BRUXELLES SOLIDARITÉ !
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La France pour qui veut, quand il veut, comme il veut : on ne voit une telle aberration nulle part ailleurs que dans notre Système et notre République idéologique : il faut rendre à la France un Régime qui soit français !...
L'édito politique de Vincent Tremolet de Villers, sur Europe 1 :
(extrait vidéo 4'08)
https://x.com/vtremolet/status/1713808203773858019?s=20
A l’affiche : Entre les lignes, un film anglais de Eva Husson, avec Odessa Young (Jane Fairchild, la femme de chambre de la famille Niven), Colin Firth (M. Niven), Joseph O’Connor (Paul Sheringham, l’amant de Jane),
adapté du livre de Graham Swift, Le Dimanche des mères (2016).
Entre les lignes… je m’interroge sur ce qu’il faut lire Entre (ces) lignes quand Jane Fairchild, la romancière, nous dévoile – nous déshabille – ses amours de petite bonne avec le fils du châtelain voisin.
« Once upon a time… », mon épouse aime toujours beaucoup l’atmosphère « so british » de ces films qui nous immergent dans la société aristocratique anglaise du XIXéme siècle.
Personnellement, j’y suis moins sensible, et j’éprouve une difficulté réelle à m’insérer dans un scénario fait de flash-backs incessants et inutilement compliqué notamment avec un cheval de courses qui évoque – nous dit-on - les fils de ces familles morts à la guerre (de 14).
J’avoue en revanche avoir éprouvé une certaine émotion par le simple appareil du drame tandis que sans aucune fausse pudeur l’héroïne visitait la demeure vide de son amant et caressait les livres de sa bibliothèque.
Ajoutons à cela les photos magnifiques dont nous gratifie la réalisatrice, à l’extérieur comme à l’intérieur … la beauté mise à nu.
Le CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de Communication Culturelle vous convient ce mardi 17 octobre à 19h00 à la conférence de Michel Léon journaliste, animateur du site internet "rail Sud" :
La destructuration du réseau ferroviaire régional symptôme de la gestion jacobine du territoire
Sur les cartes de géographie, le chemin de fer traduit la conception politique du territoire. En France, dès la Restauration, il fut conçu sur un modèle centralisé autour de Paris. Puis vint l'époque d'un maillage densifié - quoique souvent de médiocre qualité - pour satisfaire les villes et les régions de "province".
Mais très rapidement ce réseau fut "rationalisé", avec liquidation massive des transversales ou lignes de desserte fine et construction de lignes à grande vitesse toutes centrées autour de l'Ile-de-France. La géographie ferroviaire de la France traduit de façon caricaturale la conception jacobine du territoire, la "province" ne regardant que vers Paris.
Nous verrons aussi, avec le conférencier, quel rôle pourrait jouer le réseau ferroviaire provincial dans l'animation des territoires et quelle contribution décisive il pourrait apporter au respect de la nature et à l'équilibre écologique "intégral" de la France.
La réunion sera suivie d'un buffet convivial, au siège de l'Automobile Club Dauphinois, 107 rue des Alliés, 38100 Grenoble.
(Inscription requise et participation aux frais)
courriel: centrelesdiguieres@gmail.com
Merci de nous informer de votre participation par retour de courriel
Ce lundi 16 octobre 2023 à 18h30 une messe de requiem sera célébrée à la mémoire de la Reine Marie- Antoinette en la collégiale Saint André place St André dans le cadre de la Confrérie Notre Dame du Suffrage.
"La" bonne question de Guillaume Bigot, sur CNews :
"Les Frères musulmans sont interdits en Égypte et dans les EAU. En France, ce sont les interlocuteurs des pouvoirs publics. On s'occupe juridiquement des Frères musulmans maintenant ou on attend un nouveau massacre ?"
(extrait vidéo 2'19)
https://x.com/Guillaume_Bigot/status/1713109566383182126?s=20
Guillaume Bigot a bien parlé, dans communiqué laconique :
A l’affiche : Nouveau départ, un film français de Philippe Lefebvre, avec Franck Dubosc et Karin Viard (Alain et Diane).
Nouveau départ… Quel meilleur choix alors que nous venons de reprendre nos quartiers d’hiver ?
Et pourtant j’ai honte de vous confesser que nous sommes allés voir cette nullité… Comment avons-nous pu prendre ce risque sans regarder une bande annonce alors que nous savons que l’un et l’autre de ces deux acteurs se produisent majoritairement dans des navets ? C’est sans doute cela l’addiction que j’évoquais à propos du Livre des solutions.
Ce Nouveau départ coche malheureusement toutes les cases – j’insiste « toutes les cases » - d’un cinéma qui promeut la décadence de notre société. Un film à mettre à la poubelle avec les déchets non recyclables et même non susceptibles du compostage « citoyen et républicain, laïc et obligatoire », déjection de la loi AGEC (loi Anti-Gaspillage pour une Economie Circulaire) de février 1920, elle-même issue de la Directive Déchets de l’Union Européenne.
Il est plus que temps que l’industrie cinématographique prenne effectivement un Nouveau départ avec une production qui ne soit plus intensive mais de qualité !
L'Action française communique...
Paris, le 14 octobre 2023
Attentat à Arras : est-il déjà trop tard ?
Une fois de plus, un Français est mort ce matin à Arras, sous les coups de couteau d’un terroriste et au cri, une fois de plus, d’ « Allah Akbar ».
Ce crime intervient quelques jours après l’attaque terroriste du Hamas et au lendemain de l’intervention de notre Président, qui invitait les Français à « rester unis ». Mais que signifie « rester unis » quand ils ne le sont à l’évidence plus, et depuis bien longtemps ?
Ce crime intervient deux jours après les déclarations de Gérard Larcher, ministre ou sénateur depuis plus de 30 ans, qui, en se cachant derrière la faiblesse collective, avouait sans l’assumer que nous avions été « trop faibles » en laissant s’installer le climat qui, des émeutes de juillet à l’attentat de ce matin, donne hélas raison à tous ceux qui n’ont pas attendu les propos d’Henry Kissinger pour savoir que « c’était une erreur de laisser entrer autant de gens de culture, de religion et de concepts totalement différents ».
Ce crime intervient alors que l’on vient d’apprendre qu’en 2014, le cabinet de Manuel Valls avait renoncé à expulser la famille de l’assaillant, influencé peut-être par un communiqué du Parti communiste qui s’indignait de cette possible expulsion, de nature à « saboter la vie d’une famille » – mais c’est celle d’une autre famille qui a aujourd’hui été sabotée.
Ce crime intervient en pleines tergiversations de la France insoumise qui, en camouflant derrière le droit international et l’ONU son refus de qualifier l’attaque du Hamas de terroriste, a pu laisser penser qu’il s’agissait d’une riposte légitime qui en appelait d’autres.
Ce crime intervient alors que le Conseil constitutionnel refuse la dissolution d’associations propalestiniennes et que des manifestations interdites se tiennent place de la République à Paris.
« La seule réponse au terrorisme est toujours une réponse forte » disait encore Macron hier soir. Il n’est malheureusement pas certain qu’il s’applique à lui-même ce précepte, lui qui, dans un aveu dont nous prenons acte, justifiait l’inaction par le risque de guerre civile. A force d’avoir peur d’en faire trop, la République fait surtout trop peu, trop mal, et, comme nous le redoutons, trop tard.
A l’affiche : Le Ravissement, un film français d’ Iris Kaltenbäck, avec Hafsia Herzi (Lydia), Nina Meurisse (Salomé), Alexis Manenti (Milos) et Younès Boucif (Jonathan),
à partir d’un fait divers.
Alors que le président Macron décide, comme tous les totalitaires, de rendre « irréversible » le prétendu « droit à l’avortement », Ce Ravissement met en scène une sage-femme et le désir de maternité. Quelle divine surprise que ce quasi-documentaire sur l’accouchement en écho à la barbarie.
Malgré un début trop long, ce premier long-métrage d’Iris Kaltenbäck est un « coup de maître », bien supérieur à sa bande-annonce, et magnifiquement interprété par Hafsia Herzi que nous avions appréciée en tant qu’actrice dans un film, pourtant médiocre, qu’elle avait réalisé il y a quatre ans : Tu mérites un amour.
Difficile d’en écrire davantage sur ce Ravissement sans risquer de vous ravir l’intérêt de l’intrigue, sauf à s’arrêter sur ce premier ravissement qui est celui de la sage-femme en train de recueillir l’enfant avant de le confier à sa mère. Oui, Messieurs les politiques, il s’agit bien d’un enfant.
Le Bien commun
10 rue Croix-des-Petits-Champs
75001 Paris