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George Steiner s’est éteint hier et, probablement, une bonne part de la culture européenne. Professeur à Cambridge, avec lui, il nous semble qu’a disparu aujourd’hui quelque chose de la Renaissance qui se serait poursuivi malgré le fracas mortifère du vingtième siècle.
L'étude de notre ami François Schwerer s'est donc achevée hier.
Cet ensemble constitue une véritable somme, aussi bien par son importance que par son intérêt.
Nous en avons commencé la publication le vendredi 10 janvier, et l'avons poursuivie du lundi au vendredi inclus, comme nous l'avons fait, par exemple, pour l'étude de Pierre Debray, Une politique pour l'an 2000.
Pour suivre et retrouver ces textes plus commodément, nous avons regroupé la totalité de cette étude, vu son importance, dans une nouvelle Catégorie : François Schwerer - Bioéthique : culture de mort : vous pourrez donc retrouver donc l'ensemble de cette chronique en cliquant sur le lien suivant :
Nous avons redonné chaque jour le plan de l'étude, afin que le lecteur puisse correctement "situer" sa lecture dans cet ensemble; voici maintenant le plan des Annexes et textes divers, que nous publierons jusqu'à vendredi prochain, inclus, date finale de la publication de cette importante contribution :
Annexe 1 : Les lois de bioéthique.
Annexe 2 : Le projet de loi bioéthique : une horreur peut en cacher une autre.
Annexe 3 : La loi de bioéthique est essentiellement une loi discriminatoire.
Annexe 4 : Bioéthique : on a ouvert la boîte de Pandore...
Annexe 5 : La loi de tous les dangers.
Annexe 6 : Sondage IFOP pour les AFC / Prière de Jean-Paul II /Quelques statistiques / Lettre pastorale de l'évêque de Bayonne.
"Il ne faut donc pas voir autre chose dans la dictature que l'extension au domaine politique de l'incohérence individuelle. Le dictateur favorisait tantôt les entrepreneurs ou les ouvriers, tantôt les paysans ou les industriels ; un jour, on proclamait qu'on ferait de Berlin la plus belle ville du monde, le lendemain il n'était plus question que de colonisation agricole. On célèbrait les sciences et les arts après avoir promis une balle de revolver à quiconque prononcerait le mot de culture." (Max Picard," L'homme du néant " p 176) La dernière phrase de ce passage, plus encore que le reste du livre, me rappelle notre contexte politique actuel, une société déjà fragmentée jusqu'à la rupture, atomisée par un individu sorti de nulle part, porté par la discontinuité et l'incohérence générale.
lafautearousseau se propose ici de vous faire découvrir Un patriote,nommé Maurras. Maurras est en effet inconnu du grand public, parce que volontairement ignoré par la conspiration du silence, entretenue par le Système pour lequel Maurras n'est pas "dangereux", mais "le seul dangereux", car il en a dénoncé les bases idéologiques et parce qu'il l'a remis en cause dans ses fondements révolutionnaires.
C'est donc à une sorte de feuilleton, à la découverte de l'homme Maurras, que nous allons vous entraîner, d'ici les prochaines élections municipales.
Celles-ci, nous l'avons dit, seront peut-être décisives pour l'avenir de la Maison du Chemin de Paradis, fermé aux Français aujourd'hui par le dernier Mur de Berlin d'Europe : celui, invisible, du sectarisme haineux de la Mairie communiste, qui préfère laisser fermée (en attendant qu'elle ne s'écroule ?) une belle demeure qui pourrait être intégrée au réseau des Maisons des Illustres, et devenir un centre national et international de recherches et débats intellectuels de haut niveau sur Maurras, sa vie, son oeuvre; un lieu culturel vivant et rayonnant...
Du début février au 23 mars (fin de la première partie de notre campagne de sensibilisation pour la sauvegarde de la maison de Maurras) nous présenterons divers textes ou documents relatifs à Maurras, sa vie, son oeuvre...
Ensuite, après les élections, nous verrons quelles orientations donner à notre campagne pour la réhabilitation/réouverture au public de la maison/jardin de Maurras...
: Aujourd'hui, le reportage de TF1 sur Martigues, ce mercredi 5 février...
André Bercoff a reçu Marie de Greef-Madelin, rédactrice en chef adjointe à Valeurs Actuelles et Frédéric Paya, rédacteur en chef du service Economie-Finance de Valeurs Actuelles, auteurs du livre : « Normes, réglementations… Mais laissez-nous vivre ! » (Plon).
Cette page est ouverte à tous, lafautearousseau se voulant "la maison commune" de tous les royalistes, de toute obédience (RN/CRAF, NAR, GAR, DEXTRA, indépendants/"électrons libres"...)
Aux deux seules conditions que l'on soit dans la double fidélité à l'école de pensée de l'Action française et à notre Famille de France, à laquelle nous sommes particulièrement attachés...
Envoyez-nous les annonces et/ou les visuels de réunions de rentrée, Cercles d'études et de formation, Cafés politique/actualité/histoire, manifestations diverses etc...
Saint Vaast (autre forme du prénom Gaston) à côté de Saint Rémy au baptême de Clovis à Reims, avec la colombe (du Saint-Esprit) qui apporte la Sainte Ampoule.
Rémy confia à Vaast l'éducation chrétienne de Clovis; Gaston fut ainsi son éducateur de la Foi...
La mort du grand universitaire George Steiner nous invite à revisiter une œuvre critique d’une extrême importance. C’est la culture qui donne son âme à une civilisation qui est faite de richesses patrimoniales et d’échanges. Sans compter cette richesse commune qu’est la Bible.
On en avait déjà ri à l’époque. Aujourd’hui on ne peut réécouter le pontifiant et sentencieux Le Gendre sans être saisi d’un élan de pitié : en Décembre 2018, il reconnaissait que le macronisme avait commis une erreur : « avoir probablement été trop intelligents, trop subtils, trop techniques… » C’était le temps où les Français étaient encore pour certains fascinés par le brillant jeune homme, « Mozart de la finance », orateur impeccable, metteur en scène jupitérien, dont l’affaire Benalla suivie par la révolte fiscale des Gilets Jaunes, avaient commencé à fissurer l’image, à abattre le décor.
« Les dimensions de l'entreprise néo-radicaliste, avec ses ambitions, ses rouages, ses tentacules européennes, son arsenal financier, cette volonté de vampiriser les masses s'apparente beaucoup à une prise de pouvoir totalitaire » (Dominique de Roux). L'instabilité, l'hétérogénéité du personnel politique des IIIe et IVe Républiques ont en effet permis l'apparition d'une nouvelle classe dont la Ve République devait consacrer le règne et que Saint-Simon, au XIXe siècle, appelait de ses voeux : les « experts », les technocrates. Le changement régulier du personnel administratif, non seulement empêche une intégration locale de celui-ci mais rend le service parfaitement anonyme. Telle est l'origine du transfert progressif des pouvoirs aux techno¬crates. La planification devait les conduire à proposer un État apparemment plus fort et plus stable : ce fut l'origine de la Ve République.