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Le Comte de Paris, la princesse et la duchesse de Montpensier assistent à la messe du 2 novembre. © Agence DREUX
La nécropole de la famille d'Orléans accueille traditionnellement la messe du 2 novembre. Elle a bien eu lieu, ce lundi matin, en présence de la famille de France.
« Une énième attaque sur notre sol, cette fois à la veille de la Toussaint, dans une église. C’est la France qui est touchée. Mes premières pensées vont aux victimes et à leurs familles.
Contre ce qui devient malheureusement un événement ordinaire de la vie quotidienne, il faut oser réagir avec des mesures fermes. Cela nous amène de nouveau à nous interroger sur l’islamisation de notre nation et à condamner ceux qui l’utilisent pour nous faire la guerre, à l’intérieur comme à l’extérieur. »
La République chevauche avec la mort. Aujourd’hui, c’est une course éperdue.
L’urgence sanitaire est de nouveau à l’ordre du jour. Elle devient la règle suprême du civisme républicain. Ainsi en a décidé le président de la République. De conseils de défense en conseils de défense, déclinés sous toutes les formes et tenus à quelques dizaines de mètres sous terre à l’Elysée dans le PC « Jupiter », où Macron se plaît à jouer au chef de guerre en y convoquant qui bon lui semble sous le strict impératif du secret-défense, sont élaborées dans la plus grande discrétion les stratégies diverses de la présidence de la République dans tous les domaines, sécurité, terrorisme, santé, économie, éducation, défense.
• pourquoi ne pas suspendre temporairement, au moins, la présence de l'Ambassadeur de Turquie en France, jusqu'au retrait des inadmissibles menaces turques ? Recep Tayyip Erdogan a déclaré mercredi dernier : "Si vous continuez de vous comporter de cette manière, demain, aucun Européen, aucun occidental ne pourra plus faire un pas en sécurité, avec sérénité dans la rue, nulle part dans le monde". Erdogan c'est comme Hitler : soit on laisse tout passer, soit on arrête tout, avant qu'il ne soit trop tard...
Messe de la Toussaint en la basilique Notre-Dame à Nice
© Olivier Huitel / Diocèse de Nice.
Entendre la charte des béatitudes dans la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption à Nice, là où il y a quelques jours était perpétré l’assassinat de Vincent, Simone et Nadine, c’était comprendre en quoi le message central de l’Évangile nous hisse au-delà du mystère d’iniquité.
Les inscriptions ont été découvertes le dimanche 1er novembre en début de matinée. Signées «Loup gris», un groupe d’activistes turc, elles insultent la communauté arménienne.
Sur le centre national de la mémoire arménienne et sur le Mémorial du génocide arménien, rue du 24-avril-1915, à Décines (Rhône) des tags jaunes fluo visent les Arméniens : “Nique l’Arménie” , “RTE” (les initiales du président turc Recep Tayyip Erdoğan) et la signature “Loup gris“.
Au matin du 31 octobre, la section montpelliéraine de l’Action française a suspendu une banderole sur un pont de l’autoroute A750 :
« Islamisme, Attentats, République complice »
Cette action est une réponse à la multiplication des attentats commis sur le territoire national : l’assassinat d’un professeur, les trois victimes de la cathédrale de Nice et enfin l’attaque de policiers à Avignon. Elle s’inscrit dans une position que nous avons toujours défendue.
Il faut cesser d’attendre tout de la république, droite comme gauche de toutes façons ils ne feront rien. Nous ne pouvons tolérer plus longtemps de voir la France comme elle est, ou plutôt de voir ce que la République a fait de la France et des Français !
Le numéro sera bientôt disponible en ligne ici : https://lebiencommun.net/kiosque/
En mai 2016, Marcel GAUCHET venait présenter son livre "Comprendre le malheur français" à un Mercredi de la NAR.
Cette conférence est la première d'une nouvelle playlist où vous y trouverez des Mercredis, entretiens, conférences ou points de vue de la NAR ayant eu lieu avant juin 2016.
Le 24 octobre 2020, Pierre-Yves Rougeyron présentait "L'Amérique de Trump : entre Nation et Empire" du paléoconservateur américain Paul Gottfried paru dans la collection Cercle Aristote aux éditions Jean-Cyrille Godefroy.