Solidarité Kosovo ! RENCONTRE AVEC PHILIPPE MANGEARD, CONSUL HONORAIRE...

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...l'annonce de la disponibilité de la conférence de Richard de Sèze... :
(1'05'32)
Le Figaro a publié sur tweeter cette bonne vidéo sur Soljénitsyne (2'27), accompagnée du court commentaire suivant :
"Le 13 février 1974, l’écrivain russe Alexandre Soljenitsyne était accueilli à Francfort, en Allemagne de l’ouest, après son expulsion d’URSS. Son tort ? La publication de «L’Archipel du Goulag», un livre écrit en secret qui révéla l’ampleur des horreurs du Goulag."
https://x.com/Le_Figaro/status/1757353672466469053?s=20
La vidéo est bonne, on vient de le dire : il y manque pourtant quelque chose d'essentiel : le rappel de la venue de Soljénitsyne en Vendée, il y a 30 ans (le 25 septembre 1993) Alexandre Soljenitsyne, de retour de 20 années d'exil, pour inaugurer le Mémorial de Vendée aux Lucs-sur-Boulogne. Il prononça alors un discours mémorable, établissant la filiation directe entre l'horrible révolution bolchévique et son origine : la révolution française, dont la révolution bolchévique se voulut, tout simplement, la quintessence, l'aboutissement final et parfait (!)...
Dans ce discours, Soljénitsyne dit le mal qu'il faut penser de toute révolution. De la nôtre en particulier. Il critique ses racines idéologiques elles-mêmes, les illusions des Lumières, la devise de notre République, les "organisateurs rationnalistes du bonheur du peuple"...
Lisez-le ici :
GRANDS TEXTES (1) : Discours intégral d'Alexandre Soljenitsyne en Vendée.
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Charles Péguy est mort 5 Septembre 1914, le premier jour de la première bataille de l'Ourcq, à Villeroy.
En plus des désordres, lenteurs et désorganisations diverses dues à la guerre, le gouvernement français s'est replié sur Bordeaux, face à l'avancée ennemie : dans L'Action française du 8 Février on a cette information capitale :
• la "blessure" concernant Léon Daudet, dont il est question ici, provient d'un accident de la route le concernant, qui eut lieu le premier Août précédent (jour de la Mobilisation générale) : c'est encore Daudet qui en parle le mieux :
• Le trio Bainville/Daudet/Maurras est donc séparé, ce qui ajoute encore à la désorganisation générale et à la lenteur de la circulation des informations; ce n'est donc que treize jours après la mort glorieuse de Péguy que L'Action française lui rendra l'hommage qu'il méritait, sous la plume élogieuse de Maurras, dans le beau troisième paragraphe de sa "Politique" (colonnes trois et quatre), sobrement intitulé "III. Charles Péguy"...
• Bainville, lui, qui tient son Journal (et spécialement un Journal année 1914), ne rédigera sa note (qu'on lira plus bas) que le 20 septembre...
Voici la "Une" du Vendredi 18 Septembre 1914 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k758482k
• Voici ce troisième paragraphe, débutant en partie inférieure de la troisième colonne...:
Jean-Dominique Merchet - par ailleurs très intéressant à écouter, la plupart du temps - a perdu une bonne occasion de sa taire; ce qui lui a valu ce "pan sur le bec" bien mérité, asséné par une Gabrielle Cluzel très en forme... :
1. le propos stupéfiant, et condamnable en tout point, de "jean-do" (parlant de notre magnifique École de Saint Cyr) :
"J’ai été effaré de retrouver le même état d’esprit que celui que j’avais connu. C’est toujours la même société imprégnée d’ultra-catholicisme et de relents de droite extrême..."
2. "Tu l'as voulu, tu l'as eu !" Après ce propos inqualifiable (qu'est-ce qui lui a pris ?) le tacle cinglant de Gabrielle Cluzel, qui tape vite, juste et fort :
"Ah tiens, il y avait longtemps qu’on ne s’était pas attaqué à l’un des rares trucs qui fonctionnent encore dans notre pays. Après Stan, Saint-Cyr…"
À l'occasion de ce quatrième anniversaire de l'entrée de Guy dans le vrai Royaume, nous lui dédions ce compte-rendu paru dans L'Action française du 21 Février 1910, (et en "Une", s'il-vous plaît, excusez du peu !...) de la magnifique réunion publique tenue la veille, à Perpignan (voir ci-dessous)...
Comme chaque année, la famille de Guy organisera une Messe en la cathédrale d'Aix, suivie d'un repas familial, devenu une tradition maintenant. Je suis convié et, naturellement, je serai présent, comme les trois années précédentes, à l'invitation de Bénédicte et Florence (soeurs aînée et cadette de Guy) et de Pierre et Hugues (ses frères) à cette prochaine Messe en la Cathédrale Saint Sauveur d'Aix et au repas/réunion familiale qui s'ensuivra. Je serai accompagné par notre Rédacteur en chef Jean-Baptiste Collomb, qui a si bien connu Guy, et nous vous représenterons tous, vous qui avez connu et apprécié Guy mais ne pourrez être sur place ce jour-là...
François Davin, Blogmestre
Dans la "Une" de L'Action française du Lundi 21 Février 1910 :
A l’affiche : Un coup de dés, un film français de Yvan Attal, avec Yvan Attal (Mathieu), Guillaume Canet, Maïwenn et Victor Belmondo (Vincent, Delphine et leur fils Alex).
« Un coup de dés jamais n’abolira le hasard »… C’est cette formule, énigmatique, de Mallarmé qui inspira le titre du long-métrage, nous dit Attal, le réalisateur (et non pas le coq de Matignon qui se pavanait avant de se heurter aux fourches).
Nous avons vu, l’an dernier, un film assez médiocre portant pourtant sur la question intéressante de jouer une décision aux dés… et j’avais regretté précisément que son titre, Le principal, n’évoquât en rien ce lancer de dés.
Permettez-moi de faire l’observation inverse pour ce nouveau long-métrage dont le réalisateur est obligé, en voix off, de justifier longuement son coup de dés tellement celui-ci est artificiel.
Aller au cinéma, c’est toujours, malgré le réalisateur, les acteurs, les critiques et les « commentaires », un Coup de dés, une bonne ou mauvaise pioche. Malgré son titre, ce Coup de dés est un bon coup, et le scénario vaut le lancer qui porte sur la succession des faits, des événements, des hasards…
Une très bonne comédie dramatique, en 2022, traitait du même sujet, Le tourbillon de la vie.
Yvan Attal a choisi de nous raconter ce vent violent sous la forme d’un thriller haletant.
Sur la situation explosive dans laquelle se trouve Mayotte, d'accord avec Vincent Trémolet de Villers :
"Ça", un remaniement ? D'accord avec Philippe de Villiers :
"Nicole Belloubet, en tant que garde des Sceaux, a libéré 12 000 prisonniers pendant le #Covid, alors que les Français étaient confinés. Le taux de criminalité a depuis bondi dans des proportions considérables. On a décroché le "polichinelle Pap Ndiaye" avec Nicole #Belloubet : elle est contre l’autorité, l’uniforme, les cours magistraux… On est mal barré !"
(extrait vidéo 1'59)
https://x.com/PhdeVilliers/status/1756366356428034286?s=20
L'émission complète (44'13)
Dans le Jardin de la cathédrale arménienne du Prado, située... à quelques dizaines de mètres à peine du... consulat de Turquie ! :
"À la mémoire des 1.500.000 Arméniens victimes du génocide ordonné par les dirigeants turcs de 1915"
VIVE L'ARMÉNIE !
Voilà, nous venons donc de terminer (hier) la publication de cette longue série de "Grandes "Une"..." consacrée à la belle et noble action des tous jeunes Camelots de la toute jeune Action française, dans le Paris tragique de l'inondation catastrophique de 1910...
Cette publication faisait suite à celle concernant la Croisère du Campana (en 34); celle concernant la semaine tragique, qui vit la mort de Bainville et la misérable machination de Blum, aboutissant à la dissolution de la Ligue d'Action française et des Camelots du Roi (en 36); et celle concernant les douze premiers jours de la Guerre civile espagnole, lorsque la Tradition se souleva contre la Révolution, en un formidable combat, titanesque, qui devait s'achever par la victoire pleine et entière de la Civilisation sur la barbarie révolutionnaire... (en 36 également).
Notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française" compte donc, maintenant, 117 notes, mais bondira vite dans les semaines et mois qui viennent; tout comme notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'Union Royaliste Provençale", qui en compte actuellement 63 mais bondira très vite, elle aussi, ces prochains mois...
Nous allons arriver, maintenant, dans la période de notre anniversaire : dix-sept ans !
Nous le célèbrerons cette année en publiant, dès le Mercredi 28, jour de cet anniversaire, notre feuilleton "Qui n'a pas lutté n'a pas vécu !" : Léon Daudet", qui prendra pas mal de temps (environ trois mois). Au préalable, nous aurons donné notre 50ème Grand Texte et publié encore une "grande "Une"..." (sur la mort de Péguy, salué par Maurras et Bainville, en pleine période de désorganisation totale du Pays et du mouvement, à cause de l'avancée des troupes allemandes vers Paris et du départ du Gouvernement vers Bordeaux...).
Dès que ce feuilleton aura pris sa vitesse de croisière (mi mars/fin mars) nous passerons à la publication des comptes-rendus de tous les Rassemblements Royalistes tenus en Provence (Roquemartine, Barbentane...).
Cette plongée dans nos Racines et notre Histoire, afin d'en mettre à la portée du plus grand nombre possible la "substantifique moelle", se fera, bien entendu, en poursuivant notre regard quotidien sur l'actualité de nos compatriotes, avec notre Revue de presse et d'actualité quotidienne (à notre connaissance, unique dans la presse royaliste).
Car c'est bien cela que nous souhaitons : avoir un pieds dans l'actualité la plus immédiate et l'autre dans ce que le mouvement nous a apporté - qui fonde notre originalité et la spécificité de notre École de pensée - et que nous souhaitons (nous l'avons dit) mettre à disposition de tous, sous une forme commode, et facile de consultation...
Je terminerai juste ces quelques précisons en notant que cette plongée dans nos archives à tous nous a permis de retrouver (pour trois d'entre nous, pour l'instant) nos patronymes dans le quotidien, et donc la trace de notre enracinement personnel dans l'histoire du mouvement, à travers de membres de nos familles citées dans la Chronique quotidienne "Ligue d'Action française" : je veux parler de Jean-Baptiste (le premier a avoir trouvé le nom de ses grands-parents dans le journal) de Guy (Bertran de Balanda) et de votre serviteur : mais nous en reparlerons très vite...
François Davin, Blogmestre;
Jean-Baptiste Collomb, Rédacteur en Chef...
P.S. : absolument rien à voir, mais, au moment de commencer à "partager" dans les groupes privés auxquels nous appartenons, nous recevons une nouvelle invitation, et pour la première fois d'un groupe "étranger" : des États-Unis ! (qui regroupe 2K6 de membres). Bien entendu, nous acceptons l'invitation, et puis... on verra bien !
César 2022 du Meilleur Son : Boîte noire, un film français de Yann Gozlan, avec Pierre Niney et Lou de Laâge (Mathieu Vasseur, agent du BEA, et son épouse, Noémie), Olivier Rabourdin (Victor Pollock, supérieur hiérarchique de Mathieu Vasseur), et André Dussolier (Philippe Rénier, directeur du BEA).
Boîte noire… Je ne crois pas avoir, jusqu’à ce jour, entendu parler de ce docufiction pourtant sorti il y a plus de deux ans, en septembre 2021 !
Une fiction, en effet, car l’histoire est totalement inventée de ce crash, dans le massif alpin, d’un avion Atrian-800, de la compagnie European Airlines, assurant une ligne Dubaï-Paris.
Un documentaire, aussi, qui nous enferme dans la Boîte noire et l’univers du Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) pour la sécurité de l’aviation civile, situé au Bourget.
Le film ne le précise pas, mais l’invention de la Boîte noire est française due au Colonel François Hussenot qui, à la veille de la guerre, a conçu un enregistreur de données de vol à partir de photographies, dans une boite étanche à la lumière – noire.
Près d’un siècle plus tard, le nom est resté, même si les enregistrements ont évolué et si les boites ont la couleur orange pour être plus facilement repérables. Elles sont, en outre, de deux sortes, à savoir le FDR (Flight Data Recorder) qui enregistre les données de vol (stabilité de l’avion), et le CVR (Cockpit Voice Recorder) qui reproduit les conversations et autres bruits de la cabine de pilotage.
Mathieu Vasseur est un agent acousticien dont la mission est précisément d’écouter, d’analyser et d’interpréter ces enregistrements phoniques pour essayer d’y trouver des indices explicatifs du crash.
C’est ainsi que la bande son devient l’acteur principal du long-métrage, d’où son César, et sa présentation dans le cadre de La 21ème Semaine du Son de l’UNESCO, du 15 au 28 janvier 2024 ! (Eh Oui ! ça existe !)
Si on peut se réjouir de ce que cette Semaine du Son – « Vers une écologie sonore » - fasse finalement peu de bruit, on peut en revanche s’inquiéter de notre difficulté à entendre cette Boîte noire, ce CVR, qui nous alerte sur les dangers combinés de la puissance des lobbies (le marché et le busines d’abord !), de la corruption, du piratage informatique et l’Intelligence Artificielle capables de prendre véritablement le contrôle de nos vies.
(cliquez sur l'image pour l'agrandir et pouvoir lire le texte)
La République idéologique qui nous accuse de "vandalisme", elle qui a détruit entre le quart et le tiers de notre Patrimoine, il fallait oser le dire : "ils" l'ont osé !!!!!
Cet immortel "poulet" (en langage journalistique...) fait suite à l'action de nos amis mulhousiens, que nous avons rapportée ici-même mercredi dernier :