaient pas d'une trop grande puissance "germanique" au coeur de l'Europe, s'opposèrent à ce démembrement, aidés par la très habile diplomatie de Talleyrand et Louis XVIII...
Ce petit rappel historique étant fait, revenons à Louis XVIII et au nucléaire, qui paraissent, à première vue, bien éloignés l'un de l'autre.
Notre semble-président vient de déclarer qu'il envisageait de puiser dans le Livret A (dont la collecte de fonds s'envole ces derniers temps : tant mieux !) afin de financer la construction de six centrales nucléaires.
Pour une fois que l'on peut applaudir à une décision de Macron, on ne va pas bouder notre plaisir. Non sans exprimer, cependant, notre gratitude et reconnaissance à Louis XVIII qui nous a laissé ce bel outil de souveraineté nationale qu'est, finalement, "son" Livret A...
Ce qui va sans dire va encore mieux en le disant, c'est bien connu. Voici un sentiment que nous partageons tous : Damien Rieu a bien raison de l'écrire (sur tweeter) :
Nouveau "coup bas" de nos ennemis allemands du Quatrième Reich, emmenés par Herr Scholz.
C'est dans Front Populaire :
Herr Scholz, le nouveau Chancelier, successeur de Bismarck, Guillaume II et Hitler, mène la même politique qu'eux : expansionnisme pan-germanique et volonté de puissance, brisant tout sur son passage.
À une différence près, tout de même, et de taille : il sait bien que, pour l'instant et depuis 45, l'Allemagne est "bridée", militairement, alors que la France est une puissance nucléaire. Alors, par haine "essentielle" de la France, le Quatrième Reich nous écrase économiquement - nous et le reste de l'Europe - puisqu'il ne peut plus, ne peut pas (ou pas encore...) nous écraser militairement; sa politique du "grand Reich allemand malgré tout" étant favorisée par l'imbécilité et la trahison de la politique (?) du Pays légal français, comme d'habitude...
Ainsi, par exemple, plutôt que de "jouer le jeu" d'une Europe indépendante des États-Unis, mais où l'hégémon serait la France, lui et ses prédécésseurs ont préféré et préfèrent encore se faire le 51ème État des États-Unis : tout, plutôt que d'être dans un ensemble où la France serait, de fait, la première (ce qui était, rappelons-le au passage, la vision gaullienne de "l'Europe des Six"...) !...
Et beaucoup d'autres pays européens "suivent", poussés et guidés par le seul "économique" : la plupart achètent "états-uniens" ou allemand, et pas français, dans le domaine de l'armement : est-ce un hasard ?
Les rois avaient émietté les Allemagnes, avec les grandioses Traités de Westphalie, qui faisaient que, paradoxalement, les Allemands nous admiraient et devenaient nos amis. Formés en "bloc unifié" par la Révolution et les deux Empires, ils sont redevenus ce qu'ils étaient depuis les Cimbres et les Teutons, en 100 avant Jésus-Christ... ennemis un jour, ennemis toujours !
Pour l'instant, tant que prévalent encore les conséquences de la défaite hitlérienne, l'Allemagne se contente de l'économique pour mener sa politique anti-française. Pendant ce temps, en face, la France continue de descendre la pente du déclin, diminuée par son Régime anti-national qui l'affaiblit et la tue à petit feu...
Mais, comme le dirait Bainville : demain ?
DELENDA EST GERMANIA !...
C'est vrai (malheureusement) : RIEN NE VA !
Et nous aussi, comme Michel Onfray, on est étonnés...
La langue française ? Non seulement un trésor inestimable, qu'il faut respecter, défendre, entretenir, enrichir, faire vivre à tout prix ("quoi qu'il en coûte", comme dirait quelqu'un...); mais, aussi, un indispensable outil de souveraineté, à l'intérieur comme à l'international...
Or, que font le Système, et l'hôte actuel de l'Élysée (heureusement "de passage" et bientôt parti (ouf !), mais que de dégâts il aura fait !...) : présider à l'effacement de notre langue à l'international :
• en s'exprimant dès qu'il le peut en anglais, pour le semble président;
• en acceptant, pour le Système (et ce n'est qu'un exemple ...), que l'anglais soit devenu la langue de fait de l'Union européeenne alors que le Royaume Uni n'en fait même plus partie !
La solution à ce drame, que dénonce Défense de la langue française est politique :
LE SYSTÈME EFFACE OU LAISSE EFFACER LA FRANCE ?
EFFAÇONS LE SYSTÈME !
RENDONS À LA FRANCE UN RÉGIME QUI SOIT FRANCAIS !
MENONS LA SEULE ACTION POLITIQUE QUI VAILLE :
UNE ACTION "RÉELLEMENT D'OPPOSITION, C'EST-À-DIRE PRÔNANT OUVERTEMENT LA SUBVERSION DU RÉGIME" (Léon Daudet )