Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...
Après, on se demande pourquoi le "cinéma français" est malade, pourquoi il va si mal...
La région IDF présidée par Valérie Pécresse a accordé 240.000 euros au "film"(?)-navet dont Gilbert Collard note qu'il a été "réalisé par le richissime héritier de la marque Bonpoint", et "qui raconte l'histoire d'une bourgeoise accueillant un migrant afghan : ça rend malade de voir à quoi servent nos impitoyables impôts !"
À cette bourgeoise-là, et à ses semblables, rappelons (ou apprenons) que Fabienne, 68 ans, a été découverte égorgée, chez elle, gisant dans une mare de sang à Lille; massacrée par un migrant, elle a reçu 36 coups de couteau, dont 7 dans les parties génitales...
Alors faire des films parlant d'une bobote qui se prend (et s'éprend !) d'affection pour un migrant, cela explique surtout l'état de mort cérébrale de "ce" cinéma-là, qui n'est pas le cinéma français, le vrai, celui de Pagnol et de Funès, celui des "Tontons flingueurs" ou de "Rabbi Jacob", qu'on a pu revoir dimanche dernier, se délectant du jeu réellement extra-ordinaire de notre grand ami Louis de Funès, qui est aussi, d'une certaine façon, le meilleur ami des Français puisque les professionnels estiment à 323 millions le nombre de personnes ayant vu des "de Funès" !...
Un Louis de Funès de Galarza qui, rappelons-le au passage, était un royaliste fidèle, ne manquant jamais, le 21 Janvier, la Messe aux intentions de Louis XVI...
On est loin des cingleries de foldingues d'aujourd'hui, qui, pour un peu, risqueraient de tuer notre grand cinéma français !
Louis de Funès, raconté par Bertrand Dicale...