Idées, débats... - Page 309
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De Michel Onfray, sur la PMA...
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L’énigme écologique, par Gérard Leclerc.
Laissons aux politologues, aux experts en sociologie électorale, le soin d’analyser les résultats de cet étrange second tour des élections municipales. Le record d’abstention est forcément à mettre en relation avec la crise sanitaire dont nous ne sommes pas sortis. Est-il vraiment possible, avec une participation si faible, d’accomplir un diagnostic sur la réalité des mouvements internes à l’opinion française ?
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Municipales 2020 ou le puzzle macronien, par Christian Vanneste.
Dire que les élections municipales de 2020 sonnent le glas de la démocratie peut paraître peu démocratique. Pour qu’il y ait une démocratie, il faut qu’il y ait un démos, un peuple avec une volonté générale qui l’anime et qui se traduit par les mouvements d’amplitude différente et d’orientations opposées qui marquent les scrutins. Certes les élections municipales sont des élections locales, mais on sait très bien que, de plus en plus, les électeurs sont déterminés par des considérations nationales qui justifient de grands basculements à leur occasion, et cela en proportion de la taille de la ville.
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L'écologie politique aujourd'hui. Partie 1 : Les Verts du XXIe siècle, héritiers des royalistes d'antan ?, par Jean-Philippe Chauvin.
Les élections municipales de 2020 « virent au vert », affirmait un observateur au soir de la « vague verte » qui s’empare, avec des scores parfois sans appel, de grandes villes, voire de métropoles qui semblaient promises « ad vitam æternam » aux partis « sérieux », c’est-à-dire de la droite et de la gauche classiques et « républicaines », ce dernier adjectif n’indiquant pas grand-chose, en fait, sur l’attachement des susdits aux institutions de la République…
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Sans coup férir !, par Guy Adain.
Et oui, sans coup férir, nous avons gagné !
Malgré les convocations du ban et de l’arrière ban, les vassaux n’ont pas voulu entendre : « l’appel du 28 juin 2020 ! » La majorité du pays, près de 60 %. ! Et dans les 40 % restant à l’oreille plus fine, les plus nombreux, ont vu avec le cœur, et voté « Vert » envers et contre tout ! D’aucuns préfèrent le vert des forêts, des arbres et des prairies. Ils se détournent de la rentabilité pour mieux regarder et admirer… L’essentiel !
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États-Unis : émeutes antiracistes et idéologie du genre, par Guillaume Staub.
Depuis l’événement Georges Floyd, les États-Unis se retrouvent encore plongés dans d’interminables émeutes antiracistes. L’hystérie qui règne en maître dans nos sociétés ne peut permettre à un simple fait comme celui-ci d’être traité de manière juste et réfléchie ; la justice étant une des notions les plus oubliées dans cet événement tragique. Celui-ci est d’ailleurs problématique à différents niveaux. Premièrement, la surexploitation du fait empêche la justice de juger convenablement de ce dernier. Deuxièmement, aux États-Unis, ce fait devient le symbole d’une lutte qui se désintéresse des faits et des études, il ne s’agit que de construire, a posteriori d’une histoire complexe, un imaginaire simpliste.
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Chers écologistes, par Aristide Renou.
Vous croyez à la vertu de l’exemple. Vous y croyez dur comme fer.
Vous croyez par exemple qu’il est pertinent de réduire la vitesse maximale autorisée sur autoroute à 110km/h. Sachant que la France représente à peine 0,9% des émissions mondiales annuelles de Gaz à Effet de Serre (GES), que les transports représentent 39% de ce 0,9 et les transports routiers 80% de ces 39% et sachant enfin que, selon les savants calculs des « experts », passer au 110km/h réduirait de 20% les émissions de GES des usagers des autoroutes, il est facile de calculer que ce passage au 110km/h assurerait une réduction des émissions mondiales de GES de 0,056% - ce en supposant bien sûr que la totalité du transport routier français ait lieu sur autoroute, que tous les usagers roulent à la vitesse maximum autorisée et que par ailleurs il n’y ait aucun report du trafic vers le réseau secondaire.
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Sur TV Libertés, rebâtir la France après le covid-19 - Didier Tauzin.
Sa parole est rare et précieuse. Le général Didier Tauzin, qui n’avait pas pu être candidat à la Présidentielle de 2017, sort de sa réserve pour évoquer, sans tabous, les décisions urgentes à prendre pour redresser un pays qui sombre dans la crise économique, le déclin et l'anarchie. Un appel en forme de coup de canon !
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Ne pas nous excuser d’être ce que nous sommes, et même en cultiver la fierté !, par Christian Vanneste.
Zemmour le rappelait récemment : avec sa finesse intellectuelle, Jean Baudrillard se demandait, ironique, si SOS Racismes n’était pas comme SOS Baleines, un appel, subliminal dans ce cas, pour sauver les racismes, dont on n’a jamais autant parlé que maintenant. Comme un troupeau de moutons menés par des loups, beaucoup d’occidentaux décérébrés par un enseignement castrateur, une information abêtissante, et une propagande pavlovienne nichée jusque dans le divertissement, qui a remplacé la culture, ou dans la publicité, ont pris le chemin de la repentance, de la haine de soi, du suicide collectif.
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Coronavirus : ce qu'il faut retenir de l'audition du Professeur Raoult à l'Assemblée nationale.
Le professeur Didier Raoult, directeur de l'IHU maladies infectieuses de Marseille. • © Christophe SIMON / AFPSource : https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/
Le professeur Didier Raoult, éminent virologue marseillais au coeur de la polémique sur le traitement contre la Covid-19, était auditionné mercredi après-midi dans le cadre de l'enquête parlementaire sur la gestion de la crise de l'épidémie.
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Plaidoyer pour une Monarchie royale. Partie 1 : Quand la légalité de la République ne suffit plus, par Jean-Philippe Chauvin.
Les nouvelles économiques ne sont pas bonnes, et le chômage menace nombre de nos concitoyens quand, dans le même temps, le numérique et la robotisation accélérée sont présentés comme les cadres, quasiment obligatoires, du monde de demain, d’un proche lendemain qui semble s’annoncer et se déployer déjà en ce cruel aujourd’hui.
Sans doute le principal choc social aura-t-il lieu à la rentrée de septembre prochain, quand plus de 700.000 jeunes arriveront sur le marché du travail et quand, dans le même temps, les entreprises et activités liées au tourisme, à la restauration et aux loisirs, feront leurs comptes qui pourraient, pour beaucoup, ne pas être bons.
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Comment en est-on arrivé là, en relisant Marie Madeleine Martin... (suite), par Frédéric Poretti-Winkler.
« En réalité, à partir de la fin du XIXe siècle, c’est la pénurie de personnalités, qu’elles soient de droite ou de gauche, qui com¬mence à frapper tous les observateurs de la société, l’esprit de nivellement prêché par la Révolution commençant de laisser appa¬raître ses méfaits à partir de 1870. A force de déclarer la guerre aux supériorités on les a presque toutes détruites. Mais comme elles se sont mal défendues !... »
«Ce ne sont pas les idées qui manquent, écrivait déjà Honoré de Balzac en 1832, ce sont les hommes d’exécution ». -
Sur le Cercle Aristote, Pierre-Yves Rougeyron : La Nation ou la guerre civile.
Pierre-Yves poursuit son analyse au regard des événements récents relatifs à la mort de George Floyd et aux tensions inter-ethniques sur le sol français.
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Sur Sacr TV, le précurseur de la Justice Sociale - Alban de Villeneuve Bargemont.
Les hommes dont nous allons parler n’ont pas tous leurs noms dans nos rues. Et pourtant, tout comme nos rois, ils furent populaires et soulagèrent la misère. A la différence de ce que nous voyons souvent, ils œuvrèrent dans un esprit chrétien, de charité et de justice social sans aucun intérêt ni soucis idéologique ne cherchant pas à manipuler le monde ouvrier en vue d'agitation ou de révolution.
Tous sociaux parce que royalistes, le sens du devoir social dicté par des convictions bien ancrées, l’application directe dans la rue et la ténacité pour les passer en loi.
C’est l’œuvre de ces hommes que nous allons vous raconter :
Le précurseur de la Justice Sociale : Alban de Villeneuve Bargemont