En vente à la Librairie de Flore.

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Le débat du 10Heures-Midi de Valérie Expert avec Patricia Balme, Jean Luc Bennahmias, Christian de Villeneuve et Eric Revel
Le Cercle Aristote vous propose aujourd'hui une conférence en ligne de Michel Santi, économiste franco-suisse et auteur de l'ouvrage "Le Testament d'un économie désabusé" disponible aux éditions Les 3 colonnes.
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Mais elle est aussi ouverte à d'autres groupes, pas forcément royalistes, ou exclusivement royalistes, qui mènent des actions allant dans le sens de la défense du Bien commun : le Collectif Nemesis / Jeunesse, si tu savais-Poussières d'étoiles / Baguette Musette / le Cercle d'Artagnan / Les Chemises blanches...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
De Giscard, Pompidou disait qu'il ne lui confierait rien d'important, "et surtout pas la France". C'est pourtant à Giscard qu'échut la France, après la trahison par Chirac de sa famille politique d'alors, emmenée par Chaban Delmas. Torpillant la candidature de celui-ci et ralliant Giscard, Chirac le fit élire en 74, avant de se séparer de lui par la suite, avec pertes et fracas, illustrant parfaitement le "Celui qui vend sa patrie pour un shekel vendra sa nouvelle patrie pour un demi shekel"...
Le futur président des États-Unis, élu dans des conditions douteuses mais qui seront sans doute validées, nage dans l’euphorie. Il se croit revenu au temps de la domination écrasante de son pays sur le monde, de « la destinée manifeste » que l’Amérique s’est auto-attribuée pour guider l’humanité et assurer son bonheur.
Ainsi Emmanuel Macron serait aux prises avec une véritable crise politique en raison du climat de violence qui s’est créé ces jours-ci, à la suite de plusieurs événements dont un tabassage commis par des policiers à l’encontre d’un producteur de musique à Paris. Celui-ci a donné lieu à beaucoup d’émotion.
1. "Après 40 ans d'immigration massive, de lobbying islamique et de politiquement correct, la France est sur le point de passer de la fille aînée de l'Eglise à la petite nièce de l'Islam. Et le terrorisme n'est que la partie émergée de l'iceberg" (Marion Maréchal). Oui, mais raison de plus pour poursuivre notre combat contre le Système, qui est la cause de ce terrible constat. Remettre en cause pour remettre en ordre : c'est la légitimité et la raison d'être de notre Action française que de mener une action "réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
On nous promet un monde nouveau, forgé sur l'enclume de la pandémie. Nos bienfaiteurs seront nos bourreaux.
Depuis l’arrivée de la maladie qui a bouleversé le monde, certains ont acquis la certitude qu’elle avait été créée à dessein et répandue dans un but malveillant. Ce sont, nous préviennent les vérificateurs de la pensée, des complotistes, des conspirationnistes qu’il ne faut pas écouter, leurs propos étant nuisibles.
Il faut regarder et faire connaître autour de vous ce remarquable documentaire La face cachée des énergies vertes diffusé par Arte (à revoir jusqu’au 22 janvier), signé de deux journalistes, Jean-Louis Perez et Guillaume Pitron.
Le 23 novembre dernier, l’évacuation des 500 Afghans de la place de la République, à Paris, avait fait couler beaucoup d’encre. Au terme d’une tragi-comédie médiatique, et après le désaveu de la police par le président de la République et le ministre de l’Intérieur, ces immigrés clandestins soutenus et instrumentalisés par de nombreuses associations comme Utopia56 ou Médecins du monde, mais aussi par des élus d’extrême gauche, ont obtenu ce qu’ils voulaient :
Mais qu’allaient-ils faire dans cette galère ?
Que le fameux article 24 de la loi de sécurité globale – inutile, superflu et insidieusement liberticide, tant dans le fond, la forme que la manière – soit un sujet d’inquiétude légitime pour les journalistes est un fait. Que la Commission de la carte de presse des journalistes professionnels soit dans son rôle en alertant sur le risque qu’il fait peser sur la liberté de la presse est indéniable.