Sur le Cercle Aristote, Collectif Nemesis : l'Entretien 1/2 (hors-série).
Le Collectif Nemesis a accordé une entretien en 2 parties au Cercle Aristote.
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Le Collectif Nemesis a accordé une entretien en 2 parties au Cercle Aristote.
On en a a marre de remplir nos rues, d'y déposer des monceaux de fleurs et d'y allumer des bougies, d'y brandir des pancartes "Je suis..." !
On l'a fait après le Bataclan et les terrasses des Cafés à Paris, on l'a fait à Nice sur la Promenade des Anglais, on l'a fait pour tous ces meurtres barbares : le couple de policiers de Magnanville, la patron de PME Cornara, les deux cousines de la Gare Saint Charles à Marseille et tant et tant d'autres dont la liste serait trop longue à écrire ici : et ça continue, on en est à une moyenne d'un meurtre islamiste tous les huit jours depuis 2015 ! On en a marre !
Le religieux a son efficacité propre dans les relations sociales
© Pascal Deloche / Godong
Le traumatisme dans lequel est plongée la France, depuis l’assassinat de Samuel Paty, sera-t-il l’occasion d’un discernement sur l’énorme malaise de civilisation que nous vivons depuis plusieurs années ? Sans doute l’État se trouve-t-il sommé de prendre des mesures de sécurité publique afin de protéger le pays des menaces meurtrières qui pèsent sur lui. Mais une question de civilisation ne se règle pas seulement en ces termes.
Elle doit s’analyser sur le fond.
Le 22 Avril 2016, le futur président avait déclaré avec la fermeté de la certitude éclairée : ” une société sûre est une société d’individus libres”. Récemment, le “Président” coincé entre le séparatisme islamiste et la panique virale appelait les Français à être des “citoyens solidaires”. On prend, dans cette conversion radicale, le grand bobard du “en même temps la main dans le sac.
Aujourd’hui bien oublié, dans le second septennat Mitterrand, l’Iman Khomeiny tenta une stratégie de Djihad – guerre sainte – pour la conquête du Maghreb à partir de la France. Elle allait avoir des conséquences dramatiques que nous payons encore et la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie à Conflans ‚vient nous le rappeler.
Y aura-t-il un avant et un après Conflans ? Quelles réponses apporter pour lutter contre le terrorisme islamiste ? La police dispose-t-elle d’un permis de tuer ? Régis de Castelnau répond à nos questions.
Avec Judith Waintraub, Jean-Claude Beaujour, Hassen Hammou et Mehdi Ouraoui.
© Jean-Nicolas L. / CC BY-NC-SA 2.0
Ce soir hommage de la nation à Samuel Paty. Le choix de la Sorbonne est judicieux et l’Élysée s’en est fort bien expliqué. La mission de l’éducation nationale doit ainsi être mise en valeur dans le sens le plus positif, si l’on veut vraiment combattre l’adversaire.
La laïcité est une valeur de la République, le « Littré » donne la définition de « Laïque » suivante : « qui n’est ni ecclésiastique, ni religieux ».
Mais en fait, la laïcité, en tout cas, celle de France, est une vraie Religion, et de plus intégriste s’il en est !
Tandis que les hommages à Samuel Paty se succèdent en France depuis quelques jours, le maire de Béziers Robert Ménard s’est lancé dans un « J’accuse » à la Émile Zola lors de sa prise de parole lundi dernier.
Robert Ménard appelle à ne pas accepter la « barbarie »
Parce qu'on ne s'en lasse pas, et parce que notre Ephéméride de ce jour évoque Charles Martel, le vainqueur de Poitiers, en ce jour anniversaire de sa mort...
Jean-Marie Bordry avec Philippe Bilger, Albert-Jean Mougin, Christine Bouillot et Myriam Menez.
"En direct de l'Assemblée Nationale où je présente 10 mesures fortes pour combattre l'islamisme, et une proposition de loi pour pénaliser la "prédication subversive et séditieuse" qui condamne leurs auteurs et complices, puis les expulse lorsqu’ils sont étrangers."
© Enzo Fortunato / CC by-sa
Le drame de Conflans-Sainte-Honorine oblige à revenir sur la vocation enseignante. Le professeur se doit d’initier ses élèves au sens de la critique, en abordant parfois les sujets qui fâchent. Mais l’esprit critique ce n’est pas le dénigrement, c’est l’exercice du jugement.