Gang des Traoré/Gangs ethniques de Dijon : même combat !
"Tant que nous n’aurons pas la justice, vous n’aurez pas la paix." C’est le mot d’ordre du mouvement qui, au côté de l’extrême gauche, mène un combat de plus en plus politique avec un discours identitaire et victimaire de plus en plus affirmé. "Il est important de faire des alliances fortes... En Afrique, ils vont renverser le président, ils rentrent dans le palais. Ça se passe comme ça en Afrique, pourquoi ça devrait pas se passer comme ça en France ? Nous sommes prêts, nous pouvons faire une belle révolution."
Quel rapport y a-t-il entre le gang des Traoré et les gangs tchétchènes contre maghrébins de Dijon ? Formellement, aucun. Mais dans le fond, les uns comme les autres, et sur tout le territoire de notre ex "douce France", tous ces gangs font et veulent la même chose : l'impunité.
Ils veulent qu'on les laisse délinquer en paix, trafiquer comme ils l'entendent, vivre selon leurs lois, normes et règlements, et c'est tout.
Mais pour cela, et c'est l'autre face, obligée, de la médaille : ils veulent que l'on désarme la police et toutes les forces de l'ordre. Ou, au moins, que la police reçoive comme seul ordre "de ne pas...", "de ne surtout pas..." : ce que les lâches et/ou inconscients qui nous gouvernent croient pouvoir appeler "acheter la paix sociale" !
Après, ils s'arrangeront entre eux, c'est leur affaire, et les autres (c'est-à-dire nous, les héritiers de ce beau pays créé et transmis par nos ancêtres) n'ont pas à fourrer leur nez dans ces affaires.
Ils n'ont nul besoin de nos Lois, codes et règlements; de nos Juges, Tribunaux, avocats et procès; leur "justice" à eux est beaucoup plus rapide, beaucoup plus expéditive, beaucoup plus radicale : c'est la kalach et la bate de base ball et la mort subite...
Regardez leurs pancartes lors de la manif du gang des Traoré samedi : "Pas de justice, pas de paix". Mais, ce qu'ils appellent "la" justice ce n'est pas, mais alors pas du tout, ce qu'est pour nous "la Justice" : pour eux, "la" justice c'est "leur" justice. C'est de vivre selon leurs codes. Ils savent très bien que le gang des Traoré vit d'extorsions, de trafics en tous genre, de toutes sortes de violences. Mais c'est leur vie, leur façon d'être et de faire, et ils se moquent bien pas mal de ce que nous en pensons. La menace est donc terrible : "Pas de justice, pas de paix", c'est-à-dire "si vous, vous vous mêlez de nos affaires, ce sera la guerre ethnique toujours et partout". Voilà pourquoi la pseudo affaire Traoré dure depuis presque quatre ans ! Or, on le sait bien, si cette personne a été arrêtée ce n'est pas parce qu'elle était noire, mais pour acte de délinquance...
Qu'importe ! La famille et les amis du sieur délinquant, emmenés par sa harpie de soeur, dame Assa, demande "justice pour Adama" (!), c'est-à-dire laissez nous agir à notre aise et à notre guise, nous n'avons que faire de vos lois, nous voulons agir selon les nôtres
En appelant ainsi à une Révolution et à "entrer dans le palais", Assa Traoré a employé un langage factieux. Elle doit donc être arrêtée, jugée et condamnée en tant que telle.
Elle, pour l'instant, c'est en paroles, en mots qu'elle exprime sa vérité.
A Dijon, c'est en actes d'une violence extrême que d'autres gangs expriment la même vérité : ils sont chez eux, chez nous, par la faute et la trahison du Système, qui les y a installés, sans nous demander notre avis.
"Ah ! Madame, est-ce que nous ne ferons pas rendre gorge à tous ces gens-là ?" demanda Louis XIV à sa mère, après l'humiliation subie lors de la fête de Vaux, qui fut cause de la chute du surintendant Fouquet.
Quand les Français en auront assez de voir en quelle poubelle (pour rester polis) le Système a transformé leur "douce France" il faudra bien qu'ils se posent la même question ! Alors, forcément, ce ne pourra pas être en se tournant vers ce Système qui les a plongés dans cette barbarie qu'ils trouveront le remède à leurs maux; mais en retrouvant le régime qui a fait la France, et qui en avait fait la première puissance du monde, au moment où éclata la funeste Révolution...
Le jour vient, et il est proche, où il faudra choisir radicalement : ou bien l'on abandonne notre cher et vieux pays aux Traoré et aux gangs de Dijon et d'ailleurs, ou bien l'on réagit, et l'on renoue avec le régime le plus souple que nous ayons connu, celui qui nous a fait ce que nous sommes et que nous entendons rester...