De Christine KELLY (posté sur tweeter) : bien vu, bien dit... Pas mieux ! :
"• Menaces sur les réseaux sociaux ? ⁃ Même pas peur;
• Saccage d’églises ? ⁃ Même pas peur;
• Viol de femmes âgées ? ⁃ Même pas peur;
• Viol d’enfant ? ⁃ Même pas peur;
• Tuer des policiers ? ⁃ Même pas peur;
• Tuer des pompiers ? ⁃ Même pas peur;
• Frapper des médecins ? ⁃ Même pas peur;
• Tuer des enseignants ? ⁃ Même pas peur;
Donc alertes à la bombes au Château de Versailles... ou Aéroport ?
Pas d’autorité, pas de société."
1. Entièrement d'accord avec Élisabeth Lévy :
2. Une fois de plus, d'accord avec Gilles-William Goldnadel, et bravo à lui, pour sa réponse cinglante à cette pauvre Manon Aubry (symbole, ici, d'une LFI en déroute et en déliquescence, et c'est tant mieux !). Dame Aubry a donc posté ce court message (sur tweeter) :
"Immonde dessin antisémite et raciste. Ma collègue @Deputee_Obono une nouvelle fois ciblée après intolérable caricature de Valeurs actuelles."
Elle aurait pourtant bien dû penser que le guetteur Goldnadel - qui n'en rate pas une... - n'allait pas la louper ? Eh bien, non ! Elle n'y a pas pensé ! Elle s'est donc attiré, sur le champ, le "pan sur le bec" suivant qu'elle mérite tant :
"La seule raciste et antisémite c’est votre dame Obono : Amie de l’antisemite Houria Bouteldja. Qui invite à Paris l’antisémite Corbyn « ami » du Hamas. Qui considère le Hamas qui décapite des bébés juifs comme un mouvement de résistance. Bouclez la."
Eh, oui, Manon ! Il a raison Goldnadel ! Quand on a des "potes" comme "ça", au moins on la ferme, on la ramène pas !!!!
"Durant le COVID, on nous a tous enfermés au nom du principe de précaution, peu importe les dégâts économiques et psychologiques, peu importe les droits de l'homme aussi. Mais lorsqu'il s'agit d'immigration illégale et de terrorisme, aucun principe de précaution ne tient..."
4. Jean-Christophe Buisson a relevé les propos insensés et extravagants du génocidaire nazéri Aliev :
"A Bakou, Aliev, le dictateur azéri impérialiste et colonialiste (sur les terres #armeniennes) a présidé sans rire 1 conférence intitulée " Néocolonialisme : violations des droits de l'homme et injustice". Il a tenu un discours d'une violence extrême contre la France. Extraits : "
À ce stade d'insanité,
qui confine soit à la sénilité précoce
soit à la démence pure,
il n'est même plus temps,
ni besoin,
de "consulter" !
4 BIS. Pas pour le nazéri Aliev - dont le cas est sans espoir et pour qui il est inutile de faire quoi que ce soit, vu l'état de délabrement de ce que l'on ne peut même plus appeler un "esprit"... - mais pour qui veut "savoir" ou y voir un peu plus clair, deux "débuts de réponse" ici :
• L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (166), L'Empire français en 1945...
• L'aventure France en feuilleton : Aujourd'hui (168), 1962 : L'Algérie française, un essai de Bilan...
6. Le très juste et très bien vu "coup d'oeil" d'Eugénie Bastié, sur Europe 1 (avec Dimitri Pavlenko) :
"Les opinions arabes s’intéressent plus aux morts de Gaza qu’à ceux de la guerre du Yémen (377 000 morts en 7 ans). La Turquie décrète 3 jours de deuil pour Gaza, mais soutient la persécution des Arméniens. La Chine tance Israël, mais persécute les Ouighours musulmans sur son sol... La montée de ce reproche du « deux poids deux mesures », c’est le signe de l’affaiblissement de l’occident, et même de la désoccidentalisation du monde..."
(extrait vidéo 3'15)
7. Claire Koç communique :
"J’ai l’honneur de vous annoncer la sortie de mon prochain livre « Le jour où je me suis convertie » Rdv le 9 novembre
Disponible en pré-commande."
192 Pages, 17 euros
Quatrième de couverture :
"Tout en toi pue la France. Plus d'une fois, mon visage a essuyé la violence de ce crachat. On m'a traitée en paria sous les injures et les coups. Si j'ai décidé de devenir française, c'est par amour pour la France, ses valeurs, ses traditions, sa culture, son passé, et c'est précisément ce qu'on me reproche. En faisant ce choix, je suis devenue Claire, le prénom de la honte."
Fille d'immigrés turcs, Çigdem Koç, devenue Claire Koç en 2008, va vivre un enfer. Famille, amis, collègues, tous l'accusent d'avoir trahi ses origines. À travers ce témoignage sidérant et unique, l'auteur dénonce l'échec de l'assimilation à la française.
Une plongée au coeur du rejet du modèle républicain.
(ndlr : nous rejetons juste, bien entendu, le dernier mot de cette "présentation : c'est "modèle français" et non "républicain", qu'il faut dire, la République n'ayant rien à voir là-dedans : c'est l'amour de la France qui est l'étoile, quel que soit le régime politique du moment...)
À DEMAIN !