Sur la page FB du Courrier Royal : aujourd’hui à 16h, le château de Versailles, diffusera un "direct" aérien au-dessus des jardins du palais.

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M.I., de Montauban, bien reçu le versement par Paypal : toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier...
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François Davin, Blogmestre
Le chef de la Maison royale de France, Monseigneur le Comte de Paris, sera présent aux cérémonies du bicentenaire de la mort de Napoléon, le 5 mai à l’Hôtel des Invalides. L’annonce a été officialisée par le Prince lors d’une interview accordée par lui au magazine Causeur.
Jean d'Orléans © Kévin Guillot
Pour le Comte de Paris, il est important de commémorer le bicentenaire
Le prince Jean d’Orléans jette un regard étonnant sur Napoléon Ier et son œuvre. Loin des polémiques, l’héritier des rois de France se confie sur l’histoire et le destin commun de deux maisons réunies sous le sceau du roman national. À la veille du bicentenaire de la mort de l’empereur, le comte de Paris, descendant direct du roi Louis-Philippe, nous accorde une interview exclusive.
La révolution est physiquement un tour de cadran. Les choses sont renversées, la tête en bas puis reviennent à leur place, mais elles n’ont plus la même tête. C’est ainsi que les Blancs avaient tendance à regarder les Noirs de haut, comme des sauvages ou des enfants, corvéables à merci, dressables à volonté. Même avec humour ou avec bienveillance, le racisme était latent et en fait inconscient de Tintin au Congo jusqu’à Banania.
1. Le Dieu romain Janus, aux deux visages, existe bel et bien : nous l'avons rencontré ! Il s'appelle aujourd'hui Mélenchon (ou Tartufe, au choix...) et il n'a pas apprécié, mais alors pas du tout, "l'appel des Généraux" !...
Envoi de lecteur :
Une semaine ordinaire, dans ce qui fut la "Douce France", devenue, par la volonté exprès du Système, la patrie du "Vivre ensemble"...
Après trois semaines de débats, les députés ont voté les articles du texte de la loi Climat et Résilience proposé par le gouvernement. Philippe Herlin analyse les enjeux et les conséquences de ces propositions, dont certaines sont issues de la Convention citoyenne pour le climat (CCC).
« Elle ne peut pas fustiger les riches qui ne veulent pas de HLM et habiter un joli pavillon », tacle Julien Weil, le maire (LR) de Saint-Mandé, au sujet d’Emmanuelle Wargon, dans Le Figaro. Le ministre du Logement est ainsi accusé d’inciter à « faire ce que je dis, pas ce que je fais ».
Nous proposons ici une réflexion libre de Michel Michel, sociologue bien connu à l’Action française dont il est un pilier (NDLR).
J’ai jadis écrit pour dénoncer les dangers d’une “dérive éthique” du royalisme[1]. En effet les royalistes et singulièrement les militants d’Action Française ne sont pas essentiellement fédérés par une éthique mais par la volonté de “conserver l’héritage et ramener l’héritier”. Il serait même dangereux, compte tenu de la diversité des références intellectuelles en France, qu’il n’y ait qu’une seule éthique qui soit professée.
André Bercoff avec Jean-Pierre Favre-Bernadac, Auteur de « Les damnés de la France » aux éditions de Paris - Max Chaleil.
Le magistrat tunisien Béchir Akrémi aurait dissimulé des preuves dans l'affaire de l'assassinat d'un opposant socialiste au pouvoir islamiste tunisien en 2013. Il est aussi à l'origine de la libération de 6 complices présumés au lendemain de l'attentat du musée du Bardo, le 18 mars 2015. Maître Philippe de Veulle, qui représente 5 victimes de l'attentat du Bardo alerte sur les accointances de ce juge très controversé en Tunisie.