Rendez-nous la Messe ! D'accord avec "La Jeunesse de Dieu"
(sur Tweeter)
UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
(sur Tweeter)
• Des dizaines de catholiques sont réunis devant l'église Saint Sulpice à Paris, ce vendredi soir, pour réclamer "le retour des messes", interdites pendant ce reconfinement (les églises restant toutefois ouvertes pour les prières individuelles). Cette belle mobilisation des catholiques parisiens devant Saint-Sulpice n'a évidemment donné lieu à aucun débordement :
Quand on s’intéresse à l’histoire et, dans le cadre de la commémoration de l’Armistice, à la fin de la guerre de 1914-18 et aux traités de paix qui ont suivi, Jacques Bainville peut être un guide utile, même s'il n'est pas forcément le bienvenu dans l'école républicaine, celle qui l'a tant ignoré, lui l'historien « amateur » qui, pourtant, a mieux vu que beaucoup d'universitaires professionnels la suite des événements et compris le « sens » de l'histoire (non pas la direction mais l'ontologie de l'histoire, et les raisons de celle-ci, de ses « suites logiques »).
Aptonyme : nom de famille qui semble refléter plaisamment l’occupation de quelqu’un. Un exemple ? L’actualité juridique nous en offre un cocasse. Représentante du gouvernement défendant le maintien de la suspension des messes publiques : Pascale Léglise. Samedi 7 novembre, le Conseil d’État rejetait, sur son conseil, le recours de différentes associations catholiques, de fidèles et d’évêques.
Hémicycles quasiment vides, lois votées en présence de peu d’élus, mesures décisives prises par l’exécutif : on savait que la politique désintéressait les citoyens, mais là, ce sont les élus qui s’en détachent. Analyse d’un phénomène inquiétant où l’apathie des masses est maintenant relayée par celle des élites.
Le revoilà. Jean-Luc Mélenchon, la baudruche politique artificiellement gonflée pour la présidentielle de 2017, vient de se déclarer candidat à l’élection présidentielle de 2022. Malmené dans les sondages d’opinion, il vient de faire d’une pierre deux coups en déclarant, sur BFM TV, le 12 novembre : « Il y a, dans ce pays, une haine des musulmans déguisée en laïcité. » Une outrance de plus, une ineptie supplémentaire.
"Faire entrer Maurice Genevoix au Panthéon ne devrait pas relever du simple exercice « mémoriel », selon le jargon de l’époque."
"La France peut-elle retrouver une force vitale, une foi en elle-même, en son histoire – sans en effacer pour autant les noirceurs et les ombres, mais en les digérant, en les regardant en face ?
« Pour le baiser coupable d’une sainte, j’accepterais la peste comme une bénédiction »
(Emil Cioran, Des larmes et des saints).
« Toutes les choses recommencent comme elles ont commencé » (Joseph de Maistre, Examen de la philosophie de Bacon, chap. XIX).
Une dernière mise en scène de la fête révolutionnaire a eu lieu, à Toulouse, le 6 novembre. La mort programmée de toute entreprise personnelle a été mimée, parapluies noirs ouverts, devant la maison commune transformée, comme si un ballet de chauves-souris pouvait conjurer le maléfice mondialiste.
Entre 1940 et 1944, à Montpellier, sous l’impulsion de Jacques Renouvin, de jeunes gens, démocrates-chrétiens, royalistes, progressistes athées, décident de s’engager pour la France. Sous les regards des collabos, ils disent « Non ! » les premiers. Ce livre d’histoire et de bravoure raconte leurs combats contre les nazis.
https://www.librairie-de-flore.fr/produit/a-laube-de-la-resistance/
Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents !
Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
Pr Stéphanie Gentile, Professeur de médecin, Santé Publique
Michel Onfray présente son nouveau livre "Vie Parallèles : De Gaulle Mitterrand".