C'est aussi tout cela (tous ceux-là...) "la France" : dans les Ephémérides cette semaine...
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
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Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :
Nous voudrions attirer l'attention de nos lecteurs et amis sur notre Café Politique du samedi 5 avril avec le professeur Hervé PASQUA qui traitera d'un sujet essentiel et actuel, la théorie du genre, et, donc, vous demander — dans toute la mesure de vos possibilités — d’y être présents.
Hervé Pasqua est né à Alger en 1947. Docteur habilité à diriger des recherches en philosophie. Membre du Centre de Recherche en Histoire des Idées (CRHI), département de philosophie, Université de Nice Sophia Antipolis.
Hervé Pasqua a enseigné à l’université de Bourgogne, et dirigé l'Institut Catholique de Rennes (ICR), professeur invité de plusieurs universités en France et à l’étranger. Il a publié de nombreux articles et comptes rendus, dans les revues de philosophie en France et à l’étranger : Revue philosophique de Louvain, Les études philosophiques, Revue des sciences philosophiques et théologiques.
LE BOLERO, 30 cours Honoré d’Estienne d’Orves,
Marseille 1er - Entrée libre.
Participation sous forme d'une consommation.
Renseignements : 06 08 31 54 97
Possibilité de dîner sur place, après le Café
Pour prolonger cette réflexion, surtout dans sa partie finale, voici - tirée de La Provence du jeudi 3 avril - une illustration des contradictions "henaurmes" des bobos/gauchos/trotskos : ils dénoncent, bien sûr, l'effroyable colonialisme du XIXème, pour lequel ils exigent la "repentance", alors qu'ils organisent le pillage sans vergogne des pays pauvres - mais toujours en toute bonne conscience, évidemment, et au nom de "grands principes" ! Témoin, ce jeune Sefo, qui, s'il est si brillant qu'on le dit, doit être de toute urgence rendu à son pays d'origine, la Macédoine, afin de participer à son développement : SEFO PILLAGE.jpg
Un bémol, cependant : on connaît la mauvaise foi (ou la bêtise) et l'esprit partisan des journalistes encartés à gauche et à l'extrême-gauche : "...Avec vous, la banlieue c'est Normale Sup !" leur a lancé, un jour, Eric Zemmour sur I/Télé.
Quoi qu'il en soit, vérité ou mensonge, de l'intelligence de ce jeune garçon, une seule solution : le retour à la maison.
Pour ceux qui ne comprennent pas le français :
l'EXPULSION !...
Thibaud de Bernis préside l’antenne parisienne, récemment créée, du Cercle Charles Péguy, centre de formation politique qui bénéficie de la contribution d’intellectuels comme Chantal Delsol, Gérard Leclerc... : http://cercle-charles-peguy.fr/qui-sommes-nous/vocation
Lafautearousseau annonce régulièrement les rencontres parisiennes du Centre Charles Péguy : la dernière, avec Alain Finkielkraut, Liberté ou identité, faut-il choisir ?, a eu lieu le 27 mars dernier.
Avant de lire cet entretien, peut-être n'est-il pas inutile de voir (ou revoir) ce jugement lapidaire écrit par Jacques Bainville, au moment de la mort héroïque de Péguy, au Front, le 5 septembre 1914 : Ce Péguy !...
« Voici une très belle chose sous un très méchant mot », écrivait Charles Maurras dans L’idée de la décentralisation en 1898. Le mot de « décentralisation » pourrait bien, en effet, contenir en lui les pièges dans lesquels la chose semble condamnée à se perdre, alors même que la nécessité n’en est plus guère contestée.
Parler de décentralisation donne l’impression d’un mouvement certes inverse à la centralisation, mais obéissant à la même méthode. Décentraliser consisterait à défaire par le haut, au moyen d’une politique volontariste, la centralisation imposée de la même manière. Or, pour paraphraser Joseph de Maistre, une décentralisation véritable ne saurait être une centralisation en sens contraire, mais devrait être, plutôt, le contraire de la centralisation. Il faudrait pour cela retrouver le sens des réalités qui constituent la nation française et, au-delà du « méchant mot » de décentralisation, la vérité de l’idée.
(Source : Le Figaro magazine)
1. Le remaniement :
Remaniement : le gouvernement de la France ravalé à une synthèse/compromis entre positions et personnes opposées, comme au PS : "combinazione"...
Pour Manuel Valls, conducteur "non choisi" de cet attelage hétéroclite: l'échec est plus que probable; prochaine sanction: les européennes..
Scission en vue chez les Ecolos: Dufflot refuse de participer au gouvernement avec Valls contre l"avis de la majorité des élus...
"La soupe" est trop bonne, et ces élus veulent profiter des privilèges, si Cécile n'en veut plus. Eux, ils ont "faim"...
Les Verts sont une secte dure et dangereuse : tout ce qui les affaiblirait, tout déchirement entre eux (une scission) est bon à prendre...
Dufflot se prend pour un stratège et pense à 2O17. Jeu dangereux, à double tranchant pour elle : aujourd'hui "fluctuat", demain "mergitur" ?
L'affaire Ukrainienne a passionné nos visiteurs et conduit nos lecteurs les plus attentifs à se manifester. Les notes que nous avons mises en ligne sur cette importante question ont en effet suscité des commentaires exceptionnellement nombreux, parfois passionnés et presque toujours substantiels.
C'est qu'elle trouble des situations que l’on croyait figées pour toujours et qu’elle révèle l’exaspération de clivages pour le moins préoccupants : pour la première fois depuis la fin de la Guerre Froide, la paix s'est trouvée sérieusement menacée, entre grandes puissances, au cœur même de l'Europe (avec bruits de bottes et mouvements de troupes), cœur de l’Europe où, désormais, les frontières réputées intangibles se remettent à bouger ; l’impérium américain y a manifesté sa prétention à régenter, y compris par la force, l’ensemble des régions du monde ; ainsi se durcit gravement l’opposition entre la vision multipolaire de la Russie et celle, unipolaire des Etats-Unis ; enfin, ce qui est apparu, dans cette crise, plus évident que jamais, c’est le « non-rôle » des Européens alors qu’il s’agissait d’une affaire touchant essentiellement à leur continent.
C’est ce dont traite cette chronique géopolitique de Bernard Guetta, (France Inter, avant-hier matin) avec lequel – nous l’avons déjà dit – nous sommes rarement d’accord mais dont, cette fois-ci, au moins dans sa première partie, nous approuvons (presque) entièrement l’analyse, en grande part lucide et réaliste. En tout cas, assez intéressante pour que nous vous recommandions de l’écouter.
Il règne en France une tyrannie intellectuelle alimentée par les écolos de EELV (seulement 2% aux élections) qui fait qu’on ne peut même plus faire de la recherche, dénonce Maud Fontenoy.
Invitée sur France 3 à l’occasion de la sortie de son livre Ras-le-bol des écolos : Pour qu’écologie rime enfin avec économie, la navigatrice ose ouvrir un débat posé et sensé sur l’exploration des gaz de schiste :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=jJzKtqwbjhk
(on rapprochera avec intérêt cet entretien de l'article de Champsaur :
Gaz de schiste :
* I Transition énergétique, ou simple opération politique, et … gaz de schistes
Plon, 229 pages, 16 euros
A 20h, au Cercle de Flore : Farida Belghoul, Que l'Etat se mêle de ce qui le regarde !
Cercle de Flore - 10 rue Croix-des-Petits-Champs, 75001 Paris - Métro Palais-Royal ou Louvre-Rivoli.
Chaque mercredi, 38, rue Sibuet, 12ème, rez-de-chaussée; la conférence commence à 20h très précises (accueil à partir de 19h45 - Entrée libre, participation aux frais de 2€ ), elle s'achève vers 22h. Un dîner amical est servi pour ceux qui le désirent (participation 7€).
Aujourd'hui, Jean-Pierre Chevènement, pour son livre Coralie Delaume, pour son livre 1914-2014 : L'EUROPE SORTIE DE L'HISTOIRE ?
( pour consulter "l'Intégrale" - 318 tweets... - c'est ici, ou sur la colonne de droite de la Page d'Accueil, en-dessous de la page Facebook...) :
Valls Premier ministre : les manifestants avec poussettes n'ont qu'à bien se tenir : tremblez, bambins !
Né en 1941 à Oran, en Algérie, ancien élève de Pierre Boutang, philosophe de haute volée, notre ami Jean-François Mattéi est décédé le 24 mars dernier à Marseille.
La philosophie est en deuil. Jean-François Mattéi est décédé. Il a été enlevé à cette terre soudainement le 24 mars dernier. Nous ne verrons plus son visage si fin qui respirait l’intelligence. Ce pied-noir qui n’avait rien renié de ses origines, aimait le soleil et détenait dans le secret de son être quelque mystère solaire. Pudique et discret, seuls ses amis qui étaient favorisés de sa lumineuse conversation décelaient dans sa personnalité une transcendance qui l’apparentait à ces sortes de demi-dieux de l’Antiquité qu’étaient les philosophes. Il en était un ; il avait une longue familiarité avec eux, ce qui ne l’empêchait pas d’aimer la musique, le piano, le jazz et la vie.
Il côtoyait Platon qu’il lisait dans le texte. La philosophie grecque, la vraie, pas celle des sophistes, dès les pré-socratiques s’est posée, en quelque sorte définie, par rapport à l’Être et donc au Non-Être. Abîme de pensée dont toute pensée est sortie, de même que dans la Bible Dieu se définit comme Celui qui est, source de tout être.