Sur Figaro Live, dérives antiracistes : quelle riposte de l’État ?
Face aux mobilisations antiracistes, quelle riposte de l'Etat face aux dérives ?
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Face aux mobilisations antiracistes, quelle riposte de l'Etat face aux dérives ?
Tâchons d'être clairs. Il est impossible de donner sa voix à l'un ou l'autre des partis qui cautionnent les "antiracistes" qui défilent en ce moment dans les rues en hurlant "mort aux Juifs". Parce que ce serait s'en rendre complice.
Les futures municipalités qui accordent un quelconque crédit à ces vrais, authentiques racistes, sont disqualifiées d'avance. Et les candidats qui ne condamnent pas vigoureusement ces manifestations doivent être sanctionnés. Je pense aussi bien à Hidalgo à Paris que Rubirola à Marseille. C'est une honte absolue. J'hésite entre l'envie de vomir et l'envie de sévir.
Source : https://www.lepoint.fr/
Il juge que certaines obligations à la charge des opérateurs de plateforme Internet sont attentatoires à la liberté d'expression et de communication.
Le Conseil constitutionnel a censuré jeudi le cœur de la loi sur la lutte contre la haine en ligne, jugeant que certaines nouvelles obligations à la charge des opérateurs de plateforme Internet étaient attentatoires à la liberté d'expression et de communication.
La scène semble irréelle. Hier soir à Dijon, une voiture fonce sur un attroupement, fait des tonneaux, une petite foule armée de barres de fer converge vers le véhicule. Un nouvel épisode spectaculaire dans la guerre que se mènent les communautés tchétchènes et maghrébines. À l'origine du conflit inter-bandes: un conflit sur fond de trafic de stupéfiants. Un document BFMTV du lundi 15 juin 2020.
L'ex-Premier ministre a accordé un entretien à « Valeurs actuelles » paru ce jeudi 18 juin, dans lequel il revient sur les tensions raciales observées ces dernières semaines : selon lui, la « guerre entre "races" » va remplacer la lutte des classes.
Que penser de cette vaste offensive qui aux
États-Unis et en Europe s’en prend à des
statues emblématiques du passé de nos
nations ?
© Cezary p / CC by-sa
Depuis quelques jours, nous assistons aux États-Unis et en Europe à une vaste entreprise iconoclaste. Il faut prendre le mot au sens purement étymologique. L’iconoclaste c’est simplement un briseur d’images. Si l’on consulte le Petit Littré, on est renvoyé à tout un contexte religieux ancien, notamment à cette secte qui sévit au VIIIe siècle pour faire la guerre aux saintes images. Voilà qui parle d’ailleurs directement à nos amis orthodoxes qui célèbrent, chaque année, le triomphe de l’orthodoxie, précisément sur l’iconoclasme, c’est-à-dire l’interdit jeté sur la vénération des icônes du Christ, de la Vierge et des saints.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
En quoi le privilège blanc touche-t-il au religieux ? Pour répondre à cette question, il est nécessaire de dissoudre le vernis rutilant de ce concept fraîchement sorti des usines à ressentiment américaines pour voir l’habile mécanisme que cette arme renferme.
Le concept de privilège blanc est né aux États-Unis sous la plume Peggy McIntosh, une riche aristocrate universitaire blanche, qui décrit dans un article publié en 1989 les 26 fois où son statut de Blanche lui aurait ouvert des portes dans la vie.
La mosquée de la Fraternité, où a eu lieu la rencontre entre les communautés tchétchène et maghrébine. - © Capture d'écran Google Maps.
Source : https://www.marianne.net/
Dans la soirée du 16 juin, une quinzaine de représentants des communautés tchétchène et maghrébine de Dijon étaient réunis dans la banlieue de la capitale bourguignonne. Leur objectif : convenir d’un arrêt des affrontements, en présence du père de I., 19 ans, dont l’agression a mis le feu aux poudres.
A quoi rime le déboulonnage des statues voulue par les indigénistes ?
Défenseur des chrétiens d’Orient et décoré par la France : et si une statue de l'Emir Abdelkader à Paris avait un sens ?
"Tant que nous n’aurons pas la justice, vous n’aurez pas la paix." C’est le mot d’ordre du mouvement qui, au côté de l’extrême gauche, mène un combat de plus en plus politique avec un discours identitaire et victimaire de plus en plus affirmé. "Il est important de faire des alliances fortes... En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France ? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution."
L’allocution d’Emmanuel Macron, ce dimanche soir, n’avait-elle d’autre objectif que de nous annoncer sa prochaine, en juillet ? Que d’entretenir le suspens sur ce « nouveau chemin » qu’il ambitionne d’ouvrir aux Français, à coup sûr pour les conduire au « nouveau monde » qui, tel l’horizon, semble reculer à mesure que le quinquennat avance ? Cette allocation devait être « solennelle » : du moins, le premier cercle élyséen l’avait-il répété à satiété à des médias qui avaient complaisamment relayé l’information.
Rassemblement à Paris contre le racisme et les
violences policières, 13 juin.
CC by : Jeanne Menjoulet
S’il est vrai, comme l’écrit l’éditorialiste du Monde, que la France en voie de déconfinement est un pays profondément divisé, il est à craindre que la situation ne s’améliore pas. À coup de déclarations incendiaires, nous risquons de nouvelles déchirures.
Les paroles d’Emmanuel Macron dans son discours de dimanche soir concernant l’incendie qui s’est déclenché chez nous à propos de l’affaire Adama Traoré étaient soigneusement balancées.
Revenons un peu sur ces histoires de statues vandalisées ou bien, pire encore, retirées à titre « préventif » pour ne pas risquer la colère des « antiracistes ».
Quel est le problème ?
Accordons à tous ces modernes iconoclastes qu’une statue n’est pas un livre d’histoire : elle ne vise pas simplement à rappeler tel ou tel fait ou évènement du passé, elle est une manière d’attirer l’attention sur ce fait ou cet évènement.
Source : https://www.bvoltaire.fr/
L’actualité politique est stupéfiante, délirante, donnant lieu à des actions irrationnelles, dangereuses pour la paix civile.
Délire racial : le racisme prospère sur fond de règlements de comptes anti-établissement du modèle dominant, en l’occurrence celui des sociétés occidentales.
Il est évident que le racisme qui se développe n’est pas l’apanage d’une couleur de peau mais est partagé par des hommes noirs imprégnés de frustrations et de ressentiments idéologiques, en désir de vengeance.