Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
ABALABAYA !
Soit, avec la graphie traditionnelle restituée :
À BAS L'ABAYA !
De Gilbert Collard :
(extrait vidéo 1'51)
https://twitter.com/GilbertCollard/status/1666455739672477700?s=20
Non, Gilbert Collard, l'Islam n'a pas gagné mais, c'est vrai, il faut que l'opinion "ouvre les yeux" et que, nous, nous ayons une pleine conscience de la réalité, animés par un pessimisme actif de bon aloi...
Et, d'abord, que nous disions et redisions à tous que, maintenant, le Système a bien installé en France l'armée barbare d'invasion, aves ses cinq décennies d'immigration/invasion qu'il nous a imposées et qu'il continue à nous imposer (à la louche, environ 500.000 entrées chaque année, entre les "réguliers" et les "clandos", une ville comme Nice...).
Si bon nombre d'immigrés sont vraiment une chance pour la France (des Malika Sorel, des Messiha...) et que, non seulement nous n'avons aucun problème avec eux, mais que nous sommes très heureux qu'ils soient venus travailler chez nous, avec nous, pour développer encore plus notre cher et vieux Pays, il est clair que bon nombre d'autres ne se cachent plus et revendiquent de plus en plus fort ce pourquoi ils sont venus : s'emparer du Pays, en faire une république islamique, y transporter leurs traditions, moeurs et coutumes (vestimentaires, alimentaires ou autres...), toutes choses dont
NOUS NE VOULONS PAS
!
À partir de là, notre ligne de conduite nous a été fixée par Maurras, dans L'Action française, dès le 6 juillet 1912, dans son article "L'Hospitalité" :
"...Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."
Il semble bien que l'on puisse dire : "nous y sommes... c'est maintenant..."
Si c'est notre génération, ici et maintenant, qui doit lutter physiquement pour préserver notre cher et vieux pays "des barbares et de la barbarie", fût-ce au prix d'une guerre, qui ne sera pas une "guerre civile" mais une authentique "guerre de libération nationale", alors, comme on le chante dans La Vendéenne, que tous le sachent :
"NOUS SERONS LÀ !"
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1. De Fabien Bouglé
2. "Le Québec n’est pas le Canada" (Mathieu Bock-Côté). La chronique de Maxime Pedneaud-Jobin, dans La Presse :
https://www.lapresse.ca/.../comme-l-italien-en-italie.php...
3. Dans Boulevard Voltaire : retour sur ce scandale des 39 menhirs "disparus" à Carnac (on peut dire : "assassinés" !) et sur ce Patrimoine français dont le Système se fiche éperdument... L'article de Samuel Martin : 39 menhirs disparus à Carnac : le mille-feuilles administratif en cause ? :
3 BIS. D'accord avec Philippe de Villiers :
"39 #menhirs vieux de plus de 7000 ans détruits en catimini à #Carnac pour construire un magasin de Mr. Bricolage : c'était bien la peine d'aller au Mont-#Saint-Michel. Pauvre patrimoine français ! La marchandisation du monde prépare l'homme sans souvenirs."
5. Trouvé sur tweeter, sur ce "machin" de Bruxelles, arrière cour de la maison blanche : plus que pas mal !
6. Et encore un scandale de plus, un ! C'est dans Le Figaro Économie (extrait) : Les barrages français privés d’investissement...
DÉCRYPTAGE - Le régime des concessions qui régit la production d’électricité bloque l’amélioration des structures existantes.
La renationalisation d’EDF apportera-t-elle une solution à la filière hydroélectrique française? Après vingt ans de bras de fer entre Paris et Bruxelles, des pistes de sortie de crise se dessinent, alors que la nouvelle direction d’EDF semble bien décidée à vouloir faire bouger les lignes. L’hydraulique pèse pour 10 à 11 % de la production d’électricité en France...
Aujourd’hui, EDF se plaint de ne pouvoir réaliser des travaux conséquents dans ses barrages sans risquer d’en perdre la propriété. En effet, les barrages dépendent du régime des concessions. Or une directive européenne dans le code de la commande publique stipule que tout investissement non prévu dans la concession déclenche une mise en concurrence. Ainsi, impossible d’augmenter la puissance d’un barrage à l’occasion du remplacement d’une turbine par exemple. "Demander à fonctionner avec un nouveau niveau de puissance reviendrait, pour l’exploitation, à demander une mise en concurrence de sa concession"...
QUAND LE SYSTÈME AURA-T-IL LE COURAGE DE DIRE
"NON" A BRUXELLES ?
PROBABLEMENT JAMAIS...
7. En Wallonie aussi, on dit "NON AU VOILE ISLAMIQUE !" De CHEZ NOUS :
À DEMAIN !