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  • L’Église face à l’épidémie, par Gérard Leclerc.

    L’épiscopat français a donné des consignes pratiques que l’on pourrait dire d’hygiène, afin de protéger les fidèles des risques de contagion du coronavirus dans les églises lors des messes. Certains s’en sont émus, ne trouvant pas admissible, par exemple, que l’on interdise la communion dans la bouche. Que dire alors des protestations qui s’élèvent contre la suppression pure et simple de la liturgie dans certaines régions en Italie, et pour ce qui concerne la France dans le seul diocèse de Beauvais qui recouvre le département de l’Oise ?

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  • Pour réintégrer Maurras dans le paysage politique français... : L'entretien avec Le Dauphiné libéré (II/V)...

    lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote, nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.

    C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.

    Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...

    Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre... 

    Nous avons passé les trois dernières semaines en bonne compagnie, avec Axel Tisserand, d'abord, puis Jean-François Mattéi et sa très belle intervention dans le jardin du Chemin de Paradis, le 1er septembre 2012; puis avec une sorte de reportage, tiré de nos riches archives, sur ce que fut cette journée d'hommage du 1er septembre 2012, à l'occasion du soixantième anniversaire de la mort de Maurras.

    Le rappel de cette journée montre bien ce qu'était la Maison de Maurras jusqu'à ce que la Mairie de Martigues n'en interdise l'accès, ne la "ferme", aussi sournoisement que brutalement; n'érige autour d'elle comme une sorte de Mur de Berlin, aussi réel qu'invisible...

     "Avant", tout le monde pouvait aller admirer le lieu, et  nous ne nous privions pas, à l'Union Royaliste Provençale. Ces jours heureux sont, pour l'instant, révolus. Jusqu'à quand ? C'est toute la question, et la raison de notre protestation, qui ne cessera que lorsque nous aurons obtenu ce que nous demandons :

    1. Des informations claires et précises sur les travaux promis, et un calendrier, même approximatif, concernant le déroulement de ces travaux, qui doivent aboutir à la réouverture de la Maison au public...

    2. Et, en attendant, la remise à disposition du public du libre accès au jardin, sans autres conditions que celles qui prévalent en n'importe quel autre endroit public du pays, selon les règles et normes en vigueur partout...

    Cette semaine - avant-dernière avant que notre Campagne de sensibilisation ne prenne une autre forme, dès le lendemain des élections municipales - nous vous présentons une conséquence directe de cette journée d'hommage du 1er septembre 2012 : Georges Bourquart, journaliste au Dauphiné libéré, nous a écrit trois jours après pour nous demander de lui faire visiter la Maison et le Jardin, et de lui présenter Charles Maurras... (II/V)

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  • Sur Sud Radio avec André Bercoff, Jérôme Rivière : « L’Union Européenne ne défend pas ses frontières ».

    André Bercoff a reçu Jérôme Rivière, député européen du Rassemblement national, président de la délégation française du Groupe Identité et démocratie.


  • Romain Guérin au Cercle de Flore de Lyon, c’est pour le Mardi 24 mars ! Bientôt l’ouverture des inscriptions !

    https://romain-guerin.com/

  • SOUTENEZ, PARTICIPEZ ! ACTIVITES DES ROYALISTES ET/OU DU PAYS REEL DANS TOUTE LA FRANCE...

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    Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)

    Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...

    Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...

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  • Coronavirus : simple correction boursière ou de nouveau 1929 ?, par Marc Rousset.

    La vitesse de la dégringolade du CAC 40 et de Wall Street n’a été aussi rapide que pendant de graves crises. La baisse de 12-13 % des actions européennes en cinq jours et de plus de 10 % à Wall Street en quatre jours du S&P 500 se rapproche des records historiques.

    L’OMS a décrété le niveau de menace maximum. De nouveaux pays-sources apparaissent un peu partout dans le monde. Le ministre Véran recommande d’éviter désormais la poignée de main ; les rassemblements, en France, de plus de 5.000 personnes sont désormais interdits. Cette pandémie présente un effet de levier extrêmement élevé entre le nombre faible de morts, le nombre des personnes infectées et les conséquences économiques.

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  • Sur Figaro Vox, Éric Zemmour: «L’immigration, la grande peur des penseurs libres».

    La France est menacée. Vouée à la guerre civile au pire, à la partition au mieux, selon l’ancien directeur-général de la DGSE Pierre Brochand.

     

    On le confond souvent avec son frère, le publicitaire et ancien maire de Cannes Bernard. Mais à son âge vénérable, on fait fi de ce genre de vanités. Pierre Brochand est ce qu’on appelait naguère avec admiration un grand serviteur de l’État. Ambassadeur de France, ayant fait l’essentiel de sa carrière à l’étranger, il revint dans notre pays diriger la DGSE (le contre-espionnage français) sous les mandats de Chirac et Sarkozy.

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  • Nous sommes ballottés d’une peur à l’autre…, par Christian Vanneste.

    Voici revenues les grandes peurs… Evidemment, ce ne sont plus celles du Moyen-âge : ni le diable, ni les sorcières, ni les loups ne rodent plus dans l’imaginaire collectif en faisant trembler d’effroi les enfants. Mais quand même, la grande peste, celle de 1346, semble de retour. Elle avait décimé l’Europe, vidé certaines villes de leurs habitants, réduit les échanges commerciaux et ruiné définitivement les prospères foires de Champagne. La Renaissance a du attendre un siècle avant de franchir les Alpes. Certes, le Covid-19 est de son temps, un virus plus sournois que la bactérie de la peste, qui s’attaque à une humanité beaucoup mieux armée pour lutter contre les maladies et retarder la mort. La propagation est rapide et assez surprenante, mais les cas mortels demeurent très minoritaires.

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  • Le révolutionnaire Puigdemont veut faire de Barcelone un Cuba sur Méditerranée : le scandale de son meeting à Perpignan...

    Que Puigdemont soit une sorte de pied-nickelé entouré d'une bande de bras cassés comme en a rarement vu, c'est une chose; c'est son affaire; il veut être passéiste, régréssiste, et croit encore au modèle révolutionnaire rejeté partout dans le monde, sauf là où - comme en Chine et deux ou trois malheureux pays - les autorités en place, qui n'ont plus rien du marxisme-léninisme des origines, ont conservé ce que celui-ci avait créé de mieux (de son point de vue, bien sûr) : son appareil répressif, qui leur permet de maintenir leur tyrannie dictatoriale.

    En voilà un programme politique ! Une admiration qui en dit long sur le personnage et sur son "jugement" (?) politique ! Oser mettre sur le beau drapeau Catalan l'infâme étoile bleue castriste, symbole d'une répression terrible pour le malheureux peuple Cubain, voilà qui résume bien le "programme" (!) "politique" (re !) du personnage : personnes sensées, s'abstenir !

    Que cet hurluberlu de Puygdemont croie donc encore en ces fadaises criminelles (tout de même 120 à 130 millions de morts sur la planète : pas mal, non ?....), après tout, c'est son problème.

    Mais qu'il se serve de notre territoire national, et que les autorités françaises le laissent faire, là est le scandale intolérable.

    Plus qu'un scandale : une faute, pour paraphraser Talleyrand.

    Qui vient s'ajouter à la longue liste de celles déjà commises durant ce quinquennat...

    lafautearousseau

  • Contre les dérives de la vie religieuse, par Gérard Leclerc.

    Il n’y a pas que l’Église qui soit en état de crise, face à des révélations en chaîne qui mettent en cause son fonctionnement interne. Beaucoup de secteurs de la société se trouvent affectés par une avalanche d’accusations et il semble bien que c’est toute une civilisation des mœurs qui s’interroge sur ses fragilités et ses dévoiements. Le procès Weinstein, dont la première phase vient de se clore à New York, constitue, de ce point de vue, une étape intéressante, avec la condamnation d’un personnage hier tout puissant dans l’univers hollywoodien. Il se trouve, par ailleurs, que l’appareil de la justice permet d’échapper à certains processus pervers aboutissant à des lynchages incontrôlés.

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  • Au cinéma, la chronique de Guilhem de Tarlé : Dark Waters.

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    A l’affiche : Dark Waters, un film américain de Todd Haynes, avec Mark Ruffalo (l’avocat Robert Bilott),
    d’après une histoire vraie.

     

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  • L’émeute comme tactique, par Philippe Germain.

    La prétendance du duc de Guise, Jean III de Jure, mérite toute notre attention car ce Prince timide, qu’on disait ne pas être préparé et ne pas croire à la restauration monarchique s’est paradoxalement singularisé stratégiquement. D’abord par la nature originale de sa prétendance et ensuite par son adhésion au modèle novateur du «  recours  ».

    ​D’abord le président du conseil Aristide Briand, conscient que, fin 1925, la IIIeme république était fragilisée et l’A.F. au sommet de sa combativité, chercha sans succès à amener Guise à ne pas faire acte de prétendant. Mieux, dès son exil en Belgique, Jean III ne retint pas l’option d’une prétendance d’affirmation du principe impliquant l’inaction pure et simple. Il fut frappant de constater que Jean III acceptait son rôle de prétendant sérieusement afin de préparer l’installation de son fils Henri sur le trône de France. Implicitement, suivant la terminologie de l’historien des droites Bertrand Joly, Jean III s’orientait vers l’option de l’aventure, celle de l’aventure capétienne. Ainsi, cela expliqua son agacement de ne pas voir l’Action française aux ordres et de mal tolérer de la voir incarner le royalisme depuis 1914, même consécutivement au choix d’une prétendance «  d’attitude  » (affirmation du principe !) par Philippe VIII. 

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