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  • 6 Mai 1758: 250ème anniversaire de la naissance de Robespierre...

              A vrai dire, nous n'en aurions pas parlé, Maximilien n'étant pas vraiment notre tasse de thé. Mais deux journalistes de France Info ont cru bon d'évoquer cette date à l'antenne le 8 (pourquoi ce décalage de deux jours ?...). L'essentiel du commentaire était très nettement "négatif" pour le personnage, dont on a quand même dit malgré tout qu'il était un "révolutionnaire humaniste, certes...".

              Bon, si cela leur fait plaisir aux deux journalistes, ils peuvent toujours le dire: on a l'humanisme et les humanistes qu'on peut !... Qui a dit "Le papier souffre tout" ? Il semble que l'antenne aussi...

              Ce bref sujet nous a surtout remis en mémoire les lignes bien senties écrites "au sujet d'eux" par Chateaubriand, témoin oculaire des atrocités de la révolution (1). Il a eu tout le loisir de voir, en direct, "l'humanisme" du personnage et des siens, mieux que nos deux journalistes qui pérorent sur France info..... Place donc au témoin oculaire :

              "...Tandis que la tragédie rougissait les rues, la bergerie florissait au théâtre; il n'était question que d'innocents pasteurs et de virginales pastourelles: champs, ruisseaux, prairies, moutons, colombes, âges d'or sous le chaume, revivaient aux soupirs du pipeau devant les roucoulants Tircis et les naïves tricoteuses qui sortaient du spectacle de la guillotine. Si Sanson en avait eu le temps, il aurait joué le rôle de Colin, et mademoiselle Théroigne de Méricourt, celui de Babet. Les Conventionnels se piquaient d'être les plus bénins des hommes : bons pères, bons fils, bons maris, ils menaient promener les petits enfants; ils leur servaient de nourrices; ils pleuraient de tendresse à leurs simples jeux; ils prenaient doucement dans leurs bras ces petits agneaux, afin de leur montrer le dada des charrettes qui conduisaient les victimes au supplice. Ils chantaient la nature, la paix, la pitié, la bienfaisance, la candeur, les vertus domestiques; ces béats de philanthropie faisaient couper le cou à leurs voisins avec une extrême sensibilité, pour le plus grand bonheur de l'espèce humaine...".

              Révolutionnaire(s) humaniste(s), certes ?...

    (1): Mémoires d'Outre Tombe, La Pléiade, Tome I, page 292.

  • A propos des ravages de la consommation...

              .....voici quelques extraits de l'éditorial de Marie-Joëlle Guillaume, dans Famille Chrétienne du 9 Août (n° 1595). Il s'intitule, justement, Les ravages de la consommation.L'éditorialiste y fait preuve, comme d'habitude, d'un bon sens et d'une profondeur qui ne sont pas sans rappeler assez souvent la grande sagesse de Gustave Thibon.....  

              « …..La question des droits de l’homme, qui nous obsède, est un faux nez : c’est l’attitude entière de la Chine en développement qui pose un problème de fond. Consumériste, pollueur, l’éveil de la Chine sortant du communisme coïncide avec la montée des inquiétudes quant au destin de la planète, mise en danger par l’exploitation effrénée de ses ressources. Nous sommes tentés de faire la morale aux chinois.

              Sommes-nous crédibles ? La Chine n’est jamais que le miroir grossissant des tares et des folies de la consommation moderne. Pourquoi le pillage éhonté des ressources naturelles apparaît-il aux pays émergents comme le nec plus ultra de l’art de vivre, sinon parce que l’Occident développé en a fait une idole ? Sommes-nous prêts à nous libérer de cette frénésie de consommation qui nous pousse à posséder toujours plus, jusqu’à déboucher sur le rien ? Bien sûr, il y a les produits bio, le souci de l’écologie, la volonté de « sauver la planète ». Mais jusqu’à quel point ces orientations marquent-elles une conversion de l’esprit et du cœur ?

              A Sydney, le Pape n’a pas parlé de  « sauver la planète », mais de respecter et servir la beauté de la Création.  Il y a là plus qu’une nuance…..

             …..Sans un retournement spirituel et moral, il est à craindre que l’écologie même soit récupérée par la consommation….. »

  • L'exemple -un de plus...- par ”Pierrot le Fou”.....

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              Le multirécidiviste Pierre Bodein, condamné en première instance en juillet 2007 à la prison à vie pour trois meurtres, sera rejugé en appel du 9 septembre au 3 octobre devant la cour d'assises du Haut-Rhin, a-t-on appris le 9 avril de source judiciaire à Colmar.

              Pierre Bodein, surnommé "Pierrot le fou", avait été condamné par la cour d'assises du Bas-Rhin à la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d'une période de sûreté de 30 ans, pour les meurtres commis avec une extrême violence de Jeanne-Marie, 10 ans, Julie, 14 ans, et Hedwige Vallée, 38 ans, en juin 2004, trois mois après sa sortie de prison.

             Les corps des victimes avaient été retrouvés dans des rivières proches, partiellement dénudés et horriblement mutilés au niveau du bas-ventre.

             Âgé aujourd'hui de 60 ans, Pierre Bodein a été décrit par les experts comme un prédateur pervers. Il a passé plus de la moitié de sa vie en prison ou dans des hôpitaux psychiatriques.

            Comme nous l'avons déjà dit (1), le problème ne se poserait pas si, en France, on appliquait vraiment la réclusion criminelle à perpétuité. Cela se fait dans d'autres pays européens. Maintenant que la peine de mort a été supprimée, on ne voit guère en effet que deux possibilités assurées pour éviter la récidive. Soit la "perpétuité vraie", soit alors le maintien en milieu surveillé (qui reste à définir...) une fois la peine purgée, comme le propose le projet Dati. 

            On ne peut que constater que, depuis l'abolition de 1981, le problème n'est toujours pas réglé au fond. Et que si un condamné "à perpète" faisait vraiment "perpète", on n'en serait pas réduit à imaginer des solutions pour éviter la récidive ! CQFD.....

            (1): voir les notes de la Catégorie "Justice".

  • Nouvelles du Blog: de la semaine écoulée à celle qui vient...

                Voici ce que vous trouverez cette semaine dans votre Blog préféré (sous réserve de modifications de dernière minute, imposées par l'actualité).

    • Notes longues : 
    • Dimanche : Le Prince Jean à Rome pour l'ouverture de l'année Henri IV....
    • Lundi : Les deux derniers clips vidéos des Rassemblements Royalistes de Provence.
    • Mardi : Geneviève de Fontenay, la "pro diversité"" qui travaille "contre" la diversité: chapeau !
    • Mercredi : Deux députés contre la Halde et contre Resf (1/2).
    • Jeudi : Deux députés contre la Halde et contre Resf (2/2).
    • Vendredi :  Pas de note: JOYEUX NOËL, à la Crèche ! 
    • Samedi : Nouvelles du blog...  
    •  Notes courtes :
    • Dimanche: Le sourire du dimanche ( Père Noël et diversité...).
    • Lundi: Précisions de Jean-Paul Gourévitch...
    • Mardi: Il a été le premier à les dénoncer: 1793, Romain de Sèze pointe l'absence d'humanité des révolutionnaires....
    • Mercredi: Prêt à affronter les défis, le Prince Jean....
    • Jeudi: Max Gallo et l'identité nationale
    • Vendredi: Pas de note, c'est Noël !....
    • Samedi: du Québec...

    ·       Dimanche : Napoléon vend la Louisiane aux Etats-Unis.

    ·       Lundi  : Naissance de Jean Racine. Découverte du radium par Pierre et Marie Curie. Début de la Bande à Bonnot.

    ·       Mardi : Mort de Sully. Séance inaugurale de l'Académie des Sciences. Naissance de Camille Guérin.

    ·       Mercredi : La Bourgogne et la Picardie deviennent françaises. Assassinat du duc de Guise. Naissance: Jean-François Champollion.

    ·       Jeudi : Anatole France est reçu à l'Académie française. Louis Renault construit sa première automobile. Naissance de la fusée Ariane.

    ·       Vendredi : Baptême de Clovis. Sacre de Charlemagne. Guillaume le Conquérant devient roi d'Angleterre. Décès: Jean de Joinville.

    ·       Samedi : Première de L'École des femmes. Stendhal termine La chartreuse de Parme. Plaidoirie de De Sèze. Grande tempête de 1999.

  • Le grain de sel de Scipion : Marine criminelle !

    scipion.jpgDans un précédent billet, je vous ai parlé de « Sébastien », ce jeune délinquant ainsi rebaptisé par FR 3 pour éviter de donner son véritable nom, à consonance musulmane. Eh bien, ce « Sébastien » semble avoir maintenant une petite sœur, « Marine », comme l’aurait affirmé Le Parisien. L’ennui, c’est que la « Marine » en question a, elle aussi, un prénom musulman et n’est autre que la personne qui, il y a quelques semaines, a poussé sur les rails du RER-D la jeune Jessica. Cette dernière a eu les deux jambes sectionnées. Cette fois, le choix du prénom français de la criminelle n’est sans doute pas innocent. Gageons que le prochain malfrat sera prénommé  pour l’occasion Jean-Marie…et pourquoi pas Prince Jean, tant qu’on y est !

    Cette manie de nos médias semble avoir aussi atteint le Monde qui, lui, a fait dans l’exotisme en attribuant à un « jeune » délinquant le prénom de Wladimir ! Il faudrait pourtant rendre à César ce qui est à Jules. Mais nos  serpents à plume (ou à bille) ne doivent pas savoir que le mot assassin vient de l’arabe haschischin dont le Littré donne la définition suivante : Sectaires de Palestine consommateurs de Hachisch.  Voilà qui ne va pas plaire à  nos grands journalistes, ni à Peillon, ni aux écolos et autres xénophiles exacerbés !

                                                                                                                              

  • Pour l'histoire : Hartwell House Le souvenir des lys

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    Ou comment revivre l'exil de Louis XVIII au coeur du Buckinghamshire…

    C'est aujourd'hui le seul palais royal français où il est possible de séjourner… A une heure de Londres, au coeur d'une campagne so picturesque - les Rothschild anglais possèdent encore un vaste domaine à un coup de fusil, Hartwell House fut de 1809 à 1814 la résidence de Louis XVIII, de sa cour, du poulailler royal et d'un potager sur les toits de la maison. Que l'on ne s'y méprenne pas : cette élégante bâtisse XVIIe siècle fut toujours envisagée par le frère de Louis XVI comme un « palais », à la manière dont les Bourbons le concevaient entre salle des gardes, antichambre des nobles, chambre d'apparat : le lieu où séjournait le roi ne pouvait être qu'affirmation de légitimité.

    La bibliothèque garde encore le souvenir de ce moment où Louis XVIII appris officiellement qu'il pouvait « renouer la chaîne des temps » en regagnant le trône de ses ancêtres. Alors que l'enfilade des salons XVIIIe aux tapisseries très Gobelins rappellent le caractère « royal du lieu ». Demeure qu'aux tabourets très Versailles d'avant 1789 ont succédé de profonds canapés et que le high tea a pris la place du Grand Couvert, version exil. Sans doute quelques mordus réservent encore la chambre où mourut Marie-Josèphe de Savoie, épouse du prétendant et tribade la plus célèbre de son temps… Demeure aussi que, propriété du National trust, ce bout de France légitimiste est devenu désormais l'acmé de la résidence de campagne aristocratique anglaise où l'on privilégie désormais le confort et le bien-être (un spa avec piscine un rien kitsch se camoufle dans les communs). Sans le céder à l'apparat, butler sorti de « Downton Abbey » aidant.  ♦

    Gilles Denis

    www.hartwell-house.com, à partir de 200 euros. 

    Source : Les échos - Gilles Denis

  • Famille de France • Le Prince Jean de France poursuit son engagement en faveur des chrétiens d’Orient

     

    Le Prince Jean de France invité par Mgr Rey à une soirée artistique en faveur des chrétiens de Syrie

    Parmi les engagements publics chers au prince Jean figure la défense des chrétiens persécutés en Orient, notamment en Syrie où il s’est rendu en avril 2016. Ce voyage était organisé à l’invitation de l’évêque de Fréjus-Toulon, Mgr Dominique Rey, qui a rassemblé autour de lui plusieurs personnalités : parlementaires, journalistes et intellectuels désireux de découvrir la situation des chrétiens syriens et de leur témoigner leur soutien.

    Ce soutien continue à se manifester en France par de nombreuses initiatives. Ainsi, le 2 mars dernier s’est déroulé une soirée artistique en présence du Prince Jean à Paris. Cette soirée était présentée par la grande actrice Marie-Christine Barrault et elle a vu s’enchaîner diverses présentations musicales et poétiques. Du gospel dynamique avec le groupe Family One qui a fait danser toute l’assistance, des jeunes prodiges du Hip hop, du chant lyrique, un duo piano et violoncelle lauréat du conservatoire de Paris et l’immense Michael Lonsdale qui est une connaissance  du Prince. En effet, l’interprète du frère Luc dans Des hommes et des dieux était venu lire des textes poétiques à la Chapelle Royale sur le domaine de Dreux il y a quelques mois.

    Michael Lonsdale, entouré de jeunes comédiens a rendu sensible la maxime de Dostoïevski « La beauté sauvera le monde ». Il n’est pas vain de se rassembler dans un moment artistique pour célébrer notre communion de coeur avec les chrétiens persécutés et spécialement ceux qui vivent à Alep. Le nom de chaque participant a été attaché à un large rosaire qui sera remis au mois d’avril par Mgr Rey à l’archevêque de Homs, Mgr Jean-Abdo Arbach.

     

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    En 1535, le roi François Ier s’engageait au nom de la France à protéger les Chrétiens d’Orient et cette responsabilité nous incombe à tous aujourd’hui. Le prince Jean, héritier de cette promesse, souhaite aujourd’hui exprimer par ses voyages auprès des responsables civils et religieux au Liban et en Syrie l’attachement du peuple français à la présence chrétienne sur les terres des premières églises. Il s’associe à l’évêque de Toulon pour appeler tous les Français à soutenir matériellement les associations qui oeuvrent en Irak, au Liban et en Syrie.  

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     Source : Le site officiel du Prince Jean de France [Cliquer ci-dessus]

  • Médias & Idées • Où « Le Monde » expose sur une pleine pagne signée Jean Birnbaum que « Boutang reprend le pouvoir »  

    Le Monde du 1.04.2017, p. 7, avec photo de Pierre Boutang, vers 1955  [Jean-Marie Marcel]
     
     
    auton10-869de.jpgCe long et intéressant article, bourré de faits, de noms, de citations puisées à différents livres de et sur Pierre Boutang, mérite l'attention et appellera sinon une réponse du moins différentes observations et réflexions de la part de ceux, dont nous sommes, qui, d'une manière ou d'une autre, se situent dans le sillage, la filiation directe de Pierre Boutang et, somme toute, appartiennent à la même école que lui, fût-ce de façon plus ou moins libre, plus ou moins proche. Mais l'auteur de l'article a raison d'écrire que la vraie fidélité de Boutang à Maurras fut toujours empreinte de liberté.        
     
    Si, selon Jean Birnbaum, Boutang reprend le pouvoir, c'est évidemment au sens de son livre de 1977 réédité l'an dernier, ce qui signifie, pour ce qui est de sa pensée et de son œuvre, un retour en force de son influence, dans le cercle de ses amis, de ses disciples et de ses successeurs, mais aussi bien au delà, au cœur de la politique et, au sens maurrassien, de l'intelligence françaises, ce que l'article signale à différentes occasions.
     
    Nous aurons certainement à discuter plusieurs des interprétations assez personnelles que Jean Birnbaum livre sur la pensée, l'œuvre, l'action, la vie de Pierre Boutang. Certaines d'entre elles sont contredites ou nuancées par différents articles parus dans le numéro spécial que La Nouvelle Revue Universelle a consacré à Boutang à l'automne dernier à l'occasion du centenaire de sa naissance.
     
    Ce grand article - d'ailleurs repris le même jour dans l'édition numérique du Monde - n'appelle toutefois nulle polémique, plutôt un débat, et quelle qu'en soit la forme, nous aurons, après l'avoir simplement signalé aujourd'hui comme important, à y revenir prochainement. Et, sans-doute, à le publier. 
     
    Lafautearousseau
  • Famille de France • Mariage à Vienne de Magdalena de Tornos, soeur de la Princesse Philomena

    La magnifique église baroque des Piaristes, 

     

    Par Francesca

     

    Toute la famille du Prince Jean et de la Princesse Philomena était réunie ce samedi 26 août à Vienne pour assister au mariage de la très charmante Magdalena de Tornos, soeur de la Princesse, avec le Comte Jean d'Haussonville.

    Ni les voûtes de la magnifique église baroque des Piaristes, ni l'élégante assemblée n'ont éclipsé notre famille royale.

    Le Prince Gaston, en culottes autrichiennes ouvrait la marche, plein de gravité, devant la mariée suivie de son cortège d'honneur en partie composé des Princesses Antoinette et Louise-Marguerite ; toutes nos princesses (mère et filles) étaient en tenue traditionnelle . La journée s'est déroulée dans la douceur viennoise et s'est terminée, tradition oblige, par un bal où nos princes  ont montré autant de talent pour les valses, que pour le rocks ou... les quadrilles.

    Sous les hauts plafonds et les lambris du Palais Auersperg où se déroulait la soirée, on retrouvait la joie de vivre et l'élégante simplicité de la vieille Europe, celle que nous aimons, la vraie, la nôtre.

    « Bien des choses renaîtront que l'on croyait mortes » disait Horace.  

     

    Le mariage en quelques très belles images 

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    Entrée dans l’église de Magdalena de Tornos au bras de son frère David de Tornos

    Devant eux, le prince Gaston de France, portant les anneaux 

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    Entrée dans l’église du marié le comte Jean d’Haussonville 

    au bras de sa mère la comtesse d’Haussonville

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    La princesse Philomena donnant la main à sa fille, la princesse Louise-Marguerite

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    La princesse Philomena et la princesse Marie de France, soeur du prince Jean

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    Les époux : Magdalena de Tornos et le comte Jean d'Haussonville

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    Magdalena de Tornos et sa soeur, la princesse Philomena

  • THEATRE • Paris : Dernières soirées pour « Les vignes du Seigneur » !

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    Une jeune troupe remet à l’honneur la pièce de Robert de Flers, rendue célèbre par Fernandel. Un très bon moment de théâtre dans la plus belle tradition du Vaudeville. 

    Une mère de famille presque bourgeoise qui voudrait bien marier ses filles, un monsieur de Kardec qui est presque comte, un ancien ivrogne qui revient des Indes où il a cessé de boire, enfin presque, un anglais qui comprend (presque) le français, deux sœurs, Yvonne et Gisèle, l’une pétulante l’autre désabusée, et même une vieille tante (veuve d’un médecin militaire) : voilà les personnages hauts en couleurs que l’on croise dans Les vignes du Seigneur pièce qui, contrairement à ce que laisse penser son titre, n’a rien de catholique mais tout du vaudeville. 

    Ecrite par Robert de Flers, le maître du genre, avec l’aide du romancier Francis de Croisset, jouée pour la première fois au Théâtre du gymnase en janvier 1923, la pièce a été adaptée au cinéma à la fin des années 1950, avec Fernandel dans le rôle d’Henri Lévrier, l’ivrogne repenti qui avoue qu’il a bu pour cesser d’aimer Gisèle. Elle est reprise aujourd’hui à l’Auguste théâtre par une jeune troupe épatante, avec Priscilla Caroni et Julien Bonnet à la mise en scène.  

    Les personnages sont bien campés, les mots d’esprit fusent (et rappellent qu’il fut un temps où le théâtre populaire se souciait du texte) les scènes se suivent sans temps mort et dans une cocasserie grandissante. On rit souvent et, le scénario évitant le simple triptyque mari – femme – amant, on attend aussi avec jubilation que se dénouent les nœuds charmants de cette comédie de mœurs. Et en plus tout finit bien (ou presque) ! A ne pas manquer, d’autant que la petitesse du lieu offre une vraie proximité avec les acteurs.  

    L’Auguste théâtre, 6, impasse Lamier, Paris 11e (métro Philippe-Auguste). 

    Séances : Samedi 24 et 31 janvier. 21h. Prolongations possibles en février. 

    http://www.billetreduc.com/127407/evt.htm

     

    Source : valeursactuelles.com

  • Entretien Michel Houellebecq - Ruth Elkrief : Découvrez les passages qui intéressent les royalistes que nous sommes ...

     

     

    Michel Houellebecq a dit en effet des choses importantes dans son entretien avec Ruth Elkrief, mercredi soir, sur BFM TV.

    C'est ce que nous avons écrit hier et c'est pourquoi nous vous proposons d'écouter aujourd'hui les enregistrements vidéo (1 et 2) de cet entretien où plusieurs passages doivent intéresser les royalistes que nous sommes. Il nous semble superfétatoire de les signaler ou de les citer. Chacun saura les découvrir, les discerner.

    L'on pourra contester l'importance des dits propos, nous représenter - ce que nous savons déjà ! - que Houellebecq n'est pas royaliste, qu'il se dit de gauche, que son engouement pour Podemos est farfelu; on critiquera son amitié pour Bernard Maris, son élocution, son allure, sa vie personnelle, etc. Il n'empêche : un certain nombre de ses propos - qui semblent importants pour lui car il les répète et les redit sur toutes les chaînes - sont authentiquement, si l'on nous passe ces mots, réactionnaires ou contre-révolutionnaires. 

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    Qu'un mouvement de réaction se dessine depuis quelques temps dans notre pays, qu'il y ait, comme le prétend Philippe de Villiers, « des signes d'un sursaut , des gens qui bougent ; des voix qui s’élèvent et qui parlent de plus en plus fort », nous paraît une évidence. Et Michel Houellebecq, dans son style, à sa manière, dans la tonalité particulière qui est la sienne, avec ses incohérences, est sans doute de ceux-là. Il ajoute sa voix à la leur et ce n'est certainement pas sans importance. Ce ne devrait pas être indifférent en particulier aux maurrassiens, lecteurs de l'Avenir de l'intelligence.  

    L'on pourra se reporter aussi à l'excellent article de Léo Pougnet que nous avons publié vendredi dernier, 23 janvier.   Lafautearousseau

     

  • Stars déçues, par Claude Wallaert

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    François Hollande, parvenu à mi-mandat, est au plus bas dans les sondages, tout le monde le sait, même les stars de la chanson, du cinéma, et autres particularités culturelles de notre joyeuse époque.

    Or, certains de ces amuseurs publics, ont depuis de nombreuses années, la manie de déclarer urbi et orbi leurs préférences politiques, et plus particulièrement de proclamer lors des élections présidentielles leur prétendu attachement à tel ou tel candidat ; et, non contents de ces déclarations en marge de leur domaine de compétence, ils se montrent dans les meetings, se font photographier aux côtés de la vedette politique du moment, arborant larges sourires et débitant des petites phrases révérencieuses teintées d’idéologie de comptoir. Ainsi de Yannick Noah, la raquette chantante parfumée de cannabis, de Johnny Halliday, l’ « inoxydable » idole des jeunes, de Jean-Marie Bigard, l’amuseur pour après boire chargé, de Laurent Ruquier, le collégien qui joue au proviseur, etc…

    Or, patatras, les candidats de leur choix, après l’ivresse des célébrations hurleuses, l’euphorie de la victoire, accèdent aux responsabilités suprêmes ! Et, inexplicablement, le brillant savoir-faire qu’ils avaient démontré dans les sentiers tortueux de la montée au pouvoir semble brutalement leur faire défaut au moment de l’exercer ! Emberlificotés dans leurs réseaux, leurs arrangements, leurs promesses déclarées ou secrètes, ils sont frappés d’une étrange impuissance ! Leur popularité piétine, puis régresse, voire s’effondre, et voilà nos petits héros de l’audimat bien ennuyés : leur investissement ne rapporte rien, bien pire, leur popularité personnelle s’écorne, leurs profits sont menacés ! Alors, que faire ? C’est bien simple, il faut se re-pen-tir ! C’est ce qu’ont fait, à gauche ou à droite, le pauvre Yannick, qui avoue piteusement « que le compte n’y est pas », le petit Laurent, qui en a oublié de gominer sa brosse blonde, le désopilant Roger Hanin, l’éternel « beauf », ou encore tel chanteur dont j’ai oublié le nom, dépité d’avoir été, selon ses propres mots, l’« arabe de service » de Sarkozy, ce qui a réduit dramatiquement son contingent de groupies payeuses.

    Vraiment, la vie est parfois dure pour nos stars d’argent sinon de talent !   u

     

    Source : Site de Politique magazine - par 3 octobre 2014

     

  • CINEMA : L’homme qui ébranla le rideau de fer ♦ Par Laurent Dandrieu *

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    Robert Wieckiewicz, un Lech Walesa très humain. © PRODUCTION

    Passionnant. Avec “l’Homme du peuple”, Andrzej Wajda clôt la trilogie consacrée à la résistance du peuple polonais au communisme par un magnifique hommage au “tombeur” de ce dernier, Lech Walesa. 

    L’Homme du peuple d'Andrzej Wajda

    Électricien aux chantiers navals de Gdansk, Lech Walesa (Robert Wieckiewicz) s’éveille à l’activisme lors des grèves de 1970. Soutenu avec angoisse par sa femme Danuta (Agnieszka Grochowska), il ne va cesser dès lors de connaître arrestations et licenciements. Unanimement reconnu pour son courage et ses dons d’orateur, il s’impose comme leader lors de la grève des chantiers Lénine de l’été 1980, puis comme chef de file du premier syndicat indépendant, Solidarnosc…

    En 1977, avec l’Homme de marbre, Andrzej Wajda se penchait sur les prémices de la révolte ouvrière en Pologne, puis en 1981, avec l’Homme de fer, brossait à chaud un tableau de la naissance de Solidarnosc. Dans ce deuxième film, Lech Walesa jouait son propre rôle, à travers des images d’archives mais aussi dans des scènes de fiction, comme celle où on le voyait servir de témoin au mariage des héros.

    Aujourd’hui, pour cet hommage que Wajda a voulu rendre au tombeur du communisme, c’est à travers le même mélange de réalisme documentaire et de fiction que le cinéaste ressuscite cet itinéraire étonnant qui a conduit un petit électricien à défier un régime qui semblait inébranlable, à recevoir le prix Nobel de la paix puis à être reçu aux Nations unies comme héraut du monde libre. Si tout est passionnant dans ce récit, c’est dans le portrait du Walesa intime que Wajda touche et surprend le plus. Décrites avec infiniment de vivacité et de justesse, les scènes entre Lech et Danuta, toujours écartelée entre l’admiration pour le combat de son mari et la peur de le perdre, montrent peut-être plus encore que les scènes plus militantes le courage de ce père de famille nombreuse qui aurait eu tant de raisons de préférer la prudence. Superbement incarné par Robert Wieckiewicz, bien épaulé par Agnieszka Grochowska, Walesa y gagne une humanité touchante qui, malgré l’admiration manifeste et sans bornes que lui voue indubitablement Wajda, le fait échapper à la figure de saint de vitrail.  ♦

  • SOCIETE • En Roumanie, train royal & grandes foules : La France est une exception européenne ...

    (Copyright photos : blog du prince Radu de Roumanie)

     

    Les photos parlent d’elles-mêmes : les haltes du train royal lors de la Fête nationale roumaine, ont attiré les grandes foules pour saluer la princesse Margareta, le prince Radu et la princesse Marie. Le roi Michel (94 ans) qui vit désormais en Suisse, est aujourd'hui une personnalité très respectée dans son pays.

    Mais la Roumanie n'est pas une exception en Europe. C'est bien la France qui en est une. Les familles anciennement régnantes sont honorées, fêtées, associées es qualités à la vie nationale, chez tous nos voisins européens. Dans bien des  cas, elles ont un statut officiel ou quasi officiel, elles remplissent une fonction utile à leur pays, elles ont au moins la jouissance d'une ou plusieurs résidences officielles ... Les plus hautes autorités politiques se joignent souvent à elles lors d'événement familiaux. Portugal, Italie, Autriche, Serbie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie, d'autres encore, sont dans ce cas. Dans certains pays, cela peut concerner plusieurs familles anciennement régnantes, comme en Allemagne ou en Italie. Quant à la Russie, elle réserve les plus grands égards aux descendants des Romanov. 

    Tous ces Etats n'ont pas rompu avec leur histoire; ils n'ont pas renié leur passé, ni leur identité. C'est pourquoi les familles qui les ont fondés, les ont dirigés y ont une place reconnue. Et leur cohésion, leur fierté nationale, leur tradition, s'en trouvent renforcées pour le présent et l'avenir.

    La France fait exception parce que la doxa officielle impose l'idée qu'elle se réduit à la République et qu'elle commence avec elle. C'est à dire avec la Révolution et toutes ses suites. Cette culture de l'oubli et de la négation est naturellement un facteur important d'affaiblissement du sentiment national. A l'inverse de nombreux Français, la France officielle - sauf exceptions heureuses, toujours limitées - ignore à peu près complètement les descendants actuels de notre dynastie nationale.  

    Et c'est aussi une des raisons pour lesquelles la République française ne peut pas être considérée comme un régime ordinaire, semblable à ses homologues européens, ni pleinement légitime. Lafautearousseau 

     

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    Photos reprises du site Noblesse et royautés.

  • Régionales • Quand Estrosi voulait gouverner la région Paca avec le Front national

    Christian Estrosi discute avec l'élu FN Gérard de Gubernatis, au conseil régional de Paca, le 20 mars 1998, à Marseille. (GEORGES GOBET / AFP)

     

    par Orange News & France TV - Textes d'Ilan Caro

    On sera amusé, intéressé, pas vraiment étonné, de lire ce qui suit en cette veille du second tour des régionales. Les photos ne sont pas mal non plus.  LFAR

    "Résistance." C'est le slogan que Christian Estrosi a choisi pour le deuxième tour des élections régionales, qui l'opposera dimanche 13 décembre à Marion Maréchal-Le Pen, la tête de liste du Front national. "On a beaucoup réfléchi, et nous nous sommes finalement dit que les valeurs du Conseil national de la Résistance, qui sont nos valeurs, nous permettraient de rassembler. Quand on prend le maquis, on n'est ni de gauche, ni de droite", explique le candidat dans La Provence. "Je ne supporte pas le FN, qui est l'héritage du pétainisme", insiste-t-il lors d'un déplacement de campagne, près de Marseille.

    Le 20 mars 1998, un jour que la droite locale n'a pas oublié

    Pourtant, face au Front national, le maire de Nice n'a pas toujours été aussi intransigeant. En Provence-Alpes-Côte d'Azur, les mémoires se souviennent d'un épisode qui a profondément marqué la droite locale. Vendredi 20 mars 1998 : le conseil régional nouvellement élu désigne son président. Les socialistes ne disposent dans l'hémicycle que d'une majorité relative (49 sièges, contre 37 pour l'UDF-RPR et 37 pour le FN).

    Sans surprise, les trois camps font chacun le plein de leurs voix lors des deux premiers tours de scrutin. Mais par la suite, rien ne se passe comme prévu. L'ambiance est houleuse et la droite se déchire. Son leader, le président de l'UDF et député varois François Léotard, est mis en minorité par son propre groupe sur la stratégie à suivre. Lors d'une interruption de séance, "21 élus sur 37 se prononcent en faveur de la ligne défendue par Christian Estrosi : conclure un accord avec le Front national pour barrer la route à la gauche", se souvient pour francetv info le journaliste Michel Henry, qui avait couvert cette élection pour Libération.

    De retour dans l'hémicycle, Christian Estrosi prend la parole pour demander une énième suspension de séance, "cette fois jusqu'à lundi". Une suspension aussitôt accordée par le doyen d'âge qui préside la séance, un élu FN... La décision provoque alors la fureur du groupe des seize "résistants", piloté par François Léotard. Ce dernier, "dans une rage froide, jette à Christian Estrosi : 'Sors avec tes amis'", écrit le journaliste Michel Samson dans Le Monde. Jean-Pierre Giran, cité à l'époque par Libération, évoque "la fragilité mentale" des 21 "collabos" emmenés par Christian Estrosi. Interrogé par francetv info, Jean-Pierre Giran, aujourd'hui député-maire d'Hyères (Var), n'a pas souhaité s'exprimer de nouveau sur cette passe d'armes. 

    "C'était très brutal entre les deux clans. Les manœuvres d'Estrosi avec Le Pen et Mégret apparaissaient au grand jour. Et nous, nous observions ça en spectateurs", relate Robert Alfonsi. Le week-end passe, les tractations se poursuivent en coulisses. Et les pressions de Paris s'accentuent contre un accord avec le FN. Le lundi 23, les élus se retrouvent au conseil régional pour le troisième tour de scrutin. A droite, les partisans d'un accord avec le FN présentent la candidature de Gilbert Stellardo. Un adjoint au maire de Nice, Jacques Peyrat, lequel vient de quitter le Front national. Mais sur les 21 élus favorables à un accord avec le FN, seuls neuf se portent sur son nom. "C'est François Léotard qui a réussi à déjouer l'opération à la dernière minute, se rappelle Robert Alfonsi. C'est grâce à lui si Michel Vauzelle a fini par être élu."

    "L'accord était bouclé"

    Ancien maire FN de Toulon et élu à la région en 1998, Jean-Marie Le Chevallier donne une version différente : "L'accord était bouclé. Je devais prendre la présidence de la région et Estrosi aurait naturellement été l'un de mes vice-présidents", dit-il à francetv info, confirmant une confidence faite aux journalistes Dominique Albertini et David Doucet, dans leur ouvrage Histoire du Front national. Interrogé par francetv info, Jean-Marie Le Pen précise s'être finalement opposé à ce qu'un élu FN autre que lui préside cette assemblée. C'est le maintien de la candidature de l'épouvantail Le Pen, au troisième tour, qui aurait définitivement enterré l'accord droite-FN.

    L'équipe de campagne de Christian Estrosi conteste auprès de francetv info l'une comme l'autre des versions, assurant que le maire de Nice a "démontré, tout au long de sa carrière politique, qu'il a toujours combattu la famille Le Pen". "Lors de cette élection de 1998, il n'y avait que deux ou trois élus de notre groupe qui écoutaient les sirènes du FN", jure Bernard Deflesselles, conseiller régional depuis 1992, et membre de la campagne 2015 de Christian Estrosi. Un récit bien éloigné de celui unanimement relayé par la presse de l'époque.  

    Pour tenter de prouver sa bonne foi, et avant même la publication de cet article, l'équipe de campagne de Christian Estrosi est allée jusqu'à demander à plusieurs élus socialistes de contacter la rédaction de francetvinfo. Y compris le premier d'entre eux, Michel Vauzelle. Le président socialiste sortant de la région confirme qu'"au départ, Estrosi faisait partie du groupe qui voulait s'allier au FN". Mais à en croire Vauzelle, il aurait "très vite quitté ce groupe, le samedi, pour se ranger derrière François Léotard"

    Comment le Christian Estrosi de 1998, tenté – au moins un moment – par un rapprochement avec le FN, est-il devenu, en 2015, le "résistant" face à Marion Maréchal-Le Pen ? "A l'époque, la droite avait la certitude qu'elle pouvait étouffer le Front national en nouant des alliances ponctuelles permettant de débaucher tel ou tel. Il ne faut pas oublier que de 1986 à 1992, Jean-Claude Gaudin avait présidé la région avec des élus Front national dans son exécutif", rappelle Michel Henry.

    Dans son ouvrage La Guerre des droites, l'historien Mathias Bernard explique que les régionales de 1998 "ont provoqué une prise de conscience" de la part des dirigeants modérés : "De rivale, l'extrême droite devient progressivement un adversaire politique."

    Le FN ressort des archives gênantes pour Estrosi

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    Dans la dernière ligne droite de la campagne, celui qui tente d'apparaître comme le dernier rempart face au FN doit faire face à l'apparition sur les réseaux sociaux d'une photo le montrant au côté de Jean-Marie Le Pen. "La photo date de 1993, entre les deux tours des législatives. Elle appartient à la collection personnelle d'un proche de Jean-Marie Le Pen aujourd'hui décédé", croit savoir le frontiste Louis Aliot, qui a relayé le cliché, interrogé par francetv info.

    Impossible en revanche de savoir où et dans quelles circonstances cette scène a été immortalisée. Si elle vient brouiller la communication du résistant Estrosi, l'image ne prouve rien quant à une éventuelle proximité avec le leader historique du FN. L'entourage de Christian Estrosi assure que "cette photo avait été prise en marge d'un débat télévisé, qui avait d'ailleurs été très violent". Un débat dont nous n'avons pas retrouvé trace.