Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

"EMPRISE DE L'ALLEMAGNE : De la puissance militaire à la puissance économique, permanence de l’impérialisme allemand..."
"Réservé aux abonnés", le simple titre de ce bon article d'Atlantico dit, à lui seul l'essentiel...
Herr Scholz, Chancelier du Quatrième Reich, bien obligé de supporter la pilule très amère d'une France puissance nucléaire (et, lui, pas) mais bien décidé, aussi, à nous le faire payer chèrement...
Nos ennemis allemands sont prêts à tout. Tout, comme par exemple devenir le 51ème État des États désunis d'Amérique; ou faire de l'Europe une succursale états-unienne, une arrière-cour de la Maison blanche : tout, plutôt que d'être un tant soit peu dans un ensemble où la France serait "une case devant"...
Et, bien entendu, tout faire pour "casser" tout ce que l'on peut "casser" de cette France que l'on veut toujours dominer : en particulier son EDF et son nucléaire... notre pauvre semble-président Macron disant "Amen" à tout, dans son utopie du "couple franco-allemand" qui n'a jamais existé ailleurs que dans les têtes de nos dirigeants; et qui ne rêve que d'être, non pas le président de la France, mais d'une Europe qui - selon l'idée qu'il s'en fait - n'a jamais existé et n'existera jamais...
L'extérieur a changé : plus de casque à pointe ni de croix gammée, c'est sûr; l'impérialisme allemand porte aujourd'hui costard/cravate : cela passe mieux, dans l'opinion. Mais l'expansionnisme germanique, sa volonté de puissance, pour être seulement économique, aujourd'hui, n'en reste pas moins destructeur et ravageur, en particulier pour nous, dans ses conséquences économiques, bien sûr, mais aussi... politiques !
"Devant l'Allemagne éternelle" est le titre d'un livre de Maurras. Nous avons toujours aujourd'hui devant nous, et contre nous, cette Allemagne unifiée que le Système et Clemenceau n'ont pas voulu abattre en 1918...