Libérer le génie français : à la "Une" du n° d'avril de Politique magazine
Au Sommaire de ce numéro d'avril (128) : SOMMAIRE AVRIL 2014.jpg
Voici l'Editorial de Jean-Baptiste d'Albaret, Rédacteur en chef : Pour une vraie victoire...
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Au Sommaire de ce numéro d'avril (128) : SOMMAIRE AVRIL 2014.jpg
Voici l'Editorial de Jean-Baptiste d'Albaret, Rédacteur en chef : Pour une vraie victoire...
Au vu du récent remaniement gouvernemental, on pourrait penser que les élections municipales ont été un succès pour la gauche : promotion de Valls le matraqueur de familles, de Montebourg le vibrionnant improductif, du Sapin ministre du chômage, de la Ballot-Bécassine à la langue acide, proposition de l’insignifiant Moscovici à un poste de commissaire européen, recasement des collaborateurs ministériels dans des pantoufles publiques ou privées, sans compter Ayrault et Duflot qui retrouvent automatiquement leur siège de député.
Curieuse sanction que tout cela pour des gens qui ont démérité.
Finalement, les seuls punis dans ce jeu de chaises musicales socialistes ce sont les Français.
Fureur générale après ses annonces d'un plan qui rate sa cible: Super Manu a démarré avec 58% d'opinions favorables: plus dure sera la chute
"Vulgarisation" : si l'on s'en tient, pour une fois, à Wikipedia - "pour une fois", car Wikipedia n'est pas toujours le nec plus ultra - on trouve, comme définition du mot "vulgarisation" cet excellent enoncé : La vulgarisation est une forme de diffusion pédagogique des connaissances qui cherche à mettre le savoir (et éventuellement ses limites et ses incertitudes) à portée de tous et chacun.
Voilà bien ce que nous essayons de faire, avec nos Albums : non pas oeuvre d'érudition, réservée à un cénacle d'initiés, restant dans un "entre-soi" aussi douillet qu'égoïste et inconscient; mais, au contraire, s'adresser à l'immense foule de ceux qui sont dehors, qui ne savent pas et ne connaissent pas, entre autres parce qu'un Ministère de la des-Education nationale, religieux et confit dans son sectarisme haineux, ne leur a pas appris leurs Racines; les a, au contraire, soigneusement occultées, quand il ne les a pas, volontairement, travesties et déformées mensongèrement.
Valls: des "mesurettes de poche" au lieu de réformes de structures (millefeuille terrotorial, 35 heures, Immigration). Mots contre maux...
Le jeudi 27 mars dernier, le Cercle Charles Péguy recevait Alain Finkielkraut, qui, depuis, a été élu à l'Académie frnaçaise :
http://cercle-charles-peguy.fr/qui-sommes-nous/vocation
Vous avez fait paraître L’Identité malheureuse (Stock) il y a quelques mois, un livre qui a soulevé de violentes passions. On vous a accusé, vous le descendant de Juifs polonais déportés, de faire l’apologie d’un « nationalisme barrésien. » Avez-vous changé dans votre sentiment vis-à-vis de la France ?
Ni dans ma pensée, ni dans mon sentiment, il n’y a eu de revirement : je ne suis pas passé de l’hostilité à l’amour. J’ai certes longtemps vécu dans un sentiment d’indifférence accompagné de méfiance à l’égard des formes du nationalisme français quand elles allaient de pair avec un antisémitisme. Si je me réfère à Barrès aujourd’hui, ce n’est pas pour une réconciliation. J’ai lu Les familles spirituelles de la France, où, en 1917, Barrès se réconcilie avec les Juifs, car il les avait vu payer le tribut du sang dans la guerre. Mais en aucun cas, je ne peux subir le reproche d’être barrésien. Je me rappelle que dans un débat où on l’interpellait sur son antidreyfusisme, Barrès répondait : « Dreyfus est coupable, je le sais de sa race, il est couleur de traitre ». Evidemment, je n’ai jamais subi pour ma part les effets de ce nationalisme. Reste que j’ai été élevé dans la méfiance à l’égard de ses manifestations.
( pour consulter "l'Intégrale" - 361 tweets... - c'est ici, ou sur la colonne de droite de la Page d'Accueil, en-dessous de la page Facebook...) :
Yassine kalachnikové après Mehdi : 2 accidents du travail en trois semaines à Marseille : mais, que fait Super manu ?
A propos de Mehdi, "savoureux" lapsus de La Provence: "Abattu en plein trafic", comme Yassine. Trafic automobile/trafic de drogue....
... sur notre Page Facebook Lafautearousseau royaliste...
... sur notre Compte Twitter A.F.Royaliste...
...ou sur notre quotidien...
1. Hommage à Jean-François Mattéi : Reçu de Philippe Granarolo : "J'ai rendu hommage à Jean-François Mattei, mon ami de trente ans, dans une lettre d'adieu qu'a publié le site "iPhilo". Vous la trouverez à cette adresse" :
http://iphilo.fr/2014/03/25/jean-francois-mattei-a-rejoint-le-ciel-platonicien/
Barbarie anti française à Evry, 10 avril 2014, Charlotte d'Ornellas
Ils ont détruit la vie d’une toute jeune fille et c’est la France qu’ils violaient.
Dans la nuit du 29 au 30 mars dernier, Evry, fief de Manuel Valls, a été le théâtre de la barbarie anti-française dans toute son horreur.
Cote de popularité 18%: Hollande inverse la devise de Fouquet (Quo non ascendam"(jusqu'où ne monterai-je pas) lui, c'est "Quo non descendam"
JV Placé:18.000E de PV,7.000 payés, cent infractions routières(voiture de fonction): on peut difficilement mieux donner le mauvais exemple
"Je me tire...vous me faites chier" répond-il sur Canal+ lorsqu'on lui rappelle les faits. Ce doit être ça, un comportement "républicain" !
Difficile, au vu des changements affectant également l’Elysée et le Parti socialiste, de ne pas analyser la nomination de M. Valls comme relevant d’une opération purement politicienne. Pour M. Hollande, plus que jamais, il s’agit de faire gagner non pas la France mais le P.S., c’est-à-dire lui-même, en 2017. Pour M. Valls, dont on connaît l’ambition présidentielle, il s’agit, à terme, d’incarner la revanche de M. Rocard. Tout cela ne serait donc en fin de compte qu’un nouvel épisode du bras de fer opposant deux lignes, relativement proches d’ailleurs, du P.S.
On aimerait pourtant pouvoir souhaiter que, dans l’intérêt du pays, M. Valls « réussisse » dans sa nouvelle fonction. L’homme n’est pas antipathique et il lui est arrivé de tenir des propos que l’on ne peut qu’approuver. On peut même penser, à condition d’ajouter foi aux prophéties du F.M.I. pour 2014-2015, qu’il obtiendra quelques résultats positifs. Ce qui serait au fond d’autant plus facile que son discours de politique générale constitue un constat d’échec de la politique socialiste depuis bientôt deux ans – échec dont lui-même a sa part en tant que ministre de l’Intérieur.
Mais ce discours n’est aussi qu’une déclaration d’intentions visant les effets plutôt que les causes des maux dont souffre le pays.
Non, décidément, nous n’accordons pas notre confiance à M. Valls.
Pas plus qu’aucun de ses prédécesseurs, M. Valls n’a véritablement remis en cause l’euro-mondialisme. Si la mondialisation est, convenons-en, un fait avéré, cela ne devrait pas – bien au contraire - empêcher de chercher à se prémunir contre ses effets catastrophiques. On peut ainsi déjà nourrir les pires inquiétudes pour le traité de libre-échange en cours de négociation entre l’Union Européenne et les Etats-Unis d’Amérique. Et d’abord parce que ce n’est pas une France souveraine qui négocie mais une U.E. dont on sait très bien qu’elle marche au pas allemand de l’euro fort. Et cela au moment où, dans un sursaut de lucidité, nombreux sont ceux qui remettent en cause l’actuelle zone euro – dernier en date, M. Maris qui propose un assouplissement avec un « eurofranc », c’est-à-dire la restauration du pouvoir régalien de l’Etat français sur sa monnaie.
Pas plus qu’aucun de ses prédécesseurs, M. Valls n’a voulu dénoncer le danger représenté par l’immigration de masse – qui, rappelons-le, s’est aggravée en 2013, du fait de l’augmentation de 50% des régularisations de clandestins. Et ce n’est certes pas l’incantation républicaine finale de son discours qui peut convaincre. Quel rapport en effet entre le conte de fée de Manuel Valls, issu de deux lignées bourgeoises et traditionnelles de contrées extrêmement proches de la France (les catholiques Catalogne et Suisse italienne), et ces dizaines de milliers d’immigrés islamo-africains communautarisés et souvent soudés par une haine viscérale du pays d’accueil – comme le montre l’horrible « fait divers » d’Evry, concomitant de la nomination de M. Valls, relaté par Valeurs Actuelles de la semaine dernière ?
Non, décidément, nous n’accordons pas notre confiance à M. Valls.
Notre pauvre langue française "progresse" chaque jour un peu plus.
Après cet horrible Voilà ! qui ponctue désormais toutes les phrases des gens importants causant dans le poste et qu'ils nous jettent à la figure comme une virgule insolente qui semble nous dire "Si tu veux comprendre, tu n'as qu'à chercher toi-même les mots que je suis incapable de trouver", voici que Juste fait maintenant irruption dans la bouche de ceux qui parlent le Jeune.
Loin de toute idée de justice et à peine moins de justesse, cet adjectif est utilisé à tout bout de champ en lieu et place des adverbes simplement ou purement, ce qui donne par exemple: "Je suis juste contente", "elle est juste cool", etc.
La palme revient à cette chanteuse dont j'ai oublié le nom et qui, interviewée il y a quelques jours à la radio, concluait par un vibrant "C'est juste voilà !". Comprenne qui pourra...
Mais, finalement, cela m'aura peut-être évité d'entendre débiter des âneries bien pires encore.
= Premiers couacs inter ministres au gouvernement (Fabius "contre" Montebourg), premières fautes lourdes de Manuel Valls, qui invente "la prime aux incapables" en promouvant Harlem Désir - responsable de la déroute électorale du PS et condamné pour "affaire") et en conservant à la Justice une Dame Taubira très contestée et, pour couronner le tout, qui a soit carrément menti, soit fait preuve publique de son incompétence : ça commence bien ! Et ça promet !...
Sinon, un chiffre de régularisation de clandestins toujours en hausse (comme le chômage, la pauvreté, le nombre de mal-logés...) : plus 51% ! Mais, à quoi joue le Système ?... Et des promesses, un flot de promesses, mais pour 2015, 2017 et, même, 2021 (suppression des Départements) : pourquoi ne pas promettre pour 2050, tant qu'on y est ? Les élections européennes risquent fort de sanctionner à nouveau lourdement une équipe qui ne sait qu'opposer des "mots" creux aux "maux" bien réels qui exaspèrent l'opinion...
Heureusement qu'il y a, malgré tout, de bonnes nouvelles, comme la brillante élection d'Alain Finkielkraut à l'Académie française, au premier tour, par 16 voix sur 28 : pour le coup, ce n'est pas une "Défaite de la pensée", mais bien au contraire une défaite du politiquement correct et un signal très positif de résistance à la pensée unique...!
C'est de tout cela, et de bien d'autres choses encore, que nous parlerons cette semaine, après que Louis-Joseph Delanglade aura ouvert notre semaine de réflexion et de prise de position sur les grands sujets de l'heure, ceux qui préoccupent nos concitoyens.
Demain et vendredi, les "Grains de sel" de Scipion seront au rendez-vous, et nous arriverons au 97ème : nous marquerons le coup, simplment mais symboliquement et amicalement, pour "le" centième...