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62 légionnaires du capitaine Danjou résistèrent jusqu’au bout face à 2.000 Mexicains. La vie plutôt que le courage les abandonna. Hommage aux héros de la Légion étrangère.
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Le Portugal hésite encore; en Suisse la très grande majorité des décideurs veut annuler le "contrat F35" imposé par Biden, pour acquérir des Rafales, ce qui était le voeu de tous les experts...
Phoebus est le nom latin d'Apollon, dieu du soleil. Gaston de Foix et de Béarn - qui prit d'ailleurs le soleil comme emblème - reçut ce surnom flatteur dès sa naissance, en raison de sa grande beauté et de son éclatante chevelure blonde.
Ce n'est pas pour ses qualités politiques qu'il restera dans l'Histoire, car son action fut plutôt erratique : d'abord ami et allié du roi de France Philippe VI, il se brouilla avec son successeur Jean II le Bon, se rapprochant des Anglais, au tout début de la Guerre de Cent ans, puis se réconcilia avec Charles V, et laissa même tous ses biens en héritage à Charles VI, juste avant de mourir.
Ce sont plutôt ses qualités reconnues d'homme de goût, raffiné et grand amateur d'art qui font se souvenir de cet ami de Froissart, qui écrivit de lui :
"J'ai vu bien des chevaliers, des rois, des princes. Mais jamais je n'en vis qui fut de si magnifique stature et de si merveilleuse prestance. Son visage était très beau, coloré et rieur. Ses yeux étaient verts et amoureux. En toutes choses il était parfait. Il aimait ce qu'il devait aimer, haïssait ce qu'il devait haïr. Il était aimable et accessible à toutes gens et il leur parlait doucement et amoureusement. Mais dans son courroux nul n'avait pardon."
Gaston Phoebus avait pris pour devise Toca-i se gausas (Touches-y si tu oses, qui est encore aujourd'hui la devise des villes de Foix et d'Orthez). Grand amateur de chasse, il écrivit le Livre de chasse, qui reste l'un un des meilleurs traités médiévaux sur le sujet, et curieusement écrit en français, alors que la langue maternelle de Gaston était le béarnais : même Buffon, dans sa célébrissime Histoire naturelle y puisera de nombreuses, et précieuses, informations !
Il composa également un Livre des oraisons, recueil de prières rédigées également en français, mais aussi - poète, grand amateur de musique et compositeur d'œuvres musicales - un recueil de chansons, le chansonnier provençal dit de Saragosse, conservant 18 pièces écrites, elles, non pas en français mais en langue d'oc.
Une tenace tradition orale - loin d'être absurde, ou impossible... - lui attribue la paternité du magnifique chant Se canto(ouAquelas montanhas), qui est de nos jours encore comme une sorte d'air commun, de signal de ralliement dans la beauté, la musique et le chant de tous les peuples du Midi.
Gaston Phoebus aurait composé cette sorte d'hymne, magnifique, en l'honneur de sa première épouse, Mirabel, assassinée alors qu'elle attendait leur premier enfant, par un envoyé de Charles le Mauvais; ou alors parce qu'elle l'aurait quitté, lassée de ses infidélités; ou encore, elle aurait été contrainte de se réfugier en Navarre, loin de lui, et de l'autre côté de ces montagnes, "que tan auto soun"...
Il existe un grand nombre de "textes" de ce chant, chaque province ayant, en quelque sorte le sien. La plus ancienne version écrite connue date de 1349, et elle est en béarnais. Nous donnons ci-après la version provençale, selon la graphie mistralienne...
Refrain
Se canto, que cante ! S'il chante, qu'il chante !
Canto pas pèr iéu : Il ne chante pas pour moi :
Canto pèr ma miò, Il chante pour ma mie,
Qu'es au liuen de iéu. Qui est loin de moi !
I
Aquéli mountagno Ces montagnes
Que tan auto soun Qui si hautes sont
M'empachon de vèire M'empêchent de voir
Mis amour ount soun. Mes amours là où elles sont.
II
Auto, bèn soun auto, Hautes, elles ont bien hautes,
Mai s'abeissaran Mais elles s'abaisseront,
E mis amoureto Et mes amourettes
Vers iéu revendran. Vers moi reviendront.
III
Souto ma fenèstro Sous ma fenêtre
I'a un auceloun : Il y a un petit oiseau :
Touto la niue canto, Toute la nuit il chante,
Canto sa cansoun Il chante sa chanson
IV
Avau dins la plano En-bas, dans la plaine
I'a'n pibòu trauca, Il y a un peuplier troué :
Lou couguiéu ié canto Le coucou y chante
Quand ié vai nisa. Quand il y va nicher.
V
A la font de Nimes, A la fontaine de Nîmes
I'a un amelié Il y a un amandier
Que fai de flour blanco Qui fait des fleurs blanches
Au mes de janvié. Au mois de janvier.
VI
S'aquéli flour blanco Si ces fleurs blanches
Eron d'ameloun Etaient de petites amandes (encore vertes)
1524 : Mort de Pierre Terrail, seigneur de Bayard (Musée de l'armée des Invalides : Salle des Armures)
1331 : Naissance de Gaston Phoebus
Phoebus est le nom latin d'Apollon, dieu du soleil. Gaston de Foix et de Béarn - qui prit d'ailleurs le soleil comme emblème - reçut ce surnom flatteur dès sa naissance, en raison de sa grande beauté et de son éclatante chevelure blonde.
Ce n'est pas pour ses qualités politiques qu'il restera dans l'Histoire, car son action fut plutôt erratique : d'abord ami et allié du roi de France Philippe VI, il se brouilla avec son successeur Jean II le Bon, se rapprochant des Anglais, au tout début de la Guerre de Cent ans, puis se réconcilia avec Charles V, et laissa même tous ses biens en héritage à Charles VI, juste avant de mourir.
Ce sont plutôt ses qualités reconnues d'homme de goût, raffiné et grand amateur d'art qui font se souvenir de cet ami de Froissart, qui écrivit de lui :
"J'ai vu bien des chevaliers, des rois, des princes. Mais jamais je n'en vis qui fut de si magnifique stature et de si merveilleuse prestance. Son visage était très beau, coloré et rieur. Ses yeux étaient verts et amoureux. En toutes choses il était parfait. Il aimait ce qu'il devait aimer, haïssait ce qu'il devait haïr. Il était aimable et accessible à toutes gens et il leur parlait doucement et amoureusement. Mais dans son courroux nul n'avait pardon."
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68 : Aux origines de Saint Tropez, et de sa Bravade
C'est le 17 mai pour les uns, le 29 avril pour les autres (date officielle de sa célébration, aujourd'hui) que Caius Torpetius - devenu Torpés, puis Tropez... - fut décapité, à Pise, sur ordre de Néron, pour avoir refusé d'abjurer sa foi chrétienne.
Patricien, Officier de l’empereur, chef de sa Garde personnelle, Intendant de son palais, Torpés fut converti par Saint Paul, avec qui il avait été emprisonné, comme chrétien.
À l’occasion d’une cérémonie dans le temple de Diane, à Pise, sa ville natale, il refusa de sacrifier aux dieux et fit profession de foi chrétienne : Néron ordonna de le décapiter.
Avec Irénée - qui à connu Polycarpe, disciple de Saint Jean l'Évangéliste (voir l'Éphéméride du 28 juin), c'est donc un autre témoin direct des évènements de Palestine qui vient, dès les premières années du christianisme, implanter la nouvelle religion en Gaule; en Gaule où, par ailleurs, d'autres témoins directs de ces événements - mais non chrétiens, eux - ont terminé leurs jours : Ponce Pilate et le roi Hérode, qui, tous deux, jugèrent et condamnèrent Jésus (voir l'Éphémeride du 27 février).
Le corps supplicié de Torpetius fut placé dans une barque - entre un coq et un chien, dit-on - laissée à la dérive depuis Pise, et qui échoua sur la côte provençale, en un lieu qui prit son nom : Saint Tropez.
Fête double, civile et religieuse, à la fois fête historique et fête patronale, la fête de la Bravade lui rend hommage, chaque année, en mai, pendant trois jours, en même temps qu'elle commémore un autre événement : le 24 juin 1558 fut nommé un Capitaine de Ville, chargé de gérer la sécurité de Saint-Tropez, alors constamment assaillie par les Sarrasins; celui ci forma alors les Tropéziens à la défense et au maniement des armes à feu : escopettes, haquebutes (une sorte d'arquebuse) et bombardes...
Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...
Cette Catégorie des "Grandes "Une" a débuté à l'occasion de notre quinzième anniversaire, le 28 Février 2022; nous souhaitions célébrer d'une façon un peu originale cet anniversaire, et nous eûmes l'idée, puisque nous proposions une chronique quotidienne sur l'actualité (Revue de Presse et d'Actualité...) de nous plonger dans le riche fond d'archive qu'offrait, d'évidence, la simple lecture des numéros du quotidien consacrés aux faits marquants et aux personnages incontournables qui y ont été étudiés, pendant les trente-six années d'existence du journal...
Nous aurions ainsi un pied dans l'actualité la plus immédiate, et un autre dans nos racines intellectuelles et militantes; ce qui nous permettrait, de plus, de rétablir des vérités, à rebours de bien des mensonges et calomnies trop souvent répétées, à l'envi, par la "vérité officielle" du Système...
Cette Catégorie a vite grandi, et grandira encore.
Elle ne se veut pas une nouvelle histoire de l'Action française : il en existe déjà plusieurs, très bonnes. Mais elle veut présenter cette histoire d'une façon différente, "à sauts et à gambades", comme le disait Montaigne, à qui nous avons emprunté l'idée : '"Je veux qu'on m'y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention et artifice : car c'est moi que je peins.". Nous cherchons simplement à montrer le quotidien tel qu'il fut- et, à travers lui, le mouvement et ceux qui le composaient - lors d'évènements marquants de notre Histoire...
Voici, classées en deux grandes parties, les "Une" qui la composent : elles sont précédées par une sorte d'introduction, rassemblant un grand nombre d'informations sur l'histoire et la vie de l'Action française, "vues de l'intérieur", si l'on peut dire, et toutes exclusivement tirées des "Une" du quotidien... :
1. 11 SUJETS REGROUPANT UN GRAND NOMBRE DE "UNE" :
Autour de Bainville; de Daudet; de Maurras; de Maurras (mais aussi Daudet et Pujo) et de Gaulle; autour de la Victoire perdue de 18 et du mauvais Traité de Versailles; autour de Jeanne d'Arc et de ses Cortèges; autour des Rassemblements royalistes; autour de l'Union Royaliste Provençale; autour de la terrible inondation de 1910 à Paris; autour de la Croisière du Campana, en 34; autour des rapports entre l'AF et le Vatican; autour de la Guerre d'Espagne...
2. DES SUJETS DIVERS ET VARIÉS, APPORTANT PARFOIS DES SURPRISES DE TAILLE AU LECTEUR NON AVERTI OU DÉSINFORMÉ :
Le premier et le dernier numéro du quotidien, et celui "des vingt ans", en 1928; la première grande Réunion publique de l'Action française, à Paris, Salle Wagram...; sur des délires d'aujourd'hui, déjà dénoncés dans l'AF en 1911; sur le naufrage du Titanic; sur "Les dieux ont soif", d'Anatole France, commenté par Jacques Bainville; sur Rousseau; sur Frédéric Mistral; sur l'assassinat de Jaurès; sur Charles Péguy; sur Augustin Cochin; sur Louis Pasteur; sur Jehan Macquart de Terline, premier kamikaze de l'histoire, membre de la section d'Action française de Saint-Omer...; sur la courte "amitié" entre Maurras et Gide; sur la politique traditionnelle de la France et de ses Rois en ce qui concerne sa frontière naturelle du Rhin...; sur l'abdication du Tsar Nicolas II en 1917...; sur le Caporal Pierre David, "héros juif d'Action française"; sur Marcel Proust, Prix Goncourt en 1919, grâce à Léon Daudet; sur Maurice Barrès; sur Anatole France; sur René Guénon; sur la mort de Philippe VIII en exil (1926)/le service funèbre à Notre-Dame de Paris/sur le mort de Jean III en exil (1940); sur Bernanos (deux critiques élogieuses de Léon Daudet); sur la grande mosquée de Paris; sur Clemenceau; sur "Histoire de deux Peuple", "Histoire de France", "Les conséquences politiques de la paix" et le "Napoléon" de Jacques Bainville; sur "Mes idées politiques"; sur "Munich"...; sur Gustave Thibon; sur le Nazisme et le Communisme, à égalité dans l'horreur, et faits pour s'entendre...; sur la mort de Freud...
Rappel : pour lire les articles, après avoir cliqué sur les liens que nous vous donnons à chaque fois...
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• 1 : de 1908 à 1914 (premier numéro du journal - le 21 Mars 1908, jour du Printemps - à la déclaration de guerre à la France par Guillaume II)...
- Et, dans le numéro du Lundi 11 Janvier (en page deux) on lit ces touchants messages de sympathie "au nouveau ligueur" des royalistes de Grenoble et de Saint Rémy de Provence :
- Tandis que, dans le numéro du Samedi 16 Janvier, toujours en page deux, chronique "Ligue d'Action française", c'est le couple Mistral, Paul Bourget, d'Elbée, Flachaire de Roustan, les stéphanois, les catalans Bertran de Balanda et le groupe de Salon qui félicitent "le nouveau Camelot" :
Léon Daudet eut quatre enfants (trois garçons et une fille) : d'abord, Charles, de son premier mariage, raté et qui ne dura pas, avec la petite-fille de Victor Hugo; puis trois enfants avec sa seconde épouse, Marthe Allard, que toute l'Action française appelait affectueusement "Pampille" : Philippe, François et Claire.
Philippe sera ignoblement assassiné, l'année de ses quatorze ans, par la police politique du Régime, associée aux anarchistes, pour faire taire son père; François écrira un très bel article, d'espérance contre toute espérance, dans le dernier numéro du quotidien, celui du Jeudi 24 Août 1944 (le dernier) : Paris, ce vendredi 16 septembre...
Ainsi, les Daudet, du premier au dernier numéro (le premier avec Léon, le dernier avec son fils François) ont-ils participé à la grande et magnifique aventure de L'Action française, de ceux qui ont tout fait, tout ce qui était en leur possible, pour servir la France et lui éviter les désastres que lui infligeait la République...
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"Renoir a fait le portrait de ma mère, qui est un chef-d'oeuvre..." disait Léon Daudet, en parlant de ce tableau, en effet superbe, qui se trouve à Paris, au Musée d'Orsay. Julia Allard, femme d'Alphonse Daudet, et mère de Léon, est décédée le 23 avril 1940 : elle avait 96 ans ! Née en 1844, elle aura survécu 43 ans à son mari Alphonse, décédé prématurément à 57 ans, en 1897. Elle aura donc "vu" et vécu toute la carrière politique de son fils, Léon...
(Du premier Janvier 1931 au dernier numéro du journal, en 1944)
(EN CONSTRUCTION - AJOUTS À VENIR...)
Nous proposons donc, en somme, une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...
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(Ce deuxième volet de cette "vie de l'Action française, vue de l'intérieur", est "en construction" : il concerne l'invention par L'AF de la Revue de Presse, les Congrès, les Almanachs de L'Action française, le nombre d'abonnés au journal, la structuration du mouvement en onze zones sur tout le territoire métropolitain (la onzième zone étant : l'Algérie !), les insignes du mouvement et d'autre sujets encore... Il est publié dès maintenant, et sera augmenté au fur et à mesure de l'avancée de notre lecture de la collection complète du quotidien... )
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• 1 : Novatrice, la toute nouvelle Action française quotidienne invente une nouvelle Chronique, qui sera adoptée et reprise par toute la presse, écrite et parlée (et, aujourd'hui, télévisuelle) : la "Revue de presse"...
• Dès les deux premiers numéros, en page trois, "Criton" évoque plusieurs sujets, dans la partie supérieure de la première et de la deuxième colonne; mais il s'agit de généralités, la nouvelle chronique n'en est qu'à son ébauche...
• C'est dans le troisième numéro du quotidien - en même temps que la chronique "Ligue d'Action française", qui devient vraiment ce qu'elle sera (elle est en page deux, troisième colonne, et parle de Saint-Jean-de-Luz et d'Angers) - que "Criton" écrit ce qui est vraiment une "revue de presse (sur la première colonne et le haut de la deuxième) avec quatre sujets :
(cliquez sur les images pour les agrandir)
• Dans le quatrième numéro, il y aura encore une Revue de Presse signée "Criton" (en fait, c'était le pseudonyme de Maurras), comme dans le cinquième : mais, déjà, dans ce cinquième numéro "La Politique", en page une, est signée Ch. M., comme la Revue de Presse, en page trois, signée "Criton".
Puis, Maurras abandonnera la Revue de Presse à divers collaborateurs, se consacrant, jusqu'à la fin, à "La Politique", qui occupait toujours une part importante des colonnes centrales de la "Une"...