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Hélas, Catoneo, nous avons appris comme vous, à la même heure, le résultat consternant de l'élection municipale à Martigues (et à Roquevaire).
Tant pis !
Cela ne change rien à notre combat pour sauver le très beau monument qu'est la Bastide de Charles Maurras au Chemin de Paradis, ainsi que son Jardin, l'une et l'autre étant scandaleusement et d'une façon insensée - preuve d'une mauvaise gestion de la Ville - laissées à l'abandon depuis des années : abandon complet pour la maison, quasi complet pour le jardin, simplement nettoyé "a minima"...
Ce combat consistera, entre autre, à rappeler sans cesse à la très riche Mairie de Martigues qu'elle a promis, par un vote assez récent, 850.000 euros pour la restauration de cette Bastide. Qu'elle les mette donc sur la table ! En sachant bien que, sur un monument de ces dimensions, classé pour sa façade et sa toiture, on ne fait pas grand chose avec huit cent mille euros : l'incurie, la mauvaise gestion, le sectarisme insensé de la Mairie risquent fort de lui faire ajouter pas mal d'euros à ceux déjà promis !
L’Action Française soutient sans équivoque les associations de défense de la langue française et de la francophonie et s’associe pleinement à ce communiqué
Nicolas Lecaussin dirige l’IREF (Institut de recherches économiques et fiscales), « think tank libéral et européen » fondé en 2002. Grand contempteur du rôle de l’État en France, il vient de publier Les donneurs de leçons (Pourquoi la France est en vrac !) au Rocher, où il s’attaque aux intellectuels de gauche, aux journalistes de l’établissement et aux hauts-fonctionnaires.
La crise du coronavirus, ses conséquences et la réaction de l’État sont l’occasion de lui donner la parole.
La France à changé en quelques heures depuis qu’elle a pris conscience du danger de la pandémie du coronavirus. C’est d’abord manifeste dans la vie quotidienne et la sociabilité de la rue. Mais aussi dans la vie religieuse.
Après cette étonnante journée de dimanche, c’est comme si nous étions en phase de métamorphose. Peut-être nos prédécesseurs ont-ils connu quelque chose d’analogue avec l’état de guerre. C’est tout un climat anthropologique qui apparaît, comme si nous changions de monde.
C’est un argument que l’on entend effectivement souvent dans les rangs de la gauche radicale et chez les nostalgiques de la Troisième et, plus encore, de la Quatrième République, mais aussi chez certains conservateurs et quelques gaullistes.
Sans doute y a-t-il dans ce propos un aspect à la fois polémique et simplificateur qui tient aux discours politiques qui se prétendent « antisystème », mais, au regard de notre définition d’une Monarchie « à la française » qui transmet la magistrature suprême d’une génération à la suivante lors de la mort du monarque par la simple formule « le roi est mort, vive le roi », la Cinquième République reste bien, qu’on le regrette ou non, une République qui se déchire dans un féroce combat des chefs à chaque élection présidentielle…
Suite à notre action du 8 mars, nous avons reçu énormément de messages de soutien dont nous vous remercions infiniment.
Nous savons que notre combat est juste et partagé par la majorité des françaises et des français.
Dans le lot, nous avons aussi reçu des messages de soutien d’hommes et de femmes issus de l’immigrationqui partageaient notre combat et notre constat mais qui, dans un même temps, nous demandaient si nous mettions dans le même sac, toutes les personnes issus de l’immigration, même celles qui, comme elles, étaient parfaitement assimilés, qui aimaient la France et en respectait ses lois.
L’intellectuel imbécile : « Ceux qui m’ont déjà fait l’honneur de me lire savent que je n’ai pas l’habitude de désigner sous le nom d’imbécile les ignorants ou les simples.
Bien au contraire.
L’expérience m’a depuis longtemps démontré que l’imbécile n’est jamais simple, et très rarement ignorant.
L’intellectuel devrait donc nous être, par définition, suspect ? Certainement.
Je dis l’intellectuel, l’homme qui se donne lui-même ce titre, en raison des connaissances et des diplômes qu’il possède.
Je ne parle évidemment pas du savant, de l'artiste ou de l'écrivain dont la vocation est de créer – pour lesquels l’intelligence n'est pas une profession, mais une vocation.
Et dire que ce n’est que le premier jour de confinement et déjà des pillages, des braquages, des ventes de masques volés et bien sûr des incivilités en tout genre...
En cette période de pandémie mondiale de #covid19, nous ne pouvons pas nous empêcher de constater que, lorsque la situation l’exige, les gouvernements n’hésitent pas à fermer leurs frontières pour protéger leur peuple et que, quand on veut les contrôler, on peut les contrôler...
Axel Tisserand nous présente le coeur de l'oeuvre de Charles Maurras : sa philosophie de l'homme et de la cité.
Il aborde les problèmes contemporains en montrant comment l'anthropologie politique de Maurras, nourrie des principes aristotélo-thomistes, peut permettre de discerner les impasses de notre temps (transhumanisme, gender, relation de l'homme et de la femme), et de les surmonter.
Charles Maurras - le "scribe consciencieux" et le "guetteur mélancolique" a mis au point cette vision de l'être fini (et donc ouvert à la transcendance) et sait bien que le mépris de la finitude mène, à terme, à l'autodestruction au nom de la liberté, de l'égalité et de la fraternité.
Une vision qui doit permettre aux jeunes esprits, amoureux de la vérité et avides de servir le bien commun, égarés dans ce monde, d'avoir une nourriture à leur faim.
Émission "Le monde de la philosophie", animée par Rémi Soulié.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Il est évident que c'est dans la Nation que se trouve la réponse à la lutte collective contre le virus et la peur qui s'installe.
L'Union européenne a fait la preuve de son inefficacité collective, les nations, méfiantes et pressées, ont décidé seules de leurs destins. Alors que le discours politique dominant est encore de dénoncer le "repli nationaliste" et les "peurs xénophobes", toutes les frontières se ferment, toutes les économies se mettent en panne.
Le néo-sultan Erdoğan, l’homme qui rêve de rétablir la splendeur de l’Empire ottoman, fait feu de tout bois.
En Syrie, il a misé sur la chute de Bachar el-Assad et n’a pas ménagé son soutien aux pires islamistes : la plupart des volontaires internationaux de Daech ont ainsi transité par la Turquie, qui était le chemin naturel pour le grand djihad. Prétextant un imaginaire danger terroriste kurde, il a ensuite envahi le nord-ouest et une partie du nord de la Syrie.