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Rechercher : Rémi Hugues. histoire & action française. Rétrospective : 2018 année Maurras

  • Pour la France, ce que les Princes personnifient de suprême dans son destin

    (Illustrations : les deux "chênes Saint Louis", en haut, celui de la forêt de Tronçais; en bas, celui de Saint-Maurice-sur-Dargoire. C'est de Robert de Clermont, seigneur de Bourbon, sixième et dernier fils de saint Louis et de Marguerite de Provence, que procède l'actuelle Maison de Bourbon, dont descendent, par Henri IV et Louis XIII, les actuels représentants de la Famille de France : le Comte de Paris, le Prince Jean et son frère Eudes) 

    dreux,gens de franceLe prince Jean de France a convoqué les membres et les amis de Gens de France, l'association qu'il a fondée, à l’assemblée générale, qui se tiendra le samedi 13 octobre, à la Chapelle Royale de Dreux. Le Prince indique qu'il souhaite les retrouver nombreux, souhait que, naturellement, nous faisons nôtre.

    Notre royalisme se fonde sur la conviction que l'institution monarchique - cofondatrice de la France avec le peuple français -demeure - dans l'épuisement, si net, aujourd’hui, des divers régimes issus de la Révolution - le régime politique qui conviendrait le mieux à notre pays, s'il retrouvait un jour le désir de l'ordre, de l'harmonie, et de la civilisation qui est, en réalité, la sienne, et qui lui vient du fond des âges.

    La dynastie qui a fondé notre pays s'est prolongée, malgré les révolutions, dans la Famille de France, qui en a toujours maintenu les principes, la tradition, et qui l'incarne aujourd'hui encore, notamment en la personne de son Dauphin, le prince Jean de France, qui en est l'avenir.

    La France d'aujourd'hui, chacun le sait, vit - plutôt mal - en République qui est son régime légal. Ce régime vit selon les règles de légalité qu'il s'est, lui-même données. Mais est-il légitime ? De Gaulle a pu prétendre s'exprimer "au nom de la légitimité nationale que j'incarne - disait-il - depuis vingt-ans", ignorant, d'ailleurs, purement et simplement, la IVème République. Croit-on que François Hollande pourrait, sans ridicule, se réclamer, pour lui-même, d'une quelconque légitimité nationale ? Croit-on que les Français l'en créditeraient ? Au sens vrai, la légitimité politique suppose un véritable et profond consentement populaire, une relation de confiance stable envers celui qui la détient et le sentiment spontané qu'il incarne le Bien Commun, dans le temps long. En ce sens, toute légitimité politique a, évidemment, disparu du paysage politique français.

    Les Princes, aussi, vivent dans le cadre de la République française; et peuvent, encore, sans même y détenir la moindre parcelle de pouvoir, la moindre puissance, y être utiles à leur pays, à la société française, à la place qui est la leur. Ils savent, d'ailleurs le faire, comme "de bons serviteurs de la France", avec cette générosité désintéressée que De Gaulle avait saluée, un jour, en public, lors d'une visite à Amboise. 

    dreux,gens de franceMais ils sont, aussi, un recours. Ce recours que le même De Gaulle avait évoqué dans une de ses dernières lettre au Comte de Paris, après qu'il eût quitté le pouvoir : "Vous, Monseigneur, demeurez intact, clairvoyant et permanent, comme l'est, et doit le rester, pour la France, ce que vous personnifiez de suprême dans son destin". (Lettre du 27.12.1969). On aura sans-doute noté que ce recours doit le rester, pour la France.

    Ainsi, toute action des Princes, à quelque place qu'ils se situent, quelle qu'en soit la nature, ne se réalise jamais, selon l'expression de Pierre Boutang, "indépendamment de leur qualité de fils de Saint-Louis ».

    Et c'est pourquoi, la réunion qui se tiendra ce 13 octobre prochain, à la Chapelle Royale de Dreux, est si importante. Pourquoi, aussi, dès maintenant, à notre toute modeste place, nous lui souhaitons un plein succès.  

  • La Dizaine de MAGISTRO...

           Par-delà le discours dit de droite, dit de gauche ou d'ailleurs, il faut aller à l'essentiel ...
    du (bon) sens et des fondamentaux ... un choix de civilisation !


           MAGISTRO, une tribune libre et indépendante d'information civique et politique.

    Du passé, ne faisons pas table rase  Mezri HADDAD Philosophe, journaliste
    Interview de l'ambassadeur tunisien auprès de l'UNESCO  Mezri HADDAD Philosophe, journaliste
    Le manichéisme ou comment s’en débarrasser  Ivan RIOUFOL Journaliste
    De la révolution de jasmin à la couronne d’épines ?  Yves-Marie LAULAN Géopoliticien
    Tunisie. Comment savoir ?  Henri HUDE Philosophe
    De la notion d’ "art"  Aude de KERROS Critique d'art
    Les amis de l’euthanasie  Eric ZEMMOUR Journaliste, écrivain
    A propos de Céline  Denis TILLINAC Ecrivain, chroniqueur
    La vérité sur la fécondité en France en 2010  Yves-Marie LAULAN Géopoliticien
    Agir vaut mieux que gémir  Hyacinte-Marie HOUARD Abbé, fondateur de l'IRCOM d'Angers
    La diplomatie de l'éléphant  Roland HUREAUX Essayiste
    Deux poids, deux mesures Denis TILLINAC Ecrivain, chroniqueur
    L'immigration au cœur du désastre scolaire  Ivan RIOUFOL Journaliste
    Art contemporain et conflits d'intérêts  Christine SOURGINS Historienne de l'art, écrivain
    Le Mépris  Chantal DELSOL Membre de l'Institut, Professeur de philosophie politique

            Extrait du Mezri Haddad, Du passé ne faisons pas table rase..... :

           "....Je sais que tout le monde célèbre aujourd’hui la "révolution du jasmin" et que je devrais, par opportunisme ou raison politique, m’y associer, mieux vaut tard que jamais. Mais il se trouve que la raison qui a guidé toute ma vie ma réflexion autant que mon action, c’est la raison philosophique. Le dilemme, c’est que je n’ai jamais eu l’âme d’un révolutionnaire mais l’esprit d’un réformateur. Je n’ai jamais été séduit par Sartre auquel j’ai toujours préféré, admiré même, Raymond Aron.
    La "révolution du jasmin", je l’observe de loin et je la vois jour après jour s’éloigner de son essence et de sa finalité première. Elle commence à dégager comme une odeur de soufre, de sang et de règlement de comptes. Je ne voudrais pas qu’elle ressemble ni à la Révolution française, ni à la Révolution bolchévique, ni encore moins à la révolution khomeyniste. Je voudrais qu’elle conserve sa pureté morale, son originalité et son exemplarité; en un mot, sa tunisianité.

         Je peux comprendre qu’après 23 ans de musellement, le peuple ait besoin d’exprimer sa colère et sa liberté recouvrée. Mais ce peuple doit comprendre à son tour qu’en l’absence de la paix civile et de l’Etat de droit, la liberté devient un poison mortel ; qu’il n’y a pas de paix civile sans la permanence de l’Etat. C’est l’un des plus illustres précurseurs de la Révolution française qui disait : "La liberté est un aliment de bon suc et de forte digestion; il faut des estomacs bien sains pour le supporter". Et c’est le même Rousseau qui disait : "S’il y avait un peuple de dieux, il se gouvernerait démocratiquement. Un gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes...."

  • Corruption : 4 salariés d'un centre pour demandeurs d'asile en examen...

                 Quatre salariés d'une association, soupçonnés d'avoir demandé de l'argent à des demandeurs d'asile en échange de places d'hébergement, ont été mis en examen pour corruption, apprenait-on le vendredi 12 février, de source judiciaire.

                 Ces quatre personnes -un Russe, un Marocain, un Algérien et un Géorgien-, salariés de la Coordination de l'accueil des familles demandeuses d'asile (Cafda), sont soupçonnées d'avoir réclamé des sommes comprises entre 1.000 et 2.000 euros à des familles pour leur obtenir un logement ou une place en centre d'accueil en région parisienne.

                 Deux des quatre salariés ont reconnu les faits devant la police, a indiqué la source. Les quatre personnes ont été placées sous contrôle judiciaire, avec notamment l'interdiction de se rendre dans les locaux de la Cafda.

                L'information judiciaire -ouverte le jeudi 11 février- pour corruption a été confiée au juge du pôle financier du palais de justice de Paris Jean-Christophe Hullin. Les locaux de la Cafda ont été perquisitionnés par la police mardi en raison de possibles tentatives d'extorsion de fonds "qui auraient été exercées sur des demandeurs d'asile, d'origine tchétchène essentiellement", selon le Centre d'action sociale protestant (Casp), qui gère la Cafda. "Alertée" par des rumeurs, la direction du Casp avait mené une enquête interne en mars 2008 qui n'avait pas permis de confirmer ou d'infirmer ces bruits. Elle avait ensuite demandé une inspection à la Ddass avant de porter plainte contre X le 9 octobre 2008 auprès du procureur de Paris à la suite d'une "résurgence des rumeurs". La Cafda est la première plate-forme française d'accueil, d'orientation, et d'accompagnement de demandeurs d'asile en famille, selon le Casp

                Cette information sordide pose une nouvelle fois le problème des trafics juteux -en même temps que répugnants- qui gravitent autour de ce qu'il faut bien appeler le marché de l'immigration.... Et pose une nouvelle fois le problème des subventions (il s'agit au total de plusieurs dizaines de millions d'euros...) octroyées à toute une nébuleuse d'associations.

                - Des associations qui ne sont pas représentatives de l'opinion publique, et qui se sont, la plupart du temps, auto-désignées auprès des immigrés....

                - Des associations qui ne sont pas contrôlées. Or, il est plus que temps d'effectuer des audits tous azimuts sur les dessous de toutes ces associations qui sont, trop souvent, "une plate-forme française d'accueil"; il est clair que; pour beaucoup d'entre elles, il ne s'agit que d'une façade pour faire bien , mais surtout pour se faire du bien à elles-mêmes, en se servant au passage. Il faut être honnête et cohérent: si on veut être bénévole, on n’est pas payé. Sinon ce n’est plus du bénévolat…

                - Des associations qui tirent l'essentiel de leurs ressources des subventions diverses et variées, en clair: par nos impôts. Car les subventions leur sont versées, par les Mairies, Conseil général, Conseil régional etc..., et qui apporte l'argent à ces administrations ? Évidemment, les impôts locaux. Donc, au bout du compte, nous tous.

                La seule solution, pour éviter ce genre d'abus qui reviennent à intervalles réguliers sur le devant de la scène est de ne plus verser de subventions. Du tout !

                En partant du principe que nos Lois suffisent, et que l'on doit faire confiance à la Justice, la Police la Gendarmerie.... Et, si vraiment certains veulent à tout prix faire du bénévolat, qu'ils le fassent; mais bénévolement !...

  • A propose des tentatives de blocage des Universités...

              Dans son édito-vidéo du 8 novembre, intitulé "Réforme des Universités: Halte au blocage" (1), Christophe Barbier livre une bonne analyse de l'opposition aux réformes entreprises par le gouvernement, en même temps qu'il parle sans aucune hypocrisie, et avec des mots très durs pour eux, de l'action négative des syndicats de gauche et d'extrême gauche. Son "papier" est excellent; il a la dent dure, mais comme il a raison !.... En voici le texte, dans son intégralité:

              "C'est vrai, la Loi sur l'Autonomie des Universités a un grand défaut: elle n'est pas assez radicale! En fait, il faudrait pouvoir donner aux Présidents d'Université une autonomie quasiment égale à celle de chefs d'entreprises, de grandes et importantes entreprises. Évidemment, avec le contrôle de l'État pour tout ce qui est pédagogique.

              La résistance actuelle d'une poignée d'étudiants n'obéit qu'à des ressorts politiques; Il s'agit pour eux, dans un jeu partisan d'essayer de coaguler la colère -ou pseudo colère- étudiante à toutes les revendications des salariés (Régimes spéciaux, suppressions de postes dans la Fonction Publique etc...). Il s'agit aussi pour eux d'essayer d'empêcher la mutation de l'Université vers l'excellence, l'efficacité, la capacité de l'Intelligence française à participer à la compétition mondiale: rester bien les pieds dans une glaise "intello inutile" plutôt que de passer dans la formation pour la performance, pour non seulement pouvoir trouver un travail mais pour pouvoir, au nom de ses entreprises, au nom de son Pays, participer à la mondialisation de manière offensive...

              C'est donc un enjeu extrêmement important qui est au coeur de ce conflit dans les Facs actuellement. Le gouvernement saura-t-il l'emporter ? L'enjeu c'est celui-ci: il s'agit de choisir: est-ce que l'on va continuer à faire de l'université un garage à lycéens attardés qui se débrouilleront après pour se faire une place dans la vie privée, ou bien est-ce que l'on va réussir à remettre les Universités dans une logique de performance. Que les étudiants après le Bac sachent qu'avec l'enseignement supérieur ils vont acquérir les diplômes qui leur permettront de trouver du travail, qui leur permettront de s'épanouir individuellement, qui leur permettront aussi d'être au service du Pays, parce qu'il faut être au service de son Pays dans la nouvelle forme de guerre qui est la guerre économique.

               Est-ce que Valérie Pécresse tiendra bon ? Est-ce que François Fillon tiendra bon ? Est-ce que Nicolas Sarkozy tiendra bon ? D'ici Noël le match sera joué, la révolution universitaire positive française aura eu lieu. Ou bien on aura de quoi s'inquiéter pour l'avenir de nos cerveaux. Il n'y aura alors point de salut pour eux hormis les Grandes Ecoles ou l'expatriation dans les pays anglo-saxons ou asiatiques."

    (1): "L'express", 8 novembre, rubrique "L'édito-vidéo de Christophe Barbier"

    ". http://www.lexpress.fr/idees/debats/dossier/editobarbier/dossier.asp?ida=461329

  • L'avilissement par les médias

     

    En deux mots.jpgDe toute évidence, l'un des facteurs qui contribue le plus à l'avilissement de notre société, ce sont les médias.

    Parmi ces derniers, France inter occupe une place particulière. A raison de son audience, de la cléricature idéologique qu'y exercent des journalistes d'un professionnalisme indéniable, en raison enfin du fait que cette grande station publique a été privatisée par une bande. Professionnelle, de qualité, mais une bande. On s'y coopte comme se cooptent rue de Grenelles, au ministère de l'Education Nationale les pédagogistes et les fonctionnaires gauchards qui, depuis trois-quarts de siècle, travaillent au déracinement des enfants de France. Et ont transformé l'Ecole en ce que Jean-Paul Brighelli appelle sans trop d'exagération, « la fabrique du crétin ». On peut façonner de même un peuple d'adultes.

    A France Inter, Patrick Cohen avait succédé à Nicolas Demorand et voici que Nicolas Demorand vient de succéder à Patrick Cohen. Symptomatique chassé-croisé ! Même obédience idéologique et même équipe, même bande.

    L'audience de France Inter est considérable : quatre millions d'auditeurs pour la Matinale. La Grand-Messe des bobos de gauche ou d'extrême-gauche. Certains de nos lecteurs nous ont jadis critiqués de nous y intéresser : il suffisait d'ignorer, de ne pas écouter ... Peu importaient les quatre millions d'autres ? Attitude individuellement compréhensible mais irresponsable pour qui entend mener une action politique. Et se soucie du Bien Commun des Français. 

    La cléricature lors de la matinale de France Inter a ses deux grands prêtres : Thomas Legrand pour ce qui est de la politique intérieure ; Bernard Guetta qui officie dans le domaine géopolitique. 

    La chronique de politique intérieure de Thomas Legrand est la plus écoutée de France. Elle consiste dans son fond à discerner ce qui dans la politique intérieure française est bien conforme aux grands principes de 1789 ou ce qui par malheur pourrait s'en écarter et devrait être aussitôt anathémisé. La grandeur de la France historique n'est pas son affaire. Seule lui importe l'observance des grands principes.

    Bernard Guetta prêche inlassablement pour l'établissement universel de la démocratie, y compris dans les pays où elle n'est pas une tradition, où, de fait, elle n'aboutit qu'à instaurer le chaos ; et pour l'édification de l'unité européenne, sous une forme naturellement fédérale. Au nom de quoi l’on flétrira le Brexit, l’on condamnera Vladimir Poutine, l’on sera interventionnistes en Syrie où l’on soutiendra les improbables démocrates, l’on se prononcera pour Hilary Clinton contre Donald Trump, etc…

    Les interviewers, Patrick Cohen et la très grossière Léa Salamé seront inquisitoriaux avec qui n’est pas de leur boutique et dérouleront le tapis rouge aux autres, leur réserveront sourires, amabilités, et complaisance.

    La bande ne serait pas complète s’il n’y avait celle des humoristes, ou prétendus tels, dont le seul souci est de moquer, salir, pourchasser tout ce qui ressort de l’identité française, des mœurs normales, ordinaires, au profit de tout ce qui est déviant, sale, drogué, faussement transgressif. Cela en termes salaces, vulgaires, au-dessous de la ceinture … Comment ces gens-là – essentiellement, plusieurs heures par jour, Charline Vanhoenacker et Alex Vizorek - ont-ils pu obtenir un quasi-monopole de l’humour, sur France Inter ? Dans la matinale, le soir à cinq heures, la nuit, après minuit ? Mystère !  

    Michel Onfray a déclaré un jour ne plus vouloir intervenir sur cette radio privée. Il voulait dire : dont une bande s’est emparée.

    N’allongeons pas exagérément un tableau aussi sombre. Mais à supposer qu’il se soit installé ou s’installe un jour un Pouvoir qui veuille redresser la France, croit-on qu’il a quelque chance d’y parvenir, s’il ne nettoie pas ces écuries d’Augias ?  Le dégagisme devrait ne pas concerner les seuls parlementaires. Ils sont, à la limite, plus inoffensifs.

  • Décidément, nous aurons tout lu, tout vu, tout entendu ces temps-ci ! La voie est libre !

     

    Sans commentaire utile n'est-ce pas ? Sinon la surprise, la constatation de l'inconcevable.

    La déconfiture simultanée de l'entreprise européenne -  qui se débat dans une crise où absolument tout est lamentable - et des institutions de la République, comme de ses valeurs improbables semble aboutir à une sorte de contestation de plus en plus large et profonde. Dont même les ministres de la République ne sont plus exempts ! La voie est libre ? Il s'en faut encore de beaucoup. Mais elle y tend et vraiment, d'ores et déjà, le spectacle est étonnant. Les royalistes ont tout lieu d'y être attentifs !  LFAR   

    Les comptes rendus des médias 

    On a ressassé qu'il a été banquier d'affaires, à la fortune faite dans le cadre des fusions-acquisitions de la banque Rothschild. On le découvre philosophe, « rééduqué » par Paul Ricoeur. Dans une interview parue hier, 8 juillet dans le journal hebdomadaire Le 1, déjà consultable sur son site internet, voilà qu'on découvre aujourd'hui le jeune et brillant ministre de l'Économie de François Hollande… royaliste ! Selon lui, d'ailleurs, le peuple français n'a pas vraiment voulu décapiter Louis XVI.

    La démocratie décevante ?

    Comment la réflexion philosophique peut-elle nourrir, étayer l’action politique ? Tel est l'axe central de cet entretien exclusif avec Emmanuel Macron. On y apprend notamment que c'est en rédigeant un travail sur Machiavel, sous la direction d'Étienne Balibar, que le jeune prodige a abandonné la métaphysique pour la philosophie politique. Mais, plus loin dans ce même entretien, ses propos, repris sur le site Liberté Politique, deviennent iconoclastes et sont sans équivoque.

    « La démocratie est-elle forcément déceptive ? » lui est-il demandé. Macron donne cette réponse étonnante pour un ministre de la République, étonnante et claire :  : « Il nous manque un roi », répond clairement le ministre... de la République. Attention, Monsieur le Ministre : remettre en cause la forme actuelle du régime en France fait justement partie des nouveaux critères de surveillance et de mise sur écoutes déterminés dans la dernière loi renseignement !

    Un siège vide depuis Napoléon et de Gaulle

    « La démocratie comporte toujours une forme d'incomplétude, car elle ne se suffit pas à elle-même », répond en effet Emmanuel Macron.

    « Il y a dans le processus démocratique et dans son fonctionnement un absent. Dans la politique française, cet absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n'a pas voulu la mort. La Terreur a creusé un vide émotionnel, imaginaire, collectif : le roi n'est plus là ! On a essayé ensuite de réinvestir ce vide, d'y placer d'autres figures : ce sont les moments napoléonien et gaulliste, notamment. Le reste du temps, la démocratie française ne remplit pas l'espace. On le voit bien avec l'interrogation permanente sur la figure présidentielle, qui vaut depuis le départ du général de Gaulle. Après lui, la normalisation de la figure présidentielle a réinstallé un siège vide au coeur de la vie politique. Pourtant, ce qu'on attend du président de la République, c'est qu'il occupe cette fonction. Tout s'est construit sur ce malentendu. »

    François Hollande appréciera sûrement le raisonnement... 

    Sources : France Inter, Le Point, Le 1, Valeurs actuelles, Liberté politique, Le Figaro, etc. 

     

  • « La France n’a pas colonisé l’Algérie. Elle l’a fondée »

     

    Par Xavier Scott 

    « On l’oublie souvent mais l’identité algérienne n’existait pas avant 1830. » Cette utile et intéressante mise au point a été publiée dans Boulevard Voltaire [18.02].

     

    images.jpgCes mots ne viennent pas d’un nostalgique de l’Algérie  française  mais de Ferhat Abbas, ex-leader FLN et président de la  République algérienne du temps du GPRA.

    On l’oublie souvent mais l’identité algérienne n’existait pas avant 1830. Jusqu’au VIIIe siècle, les populations qui y vivaient étaient d’origine phénicienne, berbère, romaine et de religion majoritairement chrétienne. Ce sont les Arabes, peuple nomade venant du Moyen-Orient, qui ont envahi toute l’Afrique du Nord et converti de force toutes ces populations. Ainsi, et après quelques siècles de domination arabo-islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico-romaine.

    Plus tard, au XVIe siècle, en profitant du chaos répandu par les Espagnols, mais aussi en soufflant habilement sur les nombreuses divisions existant entre les différentes tribus de la région, les Ottomans en prirent le contrôle avec Alger pour capitale.

    C’est alors que se développa, pendant près de 300 ans, la piraterie barbaresque, arraisonnant tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants. 

    Ainsi, dans l’Alger des corsaires du XVIe siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés. 

    Plusieurs tentatives de destruction de ces bases furent alors entreprises. D´abord par Charles Quint, à l’action duquel succédèrent les bombardements anglais, puis ceux des Néerlandais et même ceux de la jeune nation américaine également victime de ces perfidies…

    Toutefois, seul le débarquement des troupes françaises en 1830 mit fin définitivement à trois siècles d’atrocités. 

    Par la suite, et à l’inverse des autres puissances  colonisatrices, comme les  Américains avec les Indiens ou les Britanniques avec les Aborigènes ou encore les Turcs avec les Arméniens, la France ne massacra pas les peuples qu’elle venait de conquérir. Au contraire, la France soigna, grâce à ses médecins, toute la population, amenant cette dernière de moins d’un million en 1830 à dix millions en 1962. De plus, la France draina, assécha, fertilisa des sols à l’abandon depuis des siècles, transformant une agriculture moyenâgeuse en une agriculture riche, prospère et exportatrice.

    La France respecta aussi la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, et respecta la religion musulmane.

    Bien entendu, la France ne faisait pas dans la philanthropie, mais cela n’enlève rien au fait qu’elle a réussi à désarmer les différentes tribus et mis en place une infrastructure durable (encore utilisée aujourd’hui), qui a été  capitale  pour  l’État  naissant de l’Algérie. Par ailleurs, le nom même du pays a été donné par la France en 1839 : jusqu´alors, il était officiellement appelée « le pays de Barbarie ».

    In fine, renier l’œuvre de la France, c’est logiquement renier l’Algérie en tant qu´État unifié et souverain.   

  • En même temps ? Deux poids, deux mesures !, par Christian Vanneste.

    Le plus grand paradoxe du régime actuel repose sur la contradiction entre son apparence qui est d’avoir prétendu réunir à l’origine des gens de gauche et des gens de droite, alors que, sans doute, rarement l’idéologie n’a autant investi et dominé la politique française. Le malentendu est venu de sa volonté apparente de mettre en avant la réussite économique, celle des individus, des jeunes qui devraient être plus nombreux à vouloir être milliardaires, celle des entreprises dont on a diminué les charges, celle du pays à qui l’on promettait des réformes.

    christian vanneste.jpgLa suppression de l’ISF sur les valeurs mobilières restera la borne témoin de cette politique qui résume la conduite d’un pays en mesures comptables, quand il faut pour redresser un pays, créer un mouvement profond, faire naître un état d’esprit collectif, comme cela s’était produit en 1958. Le Franc était dévalué à deux reprises, mais les Français croyaient à nouveau en eux-mêmes, en leur pays et en leur nouveau Franc, apparemment 100 fois plus lourd alors qu’il était nettement plus léger. Le commerce extérieur et l’activité économique en avaient bénéficié tandis les Français retrouvaient la fierté avec des institutions rénovées et des dirigeants respectés. Rien de tel ne s’est produit depuis trois ans. Au contraire !

    Non seulement les réformettes n’ont pas changé l’état d’esprit du pays, mais la continuité manifeste du « monde d’après » avec le « monde d’avant » a accentué la mélancolie française, le sentiment d’un déclassement du pays, incapable de maintenir son rang dans tous les domaines, de l’économie à la sécurité en passant par l’éducation. La crise sanitaire a même révélé la faiblesse pour ne pas dire la misère de notre système de santé. Or l’idéologie larvée qui règne plus que jamais en France est, elle, clairement de gauche, de cette seconde gauche qui se dit progressiste parce qu’avec un aveuglement sans pareil elle veut aller plus loin dans toutes les directions qui conduisent au suicide français. Plus loin dans l’Europe, alors que l’impossibilité de dévaluer nous entraîne dans une spirale infernale de déficits généralisés. Plus loin dans l’immigration alors que déjà le peuple français est dépossédé de lui-même, et devenu étranger dans des centaines de quartiers du territoire national. Plus loin dans la destruction systématique de la cellule fondamentale de notre société que constituait la famille, récemment encore avec la « PMA pour tous ». Plus loin dans la discrimination dite positive qui revient à respecter davantage les prétendues « minorités » plutôt que la majorité. Plus loin dans l’uniformisation de la pensée, et dans la limitation de la liberté d’expression, comme en témoigne la loi Avia. Plus loin dans le laxisme judiciaire avec la libération anticipée de 8000 détenus sous le prétexte de l’épidémie. Plus loin dans la pénalisation unilatérale de l’opinion, quand on relaxe le complice de migrants clandestins et qu’on punit sévèrement les opposants à l’islam. Plus loin dans l’irruption de l’idéologie dans tous les domaines de la vie sociale et de l’action publique ainsi que le montre l’acharnement du pouvoir contre la thérapeutique pratiquée par le Professeur Raoult. Dans ce dernier cas apparaît en pleine lumière l’étonnante connivence entre l’idéologie progressiste et certains intérêts financiers : le vrai sens du « en même temps » !

    Une décision judiciaire vient de symboliser ce refus obstiné du bon sens, cette inversion des valeurs qui minent notre pays. A Nîmes, un mineur âgé de 17 ans, soupçonné d’avoir percuté un retraité de 72 ans et de l’avoir tué, lors d’un rodéo, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, par décision du juge des libertés et de la détention. Le parquet avait pourtant requis son placement en détention provisoire après sa mise en examen pour homicide involontaire aggravé (délit de fuite, conduite sous stupéfiants, mise en danger de la vie d’autrui). Délinquant récidiviste, hors-la-loi et hors-contrôle, usant de stupéfiants, sa place était à l’évidence en détention, mais mineur, issu d’un quartier dit « sensible », c’est une victime, et il est remis en liberté car la prison, c’est bien connu, ne ferait qu’aggraver son cas… Quant au retraité qui a perdu la vie parce que ce type n’a pas été puni dès le début de ses méfaits, aucune importance…. comme les « vieux blancs » qui ne sont pas prioritaires pour l’hospitalisation et meurent faute de soins appropriés, comme les gilets jaunes matraqués quel que soit leur âge ou leur sexe, tandis que la police a l’ordre de ne pas faire respecter l’ordre dans les « banlieues »… Ce serait de la provocation ! Et comme les policiers eux-mêmes qu’on peut insulter sans risques, mais qui ne peuvent répondre sans avoir l’IGPN sur le dos !

  • Nos meilleurs amis peuvent aussi être d'excellents soldats

    Les détails de l’opération américaine qui s’est soldée par la mort du chef de l’État islamique Abour Bakr al-Baghdadi commencent à être précisés. Il s’avère qu’un chien de l’armée a joué un rôle crucial dans le raid. Donald Trump a publié sa photo sur Twitter.

    L’unité d’élite ayant mené l’assaut contre le chef du groupe État islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, comprenait un chien qui a rendu « des services incroyables » mais dont l’identité doit être « protégée », a salué lundi le plus haut gradé de l’armée américaine, le général Mark Milley.

    Plus tard dans la soirée, Donald Trump a publié une photo déclassifiée de l'animal sur Twitter.

     

    Donald J. Trump@realDonaldTrump
     

    We have declassified a picture of the wonderful dog (name not declassified) that did such a GREAT JOB in capturing and killing the Leader of ISIS, Abu Bakr al-Baghdadi!

    Voir l'image sur Twitter

    L’animal a été « légèrement blessé » lors du raid et « se remet totalement », a assuré le chef d’état-major de l’armée américaine, lors d’un point-presse.

    Un « chien très doué », selon Trump

    Le général a toutefois refusé de dévoiler le nom du chien, car celui-ci « est encore sur le théâtre d’opération ».

    Dimanche, Donald Trump avait déjà salué le travail d’un « magnifique chien, un chien très doué » en annonçant la mort du chef de l’EI lors du raid sur une maison dans le nord-ouest de la Syrie mené quelques heures plus tôt.

    Pour échapper aux forces américaines, Abou Bakr al-Baghdadi s’est réfugié dans un tunnel, « poursuivi par nos chiens »

     

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    Nous souhaitons évidemment un prompt rétablissement à ce chien valeureux... Si tous les humains pouvaient lui ressembler !...

    A lafautearousseau, et dans l'armée française, on sait quel est le rôle qu'ont joué et jouent encore de nombreux animaux dans les armées : voici un extrait de notre Ephéméride du 4 juin et, juste après, une photo du dernier défilé du 14 juillet, avec une brigade cynophile

    1916 : "Le Vaillant", pigeon voyageur, remplit sa mission, malgré les gaz asphyxiants...
     
     
    Eh, oui ! Des animaux, aussi, peuvent servir la Patrie : les chiens décorés - et pensionnés, jusqu'à leur mort... - sont les plus connus, et ne se comptent plus.
    Les pigeons voyageurs sont peut-être moins connus : profitons donc de ce 4 juin pour rappeler l'aide immense qu'ils ont apportée à l'armée française, dans son héroïque Grande Guerre, et particulièrement l'action de "Le Vaillant", ce pigeon voyageur qui reçut le Diplôme de Bague d'honneur, puis la Croix de Guerre en 1916, avec cette citation :
     
    "Malgré les difficultés énormes résultant d’une intense fumée et d’une émission abondante de gaz, a accompli la mission dont l’avait chargé le commandant Raynal.
    Unique moyen de communication de l’héroïque défenseur du Fort de Vaux, a transmis les derniers renseignements qui aient été reçus de cet officier fortement intoxiqué, est arrivé mourant au colombier ".
     

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    Défilé du 14 juillet 2019 : honneur aux "CQP", nos valeureux Commandos quatre pattes !... :

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    lafautearousseau

  • De notre politique africaine

    Emmanuel Macron accueilli par le président du Burkina Faso Roch Marc Christian Kabore à l'aéroport de Ouagadougou le 27 novembre 2017

     

    par Louis-Joseph Delanglade

     

    logo lundis.jpgIl n’est certes pas désagréable d’entendre le chef de l’Etat français répondre avec fermeté et justesse à certaines critiques récurrentes formulées en Afrique même contre la France.

    Mais le ton direct qu’il a adopté à Ouagadougou ne saurait faire oublier l’essentiel, à savoir son incapacité à penser clairement et de façon politique la relation que pourraient et devraient entretenir la France et certains pays d’Afrique - en fait la plupart de nos anciennes colonies. La première erreur de M. Macron aura été de tirer sur une sorte d’épouvantail bien commode, la « Françafrique », elle-même héritière de la très gaullienne « Communauté française » de 1958. MM. Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande ont successivement annoncé sa fin et pourtant existe toujours, qu’on le veuille ou pas, quelque chose de particulier. A preuve, la présence, même contestée, d’une monnaie (franc CFA), d’une armée (bases militaires), d’une langue officielle. 

    Peut-être optimiste, la perspective du développement de la francophonie en Afrique centrale et occidentale n’est pas un facteur négligeable : tous les beaux discours, à commencer par celui de M. Macron, n’empêcheront pas le français d’être d’abord la langue de la France et de constituer un élément potentiellement fédérateur. Et surtout de permettre de circonscrire le champ de notre politique : il est évident que l’Afrique dans son intégralité, immense continent à la démographie explosive, est un trop gros morceau. Concentrons donc nos aides, notre action, nos projets dans le pré carré post-colonial. 

    Aussi la formule « il n’y a pas de politique africaine de la France » est-elle fort mal venue, d’abord et tout simplement parce que, les choses étant ce qu’elles sont, ne pas en avoir c’est en avoir une, la pire, celle qui nie les réalités. Certes, on ne peut que constater l’érosion avec le temps de la présence française. Mais c’est justement à cause de cela qu’il faut non pas nier mais repenser toute une politique. A défaut, il nous faudra subir cette forme de Françafrique qui existe toujours, celle que M. Zemmour (RTL, jeudi 30) dénonce justement, « un instrument que les dirigeants africains utilisent habilement pour défendre leurs intérêts ». 

    Or, la France se doit d’abord à elle-même. Il faut donc que ce que nous pouvons apporter à l’Afrique soit légitimement compensé. Notre aide, qu’elle soit militaire, financière, éducationnelle, etc. doit ainsi avoir deux contreparties essentielles : d’abord la garantie d’être la nation la plus favorisée dans tous les domaines car nous n’avons pas à tirer les marrons du feu au bénéfice des Chinois, Américains ou autres ; ensuite la mise sur pied d’un dispositif franco-africain pour limiter au maximum une émigration dangereuse pour tout le monde et favoriser le retour au pays de dizaines de milliers d’Africains qui n’ont rien à faire en France. 

    Ne pas oublier surtout que la France doit conserver sa propre souveraineté politique vis-à-vis de l’Afrique. Or, Il nous est de plus en plus difficile, et coûteux, d’agir seuls, notamment sur le plan militaire, et une aide de nos alliés européens serait la bienvenue. M. Macron veut « une relation renouvelée, passant par la construction de liens renforcés entre l'Afrique et l'Europe, et pour laquelle la France pourrait selon lui jouer un rôle d’intermédiaire » (Le Figaro, mardi 28). Pourquoi ne pas envisager, plutôt que cette dissolution déguisée dans une politique euro-africaine, de jouer notre rôle de nation européenne prépondérante ? Ce rôle étant profitable à tous nos partenaires, tous doivent nous soutenir, notamment sur le plan financier : on pourrait donc suggérer un réaménagement budgétaire, la France voyant sa facture européenne diminuer à proportion de ses dépenses militaires en Afrique. 

    Evidemment, cette redéfinition de notre politique africaine ne doit pas convenir à M. Macron, comme le montre sa prestation orale à Ouagadougou.  •

  • Appel pour soutenir l’enseignement du français au Liban...(1/2)

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    C'est très volontiers que lafautearousseau relaye ce courrier reçu du Carrefour des acteurs sociaux :

     

    Bonjour,

    Le présent courriel s’adresse aux personnalités et institutions de la sphère francophone et à tous ceux qui mesurent l’ampleur de la tragédie qui frappe le Liban et qui veulent s’engager pour sauver la part de l’identité libanaise que constituent, dans ce pays ami depuis des siècles, l’enseignement en français et l’enseignement du français.

    Cet appel à contribution (utiliser le RIB ci-joint pour effectuer votre don) a pour objet de recueillir des fonds destinés à enrichir la bibliothèque numérique de l’Université du Saint Esprit de Kaslik (Jounieh – Liban)

    Chaque destinataire est invité à diffuser cet appel dans son propre réseau relationnel.

    Texte de l'Appel :

    3992027935.jpgBien avant l’épouvantable catastrophe qui vient d’atteindre le Liban, la situation y était grave sur le plan économique et déjà tragique tant sur le plan social - la presse libanaise comme nos contacts dans ce pays évoquaient un quasi famine dans certains quartiers - que sur le plan scolaire, à tel point que nombre d’établissements (y compris ceux de la Mission Laïque) envisageaient de fermer leurs portes dans l’incapacité où ils allaient se trouver de pouvoir payer leurs enseignants faute d’encaissement des frais de scolarité, soit que les familles aient déjà quitté le pays, soit que plus simplement elles n’aient plus les moyens de les payer.

    Il s’agit pour nous de n’empiéter en rien sur les actions de solidarité conduites par des organismes prestigieux (Ordre de Malte, Mission Laïque, SOS Chrétiens d’Orient, Œuvre d’Orient …). Souvent la motivation confessionnelle est le ressort premier de l’élan de solidarité vers le Liban et c’est très légitime.

    La « cause du français » toutefois est de nature à susciter un effort spécifique. Elle le mérite. D’où l’idée de faire jouer la solidarité des personnalités et organisations privées ou publiques engagées dans la défense et la promotion de la francophonie. Nous voulons faire jouer la dimension culturelle de l’engagement.

    C’est pourquoi nous avons retenu le soutien à la bibliothèque de l’Université du Saint Esprit de Kaslik (USEK) qui a formulé son besoin dans les termes ci-dessous :

     "...il serait essentiel pour nous, de venir en renfort de la Bibliothèque de l’USEK et plus particulièrement de ses ressources francophones, notamment celles électroniques..."

     

     

    Hélène Conway-Mouret, sénatrice des Français de l’étranger, Vice Présidente du Sénat

    Nehme Azoury, pro recteur de l’Université du Saint Esprit de Kaslik (Liban)

    Joël Broquet, président du Partenariat Eurafricain

    Catherine Distinguin, directrice du pôle francophonie du CAS

    Hugues de Froberville, ancien président de l’Agence de la Langue Française (service du Premier Ministre)

    Laurent Grégoire, Président de l’OCIPE, Office catholique d’information et d’initiative pour l’Europe, Représentant permanent auprès de l’UNESCO de l’OMAEC, Organisation mondiale des anciens élèves de l’enseignement catholique.

    Abdelkader Haroune, Commissaire divisionnaire, membre du Conseil Présidentiel de la Ville, président des Chemins de la Réussite

    Philippe Kaminski, président de « Avenir de la Langue Française »,

    Me Moundji Maoui

    Arafa Mbae, présidente de Mayesha Espoir, représentant la communauté Comorienne

    Patrice Vermeulen, Administrateur Général des Affaires maritimes (2S), secrétaire général du Carrefour des Acteurs Sociaux

    Jacques Nicolas de Weck, président du Cercle Oudinot, dirigeant syndical

  • En même temps ? Deux poids, deux mesures !, par Christian Vanneste.

    Le plus grand paradoxe du régime actuel repose sur la contradiction entre son apparence qui est d’avoir prétendu réunir à l’origine des gens de gauche et des gens de droite, alors que, sans doute, rarement l’idéologie n’a autant investi et dominé la politique française. Le malentendu est venu de sa volonté apparente de mettre en avant la réussite économique, celle des individus, des jeunes qui devraient être plus nombreux à vouloir être milliardaires, celle des entreprises dont on a diminué les charges, celle du pays à qui l’on promettait des réformes.

    christian vanneste.jpgLa suppression de l’ISF sur les valeurs mobilières restera la borne témoin de cette politique qui résume la conduite d’un pays en mesures comptables, quand il faut pour redresser un pays, créer un mouvement profond, faire naître un état d’esprit collectif, comme cela s’était produit en 1958. Le Franc était dévalué à deux reprises, mais les Français croyaient à nouveau en eux-mêmes, en leur pays et en leur nouveau Franc, apparemment 100 fois plus lourd alors qu’il était nettement plus léger. Le commerce extérieur et l’activité économique en avaient bénéficié tandis les Français retrouvaient la fierté avec des institutions rénovées et des dirigeants respectés. Rien de tel ne s’est produit depuis trois ans. Au contraire !

    Non seulement les réformettes n’ont pas changé l’état d’esprit du pays, mais la continuité manifeste du « monde d’après » avec le « monde d’avant » a accentué la mélancolie française, le sentiment d’un déclassement du pays, incapable de maintenir son rang dans tous les domaines, de l’économie à la sécurité en passant par l’éducation. La crise sanitaire a même révélé la faiblesse pour ne pas dire la misère de notre système de santé. Or l’idéologie larvée qui règne plus que jamais en France est, elle, clairement de gauche, de cette seconde gauche qui se dit progressiste parce qu’avec un aveuglement sans pareil elle veut aller plus loin dans toutes les directions qui conduisent au suicide français. Plus loin dans l’Europe, alors que l’impossibilité de dévaluer nous entraîne dans une spirale infernale de déficits généralisés. Plus loin dans l’immigration alors que déjà le peuple français est dépossédé de lui-même, et devenu étranger dans des centaines de quartiers du territoire national. Plus loin dans la destruction systématique de la cellule fondamentale de notre société que constituait la famille, récemment encore avec la « PMA pour tous ». Plus loin dans la discrimination dite positive qui revient à respecter davantage les prétendues « minorités » plutôt que la majorité. Plus loin dans l’uniformisation de la pensée, et dans la limitation de la liberté d’expression, comme en témoigne la loi Avia. Plus loin dans le laxisme judiciaire avec la libération anticipée de 8000 détenus sous le prétexte de l’épidémie. Plus loin dans la pénalisation unilatérale de l’opinion, quand on relaxe le complice de migrants clandestins et qu’on punit sévèrement les opposants à l’islam. Plus loin dans l’irruption de l’idéologie dans tous les domaines de la vie sociale et de l’action publique ainsi que le montre l’acharnement du pouvoir contre la thérapeutique pratiquée par le Professeur Raoult. Dans ce dernier cas apparaît en pleine lumière l’étonnante connivence entre l’idéologie progressiste et certains intérêts financiers : le vrai sens du « en même temps » !

    Une décision judiciaire vient de symboliser ce refus obstiné du bon sens, cette inversion des valeurs qui minent notre pays. A Nîmes, un mineur âgé de 17 ans, soupçonné d’avoir percuté un retraité de 72 ans et de l’avoir tué, lors d’un rodéo, a été remis en liberté sous contrôle judiciaire, par décision du juge des libertés et de la détention. Le parquet avait pourtant requis son placement en détention provisoire après sa mise en examen pour homicide involontaire aggravé (délit de fuite, conduite sous stupéfiants, mise en danger de la vie d’autrui). Délinquant récidiviste, hors-la-loi et hors-contrôle, usant de stupéfiants, sa place était à l’évidence en détention, mais mineur, issu d’un quartier dit « sensible », c’est une victime, et il est remis en liberté car la prison, c’est bien connu, ne ferait qu’aggraver son cas… Quant au retraité qui a perdu la vie parce que ce type n’a pas été puni dès le début de ses méfaits, aucune importance…. comme les « vieux blancs » qui ne sont pas prioritaires pour l’hospitalisation et meurent faute de soins appropriés, comme les gilets jaunes matraqués quel que soit leur âge ou leur sexe, tandis que la police a l’ordre de ne pas faire respecter l’ordre dans les « banlieues »… Ce serait de la provocation ! Et comme les policiers eux-mêmes qu’on peut insulter sans risques, mais qui ne peuvent répondre sans avoir l’IGPN sur le dos !

  • Impuissance diplomatique, par Charles de Meyer.

    Les Français ont raison de croire qu’ils sont les fils d’une grande nation.

    Aucune des vicissitudes de la politique contemporaine n’a définitivement entamé notre diplomatie. Contrairement à de nombreux voisins européens, nous n’avons jamais complètement abdiqué ni les aspirations à la fronde dans notre politique étrangère ni un appareil militaire qui appuie notre indépendance.

    2.jpgCertes, cela ne maintient pas la gloire d’antan. Et le bilan de nos effronteries reste famélique. Mais il demeure. À l’heure des risques afférents à l’établissement d’une administration Biden, ce n’est pas sans valeur.

    Le maintien de ces parcelles de souveraineté est toutefois tributaire d’un appareil d’État dangereusement gagné par les maladies du siècle. Au Quai d’Orsay, beaucoup sont prêts à plaindre la persécution des Ouighours sans regarder l’origine et les financements des études qui les concernent. Au Quai d’Orsay, beaucoup croient sincèrement qu’il faudrait réduire nos relations avec l’Égypte au motif que le président Sissi ne correspondrait pas aux canons de la démocratie libérale. Dans le marécage des intervenants médiatiques en politique étrangère, c’est la foire aux sanctions qui est à la mode. Un dirigeant vous déplaît ? Sanctionnez son entourage. Une assemblée souveraine travaille à une loi qui ne vous sied guère ? Appelez à son renversement depuis l’étranger.

    Tout se produit comme si les restes de notre influence internationale étaient mis en péril par une armée d’esprits formés à l’air du temps.
    Cela pesa certainement dans deux échecs récents de la diplomatie française. En Arménie d’abord, où notre participation au groupe de Minsk, sensé surveiller le conflit du Haut-Karabagh, n’a compté pour rien dans nos réactions face à la l’invasion de l’Artsakh par l’Azerbaïdjan. Il faut dire qu’il eût alors fallu travailler avec Moscou… que nos envoyés tançaient à cause de la rocambolesque affaire Navalny – du nom de cet opposant au Kremlin qui prétend avoir été empoisonné par les services russes – et de la « révolution » en cours en Biélorussie qui passionne le haut-commandement de l’OTAN.

    Au total, la France a participé au concert de provocations à l’égard de Moscou sur deux dossiers très éloignés de nos intérêts nationaux, qu’ils soient de puissance ou d’éthique, au détriment d’un organe de traitement des conflits qui aurait dû jouer un rôle d’apaisement et de sanctuarisation territoriale.
    Les lectures conseillées pour les jeunes diplomates devraient comporter moins de rapports idéologiquement orientés d’Amnesty International et plus de contes comme Pierre et le loup.

    C’est d’ailleurs exactement ce qui se passa à la suite de l’initiative d’Emmanuel Macron pour le Liban après la sanglante explosion du 4 août dernier. Le président de la République n’a épargné aucun effort, emmenant avec une lui une foule hétéroclite d’experts et d’obligés d’État, et rappelant le lien historique entre la France et le pays du Cèdre. Mais il a aussi entamé une course folle dans la politique intérieure libanaise qui ne pouvait qu’affaiblir la position française. Professeur fouettant les élèves turbulents, il a confondu un pays et une classe, une nation et un marché, un problème fondamental et les aléas de la vie politique. Au final, la France n’a rien gagné et le Liban non plus, désormais prisonnier du fléau de l’émigration accélérée de ses élites, notamment chrétiennes.

    Servir les chrétiens d’Orient reviendra donc en 2021 à assumer un double engagement. D’une part, dénoncer les persécutions et les discriminations dont ils souffrent – c’est bien le moins – mais autant le dire : il faut le faire avec leurs morts, leurs souffrances, la violence de leurs adversaires, en refusant d’édulcorer ce qui ne doit pas l’être. D’autre part, dénoncer les fumisteries des idéologues qui ternissent le choix capétien d’une farouche indépendance. Car c’est à ce prix que la France goûtera aux joies de l’action plutôt qu’aux misères du commentaire.

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    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Anne Hidalgo et sa Mairie de Paris (?) toujours aussi "anti Paris" !

    • D'accord avec Eugénie Bastié :
    "Faisons des Jeux olympiques à Paris sans Paris, sans bouquinistes, sans cafés ni terrasses, sans Parisiens... ces Jeux seront «sûrs», oui, comme un village Potemkine..."
    • Et avec le coup de gueule du bouquiniste @PontNeuf06 contre la décision absurde de la mairie de Paris :

    https://www.lefigaro.fr/vox/culture/deplacer-nos-boites-pour-les-jo-est-aussi-absurde-que-risque-le-coup-de-gueule-d-un-bouquiniste-parisien-20230728

     

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    1. Des "Sages" ? D'accord avec Amaury Navarranne :

    "Le propriétaire d'un logement squatté peut être attaqué par le #squatteur si ce logement n'est pas suffisamment entretenu. Voici ce qu'ont tranché les «sages» du Conseil constitutionnel. Quelle indigne décision ! Et si les squatteurs commençaient par squatter chez ces «sages» ?!"

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    1 BIS. Un Amaury Navarranne dont le propos est confirmé par le toujours excellent William Thay :

    "On pensait que la France ne pouvait pas tomber plus bas, mais là on bat un record ! Désormais un squatteur peut poursuivre un propriétaire s'il n'entretient pas le logement. Nous sommes en pleine inversion des valeurs dans un pays où on pense davantage aux droits des squatteurs qu'à ceux des propriétaires, aux droits des délinquants qu'à ceux des victimes."

    (extrait vidéo 1'11)

    https://twitter.com/ThayWilliam/status/1685048204805464064?s=20

     

    3. Fourni par Bruno Attal (sur tweeter) un "exemple visuel" - si on nous passe l'expression - de la France orange mécanique à cause du Système, qui l'a poubellisée, pétaudiérisée, foutoirisée avec son immigration/invasion imposée depuis cinq décennies... Accompagnée de ce commentaire, aussi juste que désabusé :

    "Si le policier tire il part entre 4 murs, s’il ne tire pas il part entre 4 planches." 

    (extrait vidéo 0'15)

    https://twitter.com/Bruno_Attal_/status/1684982497489104916?s=20

    SYSTÈME POURRI !

     

    4. L'article de Fabien Bouglé, dans factuel.media : La filière éolienne mondiale proche de la déflagration !

    "Le 22 juin, l'annonce de Siemens Energy de graves difficultés liées au vieillissement des composants nécessaires à la fabrication de ses turbines d’éoliennes a fait l’effet d’une véritable bombe affolant la finance internationale. En une journée, l’action du deuxième fabricant mondial d’éoliennes a chuté de 37% à la Bourse de Francfort, soit une perte de valeur de 8 milliards d’euros..."

    https://factuel.media/blogs/blog-articles/la-filiere-eolienne-mondiale-proche-de-la-deflagration_ba_20534113

    PORT SAINT LOUIS DU RHONE

     

    5. Prix de l'électricité : la Tribune collective de Figaro Vox...

    TRIBUNE COLLECTIVE - Il est urgent de suspendre le mécanisme européen d’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (Arenh) afin de retrouver une électricité dont le prix est aligné sur son coût de production.

    https://www.lefigaro.fr/vox/societe/energie-pour-retrouver-une-electricite-bon-marche-il-faut-se-defaire-des-exigences-de-bruxelles-20230605

     

    6. Un scandale relevé par Gilles-William Goldnadel :

    "Dans le silence indifférent de la presse française, le rival de la momie Jack Lang pour l’Institut du Monde Arabe, lui-même à Gaza avec le Hamas, serre la main du responsable du Hezbollah, coupable de l’attentat du camp du Drakkar à Beyrouth, où périrent 50 français. Pauvre France."

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    L'ancien chef de la diplomatie française, ancien ministre des Armées (poste où il n'a pas démérité, bien au contraire...) serre la main de membres du groupe terroriste Hezbollah, qui a massacré des dizaines de soldats français...

     

    7. En Wallonie... Bien entendu, d'accord avec CHEZ NOUS :

    "REPRENONS LE CONTRÔLE   En France, les alentours de la Tour Eiffel sont considérés comme une zone de non-droit…. C’est ce que déclare la police, impuissante et dépitée, après le viol d’une jeune femme de 27 ans par 5 individus au pied de ce monument connu du monde entier. Les mots manquent tant l’effondrement de nos pays face à l’immigration massive et au laxisme général apparaît au grand jour. L’insécurité s’est généralisée !  Partout en Europe, et particulièrement en Allemagne avec les viols à Cologne de jeunes femmes par des bandes de migrants, doit nous obliger à refuser l’avenir sombre qui se dessine face à nous."

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    À DEMAIN !

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse de lafautearousseau...

     

    D'accord avec Stanislas Berton :

    "Halloween, c'est à la fois l'impérialisme américain qui détruit la culture française et une fête pagano-satanique qui vient remplacer la fête chrétienne de la Toussaint. Boycottons Halloween et défendons la culture française ainsi que ses traditions chrétiennes !"

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    1. D'accord avec le GAR (Groupe d'Action Royaliste) : 

    "Quand la Droite délaisse les questions sociales, c’est la Gauche qui en profite ! Les Royalistes sociaux, eux, se battent sans démagogie mais avec fermeté et conviction sur ces questions et refusent de placer les intérêts purement comptables avant le Bien commun de la société et de ses sujets actifs et producteurs. Pour les ouvriers et les employés, nous disons Non à la retraite à 65 ans !"

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    2. Le Professeur Perronne chez Bercoff (Sud Radio) : Vaccination Covid ? "Tous vaccinés, tous protégés" ? ''TOUT  a été, et reste, mensonges...

    (extrait vidéo 2'09)

    https://twitter.com/Planetes360/status/1585524354082816000?s=20&t=ZRB20rUA28QK4RFHrRMe_w

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    2 BIS. De François Couilbault (sur tweeter) :

    "Vaccins #Covid19 Au 27 octobre 186.171 cas d’effets secondaires déclarés à l’ANSM, dont 25 % de cas graves, dont des signaux confirmés : Hypertension artérielle, Myocardite / péricardite. Pour un vaccin qui ne protège pas et qui n’empêche pas la transmission ça fait beaucoup."

     

    4. "Allo, Tonton, pourquoi tu tousses ?..." était l'un des meilleurs sketches de Fernand Reynaud.  Tonton, ici, et aujourd'hui, c'est l'ensemble des islamo-gauchistes, de la "droite" (!) qui a trahi en passant par le "centre" bêlant jusqu'aux excité(e)s foldingues des escrolos et de LFI...

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    Chiffres officiels de la Préfecture de police de Paris : sur les premiers mois de 2022, la part des mis en cause étrangers est de 70,4 % pour les vols avec violences et 75,6 % pour des vols sans violence à Paris.

    Une vraie "chance"  pour la France !

    De Chirac - qui a commencé à ouvrir la porte en 75... - à Macron, en passant par Mitterand, Sarkozy, Hollande 

    TOUS RESPONSABLES ET COUPABLES !

    TOUS CES PRÉSIDENTS D'UN SYSTÈME POURRI

    QUI AGIT CONTRE LA FRANCE ET LES FRANÇAIS,

    CONTRE NOTRE SÉCURITÉ PERSONNELLE,

    CELLE DES BIENS ET DES PERSONNES !

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    5. Un vent mauvais souffle - quelle excellente nouvelle !!!!! - du côté de l'éolien : l'horreur et la folie éolienne ont un nouvel adversaire, plus redoutable et puissant que tous ceux qu'elles ont rencontré jusqu'ici...

    "La dégradation due au vieillissement accéléré et imprévu des #éoliennes coûte 300 millions d'euros aux #PromoteursEoliens du #Danemark ! Tout va bien : continuons à multiplier ces machines super fiables en France"

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    2.1 billion DKK lost in the Danish wind industry due to curtailment and age-related performance degradation of the wind fleet.

     

    6. Une soi-disant "professeur" à virer d'urgence de l'Enseignement :

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    Cliquez sur l'image pour l'agrandir et utilisez le zoom...

    1. D'abord il ne doit et il ne peut y avoir de "Ministère de l'Éducation nationale" : l'éducation est l'affaire des Parents, et des Régimes totalitaires qui broient les Hommes (Hitler, Staline, Pol Pot, Mao, Ho Chi Minh et tous les enfants de Robespierre...);

    2. Il faut renommer le Ministère Ministère de l'Instruction publique ou, si l'on juge le terme un peu surrané, Ministère de l'Enseignement;

    3. Le rôle de ce Ministère est simplement - mais c'est énorme, c'est fondamental, c'est à la base de tout - de diffuser les savoirs, ou veiller à la correcte diffusion de ces savoirs dans les écoles 'libres"; en commençant par le commencement : lire, écrire, compter...

    Or, le Système a tué l'École (la pire décisison : le décret Haby/Chirac sur le Collège unique en 75)

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    7. Des écolos bobos/gauchos/trotskos (on les sait pro-migrants) ont bloqué une autoroute en s'asseyant sur les voies; ils se sont fait dégager, "vite fait/bien fait", et manu militari, notamment par deux ou trois noirs bien musclés qui, eux, n'ont pas hésité à "fare le boulot", bien proprement, bien comme il faut et surtout "bien efficacement" (si on nous permet la formule !) : réaction de Jean Messiha, qui nous permet de finir cette série d'aujourd'hui et de commencer la semaine avec un bon moment de franche rigolade...

    (extrait vidéo 0'30)

    https://twitter.com/Chancla_Div/status/1586323255316692992?s=20&t=ZRB20rUA28QK4RFHrRMe_w

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    À DEMAIN !

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