Féministes, prostates et CRS, par Aristide Renou.

Réfuter une idiotie est un des grands plaisirs de l’existence. Et lorsque cette idiotie est par surcroit toxique, nuisible, malfaisante, le plaisir est encore plus grand.
De toutes les formes de réfutation possible, ma préférée est la réfutation en actes – la réfutation silencieuse mais sans réplique, et qui souvent échappe à celui qui est réfuté, cerise sur le gâteau de mon contentement.
Genre, Diogène marchant de long en large devant Zénon en train de lui démontrer par A+B que le mouvement n’existe pas ; ou bien Simone de Beauvoir, la grand-mère de toutes les féministes « radicales », se conduisant comme une serpillère avec son Jean-Paul ; ou encore un adepte de Michel Foucault se précipitant chez le médecin pour faire soigner son panaris après avoir expliqué pendant des années que la médecine n’était qu’un « pouvoir » et un « discours » comme les autres.