François de Rugy n’est pas seulement allergique au homard. Il l’est aussi, semble-t-il, au catholique…, par Gabrielle Cluzel.
Demain ne meurt jamais, disait James Bond. Un homme politique non plus. Même après un tragique bad buzz. La preuve par François de Rugy. Le Français candide s’imaginait peut-être que le ci-devant ministre de la Transition écologique et solidaire, la tête basse et le front rouge, irait en robe de bure et bottes en caoutchouc planter des choux, enfin piquer de la mâche, en bon Nantais qu’il est, jusqu’à la nuit des temps.