Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...


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La Chronique de Mathieu Bock-Côté, dans Le Figaro (extrait) :
"Tandis qu’elle fait usage de l’idéologie universaliste pour détruire ce qu’il reste de l’école libre, la République tolère la progression de la civilisation islamique en France.
Cela fait quelques mois, déjà, que l’abaya est devenue le symbole de l’offensive islamiste à l’école et, plus encore, de la sécession culturelle d’une partie de la jeune génération issue de l’immigration, qui entend marquer visiblement une forme de différence conquérante. Certains veulent voir dans sa présence une «atteinte à la laïcité». Cela nous rappelle à quel point le discours public français n’envisage le commun que sous le signe de la laïcité, comme s’il s’agissait de la seule identité collective autorisée.
Mieux vaudrait, si ce vocabulaire était autorisé, parler d’une atteinte à l’identité française, d’une agression symbolique explicite contre le peuple français ou, plus exactement, de l’effet inévitable d’un changement démographique qui ne peut s’accompagner que d’un changement culturel. Un pays ne change pas de peuple sans changer d’identité. La laïcité ne survivra jamais à la mutation démographique française..."
À Nice, des groupes d’élèves de plusieurs écoles ont organisé des prières musulmanes sur leur temps de pause méridienne. Une "minute de silence à la mémoire du prophète Mohammed" a, par exemple, été respectée par des enfants scolarisés en CM1 et CM2...
Ces prières à l’heure du déjeuner concernent dix élèves de CM1, le 16 mai, et trois enfants du même niveau dans une autre école, le 5 juin, a précisé le Rectorat de Nice au Figaro. Dans un troisième établissement, un élève de CM2 a pris l’initiative, le 8 juin, d’organiser la minute de silence à la mémoire de Mohammed, en appelant ses camarades à y participer.
En tout, une quinzaine d’élèves sont concernés, dans cinq établissements de primaire (Saint-Sylvestre, Fuon Cauda et Bois de Boulogne) et de secondaire (collège Pablo-Picasso, à Vallauris, et lycée d’Estienne-d’Orves, à Nice)...
Mais, soyons clairs : ce qui nous étonne, c'est...
que l'on s'étonne !
Des mots indignés ont été prononcés ici ou là, mais, pourquoi s'indigner ? : si l'on plante un arbre, s'indignera-t-on de le voir, à son heure, donner des fruits ?
Bossuet disait : "Dieu se rit des hommes qui maudissent les conséquences dont ils chérissent les causes...".
Le Système a imposé à la France, depuis cinq décennies, une greffe jamais vue de population étrangère, provenant très majoritairement d'Afrique du Nord et sub-saharienne; et dans laquelle on compte de très, très nombreux musulmans.
Quinze millions d'entrées - à la louche - en un peu plus de quarante ans : du jamais vu !
Certes, tous ces nouveaux venus ne sont pas musulmans, et même, chez les Noirs, compte-t-on de nombreux chrétiens.
Il n'empêche : dans ce trop grand nombre d'entrées en trop peu de temps, on compte forcément - on pourrait dire : statistiquement - une part forcément importante de musulmans. Et, dans le contexte d'incandescence qui est celui des mondes islamiques aujourd'hui, on aurait bien du se douter, en haut lieu, qu'un jour, forcément, il se poserait un certain nombre de problèmes, liés aux traditions et façons d'être et de faire, aux moeurs et coutumes (alimentaires, vestimentaires, religieuses et autres) de ces populations; et se dire que, peut-être, que, probablement, la greffe pourrait ne pas prendre...
Alors, maintenant que la masse est telle que partout fleurissent les abayas, les voiles et - dans le sujet qui nous occupe ici - des prières en plein air (peu importe que ce soit dans les rues ou dans les établissements scolaires) on ferait mine de s'étonner, de s'indigner, d'écrire au Préfet, voire, comme ce pauvre Estrosi, au Premier ministre, dame Borne, pour lui dire, l'air scandalisé, que, c'est bien connu, quand les bornes sont franchies, il n'y a plus de limites ?
Soyons sérieux : ce n'est pas le fait que quelques ados, manipulés de toute évidence par leurs parents ou par les groupes islamiques, aient organisé des prières en public et dans des écoles qu'il faut dénoncer : c'est la politique folle et suicidaire, mais voulue, du Système, qui nous a conduit là où nous en sommes. Et nous n'en sommes qu'au début, qu'à l'apéro, si on nous permet la familiarité !....
C'est donc ce Système lui-même qu'il faut accuser, lui qui change le Peuple, aujourd'hui dans sa composition ethnique, après l'avoir changé, hier, dans son esprit et son mental, en menant une lutte quotidienne contre nos Racines historiques et religieuses, qui sont chrétiennes...
À qui profite le crime ? Dans Atlantico, l'article de Guylain Chevrier :
MBS, Prince héritier d'Arabie Séoudite, est à Paris, et Ouin-Ouin, président de la Ligue des Droits de l'Homme est venu pleurer, hier matin, sur France info, disant - en substance, et entre autres insanités - que cette visite était une honte, et qu'elle était contraire aux "valeurs" (!) du pays des droits de l'homme...
Certes, nous ne souhaiterions pour rien au monde à la France un Régime et une Société qui seraient un tant soit peu comparables à ce que l'on voit en Arabie.
0n rappellera juste, cependant, à ce monsieur Ouin-ouin que son "pays des droits de l'homme", son Système, plutôt, sa République idéologique, a froidement perpétré le premier Génocide des Temps modernes, le Génocide vendéen, précurseur, matrice et modèle de tous les suivants, et qu'il ajoute à ce crime de Génocide un second, terrible lui aussi : celui de mémoricide...
On lui rappellera aussi cette horreur proférée par Clemenceau :
"J’approuve tout de la Révolution : j’approuve les massacres de septembre où, pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts.
J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la fois l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée.
J’approuve les horreurs de Lyon, où l’on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre vingt dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.
Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche.
Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat..."
Quand on approuve "ça", monsieur Ouin-Ouin, Génocide/Mémoricide, propos abjects de Clemenceau et tout le reste, on ne vient pas pousser des cris d'orfraie à la radio...
Il vaudrait peut-être mieux avoir l'ouverture d'esprit de vous informer, en lisant, par exemple, notre courte note, en page d'accueil de notre Quotidien :
Sur "le scandale de Lyon", excellente réaction de Matthieu Bock-Côté (dans Face à l'info, chez Christine Kelly) :
"Écosexualité devant des enfants : la vidéo choc !..."
(extrait vidéo 9'31)
https://twitter.com/CNEWS/status/1669044883217166336?s=20
Marre de leur abaya, leur voile et tout leur tintouin, dont
NOUS NE VOULONS
PAS,
POINT !
Charlotte d'Ornellas a raison :
"Islamique ou pas, l'abaya n'est pas un vêtement français..."
(extrait vidéo 1'47) :
https://twitter.com/CNEWS/status/1668679216907296793?s=20
Le plus qu'excellent édito de Matthieu Bock-Côté, dans Face à l'info, sur "Henri, ce héros qui dérange" (à gauche, évidemment : nous, et la France, il nous comble...) :
https://twitter.com/CNEWS/status/1668333285754167306?s=20
L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers (extrait) : Immigration : les politiques face à la pression populaire...
L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Les partis traditionnels sont placés face à une responsabilité historique.
C’est un thème qui a sorti Éric Ciotti du bourbier des retraites et donné, en quelques heures, une place centrale dans le débat public à Édouard Philippe. En vingt ans, il a fait passer le parti de Marine Le Pen de 18 % à 42 % ; en quelques mois il a transformé un journaliste, Éric Zemmour, en homme politique capable de réunir 7 % des voix. Les différents scrutins en Suède, en Italie, en Espagne en ont fait aussi la preuve: la lutte contre l’immigration est un levier électoral de plus en plus spectaculaire..
Inutile d’établir une hiérarchie entre ce thème et celui du pouvoir d’achat puisque désormais, dans l’opinion, les deux sont imbriqués. De plus en plus de Français font un lien entre le déclassement et la mutation démographique provoquée par l’immigration: pression à la baisse sur les salaires, obésité de l’État social (l’agresseur d’Annecy, en tant que demandeur d’asile, avait droit à plus de 400 euros mensuels), thrombose et délabrement des services publics, notamment à l’hôpital…
Exemple à suivre :
Giorgia Meloni attaque le mal migratoire à sa racine tunisienne et vient de réussir - en ces premiers jours de juin - un très beau coup politique et économique : un donnant-donnant accepté par ses voisins tunisiens...
https://www.bvoltaire.fr/giorgia-meloni-attaque-le-mal-migratoire-a-sa-racine-tunisienne/
FIGAROVOX/TRIBUNE - L'intervention héroïque d'Henri, un jeune homme de 24 ans, a permis d'éviter un plus grand nombre de victimes lors de l'attaque d'Annecy, le 8 juin. L'écrivain loue le courage de cet étudiant en philosophie, qui incarne à merveille les profondeurs chrétiennes de la France.
Auteur de nombreux livres, Robert Redeker a récemment publié L'Abolition de l'âme (Éditions du Cerf). Il est aussi l'auteur de Les Sentinelles d'humanité, Philosophie de l'héroïsme et de la sainteté, aux éditions Desclée de Brouwer.
"Plus encore que dans le criminel et son forfait, l'inattendu, dans la terrible agression d'Annecy, tient dans la personnalité du héros qui a protégé les enfants. Henri, ce héros est le personnage philosophiquement le plus significatif de cet événement, incarnant «la merveilleuse visite» dont Marcel Carné fit le titre de l'un de ses derniers films.
Catholique, croyant, pratiquant, ancien chef scout, pèlerin pédestre marchant de cathédrale en cathédrale, passionné par le patrimoine religieux de notre pays, ce jeune homme, qui semble sorti tout droit d'un livre de Péguy, coagule l'ensemble des traits anthropologiques détestés par l'idéologie dominante. Représentant ordinaire du catholicisme français…"
Par contre, Jean Messiha fait remarquer, à propos de l'agresseur/assassin :
La tragédie d'Annecy : d'accord avec Vincent Trémolet de Villers (dans son édito sur Europe 1) :
"...Il serait réducteur de faire de l’immigration la cause unique de l’attaque d’Annecy - le mystère du Mal n’a pas de frontières - mais il serait tout aussi malhonnête de nier que le détournement du droit d'asile de son esprit originel a des conséquences de plus en plus tragiques..."
https://twitter.com/vtremolet/status/1667062678328848386?s=20
ABALABAYA !
Posté sur tweeter par Officiers et Commissaires de police : comment ne pas approuver et partager ?
Macron a reçu le Chef Raoni.
Cela ne nous surprend pas, ne nous déplaît pas, bien au contraire !
Nous aussi, nous respectons le Chef Raoni, et nous respectons les peuples autochtones, non seulement en Amazonie mais sur toute la surface de la terre.
Ce qui nous fait "tiquer", par contre, c'est le message posté par "Macron officiel" sur tweeter :
"Préserver les forêts tropicales, faire respecter les droits des peuples autochtones, c'est toute sa vie, son combat pour l'Humanité. À l'écoute du Cacique Raoni, 18 jours avant le Sommet de Paris pour un nouveau pacte financier mondial dont le monde a besoin."
"Faire respecter les droits des peuples autochtones" ? Vraiment ? Il le croit, Macron, que lui et le Système qu'il préside respectent les droits du "peuple autochtone" en France ?
Il poursuit - et amplifie même - la suicidaire politique qui le dilue, le dissout dans une immigration aussi massive qu'incontrôlée (et, surtout, inutile et non souhaitée par le-dit Peuple...) : quinze millions d'étrangers en quelques décennies, une ville comme Toulouse chaque année...
Il était, hier, au Mont Saint Michel pour exalter la France et sa culture, mais il déclarait, naguère : "Il n'y a pas de culture française, il y a des cultures en France, qui font la culture française..." !
Il faudrait savoir...
Et bien entendu, in fine, "Macron officiel" parle d'un "pacte financier mondial" : encore et toujours, l'Argent ! Tout considéré et analysé sous le seul angle économique et matériel ! Parles-nous un peu moins de fric, Macron, et un peu plus de notre coeur, de notre Esprit, de l'âme de la France...
Une Nation, un Pays, une Culture, une Civilisation, oui, c'est du matériel (il faut bien les construire, les cathédrales, et payer les tailleurs de pierre !...); oui c'est la gestion des choses et des gens; oui, c'est, aussi, de l'horizontal, du quotidien...
Mais, un Peuple, c'est surtout - "sur tout" - du vertical; c'est surtout - "sur tout" - une politique de Civilisation, qui tire vers le Haut, vers le Vrai, le Beau, le Bien...
Il suffit de regarder le château de Versailles, pour bien comprendre : tout y dit la majesté, la puissance, la force et la grandeur du Roi, du pouvoir politique de celui qui a été voulu, là, pour gérer les choses de la terre. Mais, pourtant, une chose dépasse les toits du château, et domine l'ensemble : la Chapelle, qui, surgissant des toits et s'élançant vers le Ciel, montre bien qu'il y a plus haut que le pouvoir des hommes, ce pouvoir qui leur est donné, essentiellement, pour permettre l'ascension des peuples qui leur sont confiés vers les réalités des choses d'en haut...