A lire, demain: Par ici la sortie !
Demain, retrouvez, sous ce titre, le lundi de Louis-Joseph Delanglade. A ne pas manquer !
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Demain, retrouvez, sous ce titre, le lundi de Louis-Joseph Delanglade. A ne pas manquer !
Le prince Jean était présent aux 900 ans de l’Abbaye de Thiron-Gardais. Après avoir assisté, en famille, à la messe de Pentecôte présidée par Monseigneur Michel Pansart, évêque de Chartres, il dévoilait, à l’entrée de l’église abbatiale, avec Monsieur Victor Provost, maire de Thiron-Gardais, et Stéphane Bern, initiateur du projet, une plaque commémorant l’événement.
1. Dans Valeurs actuelles : "24.800 chômeurs de plus au mois de mai" : http://www.valeursactuelles.com/soci%C3%A9t%C3%A9/24-800-ch%C3%B4meurs-plus-mai
1 bis. Dans le JDN (Journal du Net) : Taux de chômage et chômeurs en France : hausse des demandeurs d'emploi en mai : http://www.journaldunet.com/economie/magazine/en-chiffres/chomeurs-en-france.shtml
2. De Jean-Dominique Merchet, "14 juillet et foot : la querelle du drapeau algérien s'enflamme" : http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/14-juillet-foot-querelle-drapeau-algerien-s-enflamme-13841
2 bis. D'Yvan Rioufol : "Le patriotisme algérien révèle l'échec de l'assimilation" : http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/06/27/31003-20140627ARTFIG00112-patriotisme-algerien-en-france-l-echec-de-l-assimilation.php
2 ter. Mondial 2014 : liesse des supporters algériens, 74 interpellations : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/06/27/01016-20140627ARTFIG00050-mondial-2014-liesse-des-supporters-algeriens-quelques-incidents.php
3. Sur Investig'Action (vidéo) : 14/18, on croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels" : http://michelcollon.info/14-18-On-croit-mourir-pour-la.html
(Cette chronique n'a pas d'autre objet que de communiquer à nos lecteurs des articles et prises de positions sur lesquels nous nous trouvons en convergence, totale ou, au moins, partielle, et sur des points d'importance; elle ne signifie évidemment pas accord total et permanent, sur tous sujets et en toute occasion, avec les Blogs ou Pages mentionnées... Même chose pour les liens envoyés par des lecteurs, pour approfondir tel ou tel sujet traité sur le Blog, pour "aller plus loin"...)
Voici ce que vous trouverez cette semaine dans les Ephémérides (et, en permanence : Du passé faisons table rase.pdf ) :

Le plan de redressement présenté par Manuel Valls a tout pour frapper les esprits et pour permettre aux médias d’y faire largement écho. Cinquante milliards d’euros d’un côté, 650 000 contribuables exonérés de l’autre ; tous les ingrédients d’une bonne communication sont réunis.
Tous veulent y croire...
Le plan de Manuel Valls peut-il remettre l’économie française sur les rails ? Notons, pour commencer, qu’il repose sur une analyse économique approximative, qu’il suppose une maîtrise de l’environnement perdue depuis longtemps et qu’il consacre une faute politique majeure.
« Je promène mes regards sur cette foule innombrable composée d’êtres pareils, où rien ne s’élève ni ne s’abaisse. Le spectacle de cette uniformité universelle m’attriste et me glace, et je suis tenté de regretter la société qui n’est plus. »
A. de Tocqueville, De la démocratie en Amérique
Dans notre catégorie Grands Textes, voir les deux qui lui sont consacrés :
Grands Textes III : Reprendre le Pouvoir (Postface).
Grands Textes XXXIII : Qui sera le Prince ?
Consulter également notre Page "Reprendre le Pouvoir" de Pierre Boutang, ou la Légitimité retrouvée.
Enfin, écouter ce rarissime document : une conférence de plus d'une heure et demie, donnée à Marseille, le 31 mars 1988 : L'horizon politique, le Prince chrétien
Il s'agit de Thomas Legrand à France Inter qui rédige, chaque matin de la semaine, à 7h45, un édito politique dont on dit qu'il est le plus écouté de France. C'est, de fait, un fin connaisseur de la politique intérieure française, un esprit rationnel, capable d'analyses impartiales ou qui ont l'apparence de l'être. Il lui arrive même d'asséner aux uns ou autres, indistinctement, des vérités utiles, agréables à entendre. Cela dit, Thomas Legrand a tout de même, des idées dites avancées; et il est, naturellement, de gauche.
Ce sera le sujet traité par François Reloujac. A ne pas manquer !

Voici comment Le Monde de lundi dernier, 23 juin, a rendu compte du dit scandale. Nous ne ferons pas de commentaires. Comme le disent les anglo-saxons, les propos du ministre des affaires étrangères polonais sont self-explanatory. Quant à leur trivialité, nous n'en sommes pas responsables.
C'est un coup de massue pour le gouvernement Tusk. L'hebdomadaire Wprost (...), dans son édition du 23 juin publie la transcription de quelques huit heures supplémentaires d'enregistrements clandestins.
Ces nouvelles révélations semblent encore plus accablantes que les précédentes pour la coalition de centre droit au pouvoir à Varsovie. Radoslaw Sikorski, le ministre des affaires étrangères, est l'une des principales cibles de cette dernière salve. Ce diplômé d'Oxford, bel homme distingué, marié à la journaliste américaine Anne Applebaum, se retrouve piégé en train de parler en des termes inattendus.
« L'alliance avec les Etats-Unis ne vaut rien. C'est des foutaises complètes ! Elle est même nuisible car elle crée un faux sentiment de sécurité », déclare-t-il à celui qui était alors le ministre des finances, Jacek Rostowski. M. Sikorski ajoute : « Nous pourrions entrer en guerre avec l'Allemagne et la Russie et prétendre que tout baigne au motif que nous avons fait une pipe aux Américains ! » Puis il regrette que les Polonais aient « une fierté très faible et une estime de soi si basse ».

Pour la seconde fois en quelques jours, Le Figaro interroge Frédéric Rouvillois : ce fut d'abord pour recueillir son analyse du projet de régionalisation de François Hollande; cette fois-ci, à l'occasion de la proclamation du nouveau roi d'Espagne, la question qui lui est posée ne résulte pas vraiment de l'actualité espagnole mais bien plutôt d'une actualité bien française : "Et si la France avait besoin d'un roi ?". C'est bien, en effet, la crise de nos Institutionsa, aujourd'hui si prégnante, qui conduit à cette étrange interrogation - étrange en apparence seulement, car malgré l'invraisemblance de l'hypothèse monarchique dans la France d'aujourd'hui, le vide sidéral de l'Etat, de la politique intérieure française, de fait de toute politique, amène presque naturellement à cette remise en cause du Système qui est - malheureusement - le nôtre.
Nous publions donc cet entretien qui, en effet, ne traite pas du tout de la monarchie en Espagne mais bien de la persistance du sentiment monarchique dans notre propre pays. Persistance - pour qui suit régulièrement l'actualité politique - qui est constamment évoquée, allusivement ou clairement analysée, commentée, par tous les médias, tous les analystes, tous les politiques de tous bords.
Telle est, si nous savons être à la hauteur de ces circonstances, notre actualité : non pas seulement celle de ce blog, mais celle de toute la famille de pensée royaliste, celle de cette aventure inaugurée par l'Action française à l'aube même du XXème siècle, en l'année 1900, consistant à vouloir un Roi pour la France de ce temps alors troublé par la perspective de la grande guerre qui s'annonçait, comme nous persistons à vouloir le roi pour le nôtre, pour notre temps, pas moins dangereux que le précédent.
Et la monarchie espagnole, donc ? Nous avons dit ad nauseam, que les modèles étrangers ne sont pas transposables en France, que chaque pays a d'ailleurs le sien, spécifique, que nous avons le nôtre - historique - et qu'il serait, d'ailleurs, à reconstruire en fonction des circonstances et des nécessités. Nous savons bien, par ailleurs, que les monarchies régnantes, au moins en Europe, n'ont pas protégé leurs sociétés des vices de la modernité; nous n'ignorons pas leurs défauts. Mais pour qui a assisté, en direct, à l'avènement de Philippe VI, de l'autre côté de nos communes Pyrénées, il est clair que la dignité, la simplicité, l'approbation largement majoritaire, qui ont présidé à la transmission de la fonction de Chef de l'Etat du roi Juan-Carlos à son fils Philippe, auront au moins épargné à l'Espagne ce poison mortel des ambitions, des luttes, des "blocs de haine" - qui font, chez nous, l'essentiel de la vie politique et nationale française- pour la conquête, devenue d'ailleurs dérisoire, de la Présidence de la République. Et si la France avait besoin d'un roi ? La réponse est oui.
FIGAROVOX/ANALYSE - Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà ? Chez les Espagnols la monarchie semble rester populaire : existe-t-il en France une nostalgie monarchiste ? Eléments de réponse avec Frédéric Rouvillois.
« Quand les immigrés sont trop nombreux, il faut aussi avoir le courage de dire que ça suffit. »
(Le Dalaï-Lama, en visite en Italie dans la région de Pise)
Répondant à la question d’un journaliste sur la situation à Lampedusa, le Dalaï-Lama a précisé :
« Nous savons bien que les immigrés fuient des situations difficiles, mais le bon cœur ne peut pas suffire à les accueillir tous et nous devons avoir le courage de dire quand ils sont trop nombreux et d’intervenir dans leur pays pour y construire une société meilleure. Une simple politique d’accueil ne pourra jamais suffire pour résoudre ce problème. Il faut entamer une réflexion à long terme pour obtenir une solution vraiment efficace. »
Somme toute, Barak Obama a recueilli des Busch père et fils un héritage bien embarrassant, en Irak, alors que les Etats-Unis ont rouvert un cycle isolationniste et que, dans la conscience américaine, Bagdad, l'Irak, le Moyen-Orient, après l'avoir obsédée, sont maintenant redevenus lointains, très lointains. Mieux aurait valu qu'ils le restent ? Sans doute. En tout cas, à Washington, on aimerait bien ne plus avoir à y penser. Mais comment s'en désintéresser tout à fait, quand le chaos que les Américains y ont eux-mêmes semé explose, aujourd'hui, jusqu'aux portes de Bagdad ? Alors John Kerry se rend en Irak et les paroles qu'il y prononce, en parfait décalage avec les réalités dramatiques du terrain, sont déconcertantes de naïveté banale. Sans la moindre chance d'être écouté, il appelle les Irakiens à "dépasser les considérations confessionnelles", tandis que, de leur côté, les présidents Obama et Hollande plaident curieusement pour un impossible "gouvernement d'union nationale". Mais quelle union ? Quelle nation ? Comme il est difficile, pour ces gens-là d'oublier leurs schémas politiciens habituels, de prononcer d'autres paroles que vaines, nulles et non avenues !

José Meidinger a raison de rappeler le rôle historique des royalistes dans la Résistance. Celle-ci n'a que trop été accaparée, dans le récit qui, par la suite, en a été fait, le mythe qui a été construit à son propos par le discours officiel, au bénéfice et à la gloire des seules organisations dites de gauche. De même que Zemmour a fort bien fait de signaler, preuves et listes de noms à l'appui, que les dirigeants et les milieux dits de la collaboration se sont très largement recrutés à gauche et à l'extrême gauche. Vérités occultées, ignorées, oubliées ? Sans-doute. C'est pourquoi il est bon d'y revenir et il faut en remercier José Meidinger.
A titre de présentation, Boulevard Voltaire précise que José Meidinger est Journaliste, ancien grand reporter à France 3 Alsace, et qu'il passe, aujourd'hui, son temps entre l’Alsace et la Grèce. (L'illustration ci-dessus est aussi de Boulevard Voltaire).
A la Libération, les gaullistes et les communistes, avec les Francs-tireurs et partisans (FTP), tentèrent de s’accaparer l’exclusivité de la Résistance. C’était oublier un peu vite que c’est à l’autre extrême de l’échiquier politique, à l’initiative de militants royalistes, que se créèrent les tout premiers mouvements de résistance de la France Libre! Ce phénomène a souvent été occulté par l’histoire officielle jusqu’au livre de François-Marin Fleutot en 2000 Des royalistes dans la Résistance. On y découvre notamment l’engagement royaliste de Daniel Cordier, ancien Camelot du roi, entré dans la Résistance dès juin 1940, puis secrétaire de Jean Moulin, auquel il consacrera une biographie en plusieurs volumes pour défendre la mémoire de son ancien patron.