Le Système est l'héritier du Terrorisme révolutionnaire, négationniste/révisionniste et matrice des Totalitarismes modernes
Aujourd'hui (4) : La Révolution a tiré de l’huile de cadavres humains (à Clisson)
Aujourd'hui, Robespierre porte costume et cravate, il affiche une apparence distinguée, et loge sans vergogne dans les appartements de la Royauté, tâchant de ressembler à ces autres Rois ou Présidents du monde.
Mais il ne s'agit que d'un masque, d'une leurre, d'une Tartuferie institutionnalisée : c'est "le chaos figé des conservateurs du désordre" qui est en place, sous des apparences "normales" et policées; et ce chaos n'est rien d'autre que l'héritier assumé du "chaos explosif des révolutionnaires".
Voici quelques exemples de ce que fut ce "chaos explosif" des révolutionnaires de 1789/1793, si fanatiques qu'ils ont eux-mêmes baptisé leur méthode de gouvernement (?) "la Terreur"; de ses aspects monstrueusement inhumains, d'une atroce barbarie, qui préfiguraient les épouvantables horreurs du marxisme-léninisme et du nazisme...
Et voilà pourquoi, chaque année, nous signalons cette date du 21 janvier à nos compatriotes comme celle du début de notre décadence, comme l'origine de tous nos maux, comme la matrice et le ventre - hélas fécond - d'où sont sortis les abominations qui ensanglantent le monde depuis lors...
Voici quelques aspects de ce que fut la Terreur révolutionnaire en Vendée, et ce qu'en ont dit quelques uns de ceux qui ont oeuvré à sa mise en œuvre "systématique", au sens premier du terme...
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Aujourd'hui (4) : La Révolution a tiré de l’huile de cadavres humains (à Clisson)
1. Le Conventionnel Harmand de la Meuse a parlé de la circulation d’huile tirée de cadavres humains :
"...il y a environ trois ans, on mit aussi dans le commerce de l’huile tirée des cadavres humains : on la vendait pour la lampe des émailleurs..." (Jean-Baptiste Harmand, "Anecdotes relatives à quelques personnes et à plusieurs événements remarquables de la Révolution", Madaran, Paris, 1820, p.79.)
2. Dans ses Mémoires, la comtesse de La Bouëre - qui fut l’épouse d’un chef vendéen - raconte que, en 1829, elle a interrogé un homme âgé :
"...Vous ne pouviez mieux vous adresser, Madame, répond-il. J’ai servi sous les généraux Kléber, Beysser, Canclaux, Duquesnoy, Turreau, Cordellier...Je n’épargnais personne dans la Vendée, cela m’était commandé... Je recommencerais encore si cela revenait : il nous était défendu d’user de la poudre. Aussi, nous ne nous donnions pas la peine de les fusiller. Ah ! je bûchais bien ! Aussi, on m’appelait le boucher de la Vendée..."
Il se vanta d’avoir "écorché des brigands pour en faire tanner la peau à Nantes..."
Puis, parlant d'un homme d'une trentaine d'années, venu se joindre à leur conversation un moment, il dit à la comtesse : "Il ne vous a pas parlé des femmes qu’il faisait fondre ?... Le 6 avril 1794, il avait fait fondre cent cinquante femmes pour avoir leur graisse. Deux de mes camarades étaient avec moi pour cette affaire. J’en envoyai dix barils à Nantes; c’était comme de la graisse de momie : elle servait pour les hôpitaux. Nous avons fait cette opération à Clisson, vis-à-vis du château et près de la grenouillère.
Il expliqua alors comment il faisait cette horrible opération :
"...Nous faisions des trous en terre, pour placer des chaudières afin de recevoir ce qui tombait; nous avions mis des barres de fer au dessus, et puis les femmes dessus…, puis au-dessus encore était le feu. (Comtesse de la Bouëre, "Souvenirs de la comtesse de la Bouëre, la guerre de Vendée,1793-1796 : mémoires inédits", Plon, Paris, 1890, p.307-313.)
3. L’historien Jacques Crétineau-Joly (1803-1875) se fait aussi l’écho de cet épisode, mais à partir du registre de Carrier, député du Cantal qui fut le bourreau de Nantes. Crétineau-Joly écrit dans son Histoire de la Vendée militaire :
"...À Clisson, un horrible spectacle est donné. Les soldats de la compagnie de Marat s’y rendent en partie de plaisir entre deux noyades. Ils dressent une espèce de bûcher aérien sous lequel ils placent des barils, et dans une seule nuit ils font ainsi fondre cent cinquante femmes. Ces barils, pleins de graisse humaine, sont transportés à Nantes pour être vendus, et dans le registre de Carrier on lit que "cette opération économique produisait une graisse mille fois plus agréable que le saindoux." (Jacques Crétineau-Joly, Histoire de la Vendée militaire, Charles Gosselin, Paris, 1863, t.II, p. 67.)
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C'est "çà", la Révolution !
C'est "ça" qui fut voulu et ordonné par Robespierre et sa bande de psycopathes de la Convention; et fidèlement exécuté sur le terrain par "les Bleus", qui ont perpétré là le premier Génocide des Temps modernes, doublé d'un mémoricide puisque, deux siècles et demi après, celui-ci n'est toujours pas reconnu