Sur le site officiel de l'Action française, Dieu, que la pandémie est jolie, l’éditorial de François Marcilhac.
LE JOUR D’APRÈS est un de ces films américains, mêlant, comme souvent, catastrophe et science-fiction, l’avenir, surtout inventé, n’étant plus depuis longtemps aux jours radieux. Le film est de 2004. Il avait été assez amusant, en 2007, de voir Sarkozy qui, pourtant, devait s’y connaître en films américains, reprendre le titre comme slogan de campagne. Car ce « jour d’après » décrit un monde « d’après » bouleversé, anéanti. Que le climat soit responsable, en grande partie, de cette destruction, ne fait que rendre le film toujours plus actuel, du moins auprès d’un certain public. Macron, renouant avec le progressisme, avait, lui, préféré parler, en 2017, de « nouveau monde ». Était-ce plus judicieux ?


