Poutine ne viendra pas : Hollande joue contre la France ...


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Ce mardi 11 septembre, l'écoute de la matinale de France info, et plus particulièrement du 7-9 de Fabienne Sintès, s'est révélée extrêmement instructive.
Pour les pessimistes, les défaitistes, les dépressifs et tous ceux qui ont mal au foie, c'était mi-hallucinant, mi-terrifiant d'entendre ces personnes qui parlaient de la « prison à ciel ouvert » qu'était cette monstruosité de Cité de la Grande Borne (au passage, quel architecte et quel gouvernement insensés ont-il pu concevoir, et laisser construire, une horreur criminogène pareille ?)
Pour nous, qui ne sommes pas « optimistes » mais, plus sérieusement, hommes et femmes de foi et d'espérance en l'avenir de notre pays - qui en a vu d'autres - la tentative d'assassinat perpétrée contre les policiers ne fait que nous donner raison, et montrer la justesse de notre analyse.
Une analyse que, d'ailleurs, le précédent roi du Maroc, Hassan II, avait faite, en nous prévenant, lui qui était - comme aujourd'hui son fils, Mohammed VI - « Amir-el-Moumini », « Commandeur des Croyants », et qui savait donc de quoi il parlait lorsqu'il parlait de l'Islam et des musulmans : vous n'intégrerez pas les marocains, peut-être la première génération, mais la deuxième, la troisième, vous n'y arriverez pas, dit-il en substance dans les deux très courtes vidéos* que nous vous suggérons d'écouter (2'41 et 0'57) ...
L'erreur première vient de 1975, du regroupement familial, et de l'erreur-folie initiale de Chirac Premier ministre et de Giscard président. Dès ces sinistres "Décrets Chirac", plus de 700.000 étrangers sont entrés en une seule année, leur nombre grimpant à 200.000 puis, maintenant, 300.000 par an. Sans compter, bien sûr, les clandestins. Il y a 31 ans entre 1975 et 2016 : le compte d'étrangers reçus est facile à faire. Mais, pourquoi les reçoit-on, pour « quoi faire », puisque, dans les cités où ils vivent, le chômage - notamment des jeunes - dépasse les 60% ? Sauf dans les activités très lucratives des divers trafics (drogue, armes, oeuvres d'art, autos-motos, prostitution...), qui génèrent - à la cité La Castellane de Marseille par exemple - mais partout en France aussi - un chiffre d'affaires de 90.000 euros PAR JOUR : les immigrationnistes vont-ils nous dire encore longtemps que ces étrangers-là - à qui on a follement donné un petit rectangle de plastique, croyant que cela en faisait des Français - sont « venus faire les travaux que les Français ne veulent pas faire » et que ce sont eux qui « vont payer nos retraites » ? Si tel était le cas, à 90.000 euros de gain par jour dans chaque cité de Marseille et de France, ni le gouvernement ni plus personne ne devrait avoir la moindre inquiétude sur l'état de nos finances, de nos Caisse de Retraites, de Sécu et autres...
Il n'y a qu'une seule chose à faire : traiter la cause du mal, et pas seulement, dans l'urgence, ses conséquences; remonter aux sources, et reconnaître que l'on s'est dramatiquement trompé en 1975; que Chirac et Giscard ont mené le pays sur une voie qui conduit à sa désintégration; arrêter toute nouvelle importation d'étrangers, à qui l'on n'a de toute façon rien à offrir; changer nos lois et entamer, sans délai, une politique de déchéance massive de nationalité pour tout acte de délinquance, quel qu'il soit, commis par une personne dont l'acquisition de la nationalité s'est faite à partir de 1975; déchéance suivie d'une expulsion immédiate, et bien sûr définitive, du territoire.
Cela videra nos prisons et règlera le problème de la sur-population carcérale; cela mettra fin à l'explosion exponentielle de toute sorte de trafics évoqués plus haut : ils continueront, certes, jusqu'à la fin du monde, mais avec une intensité et une ampleur qui auront tellement diminué que les forces de police « normales » et les moyens de justice « normaux » suffiront à les « traiter »; cela fera également diminuer d'intensité le risque terroriste, qui ne disparaîtra pas, lui non plus, comme par enchantement, mais qui redeviendra moins difficile à combattre, alors que, si l'on continue comme cela, dans peu de temps, l'état d'urgence deviendra la norme et la « vie normale » ne sera plus qu'un lointain souvenir. •
* Hassan II donne les raisons de son opposition à l'intégration
Pour ou contre l'aéroport de Notre-Dame des Landes ? Ce Grain de sel est contre. Résolument contre. L'affaire est d'importance. Importance régionale et, en un sens, sociétale. Mais faut-il en cette matière particulière avoir une position arrêtée ? Il serait intéressant d'en débattre. LFAR
Nous sommes opposés à l'aberrant projet de bétonisation qu'impliquerait la construction de l'inutile et ruineux aéroport de Notre-Dame-des-Landes, en plus du désastre écologique qu'il signifierait. Nous sommes donc favorables à toute manifestation ou opposition intelligente et efficace à ce projet insensé.
Le problème est que l'état d'esprit de certains des opposants, leur façon d'agir et l'essence même de certaines de leurs actions ne peuvent que nous être étrangères.
Nous dirons donc de l'opposition à l'Ayraultport de Notre-Dame-des-Landes ce que nous avons dit des propos du FLNC aux terroristes islamistes, lors de « l'affaire de Sisco », en Corse.
Le 1er août 2016, Lafautearousseau écrivait ceci :
« Non, nous ne soutenons pas l'indépendantisme corse, ni le FLNC. Face au terrorisme, il y a pourtant des choses qui, en certaines circonstances, sont bonnes à dire, qui avertissent les tueurs, qui leur signifient la détermination d'un peuple à se défendre, à répliquer aux agressions. Après tout, peut-être la mise en garde des Corses, dont on sait qu'elle doit être prise au sérieux, évitera-t-elle les drames que nous avons connus, sur le continent. Ou quelques-uns d'entre eux. Cela sera sans-doute plus efficace que les larmes, les fleurs, les bougies et les hommages dont les médias organisent systématiquement et continûment le concert, pour empêcher toute réaction populaire digne de ce nom. »
On pourrait paraphraser cette prise de position : non, le boboïsme et la violence gratuite de casseurs extrémistes de gauche ne nous conviennent pas; et nous ne les appuyons pas, ne les acceptons pas. Ces groupes ne font plus de la Politique mais ont sombré depuis longtemps dans la voyoucratie, la délinquance et le terrorisme : cet aspect-là des manifestations, non merci ! Très peu pour nous !
Par contre, la saine révolte et le soulèvement bienvenu de tous ceux qui sont attachés à la Terre - à « leur » terre... - et qui refusent que pour des questions de profits et de gains financiers (qui restent, de toute façon, à prouver, mais c'est une autre histoire...), on bétonne encore et toujours, encore plus et toujours plus la terre de France : cette saine révolte-là, nous la comprenons, nous la partageons, nous l'appuyons... •
Ici, autre discours : Najat Vallaud-Belkacem célèbre l'anniversaire de la loi du 9 décembre 1905, portant séparation des Églises et de l'État
Plusieurs lecteurs nous ont envoyé ce morceau de bravoure, adressé - paraît-il - par un professeur de lycée à ses élèves, le jour de la sortie des classes. Il traîne beaucoup de choses sur Internet, et il vaut mieux vérifier avant de prendre ce que l'on reçoit pour argent comptant; mais, là, de toute façon, il s'agit d'humour ...
C'est assurément un beau spectacle que de voir notre groupe aéronaval en action, nos Rafales qui décollent pour détruire l'ennemi, et tous ces militaires parfaitement préparés à remplir leur mission : pour la France, toujours et partout ! C'est rassurant, et cela procure une fierté légitime : malgré ce Système misérable qui nous déclasse inexorablement, la France - qui est décidément « une bonne affaire », comme disait Bainville - est bien la puissance qu'il est bon de voir s'affirmer avec une telle maîtrise, pour cette occasion en l'occurrence.
Mais le pouvoir politique de ce Système mortifère ne donne pas assez de moyens à ces hommes et femmes admirables, qui vouent leur vie à la défense de la Patrie. Pire : les dépenses militaires n'ont cessé de baisser, ces dernières décennies... Pourtant, on trouve toujours des millions, et des milliards, pour tout et n'importe quoi : loger à l'année de clandestins à l'hôtel; construire une inepties comme cette Canopée inutile aux Halles de Paris, qui bouche le ciel et la vue, et qui prend l'eau; construire des portiques pour une écotaxe qu'on supprime dans l'année... Mais pour l'armée : des miettes !
En 1960, la France, devenant vraiment une grande puissance militaire - notamment nucléaire - dépensa 5,44% de son PIB pour la Défense : on dépasse à peine les 2% aujourd'hui !
En 1966 le budget des Armées représentait 4,6 du PIB; en 81 (Mitterand...) : 2,97; en 2002 (Chirac) : 1,6; et en 2012 (Sarkozy) : 1,56 !... « On touche à l'os - écrit Zemmour, exprimant l'opinion de toute personne connaissant le sujet, toutes opinions politiques confondues - Une baisse supplémentaire rendrait notre armée ridicule... Notre souveraineté n'existera plus quand on n'aura plus d'armée pour la défendre. »
C'est donc à bon droit que l'on peut plaider pour un budget militaire à 4%, ce qui donnerait 1% à chaque Arme (Air, Terre, Mer) et 1% à la Force nucléaire.
Et cet effort devrait être maintenu, pour remettre notre Armée en état, au moins pendant une décennie, pour commencer. Après, on avisera...
Les dépenses militaires de nombreux pays - comme la Chine ou l'Inde, ont augmenté dans des proportions faramineuses; et la puissance militaire - in fine - est, fondamentalement, ce qui créé la puissance tout court, même si, évidemment, elle n'est pas le seul critère à prendre en compte, et que, bien entendu, elle ne peut qu'aller de pair avec la puissance économique... Mais la vraie question est : le Système veut-il sortir la France de l'Histoire ? En la privant des moyens nécessaires à son Indépendance et à sa Défense ? •
« Il y a une guerre mondiale contre le mariage et nous devons être attentifs à ne pas laisser ces idées entrer en nous. » Le Pape François aux journalistes, lors de son retour de Géorgie et d'Azerbaïdjan [02.10]
C'est l'une des scènes les plus drôles de la série des Don Camillo : à un moment, un sous-fifre de la bande à Peppone vient voir le curé, de la part du maire, pour lui enjoindre de participer à la cérémonie de caractère social et patriotique que sera le bénédiction de la Maison du Peuple : « Il faut venir en uniforme et avec vos outils »...
En uniforme et avec ses outils, François l'est souvent ; et il faut reconnaître que, là - nous l'avons d'ailleurs soutenu - il plaît assez :
- hier, quand - à l'occasion de l' « affaire Charlie Hebdo » - il expliquait que la liberté d'expression avait ses limites, qu'on ne devait pas tourner en dérision ce qui était sacré pour tel ou tel, et qu'il mimait le geste de donner un coup de poing à qui se moquerait de sa mère...
- aujourd'hui, quand il affronte avec panache la théorie du genre, et s'en prend, sur ce sujet, aux manuels scolaires français, racontant sa conversation avec un père de famille effondré parce que son fils, un petit garçon de dix ans, venait de lui dire qu'il voudrait, plus tard, devenir une fille. Le Pape a carrément accusé - dimanche - les manuels scolaires français de propager un « sournois endoctrinement de la théorie du genre... alors que c'est contre les choses naturelles ».
« Avoir des tendances homosexuelles ou changer de sexe est une chose », mais « faire un enseignement dans les écoles sur cette ligne » en est une autre. Il s'agit là d'une volonté de « changer les mentalités », d'une « colonisation idéologique », a estimé le pape, qui avait dénoncé samedi à Tbilissi la « théorie du genre » comme l'un des aspects d'une « guerre mondiale pour détruire le mariage ».
Voilà donc que François surprend tout le monde, et ouvre inopinément un nouveau front, déclarant une guerre ouverte au parti dominant du politiquement correct, auquel il s'en prend frontalement. D'un point de vue médiatique, de l'image qui va être donnée de lui par les journaleux bobos, il risque gros, lui qui était l'idole de ce parti pour son action en faveur des migrants, où, il faut bien le dire, nous le jugeons « lourd », très « lourd ». Et, même : un adversaire.
Car cette « colonisation idéologique » à laquelle il s'en prend ainsi avec raison, n'en est-il pas victime lui-même - et nous avec - sur ce sujet des « migrants » : là, on a bien un sujet-phare, s'il en est, de la « colonisation idéologique », du matraquage médiatique et du bourrage de crânes; or les propos de François, sur le sujet, vont à l'encontre de ceux de son prédécesseur Jean-Paul II qui évoquait, lui, « le droit des Nations » ! Jean-Paul II était, lui aussi, Pape, et de la même Eglise catholique, donc de la même doctrine.
Pape contre Pape ?... •
Samedi 1er octobre : La journée des traditions devant les arènes du Plumaçon à Mont-de-Marsan
A Calais, à peine 200 personnes se sont réunies pour « le soutien aux migrants ». En fait, à côté de quelques migrants enragés (on nous les présente comme des anges, alors que beaucoup sont de vraies bêtes fauves...) se trouvaient quelques dizaines d'authentiques racailles, dont beaucoup venaient d'Angleterre, violents, casseurs, délinquants, bref, des voyous en vrai (le terme est faible...), prêts à tout pour imposer « leur » ordre, « leur » vision du monde et des choses. La violence terroriste à l'état pur...
A Mont-de-Marsan, plusieurs milliers de personnes (première différence), dans la bonne humeur et le respect des choses et des gens alentour (deuxième différence), sont venues manifester bruyamment mais joyeusement et d'une façon festive « pour défendre leur culture et leurs traditions » disent les journaux : c'est la troisième différence, et la plus importante.
Il y avait là le maire Modem de la ville (Geneviève Darrieussecq) qui a tempêté contre la « volonté d'uniformisation de notre société »; Jean-Louis Carrère, sénateur PS, qui a déclaré que, par-delà les appartenances politiques, « tous sont aux côtés de la ruralité pour défendre notre culture et nos chasses ». Le sénateur a lu une Charte des libertés et de la diversité culturelle qui promet de défendre « un patrimoine ancestral amplement partagé dans nos régions et qu'il appartient à l'Etat de protéger » : la chasse, la tauromachie, la gastronomie, la langue occitane...
Jean Coussau, chef étoilé Michelin à Magesq (deux étoiles) a tonné contre les ayatollahs verts et la secte écolo : « Nous sommes face à des gens très organisés... » ; Jean-Jacques Lagüe a tonné lui aussi : « Le moment est venu de résister face aux illuminés, bobos parisiens et autres groupuscules qui nous méprisent et nous harcèlent... » et d'autres contre « l'idéologie vegane » qui rejette toute alimentation d'origine animale...
Bref, on le voit, aux deux extrémités du cher et vieux pays, deux conceptions fondamentales se sont exprimées. Entre les deux, il faut choisir : pour nous, entre les terroristes-délinquants-mondialistes « no border » et les traditions françaises, le choix est fait, et depuis longtemps. •
Depuis le mois d'août dernier, c'est Fabienne Sintès, et son équipe, qui anime le 7/9 de France info. C'est intéressant, vivant, instructif, varié; de la bonne radio, qui ne mérite qu'un seul reproche, mais il est de taille : faire passer la carte de « parti » avant la carte de journaliste, c'est-à-dire être, mais alors sans aucune gêne ni aucun complexe, d'extrême-extrême gauche, alors que le fait d'être un service public, payé par l'argent public impose une stricte neutralité dans les commentaires.
Durant ce 7/9, notre fine équipe décerne une note par jour, à une personnalité X qui s'est exprimée sur un sujet X : ce jeudi 15 septembre, c'est Claude Goasguen qui est noté : 0 !
Mais qu'a-t-il donc fait, ou dit, le malheureux, pour avoir son O ? C'est tout simple, il a osé transgresser l'interdit, le politiquement correct, et tweeter : « Nous avons un problème avec les maghrébins. Il faut avoir le courage d'aborder le problème. Non pas dans la discrimination mais franchement ! »
On s'étouffe dans le studio, on va composer le 112, l'infarctus semble imminent, en tout cas l'hystérie est à son comble : il a osé ? Eh bien, on va le punir en lui mettant zéro, na ! Ca, c'est de la radio !
Franchement, le seul tort de Claude Goasguen est d'avoir parlé d' « un problème » : c'est mille, dix mille, cent mille, un million de problèmes que nous avons avec les maghrébins, même si Fabienne Sintès et les siens les appellent « Français » : Français, Mohammed Merah, les frères Kouachi, Larossi Abdallah, l'assassin de Nice ? •
L'imam Abdelali Mamoun
Comme dit Astérix, qu'est-ce qu'on en « rit-Gaule » !
Nicolas Sakozy ayant déclaré qu'à partir du moment où l'on devenait Français, c'était comme si l'on revêtait un vêtement, et que les ancêtres devenaient, à partir de ce moment-là, « nos ancêtres, les Gaulois », cela a arraché des commentaires allant du goguenard à l'hystérique un peu partout, sur l'échiquier politique.
Passons sur Bruno Lemaire, qui nous a appris qu'il avait une arrière-grand-mère brésilienne (ce dont, très franchement, tout le monde se fiche éperdument...) et arrêtons-nous plus particulièrement sur deux réactions remarquables - au sens étymologique du terme - mais qui - remarquables - ne le sont certainement pas, dans le sens courant du mot, de nos jours...
1. Alain Juppé s'est ainsi fendu d'un « c'est nul » devant un journaliste de BFM aux anges (et plus encore, frisant l'extase...), et twittant (à 6h30 du matin, s'il-vous-plaît !) sur « la nullité de la campagne » qui l'effrayait, et dont les « incongruités » l'attristaient.
2. Le président du groupe socialiste au Sénat, le très illustre inconnu Didier Guillaume, a carrément lâché, lui, un laconique « ça pue ! » !
Pourtant, on ne se souvient pas d'avoir entendu Alain Juppé dire que c'était « nul » lorsque Chirac avait sorti son himalayenne hénaurmité sur « les racines musulmanes de la France », ni de l'avoir entendu parler à ce propos d' « incongruité », alors que, de toute évidence, s'il y a bien une incongruité, et de taille, c'est bien celle-là : comme dit Cyrano « c'est un pic... c'est un cap ! / Que dis-je, c'est un cap ? ... c'est une péninsule ! »
Mémoire sélective, sans doute, chez Juppé; ou alors, est-ce la fatigue, l'âge ?...
Quant à l'illustre inconnu président socialiste etc... etc... il a probablement dû se tromper de débat : il pensait peut-être commenter le procès Cahuzac ! •
Dans son « négationnisme » insensé pour tout ce qui touche aux dangers de l'Islam, Juppé vient de franchir un pas de plus - encore un ! - dans l'angélisme coupable et suicidaire : «...qui veut faire l'ange fait la bête », disait Pascal, et c'est tout à fait ce qui arrive à notre Alain bordelais. Ainsi, selon lui, en nommant le terrorisme islamiste et en l'attaquant (mais, c'est lui qui nous attaque, nous égorge, nous fonce dessus en camion, nous fusille aux terrasses des cafés...) on mènerait une politique qui conduit à « la guerre civile » ! Il devrait, avant de parler de ce sujet relire Camus, et son « Mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde ».
Or, si guerre il devait y avoir, ce ne serait pas une guerre civile (c'est-à-dire une guerre interne au peuple français), mais une guerre de Libération nationale, menée par les Français pour libérer la France de ces populations importées par le Système, qui ne veulent pas s'intégrer ni s'assimiler, mais nous intégrer et nous assimiler à « leur » Islam , dont nous ne voulons pas.
Notre confrère Peroncel-Hugoz l'avait déjà fait remarquer, dans son commentaire du 5 mai 2016, posté sur Lafautearousseau :
« UNE GUERRE CIVILE SE JOUE PAR DEFINITION ENTRE 2 PARTIES D'UN MEME PEUPLE, PAR EXEMPLE EN ESPAGNE JADIS OU EN SYRIE DE NOS JOURS. EN FRANCE IL EST A CRAINDRE QUE CE SOIT UNE GUERRE FRANCO-ETRANGERE SUR NOTRE SOL ENTRE INDIGENES ET ALLOGENES INSTALLES DANS LA PLACE. C'EST CE QUI SE PASSA AU LIBAN EN 1975-90 LORS DE LA GUERRE DITE A TORT CIVILE CAR ELLE FUT LIBANO-PALESTINIENNE OU SI ON PREFERE MARONITO-ISLAMIQUE . Je le sais, j'y étais ... »
Précision : Camus n'a pas écrit la fameuse phrase sans cesse citée, mais déformée : « Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde ». Dans L'homme révolté, il a écrit : « La logique du révolté est... de s'efforcer au langage clair pour ne pas épaissir le mensonge universel. » Et, dans un essai de 1944, paru dans Poésie 44, (Sur une philosophie de l'expression), il précisait : « Mal nommer un objet, c'est ajouter au malheur de ce monde ».
Pour Camus, bien sûr, « un objet » ce n'est pas « les choses »; c'est un objet philosophique, le réel, ici et maintenant, ce qui tombe sous notre observation, tout ce qui est appréhendable par chacun de nous. •
« Pour monter au cocotier, il faut avoir le c... propre », dit le proverbe; une autre maxime, plus policée, dit qu'il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Bref, que l'on choisisse l'une ou l'autre de ces formules, elles s'appliquent parfaitement à notre ministre de la des-Education nationale, qui rajoute à son ignorance crasse une suffisance, une morgue, une arrogance qui ne rendent que plus grotesque son inculture abyssale. Il suffisait de voir sa moue, le dédain et le mépris qu'elle affichait vis-à-vis de Nicolas Sarkozy lorsqu'elle déclara ceci, qui restera dans les annales :
« La ministre de l'Éducation que je suis connaît parfaitement les premières phrases de ce livre, Tour de France par deux enfants, d'Ernest Lavisse, sous la IIIe République : "Autrefois, notre pays s'appelait la Gaule et les habitants les Gaulois."»
Sauf que Le Tour de la France par deux enfants (notre ignare de service a oublié l'article !), n'a pas été écrit par Ernest Lavisse mais par Augustine Fouillée (pseudonyme : « G. Bruno »). Et il fut surtout utilisé comme manuel d'apprentissage de la lecture, employé pour les élèves du cours moyen des écoles, et appelé aussi, par les maîtres d'école, « Livre de lecture courante »...
N'en jetons plus : on en a viré pour moins que ça ! Alors, qu'est-ce qu'on attend ? •
Chirac va très mal. Il aura été certainement le pire de tous les présidents de la Ve République car, avec ses décrets scélérats sur le regroupement familial, pris en 1976, il a touché la France au coeur : en changeant le peuple.
Pour des considérations sordides, bassement matérielles et même - pour parler clair - simplement de « fric », le regroupement familial a consisté à faire venir en masse femmes et enfants du travailleur étranger sous contrat de travail temporaire, afin que son salaire reste en France, et n'aille pas « là-bas », « au bled »...
Sauf que, de cette façon, on a créé d'une manière insensée les conditions pratiques d'une colonisation de peuplement, et installé, à côté du peuple français, une autre population, dont une partie seulement s'est intégrée, l'autre vivant « à part » (ce qui est le sens exact du mot « apartheid »), formant même des poches où les deux tiers, et parfois plus, de la population sont d'origine maghrébine ou sub-saharienne : voyez la ville de Saint-Denis et tant et tant d'autres « quartiers » et « cités », carrément rebaptisées « zones de non-droit »...
En menant cette politique folle, Chirac a littéralement touché la France au coeur. Nous croyons qu'elle surmontera cette épreuve, inédite dans son Histoire, comme elle a surmonté les autres; mais nous ne nous voilons pas la face : c'est déjà très dur, et le pire n'est pas derrière nous, mais devant nous.
Aussi, aujourd'hui que l'on apprend l'extrême faiblesse de Chirac, que l'on ne s'attende pas à nous voir nous réjouir, car nous ne sommes pas des charognards : nous faisons de la Politique, avec un « P » majuscule, et nous n'avons en vue que l'intérêt national; mieux : le Bien commun.
Mais, à l'inverse, que l'on ne compte pas sur nous pour que nous tombions dans l'unanimisme mielleux des fossoyeurs de la Nation France.
Jacques Chirac va mal; comme tout un chacun, vu son état, il mourra un jour, peut-être proche. Ce jour-là, nous dirons : « paix au mort », mais « merci pour tout » ? Certainement pas ! •
Quand Alstom gagne des marchés aux Etats-Unis, en Inde, dans la péninsule arabique ou en Extrême-Orient, c'est son « savoir-faire » et la « qualité France » qu'elle vend. Et c'est très bien. Mais les autorités de ces pays exigent que les machines soient construites sur place, donnant du travail aux ouvriers et entreprises locales.
La France, elle, quand elle « passe commande », respecte les procédures légales d'appel d'offres, et peut, parfois, « acheter étranger » : il y a des cas où cela peut se justifier. Mais pourquoi, lorsque la SNCF achète 44 locomotives de manœuvre à l’Allemand Vossloh, les Pouvoirs Publics n'exigent-ils pas ce qu'exigent les Etats-Uniens, les Indiens, les Arabes, les Orientaux ? A savoir, que les locomotives soient construites sur place. En l'occurrence, chez et par Alstom ?
Cherchez l'erreur...
L'économiste Elie Cohen rappelle cette évidence de bon sens : pour des entreprises fortes, donc une économie saine, il faut une stratégie, donc une volonté politique, et donc, aussi menée sur le long terme. Or, depuis ses origines, le Système - étant devenu sa propre fin - ne cesse de glisser vers le court-termisme, et se préoccupe surtout de lui-même, de préparer les élections, et plus de soutenir notre Economie, nos entreprises. Des exemples ? Après avoir follement « laissé partir », il y a longtemps déjà, Péchiney, puis Alcatel, on commence à démanteler Areva, et on vient de vendre aux USA l'activité « Turbines » d'Alstom...
Pourquoi s'étonner, alors ?
Le baron Louis disait à Louis XVIII : « Faites-moi de [la] bonne politique, je vous ferai de bonnes finances... » C'est pareil aujourd'hui : faisons - ou refaisons - un bon régime politique, et on pourra faire de la bonne Economie ... •