Cette guerre civile qui vient, par Charles Rojzman.

Une guerre “émotionnelle” de tous contre tous qui est déjà “dans les têtes”. Un éclaircissement par la thérapie familiale…
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Une guerre “émotionnelle” de tous contre tous qui est déjà “dans les têtes”. Un éclaircissement par la thérapie familiale…
Évacuation du jardin d’Eole, 30 juin 2021 © LIONEL URMAN/SIPA Numéro de reportage : 01026143_000021
Une tribune de Pierre Liscia
En évacuant les toxicomanes des Jardins d’Eole (18e arrondissement de Paris) au début de l’été, Anne Hidalgo a voulu invisibiliser un fiasco trop visible de sa politique. Mais les riverains demeurent en proie à une toxicomanie de rue inédite et éparse. Pierre Liscia fait le point.
Huit sociologues qui n’ont jamais publié le moindre travail empirique sur l’analyse de la crise sanitaire, ni sur la pharmacovigilance, m’injurient par voie de presse, sur le fondement d’un seul argument (je ne comprendrais rien à la causalité) et de sources douteuses. Voici ma réponse.
Épisode 63 (en forme de droit de réponse)
C’est sous les huées et les sifflets qu’a donc commencé, à Marseille, la campagne électorale de Macron pour la prochaine présidentielle.
Hélas, on ne peut se satisfaire, pour la visite présidentielle à Marseille, de cette ironie amère sur la cité Bassens ayant fait l'objet d'un nettoyage complet, par des sociétés privées et des paysagistes, pour une illusion de quelques heures ou sur la cité des Flamants aux mains des trafiquants de drogue, véritable État dans l'État, avec ses frontières et ses interdictions, dans laquelle le ministre de l'Intérieur vexé a fait intervenir la police (Morandini).
Marseille par-ci, Marseille par-là. Marseille ville des pauvres, Marseille ville oubliée. Marseille et ses taudis, Marseille et son chômage, Marseille et ses dealers, Marseille et sa violence, Marseille qui cherche ses transports…
Les Vraies Voix avec Philippe Bilger, Emma Rafowicz, Alexis Fournet et Michel Fize, sociologue et auteur de "de l'abîme à l'espoir / Les années folles du mondialisme" chez Mimesis.
La caravane électorale du candidat Macron financée par nos impôts s’est arrêtée longuement à Marseille, sous le signe de la pluie. A part celle des huées qui ont accueilli le candidat lors de la visite d’une école, il y eut celle qui interrompit le spectacle élyséen en tournée, mais surtout à nouveau l’averse d’argent public d’un pays hyper-endetté, qui s’est déversée sur le tonneau des Danaïdes phocéen.
Mais où sont donc passées les féministes institutionnelles ? Toujours sur la plage, mesdemoiselles ?
Pourtant, en cette fin d’été, il y a du pain sur la planche.
J’espère ardemment que Sandrine Rousseau sera désignée, à l’issue de la primaire d’EELV, comme LA candidate écologiste à l’élection présidentielle. Pourquoi ? Parce que les débats auxquels elle participerait nous offriraient les émissions les plus comiques du PAF ; surtout – ce qu’à Dieu ne plaise – si, d’aventure, elle s’y trouvait confrontée à un Éric Zemmour…